Vous avez été programmé pour aimer et cautionner votre mère, quoiqu’elle fasse.
Vous avez été programmé pour tomber amoureux et pour cautionner votre compagne quoi qu’elle fasse.
Vous avez été programmé pour vous croire libre. Vous croyez faire ce que vous aimez, mais vous aimez ce que des femmes vous ont appris à aimer. Vous aimez ce qui est bon pour elles. Dans notre société, vous répondez à leurs stimulations.
Vous suceriez le caniveau pour voir une belle femme et encore plus pour la « posséder », en particulier si elle n’a aucune qualité morale, et si elle est jeune et belle. Vous avez été programmé pour être un esclave.
Vous avez été programmé pour croire que les femmes sont plus intelligentes, plus sensibles que les hommes. Vous culpabilisez à la moindre manifestation virile.
Vous avez été programmé pour croire en l’égalité sauf quand les femmes vous dominent.
Vous avez été programmé pour ne jamais remettre en question les orientations de votre petit tyran domestique et à culpabiliser si vous vous défendez. La police vous enfermera si vous vous défendez. L’état immunise les hommes dans leur propre famille.
Vous avez été programmé pour être mou. Vous préférez la paix à la guerre. Vous détestez la guerre, en particulier dans le couple, et vous ne connaissez pas les moyens moraux de la mener.
Vous avez été programmé pour canaliser votre violence dans des activités inutiles en buvant de la bière. On vous a programmé à regarder les matchs de foot plutôt qu’à les jouer. Et à les jouer plutôt qu’à les vivre dans votre vie.
Vous avez été programmé pour être en terrain étranger dans votre propre maison. Vous y vivez, mais vous ne l’habitez pas ou peu.
Vous avez été programmé pour rester un enfant irresponsable et soumis à la maison, puis à vous sentir coupable devenu adulte.
Vous avez été programmé pour vous croire fort, mais à culpabiliser de votre propre violence.
Vous avez été programmé pour être rentable, et si vous n’avez pas l’occasion de l’être, on vous a programmé pour croire que vous ne l’êtiez pas et que vous êtes donc inutile.
Vous avez été programmé pour penser que la violence est inutile, négative, contraire à la vie.
Vous avez été programmé pour croire que les autres hommes sont violents, qu’il n’y a que vous qui savez respecter les femmes.
Vous avez été programmé pour détruire les hommes qui s’opposent aux femmes.
Vous avez été programmé pour aimer le féminisme, pour le confondre avec la défense du droit des femmes.
Vous avez été programmé pour voir l’histoire comme une oppression des hommes sur les femmes.
Vous avez été programmé pour croire que l’indépendance des femmes sur le dos de toute la société, était un progrès pour l’humanité.
En général si vous n’êtes pas l’esclave d’une femme, on vous a programmé pour que vous rêviez de le devenir.
Dans des cas extrêmes, on programme des hommes pour s’identifier à une femme, et à avoir des pulsions homosexuelles.
Evidemment si vous choisissez la petite pilule bleue, inutile de continuer à lire ce chapitre :
Une autre réalité possible.
La femme que vous aimez n’est pas votre femme. Elle est une image de femme. Elle est une image de séduction et de fantasme, raison pour laquelle sa compréhension vous échappe. Vous n’aurez jamais une relation d’égal à égal avec elle tant que vous la verrez avec les yeux de l’amour passion. La séduction est une arme de soumission des hommes. L’amour passion n’est pas nécessaire à la vie de couple. L’amour passion est l’antithèse de l’amour. L’amour passion est un moyen d’oppression des hommes par les femmes. Les mariages arrangés sont plus raisonnables et plus durables, quand les individus qui y consentent sont matures. Les mariages d’amour sont instables, même pour les individus matures. L’institution du mariage ne sanctionne pas l’amour, il vise à stabiliser et à réguler la vie familiale. Cette confusion est à l’origine de la disparition progressive du mariage, puisque la vie familiale est sacrifiée aux pulsions individuelles, puisque les enfants sont sacrifiés aux pulsions individuelles, puisqu’on croit pouvoir s’engager sur un sentiment puéril.
La femme que vous aimez peut tout vous dire, peut tout se permettre, même vous pousser à bouts et exiger que vous la frappiez. Qu’y pouvez-vous ? S’il y a incident avec elle, la loi, vos proches sont prêts à faire de vous le coupable idéal. Vous-mêmes avez nourri cette idéologie qui protège n’importe quelle femme, en toutes circonstances. Et vous le savez. En cas de conflit avec votre compagne, vous aurez tous les hommes qui s’ignorent et toutes les femmes contre vous. C’est à dire, une écrasante majorité.
