Dans ce quartier de Paris, les résultats d’une immigration massive et hors de contrôle dérange. Qui ? Des femmes gauchistes qui votent depuis des années pour encourager l’immigration. Tant que le problème concernait des ghettos en banlieue, elles ne disaient trop rien, profitant de tous les avantages de leur folie. Désormais, il faut mettre au pas tous ces pauvres. Leur pouvoir de nuisance est tel qu’elles sont aux deux bouts du manche, prenant les décisions, mais aussi critiquant le résultat de leurs décisions, créant la polémique et l’atténuant.
Dans ce jeu de dupes, les hommes sont devenus leur jouet. Ceux qui trouvent un travail pour servir ces dames à des prix défiant toute concurrence sont tolérés. Les autres, comme de simples animaux, sont jugés dérangeants. Il faut qu’ils débarrassent le plancher citadin, qu’ils aillent traîner ailleurs, mais surtout qu’ils acceptent tous et en toutes circonstances, de se soumettre à la femme française qui les a si généreusement invités.
Ces dernières hésitent encore sur la solution finale à employer. Car il faut que la pilule passe, que les hommes ne s’aperçoivent pas de qui ils sont les marionnettes, qu’ils acceptent par exemple le concept de domination patriarcale qui n’a pour but que de cacher les exactions des femmes en meute et grâce à la loi.
Anne Hidalgo, le maire de Paris, veut nettoyer les rues, elle ne dira pas au karcher comme Nicolas Sarkozy, mais par contre, elle sera bien plus efficace que lui. D’autres veulent réoccuper l’espace, ou le modifier, faire des pétitions, comme si les hommes n’avaient pas le droit d’être majoritaires à un quelconque endroit de notre société. Enfin, un troisième témoignage d’une habitante de quartier affirme qu’il n’y a même pas de problème, ou si peu.
Face à tant d’incohérences, l’explication n’aurait-elle pas pour origine un mécanisme de ségrégation pure basée sur de simples sentiments de rejet et de peur que de nombreuses femmes seraient incapables de contrôler ?
Le plus étonnant dans l’histoire, c’est ce débat organisé par des femmes qui met en jeu l’exclusion des hommes de l’espace social alors que ceux-là n’ont pas droit à la parole. Elles n’ont même plus besoin d’un bon nègre de maison pour faire le travail. Comme des maîtresse d’esclaves, les serviteurs n’ont pas leur mot à dire sur des sanctions qui vont les concerner. Au moins, le code noir réservait une défense au nègre. Dans notre société, l’esclave homme, surtout s’il est pauvre, regagnerait à en revenir à l’esclavage plutôt que de subir les foudres de telles harpies qui veulent tout contrôler dans la société, jusqu’à la tyrannie. Sous couvert de démocratie, celles-ci font sentir leur pouvoir. Les hommes blancs sont déjà sous contrôle. Ils ont été pacifiés à force de culpabilisation, de féminisation éhontée et donc, d’aveuglement notoire. Il faut désormais à ces femmes digérer les nègres qu’elles ont fait par bateau entiers, emplies qu’elles étaient d’une fausse compassion. Et comme elles sentent qu’ils leur échappent un peu, elles redoublent de mesures totalitaires pour ne subir aucune conséquence de leur incompétence.
Seules quelques résurgences machistes viennent pondérer leur volonté tyrannique. Ces hommes là voudraient bien retrouver leur rôle traditionnel auprès de maman. Cependant, les femmes dominantes n’en ont pas encore été poussées à une telle extrémité pour accepter ce qu’elles jugeraient comme d’un retour en arrière. Distinguer les bons des méchants, sanctionner les vilains, ce serait renoncer à la stigmatisation de tous les hommes, en plus de redonner du pouvoir à ceux qui ont les vraies compétences pour juger : les pères. Ce serait aussi admettre ses erreurs…
Dans ce quartier dénommé la « Chapelle » où toute trace de christianisme semble avoir reflué, des femmes organisées en réseau se plaignent des causes qu’elles ont chéries. Leurs solutions ridicules entérinent un état de corruption sociale flagrant, sans morale, où les hommes sont devenues pour elles des objets de peur. Mais le plus inquiétant, c’est de voir qu’à ce stade de dégénérescence, il n’y a pas de réaction masculine. Des individus normalement constitués devraient remettre ces femmes à leur place, et leur signifier de fermer leurs bouches devenues folles. Ils devraient en avoir tellement les moyens, qu’aucune femme n’oserait même raconter de telles bêtises devant eux. Mais tel n’est pas le cas, car celles-là ont endormi la société à l’extrême.
[Une femme très séduisante de ce quartier se plaint de ne plus pouvoir porter de jupe, mais continue d’en acheter tout de même (reportage BFMTV du 22/05/2017)]
Or en empêchant toute catharsis de la violence à un niveau personnel, au profit de leurs seuls policiers, dont elles ont fait aussi des impuissants, ces femmes favorisent une forme d’extrémisme. Entre pacification totale, et guerre civile, il n’y a pas de mesure chez elles. C’est leur génome. Seule une révolte des hommes en masse permettrait de régler cette situation de manière humaine, en réintroduisant le politique pour éviter que les situations dramatiques et ingérables se multiplient à un niveau personnel. Mais dans notre pays de gabegie, la plupart des hommes considèrent que les femmes peuvent diriger tout comme eux. Ils ne voient même plus une différence qui crève les yeux de partout. Et la tyrannie peut s’étendre indéfiniment.
A quand les hommes accepteront-ils d’assumer de nouveau leurs responsabilités et guérir les maîtresses esclaves de leurs phobies délirantes ?
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