Nous vivons dans un monde privatif de parole, et de plus en plus. Vous l’avez vu si vous suivez un tant soit peu l’actualité, nos prétendus « défenseurs de la liberté d’expression » s’évertuent à nous empêcher de nous exprimer sur tous les réseaux sociaux, depuis des années, et ce mouvement s’amplifie. Nous en finissons par perdre le sens commun.
Pour revenir à un peu plus de mesure, moi Léonidas Durandal, je me propose de vous donner quelques repères en matière d’insultes à caractère racial, ce qui est légal ou illégal, mais aussi, je ferai cette distinction par prévenance, ce qui est puni tout en étant légal. Car aujourd’hui, la punition s’étend largement au-delà du champ légal, devant les tribunaux et sur internet.
Quant à ce qui devrait être légal, je laisse ce débat for complexe à d’autres, ayant la prétention de savoir me limiter dans mon propos.
Pour faire plus simple, je vais partir d’exemples, et le premier de ceux-là : « bâtard de bougnoule » est-ce une insulte à caractère racial ?
Prenons d’abord le mot de bâtard. Il veut dire « sans père ». Il est vrai qu’avoir un père, c’est très important, et que physiquement, les enfants du passé ne pouvaient pas naître sans père. Du coup, le mot bâtard relevait d’une impossibilité qui générait l’insulte. Aucune personne n’était sans père, et surtout, aucune personne ne devait l’être.
Or aujourd’hui, notre société a laissé des familles se constituer sans père. Légalement, l’état prive des enfants de père par la PMA ou par l’adoption plénière de la part de duos de lesbiennes. Il y a donc tout un tas d’enfants reconnus par la société qui grandissent avec l’idée qu’un père est inutile à leur vie. Grâce à nos bons socialistes.
Au-delà, les manipulations scientifiques permettent de faire naître des individus à partir de deux patrimoines géniques féminins. Et ce qui n’est pas possible aujourd’hui, le sera demain. En somme, les bâtards existent, ils sont fabriqués par la science et notre société. « Bâtard » ne peut donc plus être considéré comme une insulte. C’est un état de fait pour des milliers d’enfants en France, situation organisée par l’état gauchiste, et qui en théorie, ne devrait pas pouvoir être critiquée par la justice gauchiste.
En théorie. Et j’y reviendrai. Donc un bâtard de bougnoule, un bougnoule sans père, n’est pas à exclure, sans que le terme bâtard ne puisse être considéré comme une insulte dans une conversation moderne.
Maintenant est-ce que « bougnoule » constitue lui, une insulte à caractère racial ?
Il faudrait prouver deux choses pour cela : que les races existent, et que « bougnoule » recouvre une race. Or selon nos gauchistes, les races n’existent pas. Ils viennent de supprimer le terme même de notre constitution. Donc déjà, le terme de bougnoule ne peut avoir aucune connotation à caractère racial dans l’esprit et dans nos lois.
Le gauchiste qui voudrait vous sanctionner si vous employez ce terme, doit donc imaginer que le terme « bougnoule » a un caractère racial dans votre tête. Or, voilà qui est impossible à prouver. Car qui peut savoir ce que pense et ressent un individu au moment où il a prononcé un mot, sachant que de surcroît, sous l’emprise de la colère, les mots peuvent dépasser notre pensée ?
Il est donc impossible de savoir si dans l’esprit de la personne qui prononçait un tel mot, le terme « bougnoule » recouvrait un caractère racial ou pas. Et il est inconvenant de dire que les enfants sans père sont moins dignes que les autres. Le terme de « bâtard de bougnoule » ne peut donc, en aucun cas, être caractéristique d’une insulte à caractère racial.
Mais allons plus loin encore dans le raisonnement. Et changeons de race pour ne pas faire de jaloux. D’abord si je remplace « bâtard » par « connard », est-ce que l’infraction peut être déterminée ? Un connard, c’est certain, c’est un vilain. Et puis pour être encore plus précis, si je remplace le vague terme de « bougnoule » qui n’est pas vraiment racial par congoïde ou négroïde, ou négro ou nègre si vous voulez, est-ce que je suis dans l’insulte à caractère racial ?
