Le dogme marial en ce qu’il s’oppose de nos jours au dogme christique

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Contradiction 1 : si Marie est sans péché, immaculée conception, alors la venue du Christ n’est pas nécessaire à l’humanité pour qu’elle soit sauvée du péché. Cela prouverait qu’il suffirait d’un effort personnel, d’un état de nature parfait, ou d’une grâce de Dieu pour être sauvé sans le Christ. Dans un tel cadre, la venue du Christ ne serait pas nécessaire. La nature se suffirait à elle-même, ou la venue du Christ ne serait pas nécessaire à Dieu (le Christ ne serait donc pas Dieu), ou bien la volonté humaine serait divine sans Dieu, ce qui n’a aucun sens.

Contradiction 2 : si Marie est sans péché, immaculée conception, elle est pourtant née de parents humains corrompus par le péché originel. Elle serait donc née du péché et y aurait pourtant échappé. Face à un tel cadre théologique contradictoire, le péché originel devient donc une idée relative dont une humaine peut s’extraire. Ce concept de péché originel n’existe plus en fait. Et le Christ vient nous sauver pour rien.

Contradiction 3 : si Marie est vierge après la conception du Christ, alors le Christ la déflore en naissant. C’est un inceste. Ou bien, elle accouche par des moyens surnaturels, et alors, le Christ n’est pas né pleinement humain.

Contradiction 4 : si Marie est mère de Dieu, et non mère de Dieu fait homme, alors elle est aussi mère du Père. Etant mère du Père et du Fils, elle a conçu à partir d’un inceste. Le terme de mère de Dieu est toujours utilisé à ce jour en lieu et place de mère de Dieu fait homme.

Contradiction 5 : si le Christ n’a pas été conçu dès la procréation, pleinement en humanité, par des moyens humains, il n’est pas pleinement humain, et il n’est donc pas incarné.

Contradiction 6 : si l’assomption est vraie, Marie a échappé à la corruption du corps. Elle n’est donc pas morte pleinement. Elle a fait mieux que Jésus, mais elle n’a pas part à la résurrection des morts quand même. Seule une divinité peut réaliser un tel « exploit ». Elle est pourtant décrétée humaine. Elle est donc supérieure aux hommes mais aussi à Dieu qui a dû user de la Trinité pour s’incarner. Marie n’en a pas besoin.

Contradiction 7 : il s’avère de toutes les contradictions précédentes que Marie dusse être divinisée à l’égal du Père, du Fils et de l’Esprit saint pour que le catholicisme reste cohérent. Le concept flou de Marie co-rédemptrice est d’ailleurs utilisé en ce sens par ceux qui cherchent une cohérence au culte marial tel qu’il se pratique actuellement. Même si ce concept est loin de régler tous les problèmes sus-mentionnés, il permet de diviniser la mère de Jésus et de lui donner les attributs qu’elle ne peut pas obtenir sans : immaculée, immaculée conception, toujours vierge. Seulement là où la divinisation de Marie grandit, l’incarnation recule. Devenant déesse, elle n’est plus vraiment mère charnelle ni femme. Par là même, Jésus n’est plus incarné dans la chair, car Il doit l’être avec sa mère pour l’être pleinement. Cette erreur implique un retour aux cultes anciens de type pacha mamma. Vous remarquerez d’ailleurs que cette image de Marie, de la mère qui demande des sacrifices humains pour sauver le monde, tend à s’imposer. Dans diverses « révélations » mariales , Marie retient le bras de son Fils, Marie avertit des temps apocalyptiques finaux alors que le temps et l’heure n’appartiennent qu’au Père selon Jésus lui-même (Matthieu 24 36). De plus, dans les Textes, le Fils est là pour être notre avocat auprès du Père. Il n’est pas là pour nous punir. Et Marie n’est pas sensée autoriser la punition. D’où la contradiction 8.

Contradiction 8 : Marie reine du ciel suppose un mariage mystique avec Dieu lui-même. Que ce mariage mystique puisse avoir lieu avec une humaine, pourquoi pas ? Ce serait déjà un grand saut théologique qu’il faudrait analyser et dont il faudrait prévenir les conséquences. Mais Marie, devenue déesse régnant sur les cieux, me semble impossible à défendre sans remettre en cause la théologie catholique dans son ensemble. Notre Dieu ne serait plus trinitaire déjà. A moins de confondre Marie avec l’Esprit Saint, ce qui me semble difficile étant donné nos Textes, et ce qu’implique cette divinisation. Il me semble qu’il y a là une impasse.