Vous êtes un enfant sans défense face aux femmes. Vous voulez l’ignorer. On vous a programmé pour que vous vous persuadiez de votre force. Votre mère est à la base de votre bon égo. Il vous faudra faire de gros efforts psychiques pour accepter votre faiblesse, ce sera renoncer à ces illusions qui soutiennent votre personnalité. C’est risquer la dépression. Mais c’est le prix de la liberté.
L’indépendance des femmes a été conquise par l’exploitation des hommes. Et vous l’avez accepté par ce que vous vous considériez comme des monstres, qu’on vous avait bien culpabilisé sur ce point. Dans l’histoire de l’humanité, hommes et femmes ont toujours été dépendants les uns des autres. Le féminisme, ce cancer de la féminité, a conquis par des armes psychologiques et sociales, un pouvoir démesuré et disproportionné. Aujourd’hui, les femmes exploitent les hommes pour assurer leur indépendance. Les hommes sont toujours
dépendants des femmes. Cette relation inégalitaire se nomme esclavage.
Un esclave qui ignore ses chaînes est à jamais prisonnier. On vous a mis des chaînes en vous disant que vous étiez l’oppresseur, que c’était pour votre bien, et pour celui de la société, et même que c’était le progrès. Vous trouvez vos chaînes naturelles et souhaitables, car vous avez peur de l’Histoire, vous avez peur de l’image de monstre qu’on vous a transmise de vos ancêtres. Vos ancêtres n’étaient pas des monstres.
Si vous décidez de vous libérer, vous n’en resterez pas moins faibles face aux femmes, car la première condition d’une libération c’est de comprendre sa propre aliénation. Comprendre ne supprime pas encore la réalité. La compréhension n’est qu’un premier pas qui doit vous mener à une action de plus en plus large.
La femme des autres est peut-être pire que la vôtre, et l’homme qui l’honore, peut-être bien plus valeureux que vous. Mais si elle veut le détruire, cela n’y changera rien, il sera injustement détruit.
Vous faîtes des femmes de pauvres victimes que vous avez placé au-dessus de votre tête. Les femmes ne sont pas des victimes. Elles vous dominent et vous contrôlent. Vous avez peur de faire face à vos responsabilités et vous cherchez à vous justifier par la supériorité intellectuelle des femmes. Vous voulez retrouver une relation maternelle, à travers votre femme. Vous avez été mal sevré, et cela renforce votre dépendance. Plus votre mère a été absente, plus votre père a été sous-estimé, plus votre fragilité sera grande, moins vous serez capable de relations épanouies à l’âge adulte.
Vous imaginez que les autres hommes sont différents de vous, que ce sont des brutes, raison pour laquelle vous croyez que les femmes sont opprimées dans notre société et qu’elles sont toutes des victimes, contrairement à la vôtre. Vous ne direz pas que les femmes vous dominent, vous direz que vous les comprenez et soutenez leur cause. En vérité, vous êtes encore un enfant qui croit que toutes les femmes sont à l’image de maman, et que tous les autres hommes ressemblent à des monstres (le méchant papa).
Beaucoup d’hommes vivent ce que vous vivez vous-mêmes. Et la domination des femmes s’étend à mesure que les hommes se dénigrent, renoncent à leurs responsabilités, et croient en la supériorité des femmes tout en s’affaiblissant. Le contrôle s’étend à mesure que les armes de ce contrôle s’étendent (juridique, opinion majoritaire, éducation, tabous…).
Il y a une violence nécessaire à la vie de tous les jours. Mais la violence des hommes est indistinctement pourchassée. D’années en années, vous devenez de plus en plus mou, de plus en plus flasque. De générations en générations vous devenez de plus en plus mou, de plus en plus flasque. Vous essayez de survivre comme une bête. Vous ne rêvez plus. Vous vous réfugiez dans un monde irréel, un monde maternisant, fait de facilité et de soumission. Notre société riche permet plus que jamais cette mollesse. L’emprunt soutient vos illusions. Le monde réel vous désintéresse, vous fait peur car vous êtes un impuissant dans ce monde. Vous préférez ainsi les utopies (féminisme, socialisme, libéralisme…). Vous êtes de plus en plus inadapté à la vie sociale et à l’amitié entre hommes sur internet ou ailleurs. Vous êtes devenu un autiste qui ne se regarde même plus dans la rue. Vous êtes l’esclave qui ne réfléchit plus, qui ne rêve plus, qui ne questionne plus, qui ne sent plus. Vos fils seront pires que vous.
