Pour accéder au témoignage :
Octobre 2014, France Culture.
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On voit bien là à quel point cette société est devenue malade : On a une femme qui occupe « un poste à responsabilité » donner des leçons de courage, d’audace, de fermeté à des hommes écrasés par le féminisme. Comment ne pas voir le caractère absurde et grotesque de cette situation ? Par ailleurs, le beau discours de Catherine ressemble point pour point aux niaiseries bon enfant distillées par les dessins animés américains consensuels : Tu dois te battre avec courage, garder la foi, assumer ta part de responsabilité etc. On a l’impression d’assister à un véritable récital de bons sentiments totalement hors contexte, le genre de babillage général qui résoudra tous nos problèmes. Il faut savoir que les femmes de notre belle société féministe sont des expertes pour déblatérer des généralités et enfoncer des portes ouvertes pour se donner des airs de génies visionnaires. Il n’y avait qu’à écouter la logorrhée infecte de Clémentine AUTAIN dans le débat hier soir avec Zemmour et Attali; comment peut-on croire un seul instant que cette féministe névrosée, qui n’a pour seul atout que les projecteurs de nos journalistes complaisant, ai potassé à fond les problèmes relevant de la cupidité du monde de la finance avant de déblatérer son propos généraliste et consensuel ? Son intervention n’a fait que me dégoûter de ce débat télévisé (Ah, le fameux débat télévisé !!! Une tradition typiquement française pour ôter au peuple tout élan de contestation par cette catharsis moderne…) que je pensais intéressant à bien des égards, vu le pedigree des parties en présence. Leon DURANDAL, vous avez bien raison d’exclure les femmes de tout débat concernant le féminisme; car même celles qui se prétendent anti-féministes aiment être sous le feu des projecteurs; le renversement du féminisme ne viendra pas des femmes. Il y a toujours une hypocrisie latente à bien des égards dans tous les rapports qu’entretiennent les hommes et les femmes dans le monde d’aujourd’hui. Je le constate au bureau; pour discuter de la pluie et du beau temps avec une collègue de mon bureau, aucun soucis; on peut passer du temps en salle de pause, prendre le café, se détendre; mais dès l’instant où j’ai un service à lui demander, une question, un petit peu d’aide, on sent tout de suite que je dérange, alors que si elle me demande quelque chose, je l’aide car il s’agit avant tout de faire avancer le travail.Catherine, vous avez un poste à responsabilité, vous avez usurpé la place d’un homme, vous donnez en plus des leçons de courage à votre fils, avec ce ton bon enfant des dessins animés Walt Disney.J’espère qu’un jour, votre fils réalisera qu’on lui a menti depuis le début, que toute cette société n’est qu’une « image de synthèse » qui n’a pu se construire qu’avec une action consciente d’une minorité d’hommes de pouvoirs qui ont utilisés les femmes, leur naïveté, leur candeur, au service de l’accroissement des profits.Vous vous mentez à vous-même et vous mentez à votre fils; votre place même dans la société est un mensonge, dans une société où 80 % des SDF sont des hommes et où ces derniers se suicident 3 à 4 fois plus que les femmes. Osez leur donner des leçons de courage et tenir votre logorrhée hypocrite dans cette société où vous occupez sans passion des emplois que des hommes pourraient mieux faire que vous, juste parce que vous êtes une femme.