Contradiction 9 : si la virginité physique a une quelconque importance, la perte de la virginité est un retour irrémédiable à l’état de péché originel, sans possibilité de pardon. Une personne qui aurait fait vœux de chasteté et qui aurait été violée, ne pourrait pas être pardonnée et retrouver une « virginité » de l’âme à cause de l’importance donnée à la virginité physique de Marie. Or elle n’a pas à être pardonnée pour une violence qu’elle a subie. Elle n’a pas commis de faute en n’étant plus vierge. Tout comme une femme mariée ne commet pas de faute en couchant avec son mari et en perdant sa virginité. Le concept de « virginité » de l’âme n’est pas tellement plus facile à défendre. La sainteté n’est pas l’absence de péché, mais un amour de Dieu immense qui exclut la pratique du péché. En somme, ce n’est pas un état (de virginité), mais une aspiration du coeur vers Dieu. Grand saint, grand pécheur. Quant à défendre la virginité physique pour elle-même, cela n’a aucun sens catholique. Le corps est marqué par le péché originel, il vieillit, il se décompose, il pourrit. Marie a été petite, elle a grandi, elle a faibli et elle morte, vierge ou pas. Cette décomposition s’entend bien mal avec ce concept de virginité physique. Et ce concept de virginité physique ou de l’âme, s’entend bien mal avec celui de pardon des péchés et de péché originel, ou de vie tout court.

Vous n’êtes pas pur, mais vous pouvez aimer Dieu. En cherchant cet état de pureté, le catholique se détournerait de sa condition misérable, même après le baptême, pour devenir un ange. Mais comme le dit l’adage populaire, « qui fait l’ange, fait la bête ». Nous ne visons pas l’état de pureté, mais une bonne relation d’amour avec Dieu qui nous mène à une forme de pureté. Mettre la pureté en avant, c’est confondre la fin et les moyens. Cela a de très graves conséquences.

 

Les conséquences pratiques de ces erreurs

 

Des catholiques réfugiés dans les jupes de Marie qui ont peur du monde. Un puritanisme qui ne dit pas son nom.

Ils sont purs, le monde est impur. Sorte de retour au pharisianisme. Plus cela les rassure, plus ils sont névrosés, car plus le monde leur apparaît loin d’eux car impur. Des catholiques désincarnés coupés de la nécessaire évangélisation. Des catholiques incapables de se remettre en question car croyant vivre de pureté. Vous leur dîtes un petit mot qui dépasse leur imagination et les voilà troublés. Ils se réfugient alors dans leurs croyances au lieu de les affronter. Ce qui n’est pas eux, est le diable, tandis qu’ils sont entièrement sous le contrôle du diable qui se joue d’eux en les enfermant dans leur pureté.

Du coup, s’ils peuvent parfois annoncer la parole, ils sont incapables de rentrer en dialogue avec les impies. Pour cela, il faudrait connaître exactement ses faiblesses et les assumer. Or ils veulent se donner une bonne image d’eux-mêmes plutôt qu’aimer Dieu. Pire encore, ils soupçonnent chaque catholique d’être un impie, parce que eux, ils sont dans la vérité, bien entendu. A noter que la phrase de Jésus qui condamne sévèrement les frères catholiques qui s’insulteraient entre eux de fous, prend tout son sens ici (Matthieu 5 22-25) : pour un catholique, il ne s’agit jamais d’avoir raison en se plaçant au-dessus de la mêlée, mais de répondre de manière argumentée en accueillant les oppositions. Car cette attitude de supériorité cléricale, fracture l’Église de l’intérieur. C’est là aussi qu’on voit aussi l’influence du diable (diable = diviseur) : qu’ils soient progressistes ou traditionnels, ils se haïssent alors qu’ils ont le même comportement les uns envers les autres.

Je dis souvent à des traditionalistes que les purs conciliaires ont un culte marial fervent. Ils ne veulent pas me croire, ou ils ne veulent pas en tirer de conséquences. Pour eux, il n’y a qu’eux d’aussi aveuglés par Marie. Je dis souvent auprès des purs conciliaires que les traditionnels aiment Dieu au-delà de leurs comportements maniérés. Ils ne le supportent pas. Marie, qui est sensée être signe d’unité pour tous ceux là, selon leur vision du dogme, fait bien mal son travail.

