Pour accéder au témoignage :
Octobre 2014, France Culture.
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Léonidas Durandal, j’aime bien ton travail critique sur le féminisme. Cela dit, j’ai l’impression à te lire, parfois, que tu tombe dans l’essentialisme au sujet des femmes, et que visiblement tu sembles avoir souffert, beaucoup, ou que sais-je, à cause des femmes ou d’une femme. Ce que je veux dire, c’est que tu généralises trop. C’est vrai que les femmes, comme les hommes, ont des particularités psychologiques qu’on peut identifier chez une majorité d’entre elles assez souvent, mais on ne peut pas oublier ou passer sous silence, constamment, toutes celles qui dérogent à la règle, ou qui s’en écartent raisonnablement. L’exemple du travail au bureau. Je suis désolé j’en connais au moins deux qui sont très efficaces, et surpassent les hommes. A te lire, elles sont toutes des cruches finies! Bordel, y a jamais une femme dans ta vie qui t’a transmis une bonne image des femmes ? Bref, je fait partie de ceux pour qui, parfois, les positions radicales, qui simplifient les choses en fait, produisent l’inverse de l’effet recherché, à savoir me convaincre. Toi tu voies une cruche chez Alice, certes on peut être d’accord et encore ça peut se discuter. Mais moi je vois surtout une victime du système, un être dépassé par tout ça. Les gens sont ce qu’on fait d’eux. Si autant de filles sont des cruches, c’est parce qu’on a beaucoup fait pour qu’elle soient ainsi. Mais je t’apprends rien avec ça. Tout ça pour dire que je sens parfois dans ton discours, la rancœur, une révolte de l’homme qui a souffert des femme. Cela dit, c’est pas surprenant, parce qu’il faut un certain vécu pour faire le travail que tu fais, je vois pas comment on pourrait traiter que de ce sujet, avec tout le travail que ça implique, sans une certaine obsession au sujet des femmes découlant d’un vécu personnel.
@eric J’ai trouvé votre commentaire interessant alors je me suis permis de le réécrire en inversant hommes et femmes:
Madame, j’aime bien votre travail apologetique sur le féminisme.
Cela dit, j’ai l’impression à vous lire, parfois, que vous tombez dans l’essentialisme au sujet des hommes, et que visiblement vous semblez avoir souffert, beaucoup, ou que sais-je, à cause des hommes ou d’un homme.
Ce que je veux dire, c’est que vous généralisez trop.
C’est vrai que les hommes, comme les femmes, ont des particularités psychologiques qu’on peut identifier chez une majorité d’entre eux assez souvent, mais on ne peut pas oublier ou passer sous silence, constamment, toutes ceux qui dérogent à la règle, ou qui s’en écartent raisonnablement.
L’exemple du travail à la maison. Je suis désolé j’en connais au moins deux qui sont très efficaces, et surpassent les femmes. A vous lire, ils sont toutes des incapables finis! Bordel, y a jamais un homme dans ta vie qui t’a transmis une bonne image des hommes ? Bref, je fait partie de ceux pour qui, parfois, les positions radicales, qui simplifient les choses en fait, produisent l’inverse de l’effet recherché, à savoir me convaincre. Vous voyez un idiot chez Adrien, certes on peut être d’accord et encore ça peut se discuter.
Mais moi je vois surtout une victime du système, un être dépassé par tout ça. Les gens sont ce qu’on fait d’eux. Si autant d’hommes sont des machos/mysogynes, c’est parce qu’on a beaucoup fait pour qu’ils soient ainsi. Mais je ne vous apprends rien avec ça. Tout ça pour dire que je sens parfois dans votre discours, la rancœur, une révolte de la femme qui a souffert des hommes. Cela dit, c’est pas surprenant, parce qu’il faut un certain vécu pour faire le travail que vous faites, je vois pas comment on pourrait traiter que de ce sujet, avec tout le travail que ça implique, sans une certaine obsession au sujet des hommes découlant d’un vécu personnel.
