Pour accéder au témoignage :
Octobre 2014, France Culture.
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« Mourir pour donner la vie », famille chrétienne du 03/09/2012.
Un choix à l’exact opposé de l’indépendance féministe…
« Allocations familiales, le témoignage choc d’une mère de 4 enfants », ndf.fr du 27/10/2014
Là où une mère de 4 enfants qui gagne 4000 euros net par mois soit 1000 euros de plus que son mari, nous explique qu’ils ont du mal à s’en sortir avec leurs 7000 euros par mois. Franchement, si c’était pour en arriver là, les femmes auraient mieux fait de ne pas pourrir le milieu salarié.
Eric a dit
» Les gens sont ce qu’on fait d’eux. Si autant de filles sont des cruches, c’est parce qu’on a beaucoup fait pour qu’elle soient ainsi. »
faux et vrai; les femmes sont excusées pour ce qu’elles sont ou sont devenues, nous en tant qu’hommes, ne recevons jamais ni excuses ni compassion
Voilà où on en est si on a jamais été plus haut. Sauf qu’avant, l’homme avait le droit d’utiliser la légitime défense. Aujourd’hui, ce droit lui a été enlevé par la société :
@Observateur : Au contraire, les « machos » tant décriés aujourd’hui respectaient leur mère comme jamais. C’est le fait de s’extirper du carcan maternel qui forge un homme, pas celui de répudier sa mère. 🙂
Je suis tout à fait d(‘accord avec vosu sur le lien qui existe entre machisme et quasi culte de la Mama.
D’un certain point de vue, on peut considérer que s’extirper du carcan maternel est une répudiation partielle.
Est-ce que vous pouvez me préciser quelle différence vous faites entre s’extirper du carcan maternel et répudier sa mère?
Faux. La mère n’est jamais une femme comme les autres pour ses enfants, c’est ce qui fonde le tabou de l’inceste mon ami.
Mon propos était visiblement mal formulé.
Quand je disais une femme comme les autres ce n’est pas que l’enfant peut la considérer comme une partenaire sexuelle potentielle mais savoir que tous les comportements manipulateurs qu’une femme peut avoir vis à vis d’un homme, la mère les a vis à vis du père de l’enfant (et parfois vis a vis de ses enfants).
L’homme qui idéalise sa mère va également idéaliser sa femme et l’idéalisation de sa femme va lui poser des gros problèmes de couple voire le mettre en danger lui et ses enfants.
Apprendre a voir sa mère pour ce qu’elle est n’est pas la renier, c’est juste accepter la réalité.
@EricJe vous comprends et j’approuve tout à fait votre message (surtout le dernier)Mais la généralisation est le propre de l’être humain sous coup de la colère, et non du raisonnement(C’est quand même un peu plus glamour que de dire « les femmes sont toutes des p….ns sauf maman. »). Ce qui le rend effectivement caduque d’un point de vue scientifique. Leonidas a probablement ses raisons pour justement généraliser. Sans doute pour provoquer les débats et apporter un peu plus de vernis à ce site et démontrer que nous sommes ouverts à tout autre point de vue, pourvu qu’il soit exposé dans le calme, l’honnêteté, la courtoisie et surtout pas dans l’insulte ou le sophisme le plus primaire. Et c’est tant mieux qu’il y ait des intervenants qui ne partage pas totalement nos points de vue. Ne dit-on pas « tous les arabes sont des voleurs » parce que certains dégradent l’image de l’arabe, celui-là même qui il fut un temps était savant, philosophe, poète … et que c’est manifestement ces derniers qui en prennent pour leur grade à cause de la manipulation de certains.Mais force est de constater que bon nombre de gens ont tendance à constater que quelque chose de malsain est en train de se passer chez le gente féminine. Tous ne sont pas parvenus à expliquer pourquoi. Le féminisme est le premier coupable. Mais en réalité, je pense que le fait que la femme soit devenu ce qu’elle est n’implique pas totalement le féminisme, puisqu’il a été lui-même utilisé par les politiciens pour gagner plus d’électeurs, les libéraux pour gagner plus de profits, les multinationales pour augmenter la demande et par conséquent le chômage, puisque les entreprises ne sont pas dans la logique du « embaucher plus » et encore moins actuellement. N’avez-vous pas remarqué que l’augmentation de la pression pour embaucher des femmes était synchronisée avec l’augmentation du chômage ?Observez les hommes autour de vous, n’avez-vous pas remarqué ce malaise social envers les femmes ? N’avez-vous pas vu que les femmes ne sont plus (toutes) les personnalités désirables dont les hommes n’ont cessé d’en faire des poésies, des contes, des romans pour le bonheur de l’association de nos différences. Ne voyez-vous pas que l’augmentation du divorce concorde précisément au moment même où la femme moderne s’est progressivement muté en quelque chose d’immonde, de vulgaire, de laid.