 

Des catholiques enfermés dans la prière

La prière est importante, elle n’est pas l’incarnation. La prière doit vivre dans un aller retour avec notre rapport au monde. Sans cela, le croyant sombre dans une forme de surnaturalisme dont le raisonnement est : Marie vaincra le monde, nous l’accompagnons de notre prière, nous n’avons rien à faire, et de toutes les manière l’apocalypse est proche et va nous apporter toutes les réponses. Ainsi leur idéal, c’est de prier sans cesse le rosaire, et il y aurait bien à dire sur le sujet. Cependant, sur ce point, bien des prêtres qui ont une grande dévotion mariale, ont écrit pour prévenir les abus. N’empêche : difficile de retenir Jésus et son incarnation, lorsque 10 prières contre 1 sont récitées en direction de Marie. Difficile de ne pas y voir là une sorte de moyen psychologique de se rassurer quand Jésus lui-même demande à ses adeptes de ne pas rabâcher la prière (Matthieu 6, 7) pour mieux entrer dans le monde.

 

Des catholiques prêts à vous exclure au nom de Marie, pourtant garante d’unité

Toute relativisation à la dévotion mariale, toute opposition à son extension, et vous êtes soupçonné de ne pas être catholique. Si vous aimez Marie dans votre coin, comme la mère de Jésus, tout simplement, ce n’est jamais suffisant. Marie prend le pas sur Jésus. C’est elle qui vous fait catholique. Ceux-là disent que pour aller à Jésus, vous devez en passer par Marie. Et ils ont tendance à penser que c’est impossible autrement. Si vous n’êtes pas porté par une telle théologie, ils doutent de votre foi. Si le message de Jésus vous porte en principal et si vous êtes reconnaissant envers Marie, pour nous avoir donné Jésus, ils trouvent que cela hors de propos. Ils concluent préférentiellement leurs célébrations par des chants mariaux. Marie est l’aboutissement de leur théologie. Ils ne mettent pas les chants mariaux en début de célébration d’ailleurs, comme pour faire de Marie un passage obligé vers le Christ. Ils les mettent à la fin parce que Marie, c’est leur fin contrairement à ce qu’ils disent. Jésus est vite accessoire à leur pratique, ou en tout cas, le Christ est subordonné à Sa mère, qui prend tout l’espace. Par exemple, le monde sera libéré quand la Russie sera consacrée à Marie. La Russie fera bien de se consacrer à Dieu plutôt, comme nous.   

Cette erreur va si loin que beaucoup de « révélations » mariales attaquent l’Église et leurs prêtres au lieu de les soutenir. Tout comme le monde le fait, tout comme le diable. Fatima, la Salette, pour ce que j’en connais, sont des attaques en règle contre l’Église et leurs prêtres, certains y voient même une dénonciation du vatican. L’Église, quand elle suit la ferveur populaire liée à la dévotion mariale est comme un canard qui aurait trouvé un couteau : Elle est toujours à même de se blesser avec. Mais surtout, elle finit immanquablement par l’affaiblir.

Une Eglise dans les jupes de Marie est une Eglise divisée, même entre ceux qui cultivent cette dévotion. Nous ne le voyons que trop de nos jours. Et il y a une cohérence à cela : les personnes enfermées dans leur prière mariale refusent de se remettre en question, et d’ailleurs, en sont incapables. Elles veulent être rassurées, obtenir le fruit de leurs prières, non pas aimer Dieu avec tout ce que cela comporte d’ennuis et de sacrifices. C’est une régression à l’état de nourrisson. Notez que je n’emploie pas le terme d’enfant, mais bien de nourrisson. Jésus nous demande d’être à l’image d’enfants. Il ne nous demande pas d’être des enfants, et encore moins des nourrissons. Il y a une manière de devenir adultes dans la foi. Sur ce chemin, le dogme marial me semble très accessoire, voire néfaste. Il est toujours une tentation de régression à l’état de nourrisson. Or le nourrisson ne supporte pas la concurrence dans l’amour. Il veut sa Marie pour lui tout seul, tandis que l’amour de Dieu ne se conçoit qu’avec le monde et ses frères, et plus encore en aimant les méchants tout autant que ses frères.

