Je déteste la fripouille socialo-communiste. L’horrible mouton qui se dit libre, le notable pharisien qui se pose en défenseur du peuple, tandis qu’il est soucieux de ses intérêts. Notre monde crève de ses reniements face au Christ. Et Adrien Quatennens nous en a donné un bel exemple dernièrement.
Oh, cela n’a rien de personnel. Comment cela se pourrait-il d’ailleurs ? Le socialo communiste n’a pas d’identité propre. Il agit par instinct grégaire, même s’il s’en cache, même s’il affirme le contraire. Mônsieur dit défendre la liberté. Il n’en a pas un échantillon en poche. Comme avec l’égalité et la fraternité mon frère.
Vous pouvez prendre chacune de ces maximes, le socialo-communiste n’en respecte aucune. Libre, certainement pas. L’individu pour lui, doit se soumettre au groupe, c’est son fond de commerce. « Egalité », tant que cela lui profite. Et « fraternité », vous n’avez qu’à voir leurs emportements, la haine profonde de ceux-ci ou ceux-là, pour savoir à quel point ils se moquent du monde.
Seulement parfois les masques tombent. Comme avec le député Eric Raoult lorsqu’il a défendu la loi sur les violences conjugales puis qu’il en a été une des premières victimes. Qui se souvient d’Eric Raoult ? A me lire, combien de lecteurs le confondront avec Didier Raoult, qui depuis, l’a remplacé en termes de notoriété. Et pourtant, il était un des principaux acteurs politiques de son époque ! Comme lui, bientôt, personne ne se souviendra plus d’Adrien Quatennens, sauf peut-être grâce à mon article… Voici donc son histoire.
Adrien Quatennens, député d’extrême gauche, qui a vécu une séparation difficile, a cédé aux provocations de sa femme et lui a donné une bonne gifle. Or dans notre monde, il est interdit de frapper une salope. Lui-même le sait, puisqu’il a contribué à renforcer la loi sur les violences conjugales créé par ce même Eric Raoult.
Après ses déboires, Adrien pensait être tranquille un bon moment à son poste de député, histoire de se faire oublier et pouvoir rempiler par la suite. La vie ou plutôt Emmanuel Macron en a décidé autrement, en annonçant la dissolution anticipée de l’assemblée nationale. Voilà notre féministe obligé de mendier la réinvestiture de la nouvelle coalition de gauche à laquelle il appartient.
Je ne l’accuserais pas ici d’être une fripouille amorale qui se fout de la gueule du monde. Au contraire, je suis certain qu’Adrien est sincère. Il y croit. Mais c’est justement pour ça que je déteste les fripouilles socialo-communistes. Parce qu’elles se trompent, qu’elles engagent le monde à se tromper comme elles, et sont proprement incapables de se remettre en question.
Dans cette histoire particulière, Adrien n’a pas pris en compte ses sentiments. Il a juste compris qu’il avait mis une baffe à sa femme et que c’était forcément mal, puisqu’il était de gôche. Il n’a pas cherché la vérité. La vérité, c’est le parti qui la donne. Et le parti est féministe, alors le parti a raison. Pas question de mordre la main qui vous nourrit hein ?
Vous voyez dans la vie, il n’y a pas les hommes qui se trompent et ceux qui ont raison. Il y a les hommes qui se trompent et ceux qui se trompent puis changent parce qu’ils ont acquis de l’expérience. Suite à son divorce, Adrien Quatennens aurait dû comprendre que tout le discours féministe n’était que bull shit. Mais il n’en a rien fait.
