Categories: Enfance détruite

Clément Méric, l’enfant de leur haine.

Vous les croisez comme je les croise. Plongez vos yeux dans les leurs et voyez. L’innocence de la jeunesse ? Le désir d’aimer l’autre envers et contre tout ? Disparus. Une nouvelle génération de fanatiques qui s’ignorent, désarmés face aux contraintes de la logique du cœur, de la pensée et de la vie, arrive. Ils sont de petits blancs-becs maigrichons de 17-27 ans, des certitudes plein la tête, qu’on leur a transmises et qu’ils croient être leur, avec une passion haineuse contre les « extrémistes », les « fachos », les antis « mariage homosexuel ». Sans valeurs, ils ne voient plus que par leur opposition violente à des vilains qui seraient la cause de tous les désastres de ce monde. Fils et filles des notables, ils ne veulent pas admettre, encore, qu’ils sont les héritiers de ceux qui ont provoqué ces désastres. Il leur faut des murs pour devenir de vrais hommes, qu’ils ne trouveront jamais, comme leurs parents, éternels irresponsables de la conduite de ce monde, culpabilisant d’être si faibles et d’avoir voulu être à la hauteur de leurs fonctions. Fils de fonctionnaires, avec l’ardeur de leur jeunesse et la faiblesse idéologique et religieuse de leurs aînés, ils ne trouvent un sens à leur vie qu’en s’opposant à ceux qui veulent changer l’ordre d’une évolution utopiste qui n’a généré que du malheur, laissant tout faire pour mieux critiquer le résultat de leur libéralisme en matière de moeurs ou de pouvoir, ils usent d’un faux laxisme qui ne sert aujourd’hui qu’à mieux contrôler leurs intérêts de classe stérile. À la fin, renonçant à devenir des adultes, ils choisiront de collaborer à un système qui gave l’opinion publique de mensonges, et que par cynisme ou par immaturité, ils finiront par reprendre à leur compte. Ils vous parleront alors de liberté, d’égalité et de fraternité sans en vivre un traître mot mais espérant que la génération suivante fasse mieux qu’eux parce que toujours plus formatée.

 

 

Clément Méric suivait le chemin de ceux là. Il faudrait le plaindre, chialer sur sa mort, mais ce serait continuer dans l’irresponsabilité. Il a cru. Il a cru à tous ces mensonges qu’un M Mélenchon professe avec tant de mauvaise foi, dont il joue pour rabattre quelques électeurs du front de gauche vers le parti socialiste, simple pêcheur de voix qui veut se donner l’apparence d’un leader aux yeux de pauvres citoyens déroutés par la marche du monde moderne, pollués par un discours médiatique complaisant envers les nouveaux meurtriers communistes. Un nouveau mur doit tomber, chez nous.

 

 

Qui l’a excité assez pour qu’il veuille aller tuer des gens qui ne lui avaient rien fait ?

 

Clément Méric a cru en tous ceux là mais contrairement aux autres, il en est mort. Les discours du front de gauche, du PS et des autres illuminés de l’humain, cette fois, ont eu des conséquences directes. Pour se dédouaner de leurs responsabilités, ces adultes féminisés se sont récriés. Plus que jamais, ils ont continué à mentir car, cette fois, devant la tragédie, il fallait qu’ils se persuadent et qu’ils persuadent leur public complaisant, qu’ils n’étaient responsables en rien du drame. Et leurs journaux ont répercuté leurs accusations fallacieuses pour mieux charger des innocents qui n’avaient fait que se défendre. Ceux-là auraient-ils dû se laisser insulter puis taper dessus sans réagir ? Les copains idéologiques de Clément Méric qui l’avaient envoyé au casse-pipe (pour faire volontairement de lui un martyre ou pas), ont pu accuser les autres, toujours les autres, de leurs crimes : « c’est la faute aux fachos, aux antis « mariage homosexuel », mais surtout pas à nous, qui les avons excités à aller se battre face à des personnes qui ne leur avaient rien fait. Accusons ceux qui se sont défendus et cachons ainsi notre culpabilité certaine. ». Et quand devant l’évidence, quelques voix de droite leur ont signifié qu’ils avaient quand même fait un peu de récupération, ils ont fini par accepter ce débat pour esquiver d’autant mieux celui de leur responsabilité dans le meurtre du petit Méric.

 

 

Les vrais responsables. Des personnes sans foi, sans religion qui ont perdu pied.