Je me permets de rebondir sur votre commentaire.
Vous avez ecrit:
« les femmes sont toutes des p….ns sauf maman. »
Je crois que le passage à l’âge adulte affectif d’un homme correspond au moment où il prend conscience que sa mère est une femme comme les autres.
Ce qui est surprenant, c’est de voir à quel point les mass-médias dépeignent les femmes comme des êtres tendres, sensibles, infiniment capables d’amour; il n’y a qu’à voir les films de Walt Disney pour s’en convaincre alors que la réalité est tout autre. Je pense que cet écart entre notre fausse image de la femme et la réalité est ce qui engendre le plus des désillusions et beaucoup de femmes jouent là-dessus en s’appuyant sur les faiblesse des hommes qui ont été totalement hypnotisés par les mass-médias.
De plus en plus, je crois que les femmes sont aussi dans l’irréalité. Regardez Nathalie Portman qui déclare qu’elle a découvert que la maternité c’était du travail après avoir accouché, qui légitime la famille traditionnelle, le journaliste lui faisant dire qu’elle est quand même féministe à la fin de l’article ! (on est rassuré !)
« Nathalie Portman : je pensais qu’être maman n’était pas du travail. » L’Express du 01/10/2013.
Et elle a de l’argent pour être soulagée… Non c’est vraiment du n’importe quoi ces femmes « modernes », la prestidigitation féministe dans toute sa splendeur.
Une bobo découvre la vie familiale, ses impératifs et la concurrence avec les plus jeunes à l’âge bien tassé de 40 ans….
« Nely Allard : prends garde à toi. », L’Express du 17/09/2013
@Eric, je ne pense pas que Durandal généralise à partir d’un cas particulier. Il a déjà très largement étayé son propos au fil des nombreuse études statistiques, commentaires d’actualités et autres analyses de vidéo qu’il est le seul à réaliser aujourd’hui en France. Il s’agit plutôt, concernant cette vidéo, de s’appuyer sur un exemple. Je vous invite à prendre le temps de parcourir son blog, cela vaut le coup. S’agissant de sa prétendue dureté envers les femmes, elle n’est qu’un retour de bâton face à une société infiniment plus dure avec les hommes. Mais vous avez peut-être durablement intégré l’idée qu’il fallait toujours être doux avec les femmes, car, c’est bien connu, ce ne sont que des anges inoffensifs…
Non, je ne parle pas de généraliser à partir d’un exemple positif. C’est ici qu’on à tendance à le faire au sujet des femmes. J’imagine que c’est plus pratique parce que c’est un peu fastidieux de toujours faire dans la finesse, d’autant plus que ce blog parle surtout d’un certain type de femme. Mais l’impression que ça me donne c’est que parfois on tombe dans la misogynie basique, ce qui ne correspond pas aux exigences de sérieux du site, aussi bien dans l’analyse que dans l’orthographe, ou le fait de bloquer Firefox par exigence de droiture vis à vis de certaines de leur postures. Bref, je signale juste ça, mon impression voilà tout. A part ça je trouve le site et les vidéos très intéressants et j’aime bien venir de temps en temps, d’ailleurs je suis tout ça sur Facebook. C’est un bon travail, même si je pense que parfois Léonidas est un peu dur avec le femmes en général et que j’ai l’impression qu’il a du en baver un peu dans son expérience personnelle. Cela dit, encore une foi, je suis souvent assez d’accord avec le propos et les féministes occidentales m’agacent aussi. Pour les exemples de lignes de force de la psychologie féminine, je dirais que les femmes ont tendance à ramener leur raisonnement vers le sentimentalisme par exemple, qu’elles sont moins créatrices que les hommes, qu’elles cherchent moins la confrontation directe, le pouvoir, et bien d’autres choses que ce blog étudie en long et en large.
