En 2010, j’avais dénoncé le suicide collectif dont nous nous rendions coupables en occident. 11 ans après, je crois avoir cerné les origines de ce suicide, et je vais agrémenter mon précédent constat.
Après mûre réflexion, je pense que nous avons décidé de nous suicider, en tant qu’occidentaux, car une majorité d’entre nous trouve ce monde moderne profondément laid, et de plus en plus laid. Les analystes matérialistes vous parleront de baisse de croissance, de vieillissement de la population, ou de je ne sais quoi encore. Rien en tout cas, en termes de désirs et de choix. Pour eux, les conditions d’existence objectives définissent les sentiments qui nous animent. Nous serions malheureux parce que pauvres, ou plus risible encore, appartenant à une société trop inégalitaire. Les plus ambitieux d’entre eux, mettront une barrière étanche entre le monde des sentiments et le monde matériel. Chacun de ces mondes ayant ses propres règles et n’influençant pas l’autre, sauf à la marge.
Or il s’avère que la réalité fonctionne tout à l’inverse. Jamais nous n’avons été aussi riches, et jamais nous n’avons si peu ri dans une journée. Si de multiples pouffiasses féministes vont passer leur retraite en Afrique, et plus si affinités, après avoir ravagé l’occident, il y a bien une raison à cela : elles respirent mieux dans ces contrées. Et à vrai dire, nous respirons tous de mieux en mieux au fur et à mesure que nous nous éloignons du centre névralgique de l’occident. C’est un fait. La vie est donc devenue plus agréable dans des pays pauvres.
Quant aux inégalités, laissez-moi rire. Quand une population a largement de quoi manger et possède un toit au dessus de sa tête, quel est son besoin exact de savoir ce qu’il y a dans la gamelle de l’autre ? Il faut donc croire que d’autres raisons que des raisons strictement matérielles président à notre malheur, à notre suicide, à notre stérilité et à un remplacement civilisationnel que nous encourageons chaque jour. Et cette raison est assez simple, nous avons fabriqué un monde laid, d’une laideur absolue. Et personne n’a envie de perpétuer ce monde laid.
La laideur des hommes conscients
La majorité de l’androsphère est complètement à côté de la plaque. Elle-aussi avance des raisons matérialistes quant à l’attitude suicidaire des femmes et plus généralement, face à l’état de notre société. Selon celle-là, les femmes hypergames par nature ne trouveraient pas d’homme à la hauteur de leurs pulsions sexuelles reproductives dans un monde professionnel féminisé et hyperconnecté.
Quand bien même cette androsphère aurait raison, que les rencontres se produiraient sur un mode animal, que peu d’hommes collectionneraient un nombre immense de femmes, il reste un point d’achoppement sur lequel elle n’a pas d’explication : pourquoi ce petit nombre d’hommes, soit-disant alpha, n’a pas plus d’enfants que les autres, voire moins ? En réponse à ce problème, leurs raisonnements sont tous plus farfelus les uns que les autres : les femmes choisiraient un bêta prompt à s’occuper des enfants, les alphas seraient aussi victimes d’hypergamie car les femmes ne seraient pas capables de maîtriser leurs pulsions, et je ne sais quoi encore qui évite surtout à ces hommes une salutaire remise en question.
Car en l’occurrence, à un niveau global, les bêtas, ne se reproduisent pas plus que les autres. Tous dans l’ensemble, alphas, bêtas, omégas et autres animaux, nous n’avons pas assez d’enfants pour perpétuer cette putain de civilisation. Et là encore puisque je dois le rappeler : nous n’avons jamais été aussi riches, les femmes n’ont jamais été autant sécurisées, et n’ont jamais eu autant à toute une panoplie de méthodes de reproduction, excluant parfois l’homme. D’ailleurs notre pitoyable société matérialiste qui se donne les mêmes explications primitives que cette androsphère, ne cesse de favoriser les fécondations artificielles, les subventions aux filles mères ou à toutes les familles, sans que rien ne change : la stérilité et la disparition de notre race semble inévitable.