Devenez violents dans votre vie quotidienne : engagez-vous dans des associations, des mouvements politiques, mettez en pratique vos idées, soyez radical, devenez un extrémiste, trouvez d’autres extrémistes pour soutenir votre combat. Ne combattez pas pour de grandes idées, mais pour des mises en pratique dans votre quotidien.
Votre femme ne vous aime pas. Elle aime votre état de dépendance. Et vous aimez votre esclavage. Mais elle aime aussi que vous ne soyez jamais certain de son amour. Moins elle vous aime, et plus vous l’aimez. Elle a favorisé un état addictif chez vous. Elle vous a choisi parce que vous étiez incapable de vivre sans elle. Immanquablement vous finissez par vous sevrer de sa présence ou elle par se lasser de vous. Que vous reste-t-il ? L’engagement n’a pas de valeur dans le monde des femmes, seul l’amour en a. Vous êtes un enfant qui croit en l’amour, ou un enfant déçu de sa drogue qui cherche de la meilleure came ailleurs.
Apprenez à affronter votre femme et à exiger d’elle de l’amour, un vrai amour, celui qui respecte les engagements. Vous avez épousé la parfaite épouse et mère de famille, pas une girouette irrésolue. Il fallait qu’elle fasse sa crise d’adolescence avant. Il est temps qu’elle assume ses engagements. Ne cédez en rien sur les petits engagements du quotidien. Ne cédez en rien sur l’amour qu’elle doit vous donner.
Vous êtes cocu. Vos enfants sont plus importants que vous à ses yeux, ses amants sont plus importants que vous à ses yeux, sa situation personnelle est plus importante que vous à ses yeux, tout est plus important que votre relation à ses yeux, et en particulier sa tranquillité. Elle appelle cela son développement personnel. Vous l’aimez trop pour ce qu’elle paraît et trop peu pour ce qu’elle est ou ce qu’elle vous procure. Si vous voulez aimer une femme, ne la regardez pas avec les yeux de l’amour.
N’acceptez aucune décision qui fasse passer vos enfants avant votre couple, ou sa tranquillité avant vous. Secouez-là. Arrêtez de la laisser tout contrôler, tout décider, tout détruire, progressivement. Affrontez-la. Si elle s’est prise une bouffe par un autre que vous, elle l’a peut-être méritée. N’allez pas la défendre si elle a mérité ce qui lui arrive et si elle essaie de jouer les victimes, en vous faisant passer pour un sous-homme si vous ne réagissez pas. Si vos enfants se sont pris une bouffe par un autre, ils l’ont peut-être bien mérité, en particulier s’ils ont été éduqués par votre femme. Si elle veut s’ouvrir au monde, pourquoi pas tant qu’elle remplit ses obligations familiales.
Vous croyez être fort, mais vous êtes seul.
Cultivez l’amitié entre hommes, sans femme. Une bonne cuite entre copains de temps en temps, il y a rien de meilleur, même et surtout après 40 ans. Maintenant ça sera peut-être difficile de trouver de vrais hommes autour de vous. Je constate que ceux-là restent de plus en plus chez bobonne et qu’ils font les matous, jusqu’à ce qu’ils se fassent quitter, la morale est sauve. Les autres ne rentrent jamais chez eux tant ils sont incapables de supporter leur femme, et tant ils détestent leur vie de famille. Ces derniers totalement écrasés par l’image de leur mère,
sont presque irrécupérables. Ils sont les victimes nés du féminisme.
Les plans Q sont importants pour vous ?
Quelques plans Q dans votre jeunesse ne vous feront pas de mal, en particulier si cela vous permet de remettre le sexe à sa juste place, assez bas. Si votre femme est un mauvais coup, tant mieux, décontenancez-la, prenez des initiatives sans lui demander son avis. Elle n’attend que ça, quoiqu’elle en dise. Et puis, ça ne lui fera pas de mal d’être secouée un peu, de sortir de son train train. Vous ne pouvez que lui faire du bien.
Vous avez honte de la violence qui persiste en vous. Vous assimilez violence à « hommes ». Vous détestez les hommes. Vous vous détestez. Vous êtes incapable d’entretenir une amitié virile. Il vous faut la caution et la présence de femmes pour agir. Vous avez peur qu’on vous prenne pour un pédé. Vous voulez gagner de l’argent pour devenir attractif ou pour le rester.
Apprenez à aimer votre propre virilité, apprenez à baiser votre femme, et non plus à la caresser. Finis le clitoris, pénétrez-là et violemment. Quoiqu’il arrive, soyez satisfaits. De temps en temps, si vous n’êtes pas trop fatigué, vous pouvez lui donner un peu de plaisir. Elle a le droit que vous fassiez des efforts surtout si elle a été gentille.
