Tout commence par la fusion entre la mère et le fils. Le fils aime la mère et il finit par aimer, à travers elle, toutes les femmes. Les distinctions entre femmes viendront beaucoup plus tard, avec l’âge, et l’expérience, s’il l’acquière jamais.
En attendant, l’homme est empli de préjugés favorables quant à ce qu’il juge être le beau sexe. Il est prévenant, il est galant, il favorise l’insertion professionnelle des femmes. Toute critique des femmes lui est interdite sauf si ces femmes l’y autorisent. Il est alors dit « civilisé ».
Pour vous convaincre de ce pouvoir de censure que les femmes exercent sur la pensée mâle, vous n’avez qu’à vous rappeler l’hystérie collective contre les hommes qui a suivi les mouvements #Metoo et #BalanceTonPorc. Ces folies n’ont connu de remise en question qu’à partir du moment où des femmes célèbres en France s’y sont opposées en défendant un « droit d’importuner ». Des hommes défendus par des femmes, dans un débat où les hommes n’eurent pas la parole. Un comble. Par la suite, certains intellectuels/journalistes s’y sont joints.
Avant, cette critique n’avait lieu qu’à la marge de la société, ici-même sur internet. Aujourd’hui encore, une majorité de personnes qui ont le droit à la parole dans notre société prétextent de la nécessité et du bien-fondé de cette nouvelle chasse aux sorcières pour s’autoriser la moindre opposition, par peur d’être eux-mêmes victimes de cette chasse. Ici, dans ce débat sur le politiquement correct, c’est encore une femme qui se place en première ligne de la critique progressiste, tandis que l’animateur la soutient… contre un homme. Ce dernier, un journaliste du New York Times en est réduit à minorer les exactions de la part des féministes… parce qu’il se retrouve face à une femme et qu’il a du mal à la contredire.
Ce genre de débat sur la civilisation nous échappe pour bonne partie. Les féministes n’ont qu’à avancer l’image du monstre, du macho, de l’antiféministe pour réduire la pensée de leurs interlocuteurs à néant. Quant à la domination patriarcale, ce concept n’est utilisé qu’à des fins de culpabilisation des hommes. Il permet aussi de continuer à les valoriser intérieurement pour qu’ils ne s’effraient pas des sorcières qu’ils ont en face d’eux.
Autant dans la folie que dans le bon sens, les femmes appliquent un pouvoir de censure sur les hommes. Ce privilège, elles l’exercent pour investir des secteurs professionnels entiers.
Au début, les femmes ont été minoritaires dans pas mal d’activités. Au-delà des enfants à qui ils voulaient donner du pouvoir, je crois aussi que les pères ont favorisé l’insertion publique des femmes pour être enfin compris et reconnus dans les difficultés qu’ils affrontaient au quotidien. Face aux reproches des femmes, ils avaient tendance à penser « Venez mes chéries, vous verrez combien c’est facile », persuadés que les femmes ne voudraient jamais continuer dans une telle démarche. Il y avait aussi l’idée implicite que si elles continuaient et qu’elles le devaient aux hommes, elles auraient de la gratitude envers eux. Ce qu’ils n’obtenaient plus de leurs femmes au foyer, de la reconnaissance, ils l’obtiendraient de leurs filles. Manque d’amour quand tu nous tiens.
Or ils se sont trompés. Les femmes n’ont pas plié. Elles n’ont pas eu de gratitude spéciale envers les hommes, au contraire, les féministes se sont même récriées contre le moindre frein à leur insertion professionnelle qu’elles ont jugé de facto comme d’une injustice. Pour résumer, au lieu de servir le système, elles s’en sont servies.
