Un jour, il faudra bien faire le bilan de cette gauche qui a tout échoué et qui pèse comme un poids mort sur la société française. A chaque fois leurs marottes idéologiques se terminent dans des bains de sang. Ces gens-là ont plombé notre société depuis plus de 100 ans en oubliant de se remettre en question, en trafiquant les livres d’histoire et en censurant quand cela ne suffisait plus. Aujourd’hui les manuels d’histoire complaisants ne réussissent plus à masquer le désastre. Alors la censure est de retour.
100 ans d’échecs complets.
Avant eux, l’école était libre et gratuite.
Ils l’ont rendue obligatoire et médiocre. Ce ne sont pas moins de 150 000 élèves qui sortent aujourd’hui du système scolaire français chaque année (3) et notre classement au niveau international prouve la régression de notre pays (4), un pays qui avait accumulé un capital culturel édifiant sur plusieurs centaines d’années. Notre gauche progressiste a dilapidé l’héritage en quelques décennies.
Avant eux, les Africains avaient une âme, ils devaient être initiés à nos plus beaux secrets religieux, ceux qui étaient à l’origine de la réussite des individus de notre civilisation.
La gauche progressiste a transformé cet élan généreux en volonté civilisatrice du nègre (5, M. Jules Ferry : « Je répète qu’il y a pour les races supérieures un droit, parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures… » (Marques d’approbation sur les mêmes bancs à gauche – Nouvelles interruptions à l’extrême gauche et à droite.)
Cette gauche n’a pas voulu voir l’âme de l’autochtone, mais un cerveau à faire évoluer. Désirant se détacher de la conception catholique du monde ancien, elle a promu une sorte de religion darwinienne des civilisations et a préparé en cela l’avènement d’idéologies comme le national socialisme. Aujourd’hui ayant échoué dans cette volonté civilisatrice ridicule, loin de vouloir faire évoluer le nègre, la gauche progressiste en est arrivé à l’ériger en modèle dont elle ne connaît rien et ceci afin de s’en servir pour la guérir de sa mauvaise conscience.
Avant eux, il y avait une liberté d’expression en France. Les journaux et les médias n’étaient pas sous perfusion étatique et sous contrôle idéologique (6). Les caricaturistes de gauche s’en donnaient à cœur joie (7).
Aujourd’hui, le discours du nèg marron ne leur convenant plus, il faut le faire taire (8). Le nègre qui dénonce le racialisme d’Israël est devenu dans leur bouche, un dangereux raciste. Leur volonté d’aveuglement n’a d’égal que leur incompétence. Ils dissolvent les groupes d’extrême droite et laissent faire les petits meurtriers d’extrême gauche, juste après 1934 comme aujourd’hui (1) (2).
Avant eux, la France était une Nation fière d’elle et prête à se défendre.
Juste avant la guerre avec l’Allemagne en 1936, la gauche progressiste a fait la promotion du pacifisme (9). Nous leur devons notre faillite militaire face aux nazis malgré le courage de nombreux soldats et généraux français. Mais leurs livres d’histoires ne retiennent qu’une chose de cette époque : la première semaine de congés payés. Les jours religieux et chômés d’avant ont été progressivement remplacés par ces semaines de congés payés. Et nous en sommes arrivés collectivement à travailler tous les jours de la semaine, officiellement durant 35 heures tandis que de nombreux salariés, hors fonctionnariat, doivent faire de nombreuses heures supplémentaires qui ne sont jamais payées. La réduction du temps de travail s’est tournée en flexibilité et en pression. Avant eux, le travail était sacré. Les jours de congés l’étaient tout autant. Aujourd’hui ils sont des droits et des devoirs d’individus faibles et isolés face aux intérêts des puissants.
Avant eux, la France n’avait jamais plié face à l’envahisseur.
Après la défaite de 1940 dont ils étaient responsables, les parlementaires socialistes ont mis en place un régime de collaboration avec l’ennemi (10), installant M Pétain au pouvoir et l’entourant d’hommes de main. Aujourd’hui, les contorsionnistes progressistes étudient avec minutie le rôle de « l’extrême droite » dans la collaboration (11) cherchant la paille dans l’oeil des autres tandis qu’ils ne voient pas la poutre qui est dans la leur.