A mon avis, ce échec monumental est à rapprocher des explications avancées par l’androsphère ou de l’attitude générale de l’occident à l’égard des femmes : comment voulez-vous vous reproduire dans un monde qui vous voit comme une proie du côté de l’androsphère ou bien une poule pondeuse indifférenciée du côté de la société ? Ou dit autrement, du point de vue féminin : qui a envie de s’identifier à une poule pondeuse qui se reproduirait avec un autre animal parce qu’elle y aurait intérêt ou par pulsion ?
Dans le monde salarié, vous hommes, vous reconnaîtrez que nous connaissons une situation identique et parallèle : qui a envie de travailler pour une entreprise qui vous traiterait comme une pièce interchangeable ? Dans une période de pénurie et en mode survie, cette pratique peut se perpétuer. Mais elle s’affrontera toujours aux individus qui composent cette société.
De mon expérience dans le monde professionnel, j’ai retenu que ce genre de croyance, tendant à rabaisser les êtres humains, était complètement contre-productive et ne pouvait persister que dans des milieux professionnels archaïques ou bureaucratiques. De mon expérience avec les femmes, j’ai retenu que ce mode de fonctionnement aboutissait à une stérilité de masse et ne pouvait fonctionner qu’avec des cas sociaux pour des rencontres animales.
Plus un homme est productif, plus il peut changer d’employeur, plus il a intérêt à aller où il sera respecté. Plus un milieu professionnel respecte les hommes qu’il emploie, plus les personnes productives ont envie de le rejoindre et de le faire prospérer. Sinon, ils cherchent à le quitter. Ce secteur végète et à terme, disparaît. Plus une femme respecte son compagnon, plus elle a de l’admiration pour lui, plus elle aura envie de perpétuer son histoire et la sienne en lui donnant des enfants. Une femme trouve qu’un homme est beau parce qu’elle a des raisons de l’admirer. Que cesse cette admiration et cet homme qui pourra posséder tous les biens de la terre, sera quitté ou pire encore, méprisé comme une merde au sein de son propre foyer.
Sur ce point, le nombre d’hommes riches et célèbres qui se sont fait quittés à l’apogée de leur gloire professionnelle est éloquent, le dernier en date étant Bill Gates. Car il arrive fréquemment qu’un homme qui a réussi, oublie l’essentiel : être quelqu’un d’admirable aux yeux de sa femme, humainement parlant. Même les femmes dysfonctionnelles, raisonnent ainsi. Seulement pour les combler, il faut se comporter comme Dieu seul pourrait le faire. Elles finissent par lasser n’importe quel homme. Toutefois, malgré leur médiocrité personnelle, cherchent-elles un homme qu’elles admireraient assez pour s’oublier et se perpétuer.
La laideur a débouché sur la stérilité
J’en reviens donc au beau. Hommes et femmes occidentaux ne se perpétuent que si leur histoire est assez belle pour ce faire. Or dernièrement, nous nous sommes mis à saccager le couple. Et la principale raison de ce saccage, est à chercher dans la sécularisation de nos sociétés. Durant bien des années, alors que la pratique religieuse s’effondrait, les femmes ont tenu à organiser des mariages religieux, et pour le moins, des cérémonies fastueuses qui mimaient un engagement devant Dieu. Notre société croyait pouvoir garder le bénéfice d’une religiosité en excluant Dieu. Résultat, le mariage a fini par perdre de son sens en occident.
Le laid est donc à rapprocher de la baisse de pratique religieuse, et pour ce qui nous concerne, de la baisse de pratique catholique. Rien n’était plus beau, plus grand, et plus fécond qu’un mariage catholique en France. Le ridicule des cérémonies laïques, devant monsieur le maire, n’a jamais trompé personne, sauf ceux qui voulaient s’aveugler. Même les pédés qui ont obtenu de l’état maçonnique, la reconnaissance de leurs unions, font désormais pression sur l’Église pour qu’Elle adoube leurs simulacres de mariage. Et pour cause : le mariage n’est beau que devant Dieu. Et parce qu’il n’est beau que devant Dieu, il n’a de fécondité qu’ainsi, pour les êtres humains je veux dire.