Qu’une immense armée de crétins qui n’y a pas été confronté, puisse croire le féminisme, je peux l’accepter. L’ignorance est plus facilement excusable que le déni. Mais qu’une personne ayant été victime de l’idéologie féministe s’entête, là, ça devient difficile. Voilà pourtant ce qu’Adrien Quatennens a fait. Comme nombre de père divorcés vous me direz… Oui, et c’est bien justement le problème. Lorsque les victimes ne se lèvent pas, qui le fera ? Cela me rappelle ce journaliste communiste victime du goulag et qui justifiait cette idéologie après 20 ans d’emprisonnement. Le syndrome de stockholm dit-on… Ouaih. Disons plutôt qu’il est plus facile pour un imbécile d’accepter d’être tué que de changer d’avis.
Adrien n’a pas voulu se considérer comme victime du féminisme lui. Un homme victime, ça n’existe pas. Il a pris toute la culpabilité sur lui, tel un bouc émissaire de son groupe, comme si le Christ n’était jamais venu sur terre. Et ses amis gôchistes vont lui rappeler comment ça se terminait dans les sociétés anciennes.
Vous savez ce qu’est devenu Eric Raoult ? Non, bien entendu… Eh bien, je vais vous le dire. Lui-aussi, il a pris sur lui, jusqu’à crever à 65 ans d’une crise cardiaque, lâché et abandonné par tous à cause de la dénonciation pour violences conjugales qu’il avait subie. Abandonné de tous… sauf de celle qui l’avait accusé et qui était revenu sur ses accusations pour les minorer. Quelques articles ont été écrit sur lui pour parler de sa disparition et faire comme si nous ne l’oublierions jamais. Vous voyez le résultat.
Adrien Quatennens suit exactement le même chemin. Il n’a pas voulu se battre contre le mensonge. Le mensonge va l’emporter, impitoyablement. Telle est la loi de Dieu. Il a préféré la loi des hommes à la loi de Dieu, la loi des hommes ne l’excusera pas et va le traîner en enfer, ou plutôt devrais-je dire, le diable va le traîner en enfer parce qu’il l’a cru, en ne disant pas la vérité, en se soumettant à la loi mensongère du groupe, en n’ayant pas confessé son péché auprès d’un prêtre mais auprès de racailles. Conversion Adrien, conversion, tout est encore possible avant la fin.
Les mauvaises lois sont maudites. Elles entraînent les peuples vers l’abîme, mais aussi parfois, ceux qui les votent. Les lois sur les violences conjugales semblent particulièrement gratinées en la matière. Ceux qui les font voter s’en mangent les doigts. S’ils n’en ont pas été directement victimes, ils doivent filer doux, avec tous ceux qui y sont soumis.
Dernièrement, j’entendais un de ces sales gauchistes défendre l’euthanasie. Pour lui, il n’y aurait pas de débordements car nous pouvions faire confiance au brave travailleur de la santé, qui comme chacun le sait est honnête. Ce pauvre type qui ne vit que par le groupe, s’imaginait que des individus faibles, malades et en fin de vie, pourraient choisir librement l’euthanasie, mais aussi qu’il n’y aurait aucun professionnel de santé pour abuser de la loi (qu’est-ce que deviendrait le monde si les gens étaient méchants et qu’il fallait faire des lois contre ça !).
Les personnes comme Adrien Quatennens, tous les gauchistes, procèdent du même raisonnement. Ils vivent dans un monde où le groupe devrait être tout, mais où l’individu, comme par miracle y serait libre. Libre de ne pas réfléchir oui, comme durant le cirque covidien où nous avons très bien perçu quelle était leur conception de la liberté. A cette occasion et à d’autres, la ligne de démarcation apparaît nettement. Ce qui nous différencie les uns des autres, est la recherche de vérité, au-delà du mensonge et des intérêts personnels liés à la moutonnerie. Les gauchistes eux, se soumettent facilement à la loi du groupe. Ils en font leur vérité. Et à chaque fois qu’ils l’imposent, le monde sombre, parce que la vérité ignore tout des majorités oppressives. La vérité ne fait son nid qu’au sein d’un individu libre de penser, et capable de s’allier à d’autres. Il est donc catholique et de droite.
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