Avant eux, les familles françaises étaient unie et sûres d’elles. Les cas rares de maltraitance étaient traités socialement. Les individus prenaient le relais des institutions défaillantes.
Aujourd’hui l’institution est défaillante en elle-même et fait déchoir tous les individus qui voudraient croire en elle. Tous les chiffres de violences conjugales, de séparations, de maltraitances, de viols, ne cessent d’augmenter, années après années dans une société dite « moderne » (12). Cela n’empêche pas la gauche progressiste de continuer à s’attaquer à la cellule familiale en faisant la promotion du mariage dit « homosexuel ». Leur féminisme a abouti à l’exploitation de la femme sur le marché du travail, à l’animalisation des filles-mères, à la maltraitance, à l’abandon généralisé des enfants devant la télévision avec toutes les failles narcissiques qui en sont la conséquence, sans parler de la traque de toute trace de masculinité chez les hommes. Aujourd’hui, l’enfant est devenu le jouet d’enjeux individualistes et malsains de couples qui n’arrivent même plus à se tourner vers une personne de sexe différent. La gauche progressiste appelle cet enfermement, progrès et amour.
Avant eux, l’hôpital était le lieu du don et de la générosité. Des sœurs et des médecins donnaient leur vie au service du Christ.
Désormais, le malade à soigner est devenu un patient dont il faut envisager l’élimination quand il n’est plus rentable. Et cela sous couvert de lui rendre service. La mère qui songe à l’infanticide est excusée de son narcissisme quand elle n’est pas magnifiée (13). Les enfants sont éliminés dans le ventre de leur mère s’ils ne correspondent pas à nos critères de vie, et on enrobe cet individualisme d’un nappage de relativisme bon enfant (14). Cette façon d’envisager les enfants est à l’origine même de toutes les maltraitances qu’ils subissent, mais la gauche progressiste ne fait pas le lien. Elle veut pouvoir jouir sans penser aux lendemains. Le cerveau dont ils sont dotés les encombre car de toutes les manières et malgré la catastrophe, ils ont raison.
Le monde crie mais la gauche progressiste ne l’entend pas.
Ces profiteurs sont complètement déconnectés de la souffrance des petites gens. Leurs grandes idées sont à l’origine de ce décalage. Le pétrole a été la pompe à finance de cette part de société malade qu’a été pour nous le progressisme. Je n’ose pas imaginer ce qui va se passer maintenant que nous devenons un peu moins riches. Qu’est-ce qui va bien pouvoir sortir de leurs cerveaux malades pour nous enfoncer un peu plus ? Certainement une forme de dictature.
Orpheline.
Cette société est une fabrique à orphelins qui n’ont même plus la force de crier leur désespoir sauf maladroitement sur quelques murs de nos cités ou bien sur internet…
L’argent du pétrole remplit encore les estomacs et cache le désastre, mais notre France progressiste se vide petit à petit d’amour. Or nous avons un besoin impératif d’amour pour vivre. Par exemple, on sait que sans marques d’affection, l’enfant en couveuse refuse la nourriture et finit par mourir. L’amour précède la nourriture en quelque sorte. Aujourd’hui le suicide social de nombreux citoyens n’est pas étranger à ce manque de sens, à ce manque d’amour. L’augmentation inquiétante des dépressions devrait nous affoler. Mais les progressistes récusent l’accusation en l’occultant d’un revers de la main par un « rien n’a changé ».
Une société incapable de vues d’ensemble.
La poursuite éperdue de la richesse dans notre société nous a conduit à une dichotomie inquiétante qui a séparé famille et travail. La gauche progressiste s’est chargée de détruire les liens d’amour qui nous unissaient dans nos familles. La droite progressiste a imposé son tout économie. Chacun a usé de son influence pour faire naître une conception morcelée de la société. Et ils ont bien réussi. Notre société est plus éclatée que jamais.
