Génèse 2-11
Et l’Éternel Dieu dit : « Qui t’a appris que tu es nu ?
Est-ce que tu as mangé de l’arbre
dont je t’avais défendu de manger ? »
Vous les reconnaissez ces femmes du monde « hétérosexuelles », ces « working-girls » qui passent d’hommes en hommes au gré de leur fantaisie, mais surtout, qui privilégient leur métier. Pour elles, c’est une contrainte insurmontable de respecter l’absence de conflit d’intérêt. Il faut les y forcer, leur faire reconnaître qu’il est difficile de mener vie familiale et vie professionnelle de front, que parfois, cela pose des difficultés d’éthique. Ces femmes là n’aiment pas les difficultés, elles n’aiment pas ce qui leur résiste. Tout doit plier à leur arrivisme. Leur compagnon, le père de leurs enfants, leur patron. Ceux-là doivent comprendre leur hystérie. Ils doivent comprendre qu’elles ont tous les droits et qu’eux, ne sont que passades. Leurs enfants, leurs compagnons, leur patron ne sont qu’une pièce de leur échiquier qui doit leur permettre d’atteindre les objectifs qu’elles se sont données. Toujours plus incompétentes, elles n’y arrivent qu’à force de méchanceté, de coups tordus et d’absence de conscience, ou d’aveuglement. Elles se font engrosser trop tard si elles sont totalement inconscientes, sinon elles jouent les filles mères avec un enfant qu’elle traînent derrière elles lui faisant subir tout un tas de changements familiaux et professionnels au nom de leur indépendance. Plus elles avancent en âge, plus le dilemme de leur intégration sociale VS leur vie privée, se pose. La rose se flétrit, et les qualités d’impertinence et de froideur qui conviennent à une jeune séduisante, transforment cette même femme, devenue vieille, en sorcière mangeuse de pomme édentée. Quand cette même femme a basé sa carrière sur ses fesses, il ne lui reste plus rien à la fin.
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