Quand vous avez écrit « n’y a-t-il pas une femme (cas unique) dans ta vie qui t’a transmis une bonne image des femmes (cas général) » vous êtes dans une logique de généralisation.
C’est à dire que vous vous dites que si une femme a pu être bonne avec Leonidas alors il devait se dire que toutes les femmes ont quelque chose de bon en elle ou au moins partir avec un a priori positif sur les femmes.
Donc je ne fait que constater a partir de ce que vous avez écrit que dans votre tête les généralisations sur les femmes sont acceptables du moment qu’elles sont positives.
Après il faudrait peut être définir ce que c’est qu’une généralisation à la base.
Je distingue deux catégories de généralisations: les généralisations logiques et les généralisations rhétoriques.
Nous vivons dans un monde dans lequel les mêmes causes produisent les mêmes effets.
L’exercice intellectuel de généralisation logique consiste donc à reconnaitre une similarité de cause entre des situations variées pour en conclure une similarité d’effets.
Sans généralisation pas de science.
La généralisation logique doit être reconnue différente de la généralisation rhétorique.
La généralisation rhétorique consiste à choisir délibérément un sous groupe d’une population en fonction de critères positifs ou négatif et assimiler l’ensemble du groupe à ce sous-groupe.
La généralisation logique est une bonne chose car elle aide à comprendre et à prédire des évènements.
La généralisation rhétorique est un procédè intellectuellement malhonnête qui a pour but d’empêcher de comprendre.
A propos de la généralisation sur les comportement des femmes (et des hommes)
Biologiquement, nous sommes tous les mêmes. c’est l’éducation que nous avons reçu qui nous différencie.
A ce niveau nous avons un problème grave.
Autant chez les hommes les impératifs biologiques des hommes sont connus, jugés négativement (un peu trop d’ailleurs) et on enseigne au hommes dès leur plus jeune âge a lutter contre leur pulsions, sexuelle et de violence principalement autant du côté des femmes on ose à peine aborder le sujet.
Si vous avez le malheur d’essayer de dire que les femmes sont soumises à des impératifs biologiques aussi puissants et aussi destructeurs que ceux des hommes, bien que différents, vous vous faites immédiatement censurer; une armée de défenseurs de la bonne parole (des deux sexes) vous tombe dessus pour vous dire qu’il ne faut pas généraliser les comportements et que toutes les femmes sont uniques…
Symboliquement cette censure s’exprime par le culte de la déesse mère.
Dans ce contexte comment voulez-vous qu’une femme même si elle est de bonne volonté puisse dépasser ses impératifs biologiques puisque personne n’ose et ne peut les nommer et les décrire.
Conséquence de cette réalité, les femmes sont beaucoup plus violemment soumises à leurs biologie que les hommes et comme les impératifs biologiques sont déterminés par un dénominateur commun à l’espèce humaine (et même à l’ensemble des mammifères apparemment), généraliser les comportement des femmes est au contraire quelque chose qui a du sens.
Quand vous dites Leonidas est un peu dur avec les femmes je crois que vous faites une erreur. c’est la réalité qui est dure et Leonidas ne fait qu’en parler.
J’aimerais aussi dire, que je suis dur, et même impitoyable avec les salopes en réponse aux comportements de garces. Mais pour le reste, je suis le plus doux des hommes. Tant qu’une femme est respectueuse y-a pas de problème. D’ailleurs, je ne vois pas pourquoi je devrais vénérer des connasses.
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