Mindstyle, je pense sincèrement qu’il faudrait changer d’entreprise. Ces bougresses non seulement vous font tourner en bourrique, mais sont en train de vous tuer à petit feu. A vous lire, on vous croirait les pieds au bord de la falaise. Quant à Leonidas Durandal, ayant eu le plaisir de vous lire sur un autre fil, je ne soupçonnais pas une telle amertume vis à vis de la gente féminine (les femmes ne se sont-elles pas tenues toujours en première ligne dans l’histoire de la Chrétienté ?, ne serait-ce qu’en premier lieu par la Sainte Mère). Ce n’est pas parce que dans certaines entreprises ou autres lieux il y a des contingents de dindes qu’il faut se comporter en vermisseaux et « faire du vinaigre ». Du courage !De l’audace !De la fermeté !Les femmes préfèrent les hommes qui se tiennent debout, et en particulier ceux qui savent prendre des responsabilités pas ceux qui pleurnichent.En baissant les bras vous faites le jeu des féministes, celles qui ont détourné le troupeau en leur racontant des mirages.Je suis une femme, je travaille « sur le terrain », je dirige et forme des équipes des deux sexes et intergénérationnelles. Je rencontre autant de difficultés dans les deux camps, que ce soient de la part de mes supérieurs, de mes collaborateurs ou de mes subordonnés. Mais c’est toujours avec les plus courageux, ceux qui savent se remettre en question, ceux qui n’abandonnent pas, ceux qui avancent, ceux qui mettent leur intelligence au service de la communauté … qu’on obtient de belles réussites.On est confronté à une société où toutes les valeurs ont été inversées et ce résultat a été possible parce nous nous sommes laissés mener tranquillement à l’abattoir. Mindstyle, je ne sais pas quel âge vous avez mais j’ai un fils et lorsqu’il m’interpelle sur des problèmes rencontrés dans son travail, je lui réponds … si ta cause est juste alors bats-toi, ne baisse pas les bras. Sache identifier ton problème, ne néglige pas ta part de responsabilités car elle te permettra de trouver la solution et relève toi.Et sachez aussi, qu’il y a dans le monde du travail des hommes qui « Adorent » être entourés de dindes (celles que vous décrivez), donc les femmes ne sont pas toujours responsables … il y a bien des types qui favorisent tout ça.
J’aimerais bien que vous ayez commencé par où vous venez de terminer, car au début, vous avez reproduit exactement le discours que nous dénonçons (culpabilisation, retour des responsabilités, manque de remise en question…). Il y a un problème général de remise en question de la part des femmes. Mindstyle peut difficilement changer de milieu parce que dans tous les milieux, c’est exactement la même chose. Nous avons eu des témoignages d’enseignants, d’infirmiers, de médecins, d’employés… c’est général. Le comportement féminin n’est pas soluble avec l’efficacité, en général, sauf quand les femmes sont en minorité, ou quand l’une de celle-là a eu beaucoup de respect pour son père. Sinon…. Il faudrait certes que nous soyons fort face à ces femmes, que nous nous imposions. Mais nous n’en avons pas l’habitude, nous n’avons pas envie de perdre notre énergie à cela, nous sommes moins forts que les femmes en matière de rouerie. Il faut le reconnaître : pour détruire ou contrôler psychologiquement un homme, il n’y a pas mieux qu’une femme. D’ailleurs même les femmes entre elles se font peur, et la plus salope d’entre elles l’emporte. Si celle qui l’emporte a quelques valeurs humaines, on peut encore s’en sortir car les autres vont se tenir à carreau. Sinon, c’est du n’importe quoi. Et en général, la plus conne d’entre toutes, est une sacrée garce, justement parce qu’elle est capable de tout, et que l’absence de règles morales lui donne du pouvoir (c’est l’inverse pour un homme). Et puis parlons un peu de la solidarité féminine. Face à un homme il faut dire, que quelque soit l’homme, les femmes s’allient contre lui. Un homme ne peut pas résister à une pression faite de plusieurs personnes dans son environnement professionnel. L’homme, je le répète, voit son travail à faire, et pas ces espèces de mesquineries qui le retardent. Ils ne les comprend pas, ne les accepte pas, elles le rebutent et l’énervent au plus haut point.
Vous voyez, vous avez un poste à responsabilité. Vous avez l’habitude de travailler avec des hommes et des femmes. Et pourtant, vous n’avez rien senti de tout cela. Pourquoi ? Parce que vous vous contrefoutez de la parole d’un homme, cela a toujours été le moindre de vos soucis, sinon vous comprendriez. Alors certes, nous sommes devenus faibles en tant qu’hommes. Mais pourquoi ? Le discours féminisé n’a-t-il pas promus la mixité, la pornographie, l’écrasement de la masculinité chez les petits garçons ? Et vous les femmes, n’avez vous pas éduqué vos fils en ce sens, la plupart du temps (respect de la femme, c’est quoi ce principe à la con, sinon un moyen de contrôle : car pourquoi respecter une femme qui se comporte comme une salope ?).