Vous parlez des particularité psychologiques de femmes, Est-ce que vous pouvez nous citer quelques exemples?
Au passage quand vous dites « Bordel, y a jamais une femme dans ta vie qui t’a transmis une bonne image des femmes ? » Vous parlez de généraliser à partir d’un exemple positif, ce qui n’est pas plus correct qu’à partir d’un exemple négatif.
C’est vrai que c’est plutôt laid une femme qui tire la tronche. A un moment j’avais pensé que c’était une fronde contre la concupiscence des hommes, étant donné qu’elles se plaignent -presque pour tout et n’importe quoi en fait – des « harcèlements » de rue.Ce qui m’amuse encore est quand on voit des femmes habillées très légère et le casque audio dans les oreilles façon autistes comme si elles fuyaient la concupiscence des hommes. Car en effet on ne peut s’habiller n’importe comment n’importe où sans susciter au moins des regards enthousiastes et/ou désapprobateurs que ce soit pour une femme « libre » ou une femme voilée façon Arabie Saoudite.Je préfère encore que le voile soit interdit tandis que les tenues aguichantes (jupe ou short hyper-court(e) et nombril à l’air ) soient bannis dans l’espace public autres que les endroits prévus à cet effet. Je pense que c’est la seule façon de régler le problème.
@Mindstyle : »Non, la vie n’est pas faite que de voyages, de rencontres, de surprises, d’amour et de bons sentiments bien baveux comme on peut le voir dans les comédie américaines ». Ce qui est marrant c’est qu’elles partent avec ce genre de présupposés pour au final se contenter d’aligner des laborieusement des « briques » comme le souligne Durandal dans la vidéo. Leur vie n’est qu’une pauvre partie de Tetris sans but. L’écart entre le modèle est la réalité fait tellement mal et la prise de conscience tellement tardive( vers 40 ans lorsqu’elles sont périmées sur le marché matrimonial ) qu’elles tirent effectivement des tronches de 3m de long dans le métro, c’est pathétique. Heureusement qu’elles peuvent rêver à des vacances à l’autre bout du monde où des miséreux accepteront encore de les tirer moyennant rétribution: https://www.youtube.com/watch?v=oE8mRLWdDH4
J’ai oublié de souligner la futilité horrible qui les accompagne. Ca c’est moche.
Il n’y a qu’à voir la tronche qu’elles tirent le matin dans le métro, comme si elles s’apercevaient chaque jour qu’on leur a menti depuis le début. Cette hostilité provient du fait qu’elles ne supportent pas que nous ayons l’air plus à l’aise qu’elles dans le monde professionnel, tout simplement. Nous n’avons pas à simuler une implication professionnelle car nous sommes entièrement dévoués à notre tâche, alors que pour la plupart, elles n’ont jamais vraiment choisi leur orientation se contentant de faire « une école de commerce » au lieu de choisir un métier. Tout cela n’aurait pas été possible sans une Education Nationale complaisante qui encourage la médiocrité et l’adhésion au consensus. Toutes ces pauvres femmes se sont fait voler leur vie, leur destinée, leurs rêves; on leur a substitué une autre réalité, d’autres aspirations et quand elles se réveillent, il est malheureusement trop tard.Non, la vie n’est pas faite que de voyages, de rencontres, de surprises, d’amour et de bons sentiments bien baveux comme on peut le voir dans les comédie américaines. La vie, c’est la guerre de tous contre tous. La vie de chacun est solitaire, misérable, cruelle, animale et brève. Le Léviathan – HOBBES.