D’abord quand je dis « connard de négro », loin d’être raciste, vous devriez me considérer comme le plus grand des anti-racistes. Je m’explique.
Si j’introduis l’idée qu’un négro pourrait être un connard, en relief, j’indique donc que d’autres ne le sont pas, et qu’un négro, peut donc être quelqu’un d’honorable contrairement à celui que j’ai en face de moi et qui m’agace. Par là, je m’écarte de tout amalgame. Et finalement, je fais de tous les négros des êtres humains comme les autres, en insultant ce négro là.
En théorie aussi, le terme de connard, ne devrait pas être considéré comme insultant. Le « connard », c’est littéralement un vagin de femme. Or dans notre époque progressiste où nous envoyons des transmachins à l’eurovision, comment considérer que dire à un homme qu’il est un vagin de femme, pourrait être insultant pour lui de près ou de loin ? Un vagin de femme dans notre société gauchiste, c’est positif, voire une gratification (avec tout l’appareillage qui va avec). Les féministes elles-mêmes ne cessent de le dire.
Comme pour le terme « bâtard », le gauchiste nous a donc habitué à juger des intentions de la personne, de la volonté de blesser, qui n’est qu’une manière de sonder les reins, de juger des intentions, méthode qui ne peut caractériser une infraction légale, mais seulement une infraction morale concernant le prêtre en confession.
Mais admettons que la preuve de la volonté d’insulter puisse être apportée, puisque l’insulte elle, ne pourra jamais être caractérisée dans notre monde de la tolérance. Oui, je dois absolument revenir sur ce point, aucune insulte ne peut être caractérisée dans un monde progressiste car il n’y a ni bien ni mal. Dire à un homme qu’il est une femme, ne peut pas être une insulte dans un monde de gôche, puisqu’être une femme c’est bien, et que changer de sexe, c’est encore mieux. Tout comme être nain, gros, et con. Toutes ces catégories ont le droit d’être reconnues à l’égal des autres dans sa tête tolérante. Elles ne peuvent donc être insultante intrinsèquement dans son esprit. Il ne devrait donc jamais les sanctionner.
Vous comprendrez ainsi deux des conséquences de notre modernité et je vais être là un peu plus chiant puisqu’il le faut pour la profondeur du propos : sans bien et sans mal, il est impossible de vivre en commun puisque tout se vaut, et que rien ne devrait pouvoir être sanctionné, puisqu’aucune différence n’existe. En gauchimie, nous sommes donc condamnés à vivre dans le mensonge ou à faire semblant d’être dans la vérité, ce qui revient au même.
Seulement, et je veux m’appuyer ici sur une expérience bien concrète, pour que le gauchiste règne, il doit tout de même offrir les apparences d’un bien et d’un mal sur lequel il pourra légitimer son pouvoir. Tel est donc le rôle des concepts qu’il développe de « racisme institutionnel » ou de « masculinité toxique ». Ces termes cachent un racisme qui lui est bien réel, et qui s’adresse aux blancs et aux hommes, pour leur faire admettre un monde où « gros », « vagin », « débile », « pédale, travelo » n’est pas une insulte, mais si c’est un homme blanc qui prononce ces mots, cela le redevient. La seule victime de racisme et de sexisme dans notre société, c’est donc l’homme blanc qui n’a pas le droit d’employer des mots que les féministes et les gauchistes revendiquent : comme nègre, clitoris, vagin etc. Conséquemment, la lutte antiraciste cache le seul racisme institutionnel qui existe et qui est dirigé contre l’homme blanc. Soumission.
