Depuis l’exploitation par Emmanuel Macron de l’épidémie de covid, le personnel politique a compris à quel point il pouvait prendre les électeurs pour des cons. Vous me direz, ils étaient déjà au courant. Cependant la réaction servile d’une majorité de Français pour l’occasion, leur a ouvert de nouvelles perspectives. Ainsi, le grand dîner de con de la démocratie française, auquel l’électeur est habituellement convié, a été agrémenté de nouveaux petits plats. Désormais, vous pouvez vous sustenter d’écologie qui pollue, d’anti-racisme raciste, ou de féminisme qui alimente les violences contre les femmes, au choix.
Ecologie, antiracisme, ou féminisme sont devenues des postures intellectuelles qui servent à berner l’électeur naïf, tout en alimentant des problèmes que le personnel politique n’a surtout pas intérêt à voir se résoudre.
Les écologistes de gauche qui ont été de grands cocus dans cette histoire, ils ne sont pas à une incohérence près (ce sont des humains qui sont en luttent contre l’humain), ont pourtant été les premiers à repérer qu’il y avait une couille de pangolin dans le pâté. Ils ont alors accusé les entreprises qui cherchaient à se redonner une bonne image grâce à l’écologie de pratiquer du « green washing ». Oh, ils n’auront pas été jusqu’à comprendre combien ce « green washing » était une sorte de lobbying gagnant qui avait fait progresser la société, l’entreprise capitaliste étant satan pour eux. Ils n’ont pas dénoncé non plus les premiers pratiquants de ce « green washing » à savoir les élus écologistes de gauche, et pour cause. Mais je peux leur reconnaître là un brin de lucidité.
Le bât blesse vraiment quand cette merveilleuse communication écologiste, finit par alimenter la corruption et le saccage de l’environnement, comme cela semble être le cas pour les éoliennes. Je ne m’étendrai pas sur un domaine qui sort du champ de mes compétences. Par contre, j’ai remarqué combien, dans un même mouvement hypocrite, les féministes avaient alimenté des problèmes qu’elles disaient combattre et combien elles en avaient profité :
Restait ces politiques dont les mensonges faisaient écho aux bonnes intentions de tout un peuple de pangolins. Dans mes émissions de radios, j’avais déjà abordé le cas du député Denis Baupin qui s’était travesti en femme avant d’être accusé d’agressions sexuelles :
Plus récemment, ce journaliste de gauche faisait la morale à Donald Trump, alors qu’il avait commis un inceste sur un de ses garçons :
Ou encore, un parangon de la gauche écologiste comme Nicolas Hulot était lui-aussi accusé d’agressions sexuelles.
Toutefois je n’avais jamais eu l’occasion de pincer moi-même un de ces politiques, la main dans le pot de confiture, avant qu’ils n’arrivent devant la justice.
Or voici que le mari de Valérie Pécresse vient de faire une déclaration étonnante pour soutenir sa femme à la présidentielle : « Et si ça veut dire (nda : que madame soit élue président de la république) que je dois supporter une grande part de la charge mentale du ménage et que c’est moi qui m’occupe des enfants et fais la cuisine, ça ne me pose aucun problème, au contraire »»
Dans un premier temps je me suis dit qu’ils pouvaient avoir adopté des enfants dernièrement et j’ai été vérifier. Leurs 3 enfants ont respectivement 18, 23 et 25 ans. J’espère pour eux qu’ils changent leurs couches tout seul et qu’ils savent aussi se préparer de la nourriture à cet âge. La charge mentale de monsieur en sera particulièrement réduite. Mais je suis mauvaise langue, monsieur va certainement être d’un grand soutien à madame au quotidien, surtout en matière de ménage, puisque malgré les dizaines de milliers d’euros qu’ils gagnent par mois, ils n’avaient surtout pas pensé qu’ils pouvaient employer une domestique chez eux, une ou plusieurs d’ailleurs, à moindre frais, en comparaison de l’immense bénéfice qu’ils recevaient de l’imposition. Non avant mon article, ils étaient comme tous ces braves cons d’électeurs de la classe moyenne et basse, où la femme est forcément exploitée par l’homme, et doit faire le ménage. Jusqu’à nous donner le bon exemple en ne faisant qu’un avec la serpilière. Tout un programme !
Le foutage de gueule est complet. Nous n’entendrons pas les féministes sur le sujet qui ont bien trop peur que leurs magouilles intellectuelles ne soient découvertes à l’occasion. Et nos deux tartuffes vont pouvoir arriver à l’élection présidentielle blancs comme neige, alimentant ainsi la machine féministe qui les aura fait élire.
Dans ce cas vous me direz, il suffirait juste que le dit électeur se mette à réfléchir pour s’apercevoir de l’ampleur de la tartuferie. Cependant, je ne me fais pas d’illusions, et les Pécresse aussi, sur le réflexe typique du pangolin féministe en ce genre d’occasions : « C’est pour la bonne cause ! » va-t-il se répéter pour y croire. Apparemment les pieux mensonges s’étendent désormais bien au-delà du cercle stricte de l’Église. Dès lors, vous pouvez être certain que ce couple d’abrutis va engranger pas mal de voix.
Juste un conseil à ce petit bourgeois centriste et féministe. Au lieu de vouloir s’approprier l’immense charge mentale de sa femme en matière de ménage et d’enfants, je trouverais plus urgent pour Jérôme Pécresse d’apprendre à sa dulcinée à compter. Il aurait fait polytechnique tout de même ! Mais on compte sur lui quand elle sera présidente pour combler les lacunes de sa femme, en dehors de tout sexisme bien entendu :
Problème : si une journée compte 365 jours par an (on simplifie pour la bonne cause) et si la France est le pays aux 246 fromages, y-a-t-il plus de fromages en France que de jours dans l’année ? Indice : il y a autant de jours dans l’année en France que partout ailleurs sur terre.
Autre problème qui revient un peu au même : « Quand on prend les électeurs pour des cons, à partir de quand devient-on soi-même con ? Et à partir de quand la connerie se propage de haut en bas ? »
Le niveau a vraiment baissé. C’était mieux avant.
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