Voici une remarque toute personnelle et une accusation gratuite de ma part, mais je crois que beaucoup de catholiques pratiquants de la dévotion mariale ont une image idéalisée de leur mère, et ne vouent pas un culte à Marie en vérité, mais à une mère dont ils sont toujours prisonniers. Leur image de Marie est toujours beaucoup moins nette que la mienne d’ailleurs. Je la vois un peu comme sainte Thérèse, petite et dans sa fragilité, vraie, impuissante, dans l’accueil. Ils la voient en reine du ciel toute puissante, agissante. Mais ils réussissent parfois le tour de force de vous parler de la puissance et de l’impuissance de Marie en même temps. Elle est tout pour eux. Elle est Dieu, car seul Dieu peut être tout et son inverse à la fois (il échappe à nos représentations).

Jetez un coup d’oeil attentif au regard de Marie. Il est inquiétant. De très nombreuses représentations mariales, dont celle sculptée pour lourdes, sont à côté de la plaque. Dans l’excès de leur dévotion mariale, ses adeptes ne le voient pas.

 

Une pensée appauvrie et l’infaillibilité pontificale comme signe de faiblesse

Que le 19ème siècle, marial s’il en est, ait vu l’infaillibilité pontificale être promulguée, n’est pas un hasard. L’Église est en train de devenir progressivement une Marie pure de toute tache, et qui donc, ne commet pas le péché et ne se trompe jamais. C’est surtout le pire des aveux de faiblesse. Une institution sûre d’elle est capable de se défendre contre toutes les attaques et n’a pas besoin de murs sans pont levis pour se protéger. Elle est capable de répliquer sans censurer. Si elle n’est plus capable de répondre, si elle impose ses dogmes ex cathedra, elle s’assimile à Dieu, et penche du côté du totalitarisme. Heureusement, ce genre de dogme affaiblit l’institution à mesure qu’il s’impose et empêche toute dérive sectaire qui pourrait se généraliser. La remise en question vient alors du monde. Le monde fait sentir son pouvoir sur Elle. Et Elle finit par plier et s’assimiler. Heureusement, le diable n’aura pas prise sur l’Église, et il y aura toujours des personnes comme moi, pour la faire avancer et sortir de l’ornière où Elle se met régulièrement, des personnes qui prendront sur elles de dire que le roi est nu. L’Église est nue de son infaillibilité pontificale. Elle affiche là sa faiblesse aux yeux de tous, jusque dans les encycliques qu’Elle promulgue.

Prenons la dernière encyclique en date « Dilexit nos ». Mon idée de « structure de péché » de l’immigration de masse y est reprise sous un autre angle, pour affirmer que c’est plutôt le refus de l’accueil des migrants qui est une structure de péché. Deux idées qui s’opposent apparemment. Il n’en est rien. « Dilexit nos » s’acharne à défendre la foi comme un point de vue personnel, comme si l’intérêt général ne pouvait être défendu par un catholique, ou plutôt comme si l’intérêt général, c’était la défense des personnes migrantes à un niveau individuel. La royauté sociale de notre Seigneur Jésus est convoquée en renfort de cette idée.

Il faudra faire un jour un vrai travail sur ce que signifie cette royauté, tant ce dogme risque, comme la dévotion mariale, d’aller toujours trop loin et de porter tort à notre Eglise. Mais tel n’est pas mon propos dans cet article. Revenons-en à l’encyclique : La distinction entre intérêt personnel et général n’y est jamais réellement prise en compte. Du coup, effectivement il semble y avoir plus qu’une opposition entre eux, une ignorance même de la nature de la problématique. La foi serait une question éminemment personnelle. Et les intérêts communs, des nations, des groupes humains, s’opposeraient toujours au bonheur des personnes. En somme, la personne aurait toute sa place dans le dogme catholique, et l’individu jamais. Voilà qui est pour le moins partial.