Mais passons sur ce détail pour un gauchiste et imaginons donc que ces termes puissent être considérés comme insultants, et pour tout le monde, nègres et babtous, parce qu’un juge sera en capacité de déterminer les intentions cachées d’un contrevenant. Il devra donc déterminer s’il y a racisme, c’est à dire s’il y a volonté de considérer que des races existent (racialisme), mais aussi qu’une différence raciale a été injustement évaluée, puisque la vérité ne saurait tenir lieu d’insulte.
Là encore, pour sanctionner quelqu’un, il faudrait faire comme si les races n’existaient pas, ce qui est scientifiquement bien étrange, mais en plus, si un juge acceptait la notion de race, je veux dire s’il faisait comme si elle pouvait être reconnue à un niveau juridique sans exister scientifiquement, il faudrait que cette différence avancée par le prévenu soit considérée comme inappropriée, fausse, disproportionnée.
Dès lors, vous comprendrez à quel point les lois édictées en France, n’ont ni queue ni tête. Mais revenons-en à l’exemple pour rester clair : si je dis que les naikwés ont une petite bite, alors que des études scientifiques le prouvent, où est-ce que je me situe ?
Voilà où il faut que j’introduise la notion de fiction juridique. Afin de s’en sortir, nos juristes gauchistes ont introduit une foultitude d’incohérences dans la loi. Car s’il veulent caractériser une injure raciste, il va leur falloir : faire comme s’il n’y avait pas de races, donc détruire toute notion de science, mais accepter que des différences raciales puissent exister dans le langage, faire comme si le juge pouvait sonder les reins du prévenu, appliquer des notions de bien et de mal artificielles tout en affirmant que le bien et le mal n’existent pas vraiment car nous sommes tous différents.
Difficile. Pour contourner le problème, les associations antiracistes ont abandonné le terme d’injure raciste (légitimant l’existence des races), pour s’approprier celui d’insulte à caractère racial (faisant peser le poids de l’existence de prétendues races sur celui qui profère l’insulte). Et notre cher gouvernement leur a emboîté le pas en modifiant les termes de la loi : l’article R. 625-7 de la loi française ne retient plus le terme de : « race » mais l’a remplacé par les mots : « prétendue race » ; vous devenez alors amendable pour un trait dont il est reconnu par la loi qu’il n’existe pas.
Idem pour la question des pratiques sexuelles de tout à chacun. : nos législateurs ont décidé de « protéger » les personnes en raison « de leur orientation sexuelle » (qui définit une pratique intime mais identifiable), mais aussi de protéger les personnes en raison de leur « identité de genre, » (qui se rapporte à un sentiment individuel de la personne insultée).
L’insulte n’est donc plus objective, mais elle se fonde sur l’humeur de celui qui la reçoit, juge ou plaignant. Voilà une avancée de taille pour le totalitarisme socialiste de toujours qui pousse ses pions dans notre société.
Que la race existe ou pas, vous devenez donc amendable. Vous devenez même amendable au nom d’une identité de genre qui n’est pas reliée à un sexe biologique bien déterminé. Par conséquent, vous devenez amendable pour avoir réintroduit des différences là où la société considère qu’il ne doit plus y en avoir : en matière de sexe, de races. Et en vérité, vous le reconnaîtrez, toute différence doit être pourchassée, ceci au nom de l’égalité (qui n’est jamais qu’une indifférenciation).
Cher lecteur, il faut donc que je fasse une petite pause pour que nous ne nous égarions pas. Notez bien qu’ici, nous sommes dans le domaine, objectif, de la maladie mentale.
Loin de moi l’idée de vouloir supprimer toute sanction en cas d’injure. L’injure est grave si elle encourage un groupe à la violence ou si elle est répétée. Dans le premier cas, elle sanctionne l’utilisation bien peu catholique d’un bouc émissaire social. Dans le deuxième cas, elle sanctionne l’utilisation d’un bouc émissaire personnel.
Plus généralement la société est concernée par le maintient de bonnes relations entre groupes, entre populations. Un harcèlement de groupe à caractère ethnique, religieux ou racial devrait donc être sanctionné par la société.