Voilà pourquoi en tout, je ne prends pas de contacts facebook de femmes, que je décourage les discussions avec les femmes ici, car toutes les discussions sont faussées. Nous avons d’abord besoin de nous retrouver entre hommes. Quant à votre fils, priez qu’il rencontre quelqu’un comme moi sur son chemin. C’est d’ailleurs marrant comment les femmes commencent à s’éveiller à l’intelligence quand elles imaginent que leur enfant pourrait être touché. Car heureusement, il y a encore quelques mères qui aiment leurs enfants. On leur demande simplement de voir un peu plus large. Il y a d’autres enfants que le leurs, d’autres à aider, et il serait bien que les femmes de notre société s’en aperçoivent, qu’elles sortent de leur égocentrisme.
Enfin, n’utilisez surtout pas la religion pour éviter de réfléchir. J’ai beaucoup d’admiration pour les saintes femmes et je ne vois pas ce qui vous permet de confondre des femmes qui ont tout donné à Dieu et d’autres qui se comportent comme les dernières des salopes (solidarité féminine dénoncée plus haut). Votre amalgame est scandaleux et à votre place je me ferais un devoir d’aller confesser ma manipulation sémantique auprès d’un prêtre catholique et convertir mon coeur le cas échéant.
PS : ici, je demande le vouvoiement pour des questions de respect. Commencez par vouvoyer Mindstyle, si vous voulez vraiment l’aider. Le respect et l’amour se confondent. Par contre, la familiarité cache une hypocrisie incroyable et féminisée que je refuse sur ce blog. Si vous vous manquez à votre prochaine intervention, je corrigerai donc votre copie.
Je ne culpabilise pas ce Monsieur, je lui dis que face à l’oppresseur on ne pleurniche pas, on est courageux, on se bat et si cela devient trop difficile alors on va voir ailleurs mais on ne se conduit pas en éternelle victime. Et arrêtez avec les femmes, avec vous soit elles sont des saintes soit des salopes. Elles ont du bien vous faire souffrir celles qui ont traversées votre existence. Et puis je n’ai jamais tutoyé Mindstyle, j’ai seulement repris une phrase que j’avais transmise lors d’un dialogue à mon fils (je tutoie mon fils). Et mon fils n’a pas besoin de rencontrer quelqu’un tel que vous, il a un père fort admirable pour le guider. Question aide, il vaudrait mieux mettre votre salive ou votre sémantique au service de ce Monsieur qui comme vous a bien du mal à faire face à la gente féminine que personnellement vous méprisez … vous devriez plutôt, vous, aller voir un prêtre catholique et vous confesser pour toute cette haine que vous avez en vous à l’égard des femmes avant d’en venir un jour à un geste irréversible. Ne vous donnez pas la peine de m’envoyer une réponse fielleuse, je ne reviendrai pas sur votre blog, vous êtes mûr pour conduire la secte de la pleurniche ! vous ne manquerez pas d’adeptes, il y en a un paquet qui ont perdu ce qui distingue les Hommes des Femmes.
Je vous répondrai encore dans l’espoir que vous cessiez d’adopter une attitude fermée de gamine immature et que vous assumiez un peu le débat. Car je suis très ouvert aux femmes, en tous cas, bien plus que vous avez l’air de l’être aux hommes (aux vrais je veux dire).
Si pour moi, il n’y aurait que les saintes ou les salopes, vous êtes encore moins nuancée : pour vous ce ne sont que des saintes ! Et puis cette manière de caricaturer, comme sur le fait qu’exprimer sa souffrance serait une forme d’infériorité. Au contraire, je crois qu’en décompressant à certains moments, on devient plus fort. Vous devriez le savoir en tant que femme. C’est très facile d’enfermer un homme dans ses sentiments en lui interdisant de les exprimer. Bravo la manipulation.
Vous continuez aussi dans la culpabilisation, je cite « Elles ont du bien vous faire souffrir celles qui ont traversées votre existence. » Mais qu’est-ce que c’est que ces accusations ?
Vous avez beaucoup de boulot humainement parlant. Arrêtez vos caricatures, et commencez à vous pencher sur vous, un tout petit peu. On vous dirait une de ces croyantes complètement névrosée. Prouvez-moi, par votre discours, que ce n’est pas le cas.