Vous vous imaginez glorieux aux yeux des autres, et en particulier aux yeux de votre femme. Si vous perdiez cet amour, tout s’effondrerait. Elle vous a choisi pour cela, vous étiez le meilleur petit esclave à sa disposition. Votre médiocrité est rassurante. Soit vous travaillez pour les autres, pour entretenir sa cupidité et celle de toute la société. Elle jouit de vous par procuration. Soit elle peut se plaindre sans fin de l’incapable qui l’accompagne. Quand elle vous quitte, vous ne comprenez pas pourquoi les termes du contrat ont changé. Vous travailliez, et elle dépensait. Vous viviez sur son dos, et elle aimait ça. Vous aviez cru que cela suffirait. Cela ne suffira pas. La société ne vous aime pas. Elle aime l’argent que vous rapportez. Votre femme ne vous aime pas. Elle aime l’argent que vous lui rapportez. Elle aime être rassurée à vos côtés, elle aime contrôler l’imbécile qui partage sa vie. Elle ne vous aime pas, car elle vous garde pour ce que cela lui rapporte en termes matériels ou psychologiques. A la moindre lubie, un autre peut faire l’affaire. Votre valeur a baissé sur le marché des esclaves.
Apprenez à vous moquer de votre insertion sociale tout en donnant votre maximum. Arrêtez d’acheter des objets qui ne vous servent à rien et pour lesquels vous cherchez toujours plus d’argent et trouvez toujours moins de sens. Que vous viviez de l’essentiel et que votre femme fasse de même. Réduisez votre temps de travail jusqu’à n’avoir que le minimum vital. Consacrez le reste de votre temps à des activités utiles à la société : associations, philosophie, écriture, politique, la religion. Cessant le shopping, votre femme aura désormais du temps pour son « développement personnel ».
Conséquence de tout cela, loin d’agir, vous ne vous autorisez pas à penser. La société pense pour vous. Votre femme, la société vous indiquent les bornes qu’il ne faut pas dépasser. Vous devez continuer à dormir et à aimer votre sommeil plus que vos engagements et vos convictions. Au final, une majorité pense de manière identique, et n’imagine pas qu’un autre monde puisse exister. L’autre devient le fasciste, le tabou, l’extrémiste, l’infréquentable. Dépasser le tabou et être découvert c’est se faire bannir de l’intérieur, se faire mettre au placard. Essayez donc de parler de l’oppression de la société envers les hommes face à des femmes, point Godwin. Essayez de prononcer le mot « nazisme » dans une conversation sans haine, sans jugement, point godwin. Demandez l’interdiction du pacs pour les homosexuels, point Godwin. En poursuivant, il y a des pensées qu’il vaut mieux s’interdire… Vous êtes écouillé, et vous ne voulez surtout pas le savoir.
Progressivement autorisez-vous à penser toutes les idées considérées comme tabous par notre société. Evaluez le nazisme, le révisionnisme, le féminisme, le communisme, l’avortement, Messieurs Dieudonné et Soral à travers vos propres yeux et votre propre sensibilité, et non plus à travers ce qu’on vous a enseigné dans la société. Pourquoi une idée vous rebute ? Parce qu’elle est vraie ? Aujourd’hui, internet offre des moyens contradictoires d’apprendre. Apprenez à juger avec mesure avant de devenir un extrémiste. Cherchez à connaître les points forts et faibles de chacune de ces idéologies et des autres, d’entendre les uns et les autres. Si on ne trouve que des défauts à une idéologie, sachez lui trouver des qualités, et inversement, ceci pour vous forger une opinion personnelle. Situez-vous le moins souvent dans la majorité. Rejetez toujours le mensonge. Le mal existe, et s’il n’existait pas, sa prise en compte et son rejet resteraient une bonne dialectique.
Les films, les livres vous vendent aujourd’hui les familles recomposées qui ne sont que des matriarcats où les hommes sont des géniteurs, pourvoyeurs de fonds polygames. Ne croyez pas lui faire une fleur en vous mettant avec elle, vous faites le pigeon, et les pigeons finissent au four.
Résistez à cette propagande. La femme délaissée une première fois ou qui s’est barrée une première fois a de forte chance d’être une personne avide quoiqu’elle essaie de vous faire croire (elle se dépeindra en victime). Elle a trouvé un meilleur bourrin, et vous risquerez d’être supplanté par tout autre étalon qui croisera son chemin et qui voudra bien d’elle. Au mieux, elle restera avec vous par défaut. Dans tous les cas, vous servirez un matriarcat qui se nourrira de vos revenus comme de ceux de l’ex-mari. Réfléchissez-y bien avant de vous engager dans ce genre de traquenard et avec ce genre de personne généralement peu morale.