C’est là où l’on voit toute l’immaturité de ces femmes hélàs bien trop nombreuses, malgré l’idéalisation inévitable que nous faisons de ces autres moitiés de l’humanité. Car en pratique j’observe également quelque chose de maussade, d’hostile que je n’arrive pas à expliquer chez les femmes, notamment dans le monde professionnel. Ne sentez-vous pas cette froideur d’âme de l’ intellectuelle des bureaux ? Ces femmes-là seraient elles capables un jour d’apporter douceur, sérénité et réconfort à celui qui cherchera coûte que coûte à se débrouiller pour ne pas perdre cette précieuse ? Pourquoi je remarque que les femmes dans le milieu professionnel sont celles qui fument le plus ? Serait-ce du stress, du désarroi, de la mélancolie ou de l’anxiété? Ou simplement un mélange de plusieurs ou la totalité de ces ingrédients ?
Avec la relation amoureuse vient forcément l’enfant. Cet enfant aura besoin d’amour, de sécurité matérielle et affective. Aujourd’hui, on se demande pourquoi les femmes font des enfants, si c’est pour confier à la nounou ou à la crèche ou quasiment tout le personnel est féminisé (Oups, pas de chance pour les petits garçon… Qui n’auront que l’influence des femmes pour se développer…) Il faudrait leur demander; j’ai déjà posé la question à une de ces femmes qui fait des études et veut un métier stable pour la « sécurité »; elle m’a regardé avec un regard emprunt de perplexité, sans vraiment savoir quoi dire… Comme si elle n’avait jamais pris la peine de réfléchir à son projet de maternité, comme si en fin de compte, être mère, c’est accoucher et confier les enfants à l’institution étatique féminisée.
C’est cela. Le niveau est tellement bas. Une des premières interventions sur l’article était d’ailleurs celle qui semblait être l’incompréhension d’un homme. Si ils/elles n’arrivent même pas à comprendre l’absurdité de leurs vies quand on la leur expose clairement…… Ils pourraient tout au moins s’interroger. Mais rien… silence radio. Le petit confort d’une série télévisée pour terminer la soirée, une masturbation et vivement l’hypothétique prince charmant qui fera tout à leur place.
@alexandre Selon moi, cette question relève surtout de sa propre conception du caractère féminin. Que recherche un homme chez une femme? A l’inverse de la soupe populaire emprunt de mièvre romance, l’homme ne recherche pas une âme sœur, il recherche une assistante. Si la déconstruction programmée du féminisme doit se faire par la complicité évidente des femmes, c’est uniquement en qualité d’assistantes qu’elles doivent intervenir. Elles doivent comprendre et intégrer le fait que la reconstitution d’une société saine ne peut se dessiner que par la délégation préalable du sceptre au genre masculin, et non pas par l’intermédiaire de considérations égalitaristes. Lorsque les femmes demanderont aux hommes d’être ce qu’ils sont, et pas ce qu’elles voudraient qu’ils soient, les hommes « acquis à la cause féministe » s’oblitéreront et les deux genres envisageront la construction d’une communauté de destin.
Les femmes vraiment anti-féministes, voudraient déjà que nous assumions notre rôle. Ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Le débat est pour dans très très longtemps à mon avis. Il faudrait déjà que nous sortions la tête de l’eau en tant qu’hommes.
@Catherine « Ne vous donnez pas la peine de m’envoyer une réponse fielleuse, je ne reviendrai pas sur votre blog, vous êtes mûr pour conduire la secte de la pleurniche ! vous ne manquerez pas d’adeptes, il y en a un paquet qui ont perdu ce qui distingue les Hommes des Femmes. »La secte de la pleurniche? Pourtant, ce n’est pas nous qui avons été obligés de noircir le champs de l’histoire en perpétuant le mythe d’une société plurimillénaire misandre et oppressive envers la gente masculine. Ce n’est pas nous qui avons été obligés d’embrigader une civilisation entière dans une idéologie victimaire visant à culpabiliser les femmes de crimes qu’elles n’ont jamais commis. Ce n’est pas nous non plus qui nous sommes plaints de s’être fait inhiber, de n’avoir jamais pu exprimer un potentiel fantasmé, pour ensuite produire exclusivement de la merde quand la société nous a autorisé à investir tous les champs culturels et artistiques. Madame, vous vous présentez comme opposée au féminisme alors même que toute la prétention qui vous caractérise est son dû. Vous ne respectez pas les hommes, vous leur avez extorqué leur place, et vous les culpabilisez d’être les partisans de leur propre misère. Félicitations, vous êtes une féministe accomplie. Pour le reste, Mindstyle et Léonidas ont tout dit.