Effectivement, on n’entend que les femmes dans les bureaux; les hommes sont tellement absorbés par leur travail qu’ils n’ont pas de temps à perdre en babillages inutiles. C’est tellement drôle de les voir soulever quelques problèmes mineurs à voix haute pour montrer un semblant d’implication professionnelle… Ca m’a toujours sidéré à quel point leur voix sonne faux quand elles font semblant d’être absorbées par leur travail.Et effectivement, la séduction est la dernière carte à jouer quand tout le reste est à jeter à la poubelle. Aujourd’hui, je me demande s’il n’y a pas une corrélation entre féminisme et réduction progressive de la taille des logements dans les grandes villes; il n’y a que des femmes pour trouver agréable de vivre dans des clapiers avec des loyers totalement sur-évalués; il n’y a que des femmes pour dire : « Je ne paye que 700 € pour mon 20 m2 à Paris, j’ai vraiment fait une bonne affaire. » C’est à cause de ce féminisme gerbant que les propriétaires transforment des 2 ou 3 pièces en studios pour que ces demoiselles puissent se loger en compagnie de leur chat de merde, dans un studio de merde et végéter dans leur boulot de merde.Je les vois chaque matin dans le métro avec des poils de chat sur leur manteau, révélateur de cette compagnie féline qu’elles affectionnent tant, car quand on est totalement morte à l’intérieure, il n’y a plus qu’à s’en remettre à un animal pour substituer quelques dernières étincelles de vie au vide qui habite la femme occidentale moderne. Je me demande quelle est la proportion de femmes dans les studios parisiens; j’aimerai vraiment avoir des chiffres car je pense que là encore, il y a une inégalité passée sous silence dans l’accès au logement selon que l’on soit un homme seul ou une femme seule.
Complètement d’accord Mindstyle, il y a quelques années j’étais aux beaux arts et force et de constater qu’elles n’en branlaient pas une, juste satisfaite d’évoluer dans le milieu de « l’Art » avec le prétendu prestige qui s’y rattache sans comprendre réellement ce qu’elles faisaient là. Aucune passion , aucune vision, juste des singeries scolaires de ce qui avait été déjà fait 50 ans avant et pourtant le ministère de la culture faisait tout, absolument tout, pour ne mettre en avant que ces « artistes » femmes.
Par contre, ce sont des championnes pour cacher leur nullité et jouer sur la séduction le cas échéant. Pitoyable.
Mindstyle, exactement !J’ajoute que c’est difficilement supportable de travailler en groupe avec de telles femmes. Elles ne comprennent pas qui est le chef et à quelle autorité elle doivent obéir : elles coupent la parole, elles parlent pour ne rien dire, y compris aux supérieurs. Quant aux hommes qui ont le malheur de travailler sous leur ordre, elles sont particulièrement fortes pour trouver le mot qui casse, et saper toute autorité. Quant aux conversations de café, tout tourne plus ou moins autour du sexe. Quand vous marier le sexe et le sape de l’autorité, vous avez des femmes qui font des allusions sur l’homosexualité, pour castrer ces hommes qui travaillent sous leur ordre. Cette idéologie engendre des monstres, qu’aucun enfant voudrait pour mère, aucun mari, pour épouse ! sauf les hommes féministes.
Au bureau, il n’y a que les femmes qui ne font que se plaindre : « Vivement le week-end… » « Oh la la… Ca ne passe pas vite ce matin » et toutes ces expressions déprimantes sont l’apanage des femmes. Le pire est qu’elles nous jalousent pour notre propension à être passionnés, animés par ce qu’on fait. Je travaille dans un bureau, et je suis écoeuré par le fait que les femmes expulsent petit à petit les hommes du marché du travail, pour ensuite se plaindre alors qu’elles ont des places correctes, voire des planques où on ne fout pas grand chose; paradoxalement, ce sont celles qui en font le moins qui se plaignent le plus.Chaque jours qui passe, cette société féminisée et son grotesque me sortent de plus en plus par les yeux. Mais ce ne sont pas les femmes qui sont à blâmer dans cette histoire. Leur nature naïve, crédule, leur propension à ne pas raisonner de manière logique sont les faiblesses qui ont été exploitées par la classe dirigeante pour faire pression sur les salaires via l’accroissement du chômage. Quand je prends le métro le matin, je suis abasourdi par la proportion hallucinante de femmes qui vont végéter sans passion dans leur boulot de merde, ou plutôt le boulot qu’elles considèrent comme tel car c’est juste un « filet