Le fait d’être minoritaires dans les débuts mettait un frein à leurs aspirations. La mixité était une gêne. Elle l’est toujours. La mixité introduit des rapports de séduction qui montent les femmes les unes contre les autres, mais surtout qui les cloisonnent à un rôle qu’elles ne veulent pas jouer dans l’entreprise. Les hommes pensent que la mixité va favoriser la rencontre et leur pouvoir. Ils se trompent lourdement. Même si dans les premiers temps, les femmes jouent de leur sexe pour se faire recruter ou obtenir une promotion, plus tard viennent les règles de cloisonnement entre hommes et femmes. Ces dernières permettent de neutraliser la concurrence entre femmes et donc de continuer à s’approprier un secteur d’activité entier.
Mais il n’y a pas que ces règles explicites qui s’imposent désormais dans l’entreprise au nom de la « lutte contre le harcèlement ». Eliminer les hommes, c’est aussi monopoliser le pouvoir dans l’entreprise et éliminer les concurrents professionnels les plus dangereux. Et si l’homme est encore payé selon ses performances, il faut carrément édicter des lois pour affirmer que cette situation asymétrique relève de l’injustice, jusqu’à sanctionner des entreprises qui seraient réfractaires à une telle propagande qui les met pourtant en danger.
Eliminer les hommes, c’est encore se retrouver entre soi, avec les mêmes problématiques, les mêmes besoins et donc pouvoir faire pression sur l’organisation pour qu’elle y réponde : horaire des réunions, crèches, valeurs professionnelles d’efficience vs efficacité, sécurité de l’emploi.
D’où la surinflation étatique qui n’épargne pas les pays où les hommes ont réussi. Le fonctionnariat a de nombreux avantages pour les femmes, surtout en démocratie : majoritaires lors des votes, elles exercent une pression forte sur les institutions pour obtenir gain de cause. En outre, la performance dans ces métiers est difficilement évaluable. Là où une entreprise qui manque d’efficacité risque de faire faillite, il suffit à l’état de brimer toujours plus l’économie active pour obtenir gain de cause. L’état est le représentant idéal pour les femmes qui leur permet de courcircuiter tout intermédiaire marital (subventions filles mères, lois sur le divorce, avantages variés et nombreux quant aux séparations…).
Plus généralement, les métiers du relationnel, que les femmes investissent, sont des métiers dont il est difficile d’évaluer la performance, quand bien même il faudrait admettre que ce sont des métiers. A vrai dire, payer une femme pour s’occuper d’autres, qui n’appartiennent pas à son clan, c’est prendre un gros risque. Dans les maisons de retraite, les maltraitances se sont généralisées. Et quand une personne témoigne, il faut que ce soit un homme dans un milieu où il n’y a presque que des femmes en France.
Pour répondre à cette critique, les milieux féminisés ont leur saint graal : le manque de moyens. La France est en train de crever d’imposition étatique, mais dans ces mêmes milieux, tous les problèmes viendraient du « manque de moyens ». Où comment continuer à se déresponsabiliser sur le dos de la communauté. Disons plutôt que si les femmes passaient un peu moins de temps au café, à discuter entre elles, elles auraient plus de temps pour les personnes dont elles ont la charge.
Les femmes compétentes ne manquent pas pourtant. Isolées, elles sont capables. Mais quand vient le temps de la maternité, ou quand elles sont en groupe, dès lors, tout s’effondre. Pas besoin de m’étaler sur le handicap lié à la maternité. Cette dernière contraint physiquement, mais aussi change les aspirations. Les bonnes mères comprennent bien vite que leur boulot rémunéré est un sous-travail. Les autres oscillent entre inhumanité et fainéantise.