Il est vrai que durant plusieurs générations, des hommes et des femmes ont pu singer le mariage catholique, il n’en est pas moins resté qu’à la fin, ils ont fini par abandonner l’idée de se perpétuer. Cela a pris plusieurs générations chez nous, et même plusieurs centaines d’années si l’on songe que les protestants ont été les premiers à attaquer cette conception du mariage dans notre civilisation. Mais nous y sommes. Le mariage catholique n’a été remplacé par rien de plus beau, et pour cause, nous sommes donc remplacés par des civilisations plus archaïques que la nôtre, mais qui n’ont pas perdu le sens du religieux, le sens du beau.
Mécanique du beau, du bon et du bien, ou comment nous en sommes arrivés à favoriser le laid
Le vrai ou le bien, n’est pas forcément beau au premier abord. Nous voudrions tous vivre dans un monde infantile qui nous préserverait des épreuves. Or voilà que la souffrance surgit. Et cette souffrance nous apparaît comme d’une laideur absolue. Et nous avons tendance à nous en détourner, en particulier dans un monde féminisé où enfants, nous avons du mal à sortir du giron « protecteur » de notre mère symbolique. Intervient alors le diable qui est mensonge et père du mensonge et qui a beau jeu de favoriser nos illusions d’enfants : « Mais oui, nous pouvons nous passer de clercs pour connaître la vérité, il te suffit de te construire par toi-même, d’avoir une relation directe avec Dieu, de te passer d’Eglise. C’est si facile. Les clercs veulent avoir une emprise sur ton esprit. Tu dois devenir libre. Voilà comment on grandit. Et pour cela, il faut que tu fasses tes propres choix sans te préoccuper de l’avis des autres. Voilà la vérité qu’ils veulent te cacher. » Autre illusion du diable : « Oh l’affreuse souffrance que tu vis. Elle n’a pas de sens. Rejette-là loin de toi ainsi que tous ceux qui te font souffrir. Ils ont tort. Tu as raison. » Seulement, le plus pervers des humains n’a pas forcément tort. Plus encore, sa perversion qui a souvent tendance à jouer sur nos faiblesses nous indique ce que nous devrions travailler dans notre caractère pour progresser. Car ici comme ailleurs, la souffrance nous introduit à la vie. Elle est le marche pied vers Dieu, un marche pied qui passe par la croix.
Est-ce à dire que les propos du diable sont beaux ? Non, ils sont séduisants, ils miment la beauté. Mais immatures que nous sommes, nous pouvons nous laisser prendre par des apparences trompeuses : ô quelle est belle cette célébrité et cette richesse si facile à conquérir ! Sauf que derrière, se cache souvent la prostitution et l’asservissement. Sauf que derrière se cache parfois beaucoup de travail, jusqu’à négliger le principal : nos proches, notre paroisse. Sauf que sauf que… derrière les apparences de réussite sociale, se cachent souvent des échecs personnels cuisants. Voilà donc ce monde de toujours, où des personnes qui semblent avoir réussi ont échoué, et où d’autres qui n’ont pas réussi vivent dans la jalousie de ceux qui ont échoué. Un des raffinements du diable en matière de mensonge : les personnes qui ont soi-disant raté et réussi, s’entretiennent dans leurs illusions réciproques et ne vivent que par rapport aux regards des autres, image sociale diabolique s’il en est.
A l’inverse, la vérité, ou le bien nous semblent donc laids, et instinctivement, nous avons tendance à les fuir. Quand nous crions « liberté » dans le cortège de manifestants anti-pass, nous sommes nombreux à le faire. Quand je crie « vérité », je suis souvent seul. Car la vérité fait peur. Elle est synonyme de souffrances même pour toutes ces personnes présentes et qui ont pressenti le diable à l’oeuvre dans les mesures gouvernementales. Et pourtant, sans vérité, pas d’accès au beau. Sans bien, pas d’accès au beau.