de sécurité ». Oui, la plupart des femmes ne savent pas vraiment ce qu’elles veulent faire de leur vie, car elles n’ont pas la passion, la férocité, l’étincelle qui va leur permettre de se dévouer corps et âme à un projet auquel elles pourront donner du sens. Otto Weininger dans « Sexe et Caractère » explique très bien cela, dans la mesure où pour un homme, le déroulement de sa vie forme un tout cohérent, une unicité et que chaque parcelle de sa vie se rattache à ce tout et que par conséquent, il attache de la valeur à tout ce qui s’y rapporte. La femme quand à elle a une vie « morcelée », essentiellement composée d’instants qu’elle n’inscrit pas dans une histoire, un destin personnel. C’est ce qui explique les parcours chaotiques de bon nombre de femmes diplômées qui veulent faire un coup de l’humanitaire, pour ensuite s’orienter vers la danse avant de reprendre des études en archéologie pour finir dans une école de commerce. J’ai vu trop de ces exemples au cours de mon existence pour ne pas considérer Weininger comme un véritable génie qui a su percer l’essence de la femme et citer les raisons pour lesquelles le féminisme est une vaste supercherie. Aujourd’hui, j’ai désormais du mal à vivre dans une société où tout n’est que mensonge. Mensonge à l’école où 80 % du personnel enseignant est féminisé (largement 99 % en crèche), mensonge dans les entreprises où les femmes expulsent les hommes des places qui sont censées leur revenir…Chaque jour je constate et fais les frais de ce féminisme puant qui doit être anéanti et dont l’idée même, le mot devrait finir aux oubliettes de l’histoire. Il ne se passe pas une semaine sans qu’une de mes collègues de travail remette en cause le sens que je donne à mon travail, cherche à me démotiver, ne comprenne pas que j’ai choisi ce métier et ue je souhaite y développer une réelle expertise. Il faut que ça s’arrête; et vite. Le plus vite possible mais j’attends avec impatience le grand naufrage, la table rase à partir de laquelle on pourra tout redémarrer et enfin garder les leçons du passé pour ne plus reproduire l’erreur, le féminisme qui finalement n’est qu’une sorte de « bug » de l’Histoire.
Elles font des remarques et sont incompétentes au possible.
Je voulais bien entendu dire que les femmes en retournant auprès de leur rejeton et en cherchant à aménager temps de travail et vie familiale, ont compris les ficelles de l’ « émancipation » des femmes au travail.
@ALexandre En réalité le capitalisme à l’instar des immigrés qui a servi à jauger les salaires à la baisse – car la génération baby-boomer avait connu une hausse des salaires tandisque les entreprises connurent une certaine baisse ou stabilité des profits – mais il s’est avéré que celà n’a pas suffi, malgré la tentative désespéré du patronat d’importer de la main d’œuvre étrangère. C’est pourquoi il a fait appel à sa botte secrète : le travail des femmes.Au fond les femmes ont compris – pas toute il est évident – qu’elles ont été dupé dans l’histoire, en voyant que ce sont elles qui occupent le plus les temps partiels et retournent parfois au foyer après leur premier enfant. Ça c’était avant le partage des tâches et tout ce qui a servi d’aliénation aussi bien des hommes que des femmes jusqu’à aujourd’hui.
Perso, je pense qu’elles ne s’en aperçoivent pas du tout. J’en entend tellement dire que c’est même mieux qu’avant ! Les cruches.
Quelle vie de merde en effet..Il est beau l’idéal de l’émancipation par le travail ahaha! Le pire c’est qu’elles entrainent le reste de la société avec elles dans ce schéma merdique même si, à l’origine, elles n’avaient rien demandé… Ne pas oublier, en effet, que le féminisme est une invention d’hommes, plus précisémment de capitalistes financiers (Rothschild and co…) à laquelle elles ont adhéré frénétiquement au point de croire qu’il incarnerait l’horizon indépassable de « l’évolution » de « l’éspèce ». Le problème maintenant, pour elles, c’est d’admettre qu’elles se sont faites mener en bateau par un système. Cette escalade d’engagement fera que même au milieu de l’océan, sur un radeau, seules et perdues, elles continueront inlassablement de brandir leur dipômes, leur revendications salariales, leur droit à jouir librement (par le clito) , leur droit à enfanter seules à 42 balais, bref leur droit d’achever cette société pour de bon.
C’est quo l’intérêt ? J’ai du mal saisir…
Je ne comprends pas votre question.
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