 

Oui, parents qui éduquez votre enfant dans la haine des humains parce que ceux qui ne pensent pas comme vous sont des « fachos », oui, partis politiques qui attaquez des gens, qui souhaitez pendre les opposants au mariage ou qui se réjouiraient qu’une bombe soit posée au milieu de la manif pour tous, oui représentants associatifs qui dénoncez la haine tandis que vous en êtes emplis envers ceux qui voudraient protéger des enfants, oui journalistes complaisants devant des meurtriers s’ils tuent ceux que vous haïssez et qui ignorez les morts pour lesquels vous n’avez aucune compassion, oui, tous autant que vous êtes, vous avez participé au meurtre de Méric, vous êtes responsable de sa mort. Vous voudriez que nous ne nous défendions plus face à des personnes qui menacent notre intégrité physique ? Quand c’est l’un des vôtres bien entendu ! Il faudrait que chacun se laisse faire face des troupes de blanc-becs de science-po venus pour massacrer d’autres êtres humains. Il faudrait se laisser faire par des antifas qui se sentent intouchables à cause d’un système complaisant à leur égard car féminisé et qui entretient leurs délires parce qu’ils sont issus d’un même milieu, vivant dans l’irréalité de leurs 40kg tout mouillé. Mais celui qui vit par le glaive, doit mourir par le glaive. C’est votre loi, le jeune Clément Méric en a été la victime. Vous ne devriez pas pleurer sur lui, mais sur vous, qui avez commandité ce meurtre. Incapables de vous défendre, sauf pour envoyer d’autres se suicider face à de vrais hommes, vous n’êtes que les collaborateurs d’un système qui envoie mourir des millions de gens à votre place et sans leur consentement depuis 1789.

 

 

Que les antifachos renoncent à leur lutte idiote.

 

Antifachos meurtriers ou manipulés, il serait temps pour vous de réfléchir au sens de votre vie, de la vérité, et où vous ont conduit vos idées. Les fous furieux qui vous entretiennent dans votre haine vous manipulent et si vous n’avez plus que ça, cette idéologie est devenue bien maigre pour conduire un pays qui maintenant s’appauvrit. La contestation pour la contestation n’a jamais construit une vie digne d’être vécue. Ceux qui vous manipulent, devenus adultes, honteux de leurs idées et de leur parcours, ne vous diront jamais de vous écarter de leur chemin, ce sont vos référents, vos professeurs, vos immondes pacifistes d’éducateurs qui décident des guerres aux quatre coins de la terre et appellent cela « justice » ou « paix ». Ne finissez pas comme eux. Sortez de l’impasse idéologique dans laquelle vous vous êtes mise, sans culture, sans identité, mondialiste. Sortez de vos groupes violents et ridicules et venez prier dans nos Eglises pour changer votre cœur de pierre, et obtenir, après une haute lutte, un cœur d’homme. Ne luttez plus contre l’amour, pour mourir bêtement sur un coin de trottoir ou plus tard, vieux et aigris. Commencez une vraie lutte, contre vous même, contre la haine qu’on vous a donnée en héritage, contre tous ces adultes féminisés qui vous ont lâchés, hypocrites que vous ne tarderez pas à rejoindre si vous en copiez l’idéologie tout en vous croyant plus purs qu’eux. Ce n’est pas leur manque de force le problème. Ils n’ont pas honte de leur faiblesse. C’est leur idéologie qui les a rendus faibles avant l’âge et qui en a fait des personnes vaniteuses que vous détestez au fond de vous même et à qui vous voudriez donner raison par des folies. Ils vous mentent parce qu’ils n’ont aucune morale et ne veulent jamais revenir sur leurs erreurs. Ils sont vides d’humanité en s’en croyant les défenseurs, et en semant les morts derrière leur sillage tout en accusant les autres de leurs méfaits. Pensez en particulier à celui qui a flatté Clément Méric dans son extrémisme et encouragez-le à continuer avec un autre innocent si telle est votre envie. Il est au milieu de vous, il est des vôtres, et il vous excite peut-être encore à la haine. D’autres morts le suivront si vous le laissez faire. Il est temps pour vous de renoncer de devenir les maîtres et tyrans de notre France. Face au crime osez être déloyaux. Personne n’a le devoir d’être loyal quand il fait le mal. Osez venir parler à des gens qui pensent différemment de vous au lieu de vouloir leur taper dessus. Osez vous ouvrir à ceux qui sont plus humains que vous ne le croyez et qu’on vous a présentés comme infréquentables. Vous ne devez pas être une jeunesse refermée sur elle-même, fermée à la différence sexuelle et à la différence des idées. Vous valez mieux que les sanguinaires prisonniers de leur mère qui ont du sang plein les mains et qui ne voudront jamais se laver dans le sang de l’agneau. Votre lutte ne doit pas être une lutte contre les autres, lutte idiote, héritée de fous, mais une lutte intérieure pour la paix et la non-violence, une lutte d’homme en chemin vers Dieu.

Léonidas Durandal

Antiféministe français, j'étudie les rapports hommes femmes à travers l'actualité et l'histoire de notre civilisation.

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