Entre le bien et le beau, il y a le bon. Le bon est la cheville ouvrière de la vérité. Une vérité amène toujours à une action bonne, à un comportement miséricordieux, c’est à dire à une lutte contre le mal en ce monde, une lutte parfois armée au sens propre du terme.
Une personne qui ne serait pas prête à mettre en jeu sa vie pour défendre ses frères, me laisse sceptique quant à son engagement réel. Etre catholique, être un martyre de la foi, n’est pas être suicidaire, pas plus qu’être un assassin comme en islam. Ici comme ailleurs, être catholique, c’est avoir de la mesure. Et cette mesure implique souvent, un engagement radical. Pour vous donner un exemple plus précis : une personne qui assassine des innocents parce qu’elle obéit à des ordres, accomplit un acte normal dans une société déviante. Un catholique qui refuse d’agir en ce sens, accomplit un acte mesuré qui va le conduire à être jugé comme un déviant par la société. Le martyre est dans la mesure, c’est à dire dans la nuance et la vérité.
Ainsi notre monde est-il devenu laid parce que nous nous sommes reniés en tant que catholiques, que nous avons cessé de défendre le bien/le vrai, ou que nous avons perdu la bataille par manque de force/de courage/de prière.
Favoriser le beau
Pour favoriser le beau, il faut soi-même être beau, c’est à dire se servir de l’argent, et non être au service de l’argent. Je dirais, ce n’est pas plus compliqué. Se servir de l’argent, implique une forme de désintéressement qui est belle. Le désintéressement est donc beau. Mais plus encore, il doit être bien orienté. Orienté vers le vrai. Combien de personnes dans notre société, croient s’acheter une bonne conscience en donnant pour de bonnes causes, qui se révèlent être des causes morbides comme la recherche sur les embryons. L’argent ne doit pas aller n’importe où, tout comme le travail. Il faut veiller scrupuleusement à ce que les causes investies soient bonnes et justes. Et il vaut mieux s’impliquer personnellement que de donner de l’argent. Il faut savoir perdre son temps aussi. Notamment faire passer la prière avant tout le reste. Songez seulement que toute la richesse que nos avons acquise dans le monde entier, nous la devons à quelques passionnés, qui dans leurs ateliers, ont mené des recherches, parfois jusqu’à leur banqueroute personnelle. Là encore, la passion a nourri le monde, bien plus que le travail bête et brute, et ceci contrairement à une croyance largement répandue chez les misérables.
En effet, chez nous, les misérables ont pris le pouvoir. Ils nous ont parlé de « science », de « technologie », de « surhomme », de richesse, favorisant la laideur absolue, créant un homme désincarné, et des environnements mortifères. Le laid a si bien vaincu en France que notre population agricole qui a nourri les entreprises les plus folles de ses gouvernants durant des siècles, dans le monde entier, n’est même plus capable de se nourrir elle-même, malgré sa science, malgré sa toute nouvelle technologie, malgré sa richesse. Nous sommes en train de sombrer dans la misère la plus absolue à cause de laideur, pour avoir mis l’argent avant tout.
Dans notre pays d’âme paysanne, plus que partout ailleurs dans le monde, plus personne n’a envie de nourrir les hommes. En cause, la médiocrité qualitative des productions, les conditions d’emploi, l’absence de « culture » au sens propre comme au sens figuré du terme, la laideur des champs, l’absence d’animaux, ou leur élevage concentrationnaire, la lutte contre la nature et non avec. Plus rien n’est beau dans la production agricole moderne française. Et si d’autres pays peuvent prospérer au milieu des immondices, la France catholique ne le peut pas. Elle préfère se suicider. Mais je ne crois pas que ce soit si différent ailleurs. Ce mode de production ravage les populations autochtones qui y souscrivent, partout dans le monde, en Inde, aux USA, en Amérique du Sud. Il n’y a qu’à porter le bon regard sur l’évolution de ces mondes et de leur pseudo prospérité. Il devrait y avoir une taxe à la laideur sur les produits qui favorisent le mensonge et qui détruisent nos populations. Nous devrions avoir un sentiment d’horreur face à des productions médiocres et les sanctionner comme il se doit, parce qu’elles enlaidissent notre monde.