Aujourd’hui l’arme de propagande est totale, sans commune mesure avec le passé. Un Français de 1940 héritait ses opinions de ses pairs et de sa propre réflexion, rarement des journaux. Un Français de 2011 hérite de ses opinions des institutions (l’école, la télévision, les tribunaux) et du marché, et très peu par une réflexion personnelle ou grâce à la discussion avec ses pairs. Il ne discute plus, ne sait plus discuter et pourquoi le ferait-il puisque la vérité est bien établie par de soit-disant faits scientifiques. La multiplication d’œuvres d’art renforcent en lui ce sentiment. Les œuvres d’art (livres, peintures, films…) cultivent en lui un imaginaire pauvre mais redondant, et dans lequel il se sent à l’aise et qui le rassure. L’homosexualité y est normale. La souffrance homosexuelle vient d’une société homophobe. Elle vient des autres, pas de sa famille. Le nombre d’homosexuels est fixe dans une société. Les familles recomposées sont un idéal après un premier échec. Le divorce c’est normal et préférable quand on ne s’entend pas, mais la résidence alternée, « ce n’est pas bien par contre ». Un couple homosexuel qui s’aime peut donner plus d’amour à un couple hétérosexuel qui ne s’entend pas. Tous les désirs sont légitimes, en particulier sexuels. Les enfants ne doivent pas être contraints. Les adultes ont beaucoup à apprendre des enfants. Les femmes ne sont pas indépendantes, et devraient l’être. Les hommes sont violents, dominent la société. Et on peut multiplier ces lieux communs à l’infini.
Vous noterez la place prépondérante des lieux communs sur l’homosexualité dans le bourrage de crâne décrit juste avant, car après avoir enfoncé la famille traditionnelle, le golem poursuit son travail, toujours plus loin, et il ne s’arrêtera pas si on ne l’arrête. Pour être dans la vérité, il suffit souvent de renverser toutes ces propositions : L’homosexuel souffre de sa déviance. Elle vient de sa famille. Le nombre d’homosexuels n’est pas fixe dans une société (Grecs anciens). Les familles recomposées sont très dangereuses pour les enfants et connaissent plus d’échecs que les autres. Le divorce n’est pas normal, ni naturel, qu’on se soit aimés, ou engagés, il est encore plus conflictuel que la vie commune, et beaucoup plus que la séparation de corps. Tous les désirs ne sont pas légitimes. Il y a des désirs monstrueux, amoraux, négatifs, pervers. Nous n’avons pas à faire tout ce que nous désirons. Faire tout ce qu’on désire n’est qu’une prison, un avilissement, ou un crime. Les enfants doivent être contraints/guidés pour grandir. Les enfants ont beaucoup à apprendre d’adultes qui n’ont plus rien à leur apprendre aujourd’hui. Les femmes sont indépendantes, et ne devraient pas l’être car c’est au prix de l’esclavage des hommes, sans égalité, sans réciprocité. Les hommes sont faibles et sont esclaves de notre société. Un couple homosexuel ne donnera jamais autant d’amour qu’un couple hétérosexuel. Plus qu’un couple hétérosexuel, le couple homosexuel fait de l’enfant un objet, une marchandise des désirs.
Je suppose qu’il ne suffit pas, à chaque fois, de s’opposer à la pensée dominante pour être dans le vrai, pourtant, de nos jours, peu d’idées concernant la famille échappent à cette règle. Dernièrement nous avons vu le système s’opposer à la marchandisation des corps (uniquement en France) mais pour mieux taper sur les hommes. Dans les autres pays, on préfère laisser faire la prostitution pour assagir les hommes. La prostitution permet de consoler les hommes de leur médiocre vie. Ce petit exemple français de bon sens bien isolé dans nos grandes démocraties médiocres a été immédiatement compensé par les méthodes employées (taper sur le client homme). Exemple anecdotique pour permettre la survie de nos démocratie. Quand nos démocraties ne produiront plus de richesses, il faudra s’interroger sur leur capacité à rester, même dans la forme, des démocraties réelles. Peux-t-on sortir de la tyrannie féministe et déjouer le complot anti-démocratique (A.Soral) qui se déroule sous nos yeux en occident et ce malgré la crise ?
Oui, si nous reprenons notre place d’homme dans la société et dans la famille, malgré les femmes, et surtout, malgré les féministes.
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