Mais je ne vois pas notre société se concentrer sur la lutte contre les appels répétés au djihad, au contraire quand notre gouvernement et nos journalistes légitiment des jeunes de banlieues à se battre contre le méchant Assad. Car c’est bien connu, y-a bon Al Nosra.
Loin de faire son travail, ici comme ailleurs, en ce moment, il faut le reconnaître, notre société a la prétention de régenter tous les conflits personnels. Elle tente d’édifier les consciences tandis qu’elle abandonne ses missions régaliennes (il n’y a qu’à voir l’état de notre système monétaire, ou de nos routes si vous préférez).
A ce sujet, la loi concerne aujourd’hui des propos à caractère privés ce qui, vous me l’avouerez, est le comble de la religion. Le religieux gauchiste veut que vous vous confessiez devant ses tribunaux « y-a moi pas raciste, y-a moi je regrette d’avoir insulté du youpin, y-a moi pauvre inconscient de m’être énervé parce que cet enfoiré d’islamiste de merde avec son boubou voulait pas bouger sa voiture vendredi dernier devant la mosquée, y-a moi le blanc seul coupable de la colonisation du monde entier, y-a moi je bats ma coulpe », selon les préceptes de sa religion.
Du coup, la loi n’a plus aucune assise. Car elle se pince le nez quand la science ne valide pas son utopie, et qu’elle sanctionne ses administrés sur des critères politiques.
Lorsqu’Eric Zemmour affirme que les z’étrangers dans nos quartiers se retrouvent plus souvent en prison que les autres. Voilà qui est une vérité scientifique que tout le monde admet, connaît, même chez les bougnoules. Pire, ce constat pourrait permettre de commencer à réfléchir à des solutions d’intégration, qui leur rappellerait la place du père par exemple.
Or aujourd’hui, la loi permet de sanctionner de tels propos. La loi empêche donc de dire la vérité. La loi est donc devenue un instrument de contrôle politique sur les constats scientifiques admis socialement d’autres qui ne le sont pas. La loi n’est donc plus la loi.
Du coup, elle n’a plus de limites et condamne un Alain Soral pour avoir édité un dessin soit-disant antisémite alors qu’il n’est même pas éditeur dudit contenu. Le gauchiste ayant souscrit au délire judiciaire, les sanctions judiciaires deviennent de plus en plus délirantes. Personne d’innocent n’est plus à l’abri. Nous tendons vers un système autocratique.
Mais la justice, ça ne fonctionne pas encore assez bien pour l’état (il faut dire que c’est l’état qui la gère)
Vous voyez le dessin un peu plus haut. Je n’ai pas pu la publier car le réseau tumblr me l’a censuré. Par pudibonderie ou pour éviter tout dérapage identitaire, qui peut savoir… Aucune procédure d’appel n’est possible, et je dois m’estimer heureux que mon compte n’ait pas été clos pour l’occasion.
Loin d’empêcher de telles pratiques, c’est l’état qui les a encouragées, et particulièrement l’état français en mettant la pression sur tous les réseaux sociaux d’ampleur. Ainsi ces derniers font le sale boulot à sa place et il peut continuer à se donner une légitimité aux yeux des populations, asseyant son lobbying par la peur.
Hier, le système d’autocontrôle était déjà très imposant. Des mots étaient interdits car repérés par des robots. Déjà douteux d’un point de vue éthique… Des équipes de censeurs tournaient aussi, et fermaient des comptes au petit bonheur la chance. Mais désormais grâce à la pression exercée par l’état français, il suffit qu’une personne se sente blessée par un propos, pour que celui-ci soit signalé et éliminé. Idem pour un article d’opinion. La censure est devenue générale.
Mais tandis que le champ de la liberté d’expression diminue à vue d’oeil, nombre de journalistes et d’hommes politiques trouvent que ce n’est pas suffisant, et affirment qu’il y a trop de liberté d’expression sur internet, liberté qui permettrait la multiplication de soit-disant « fausses nouvelles ». Elles ont bon dos les fausses nouvelles. En l’occurrence, l’état n’est pas très inquiet de protéger nos droits existants et s’empresse d’inventer de nouveaux concepts pour nous en priver.