Ce qui est vrai en matière agricole l’est partout ailleurs, dans l’industrie, dans les services. Les abus d’un patron sont laids, comme la trahison d’un employé qui refuse de faire son travail par jalousie envers le patron. Tous les deux, animés par l’idée de lutte des classes, communistes, sont laids, aussi bien le riche que le pauvre, se rejoignant dans une misère commune. D’ailleurs, leur misère amène souvent à une pauvreté réelle. Je l’ai vu bien des fois, de ces patrons exploitant leurs ouvriers, ne désirant former aucun apprenti, puis se plaignant de ne pas trouver d’employés. Pauvres imbéciles. Jusqu’à ravager tout un secteur, comme dans la boucherie traditionnelle française ou l’agriculture, par leurs pratiques perverses. Combien ai-je aussi vu d’employés, de fonctionnaires souvent, ne penser qu’à eux, et jamais à la prospérité de leur entreprise, puis se plaindre d’être méprisés par la population. Pour être respecté, il faut d’abord se respecter soi-même et se comporter en personne respectable ! Ainsi, presque toute la fonction publique en France s’est transformée en poubelle à ciel ouvert : l’instruction publique, la police, la justice, l’hôpital etc… L’administré y est traité comme un produit. Le fonctionnaire en vient à détester son métier, et le citoyen à détester ces fonctionnaires. Dans ce cadre, peu de personnes sont encore belles, c’est à dire résistent.
J’en reviens à nos manifestations anti-pass. Nous sommes en train d’échouer. Nous sommes beaux, mais peut-être pas assez pour réussir à convaincre le reste de la population de nous rejoindre. Parmi nous règne encore l’orgueil, la jalousie, l’autisme, l’incrédulité, l’absence de foi. Tous ces obstacles nous empêchent de progresser en tant que mouvement. Notre intérêt immédiat n’arrive même pas à nous faire dépasser nos limites. Que dire pour le reste de la population qui se confie en l’état comme d’un substitut paternel ?
Etre beau en tant qu’homme
Je ne pourrais pas en finir sans dire quelques mots sur la beauté masculine. Un bel homme n’est pas forcément musculeux. Il a surtout trouvé les moyens de s’accepter, et de progresser au jour le jour. Il est animé par une vérité qui va plus loin que le cul d’une femme. Il raisonne, fait la part des choses, connaît ses limites, prend des risques, tranche, il sait mettre sa vie en jeu pour une cause qui en vaut la peine. Si vous voulez en savoir plus, j’ai écrit de multiples articles sur le sujet. Tous n’ont pour un seul objet : définir le beau au masculin, et en négatif, savoir rejeter le laid.
Si nous ne voulons pas disparaître, en tant que civilisation, il va nous falloir rééduquer notre regard au beau, et le favoriser. Personne ne veut se reproduire dans un monde laid. Personne ne veut côtoyer un laideron pervers déviant homme ou femme. Personne ne veut s’engager à vie avec une personne qui n’en vaudrait pas la peine. Et encore moins faire des enfants avec. Personne ne peut s’épanouir au milieu de la laideur. Chacune de nos actions doit être emprunte d’un sentiment esthétique. En particulier, savoir nous élever au-dessus de nous-mêmes par la grâce de Dieu, chercher à nous dépasser et prendre des risques pour ce faire, refuser le mal, refuser donc de nous comporter comme des animaux avec les femmes et appeler cela « réussite ».
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