Oubliée également la longue tradition de l’Église de dénonciation de l’esclavage. Les bateaux d’esclaves sont armés actuellement par des passeurs, ils sont défendus par des marchands d’esclaves propriétaires de grandes entreprises influençant les pouvoirs publics, et ils sont cautionnés moralement par le vatican ! L’immigration de masse est et sera toujours une exploitation du pauvre par le riche, quelle que soit sa forme. En ne voyant que par le personnel, notre Eglise encourage des pauvretés dont Elle croit pouvoir vivre. C’est triste de résumer la foi à une pauvreté subie que nous soignerions et que nous encouragerions tout en même temps par l’immigration de masse, autre nom de l’esclavage des temps modernes. Un jour, cela nous sera reproché, à raison. Ce jeu est d’autant plus dangereux dans des sociétés en voie de déchristianisation, où des intérêts puissants tendent à maintenir le peuple dans l’asservissement, en le divisant par le mélange des croyances religieuses. Le diviseur, le diviseur, toujours lui.

Or ne voir que par la personne, est une attitude éminemment mariale, féminine pour le moins. Je m’interroge souvent sur la condamnation de Jésus de certaines villes (Matthieu 11 20-24). Comment Jésus peut-il condamner indistinctement des groupes humains, sans faire le tri entre les personnes ? Un début de réponse se situe là : la dimension nationale nous engage tous dans des directions, parfois désastreuses. Il faut penser la personne, certes. Mais il faut aussi penser le groupe. Leurs contradictions inhérentes nous font progresser vers plus de réflexion et plus d’humanité. Le pauvre niveau de la réflexion est toujours un synonyme de féminisation. Comme la brutalité est souvent un signe d’emprise masculine. Réflexions et émotions doivent marcher l’un avec l’autre, peut-être comme la raison et la foi si chères à Benoît XVI. Voilà pourquoi le niveau de notre réflexion n’est pas assez fort dans notre Eglise en ce moment, et pourquoi la dernière encyclique est d’un faible niveau intellectuel, même si le coeur y est. Elle est pour ainsi dire déséquilibrée.

De nos jours la féminisation des esprits a gagné. Et je pense que la dévotion mariale telle qu’elle est pratiquée, participe à un tel mouvement. Du coup, tout devient respect des personnes, personnes qui ne sont pas respectées à la fin. Combien de revendications pour la libération de la femme, se sont retournées contre elles. Combien de revendications sur l’immigration se retournent très souvent contre les immigrés. Nous, hommes conscients, sommes l’avenir du monde, non pas les féminisés. L’avenir du monde ne peut pas être confié à une démocratie molle et médiocre, indifférenciée, finalement totalitaire car féminisée. Le pouvoir et sa responsabilité, nous échoient. Et des contre-pouvoirs doivent être érigés face à notre propre pouvoir. De nos jours, nous subissons une éradication de la force masculine. C’est bête, inconséquent, irresponsable, et inadmissible. Un catholique n’est pas au pied de la croix. Il est sur la croix. Venez m’y rejoindre et ensemble, nettoyons l’excès d’émotions qui pollue nos lois, aussi bien politiques que spirituelles. 

5 réponses à “Le dogme marial en ce qu’il s’oppose de nos jours au dogme christique”


  1. Avatar de Léonidas Durandal

    Un catholicisme en déclin, un multiculturalisme en échec complet mais c'est un hasard si : 


  2. Avatar de Léonidas Durandal

    Magnifique élan mystique en direction de pacha mama. Qu'on ne se pose plus trop de questions  !

    "Marie Co-rédemptrice et médiatrice de toutes grâces : au fond, une évidence" RITV du 10/11/2025


  3. Avatar de Léonidas Durandal

    "Le Vatican met fin à la confusion : Marie n’est pas « co-rédemptrice » mais Mère du Peuple fidèle" tribune chrétienne du 04/11/2025.

    Même si c'est un bon début, je doute que cela suffise à nettoyer les écuries d'Augias. La foi mariale telle qu'elle s'est développée depuis plusieurs siècles est une matrice à fanatiques. 


  4. Avatar de Léonidas Durandal

    "Mater Dei Academy. En Irlande, une école catholique et classique défie le modèle éducatif dominant" breizh du 05/11/2025.

    Très étonnant d'appeler une école "mère de Dieu" quand il s'agit pour un enfant de grandir en s'éloignant de la mère, pour aller vers le Père. 


  5. Avatar de Léonidas Durandal

    "L’équipe de “La Résurrection du Christ” récite une prière de protection" RITV du 20/10/2025.

    Maintenant, on demande à Marie par Jésus. La traduction n'est peut-être pas très bonne, mais je ne suis plus sûr de rien dans ce climat. 


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