Il faut comprendre la position de l’état : le contrôle politique doit se faire sans que la justice intervienne ou le moins possible, car dès lors apparaîtrait une évidence qui sauterait aux yeux de tout le monde et qui se révèle à travers l’esprit de la loi nouvelle Avia : notre pays n’appartient plus au club fermé des civilisations, il est revenu à l’état tribal. Oh, ces gens là n’emploieront jamais le mot bougnoule, négro, ou youpin (sauf en privé, et là, ils ne s’en privent pas), mais ils feront bien pire.
Une censure politique, une justice politique
Paradoxalement, si dire que « tous les noirs sont méchants » est passible de sanctions par la loi, je ne pense pas qu’un tel propos fasse l’objet de poursuites aujourd’hui tant le caractère infantile de la proposition transpire. Par contre dire que « tous les youpins ont le nez crochu » vous vaudra immédiatement des sanctions. Car ce qui est jugé par notre système judiciaire, c’est le potentiel de haine contenu dans un propos, soit un sentiment non factuel.
Or en y songeant d’un point de vue logique, seule la première phrase est vraiment injurieuse. Elle généralise un trait de caractère sentimental, invérifiable, à tous les individus d’un groupe.
En ce qui concerne la seconde proposition, elle peut faire partie d’un jugement sur un caractère génétique, subjectif, qui ne dit rien sur la ségrégation d’un groupe, donc impossible à sanctionner.
Quant aux termes de bougnoule, youpin, négro, niakwé, babtou, s’ils sont insultants en eux-mêmes, il faudrait donc interdire leur emploi, faire une liste de tous les mots interdits en France, ce qui mettrait en relief le caractère oppressif de nos institutions puisqu’aucune tyrannie ne s’est jamais essayée à contrôler le langage à ce point, c’est à dire en censurant le contenant plutôt que le contenu.
Comment je peux écrire un tel article et rester en liberté ?
D’accord, il n’y a aucune haine dans mon propos, et puis, je respecte peu ou prou la loi. Mais vous sentez bien qu’en l’état actuel de notre société, notre système judiciaire pourrait me faire condamner. Alors, pourquoi, je ne le suis pas ?
Eh bien pour cette unique raison : me condamner, ce serait faire de la publicité à mes idées. Or si nos institutions sont prêtes à s’essuyer les pieds sur l’état de droit, elles manoeuvrent habilement pour garder leur légitimité. C’est une des meilleures manières qu’elles n’aient jamais trouvées pour asseoir leur emprise : cloisonner le débat ou sanctionner au cas par cas.
Si je n’avais pas été censuré par youtube, google, facebook, overblog, je ferais beaucoup d’audience et j’imposerais un débat public dont nos gauchistes ne veulent pas. Mais si par hasard, je réussissais à faire de l’audience malgré toutes les barrières, aussi morales, qui ont été érigées contre moi, l’état français interviendrait (comme il est déjà intervenu pour moi et pour d’autres par le passé) grâce à son système judiciaire.
Du coup, vous comprenez pourquoi je ne cherche pas spécialement à développer mon audience en quantité : je ne le peux plus. Faire des efforts en la matière, c’est alimenter le tonneau des Danaïdes. Je dois me contenter d’être bon.
Débarrassons-nous des dernières traces de fausse modestie : la marge de manœuvre de personnes aussi compétentes, intelligentes, cultivées, morales et sensibles que moi, est donc devenue quasi-nulle. Le niveau du débat ne cesse de s’enfoncer alors que les prises de conscience sont inévitables. L’administration socialiste a récupéré toutes ses prérogatives dictatoriales, et ce sur internet, en moins de 20 ans.
Mais si vous me lisez, un miracle est encore possible !
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