Dans notre société moderne, les garçons sont systématiquement appelés à refouler leur énergie. Pendant ce temps, les filles sont encouragées à se comporter comme des garçons. En dernier lieu, les garçons restent des garçons et les filles des filles. Cependant, entre-temps, cette folie nous aura tous menés à des impasses.
Car l’élevage des enfants devant la télévision ou à force de « modèles » désincarnés a un coût, autant pour les filles que pour les garçons. Investissant des domaines où elles sont presque toutes des inadaptées tandis qu’elles ne se réalisent jamais dans leurs domaines de prédilection, les futures femmes qui suivent ces modèles qu’on leur vend, sont appelées à échouer. Elles deviennent ces espèces de bi-sexuelles, mutantes omnipotentes, qui croient tout pouvoir familialement et socialement alors qu’elles ne réussissent rien, enfermées dans leurs angoisses et paumées, mais propageant leurs idées déviantes. Elles éduquent des garçons incapables de se contenir et dont l’énergie se transforme souvent en agression quand elle n’est pas magnifiée par les leçons d’un père. Ou bien, elles en font des filles, et de leurs filles, parfois des garçons. Le cercle infernal de la maltraitance et de la féminisation peut se perpétuer quand il ne se termine pas sous forme de stérilité sociale. Ces filles et ces garçons maltraités accuseront toujours les autres de leur malheur. Et en un sens, ils auront bien raison de le faire : comment notre société a-t-elle pu laisser faire ça ?
Ici, voici un exemple de folie féministe dans la publicité. Les petites filles y sont encouragées à singer les hommes tandis qu’elles sont en pleine construction identitaire. Les féministes ont beau accuser la société de vouloir que les « stéréotypes » traditionnels se perpétuent sur nos petits écrans, dans nos livres, ce sont plutôt leurs modèles déviants qui se généralisent actuellement (rôle des filles dans les dessins animés, dans les séries télévisées et ici dans la publicité). Qu’elles échouent de manière prévisible, ne les préoccupe en rien : elles veulent « l’égalité », ce mot creux qui n’est qu’une forme de fanatisme religieux immanent.
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Publicité manipulatoires pour les filles par LeonidasDD
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Qu'elles sont débiles ces jeunes femmes qui veulent singer les jeunes garçons. Elles justifient rien que par leur action le fait que le machisme perdure encore de nos jours. Car quid des valeurs féminine que normalement les femmes devraient ériger même niveau que les valeurs masculines dans une quête d'égalité ?Au contraire à force de masculiniser les femmes, les femmes qui prouveront la force de leur sexe auront in fine prouver leur faiblesse, car incapables d'originalité en copiant des caractéristiques masculines.Je remarque également une chose : je regarde les principales séries TV qui ont le vent en poupe. Plus ces dernières deviennent la coqueluche du grand public, plus les scénaristes ajoutent quelques artifices pour imprimer sournoisement des aspects de la théorie du genre dans l'inconscient de la masse. Genre la petite fille qui veut être guerrière dans Game of Throne ou encore la reine qui aurait voulu être un homme car son frère fut traité comme un guerrier dès l'enfance tout en méprisant les femmes qui ne font que remplir leur rôle dans la civilisation en les traitant de poules.Il y a aussi des séries où j'ai vu les premières apparitions de personnages masculins plutôt vaillants devenir peu à peu chétif et pouponnant ainsi le bébé lors d'une situation de survie.Vous allez peut être trouver celà frivole de jauger un sujet comme celui-ci aux scénarios de séries. Mais j'ai moi-même longtemps cru que l'homme pouvait indifféremment pouponner les bébés, propagande hollywoodienne oblige. Tous les films prisés par beaucoup de monde ont tendance à délivrer des messages cachés où en se détendant on ne s'aperçoit pas que le scénariste lui-même est un idéologue fini.