Les morts ne parlent pas (15)
Les enfants abandonnés ont du mal à exprimer une révolte. Ils survivent. Le manque de père, le manque de mère est pour eux une évidence. Devenus adultes, ils veulent pouvoir jouir des mêmes droits que leurs parents, ils ne peuvent remettre en cause cette perversion dans laquelle ils ont grandi, eux à qui on a promis de devenir adultes pour mieux être immatures. En les blessant dans l’enfance, on les a privés de la possibilité de comprendre que ces droits à faire toute et n’importe quoi, c’était leur enfermement et qu’ils seraient à l’origine de la souffrance de leurs enfants, s’ils arrivaient à en avoir. Quand ces handicapés arrivent à grandir, leur quotidien devient celui de la dépendance, de la drogue chimique ou sociale, qui seule peut réussir à leur faire supporter ce monde. La maladie mentale sert alors de paravent à la faillite de notre pays, les séances de psys pour enfants, les posologies abrutissantes, les gourous, les prévisions astrologiques, les développements personnels qui ne répondent à rien, signent la régression et entretiennent l’illusion et les faux espoirs tandis que les politiques sociales ne font qu’augmenter le désordre. On ne remplace pas le fait religieux impunément.
Prise de conscience de l’échec progressiste actuel.
Qui dira la souffrance des enfants privés de pères et qui sont le jouet d’une société incestueuse ? Qui parlera de ces femmes qui veulent naturellement tout et à qui on donne tout pouvoir mais qui pourrissent tout ce sur quoi leur pouvoir s’étend ? Ne pourrions-nous pas éradiquer cette mentalité débile de notre société avant que la catastrophe ne se répète encore et encore ? Sommes -nous déjà trop féminisés pour pouvoir combattre ce mal efficacement ?
Nous n’en sommes pas à une catastrophe près ?
Je ne suis qu’une voix dans le désert, mais j’ai encore un cœur pour sentir, des yeux pour voir et un cerveau pour penser. On me répondra que le monde n’en est pas à une catastrophe près et qu’il se passera bien de mon constat comme il s’est passé du constat de tous les autres qui m’ont précédé. Le monde en a connu d’autres. Seulement il faut être bien insensible pour ne pas voir la souffrance que cette catastrophe engendre. Les grandes catastrophes, cela fait « relatif » quand on en parle devant un écran d’ordinateur ou quand on est en haut de la pyramide du pouvoir ou quand on veut voir dans la lutte contre la pauvreté l’unique solution à nos problèmes. Mais quand on sent, quand on vit, quand on voit l’effondrement, il faut bien être la dernière des raclures pour rester sur ces pis-aller enfantins. L’incompétence a des conséquences. On ne peut pas jouer éternellement au jeu du « qui tirera le plus la couverture à soi » ou du « je ne veux pas voir » sans connaître une forme de régression. Bien entendu, individuellement, nous sommes toujours libres de choisir. Mais cette seule possibilité ne peut suffire à elle seule de caution à un effondrement. Les individus isolés n’ont pas la science infuse. Ils peuvent choisir de détruire la société et même de se détruire. Il faudrait les laisser faire au nom de cette liberté individuelle jusqu’à ne plus leur dire quand ils se trompent ? Que cache un tel laisser aller moral ?
A vous qui êtes en nombre suffisant pour renverser ce mouvement mais qui vous nourrissez individuellement de dépit et d’inconséquence, je voudrais vous dire qu’il est facile d’avoir envie que tout aille mieux sans en payer le prix.
1 Deux groupes d’extrême droite protestent contre leur dissolution, Libération du 28/10/2013.
2 Clément Méric, l’enfant de leur haine, Aimeles juin 2013.
3 L’école féminisée leur échappe, Aimeles 19/09/2012.
4 Evaluations internationales PISA des élèves, une machine à détruire les mères, Aimeles 06/12/2013.
5 Débat parlementaire de Jules Ferry du 28/07/1885.
6 Site de l’observatoire des subventions.
7 La caricature politique de l’école au début de la IIIe République, enjeux d’une propagande (I), caricatures et caricatures.com.
8 M Valls est-il cynique ou sous l’influence de sa femme, Aimeles du 09/01/2014.
9 Le pacifisme de l’entre deux guerres, la période de 1936, article du Wikipédia du 15/01/2014.
10 La gauche collaboratrice dans une France occupée, youtube Nerrati Europe du 24/03/2011.
11 L’histoire de l’extrême droite en France, Gilles Nadeau, 2002.
12 Depuis 1968, explosion des suicides des viols, des dépressions, Aimeles 09/2012.
13 Dossier sur l’affaire Humbert, Euthanasie TPE, 2008.
14 Catégorie « Les avortoirs », Aimeles.
15 Les morts ne parlent pas, Aimeles du 23/04/2013.
Laisser un commentaire