La question qui est ici soulevée me pose problème. Doit-on formuler des alternatives avec l’aide des femmes, quitte à s’embarquer dans des discussions ou chacun défends son nonosse ou doit-on lutter contre le féminisme sans intéragir avec les femmes…or si nous n’intéragissons pas la contre attaque idéologique demeurera stérile. Je rappellerais en outre que le féminisme a existé avec le concours ( inconscient…) des hommes donc sa déconstruction devrait se faire avec le concours des femmes. Si on part du principe qu’une terre perdue n’est jamais rendue mais qu’elle est à reconquérir c’est en fait face aux femmes qu’il faudra exister, pas uniquement dans des cercles d’hommes acquis à la cause antiféministe. Dans ma vie de tous les jours il m’arrive d’avoir des échanges très intéressants avec des femmes qui reconnaissent au bout d’un certain temps que le féminisme est un projet complétement déséquilibré et excluant, rien que le mot est absurde: féministe, comme capitaliste ou socialiste… pourquoi pas enfantiste ou senioriste… J’ajouterai que ces femmes plus promptes à la discussion sont plutôt jeunes et non parisiennes; la cristallisation féministe étant plus répandue chez les femmes de plus de 35 ans qui sont bornées comme tout cramponnées qu’elles sont à leur chat débile et leur 20m2 à 700 euros;)
Je pense que Catherine est une de ces nombreuses femmes qui ne supportent pas que les quelques hommes qui n’ont pas cru au mensonge féministe puissent respirer dans le dernier espace de liberté que représente ce blog. Il faut toujours qu’elles cherchent à tout détruire, ne supportant pas qu’une minorité d’hommes puissent remettre en question par le discours leur « liberté » d femme chèrement acquise. Vous avez remarqué comme moi l’élévation du ton de son dernier message; la bête sort ses griffes mais elle l’a fait plus tôt que je ne l’aurai escompté; a travers cette femme, c’est le féminisme qui a parlé. Cette idéologie prend possession des femmes, et ne vit que pour elle-même. Le féminisme est un mot qui doit sortir du dictionnaire, il ne devrait plus être pensé, ni prononcé, car même les femmes qui se prétendent « anti-féministes » surfent sur cette vague afin d’imposer une autre sorte de féminisme. Ainsi nous ne serions que de pauvres pleurnichards incapables d’aller de l’avant et d’affronter la vie avec courage. Mais Chère Madame, quel courage avez vous eu si ce n’est celui d’être une femme et d’être en tant que femme la personne « à la mode » que l’on peut placer à un poste à responsabilité dans notre belle société féministe ? Quel sorte de père est votre mari ? Est-ce le « papa-poule » typiquement français, adepte du consensus qui opine du chef systématiquement quand vous dîtes « On a beaucoup aimé ce film, c’était très bien ! » et ce même si le film en question était un véritable navet ? Vous feriez mieux de ne plus répondre sur ce blog car vous n’êtes définitivement plus la bienvenue ici car nous n’avons aucune leçon à recevoir d’une femme; nous ne sommes pas vos subordonnés, ni vos élèves; et nous rabaisser de manière subtile en nous donnant des leçon de « courage » et autres généralités Walt-Disneysque ne nous fera pas changer d’opinion quand à cette idéologie grotesque qu’est le féminisme. Le féminisme est mort; il est à l’agonie. Et je continuerai à dénoncer cette absurdité; propulser des femmes à des postes de journalistes ou des postes à responsabilité dans les entreprises ne fera qu’accélérer la faillite de tout ce système; et je me délecterai de l’effondrement qui s’ensuivra; tout cela sera très intéressant à observer et je suis impatient d’assister à cette débâcle.
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