Pour en revenir à l’effet de groupe, une femme compétente finit par devenir incompétente au milieu de ses congénères. S’il reste des hommes, elle ne sera pas forcément reconnue par ceux-là perméables au beau sexe, floués par les apparences. Au milieu d’autres femmes, elle sera une menace pour leur tranquillité. Enfin, se sachant en position d’infériorité, elle se soumettra à la matriarche qui dirigera le groupe. Elle ne se risquera surtout pas à perdre son poste pour des questions d’honneur qui sont l’apanage des hommes. Très vite, elle comprendra que son besoin de sécurité dépend de la plus forte d’entre celles-là, et que tout acte de moralité la mettra en danger. Donner sa vie pour les autres est très masculin, que ce soit à la guerre, pour nourrir sa famille, pour l’amour d’une belle. Quant aux femmes, elles peuvent donner leur vie aussi, mais seulement pour leurs enfants. Leur rôle biologique les encourage à se protéger, à les protéger, de toutes les manières possibles et imaginables. Le mensonge et la méchanceté sont inclus dans le kit. Mentir ou détruire moralement une personne est la manière pour une femme de se protéger physiquement. Cela devient une habitude, une seconde nature.
Quand une femme était cloisonnée à son rôle historique dans le village ou dans sa famille, elle était adaptée à son environnement, à sa nature, à ses aspirations. Aujourd’hui intégrée dans les milieux professionnels, elle y règne pour le pire. Elle s’arroge un pouvoir supplémentaire qui nous fait sombrer chaque jour dans le totalitarisme.
Depuis toujours, une tectonique des plaques féminine est à l’oeuvre dans la société, dont le féminisme est aujourd’hui la partie la plus visible. Ce mouvement est fait de luttes, de guerres d’influence, de censures impitoyables, de tyrannie, d’affrontements entre groupes de femmes auxquels les hommes ne comprennent rien ou pas grand chose.
Je suis très observateur des femmes. J’ai vécu au milieu d’elles, dans des milieux professionnels particulièrement féminisés, dans lesquels j’ai essayé de survivre. Et pourtant, alors que j’avais déjà une certaine expérience de la vie, c’est une toute jeune femme qui m’a aidé à comprendre ce que je vivais. C’est une femme dominante qui m’a permis de poursuivre mon chemin. Et finalement, c’est aussi une femme qui m’a éliminé quand je n’étais plus sous protection. Il est très frustrant pour un homme de comprendre que ses compétences n’auront rien à voir avec sa réussite professionnelle, qu’il devra tout à des réseaux de relations sentimentales.
La première de ces femmes à qui j’expliquais que je ne voulais pas faire parti d’un groupe de femmes dans mon environnement professionnel, s’est littéralement effrayée de mon attitude. Pour elle, ne pas choisir son groupe, c’était être isolé et donc être voué à la mort sociale. J’ai refusé d’adhérer à des principes tribaux auxquels je ne comprenais rien. Heureusement, une dominante m’a protégé. Elle avait reçu de l’amour de son père et elle a refusé que je me sacrifie là où je croyais que c’était un impératif professionnel que de le faire. Par la suite, une troisième, jalouse de ma réussite professionnelle, aussi vexée que je me refuse à elle, incapable de supporter le bouleversement hormonal lié à sa maternité, malade de son père, a réussi à avoir ma peau, si facilement que je pense qu’elle en a été surprise. Pour tout dire, j’en avais marre de ce milieu féminisé où rien n’était à sa place et qui d’ailleurs n’a cessé de sombrer depuis.
Ce n’est qu’un cas personnel vous répondront des hommes défenseurs de ces dames. Mais au vu de la féminisation totalitaire qui sévit dans l’enseignement, la justice, le soin, et maintenant l’armée, il va bien falloir trouver d’autres explications que « Les hommes fuient les femmes parce que ces métiers ne sont pas assez payés ».
Cet argument n’a pour but que de vampiriser une société qui l’est déjà bien assez, et d’augmenter des salaires de fonctionnaires qui seront bientôt les seuls à avoir un travail. Car il est évident que si les hommes fuient ces métiers en pleine période de crise, de chômage supérieur pour les hommes par rapport aux femmes, là où les salaires des fonctionnaires sont stables, voire en progression, ce n’est évidemment pas à cause du salaire, mais parce qu’ils en sont chassés par des gorgones vivant d’impunité.
Si la société force les entreprises à ne pas discriminer des femmes enceintes qui en moyenne, sont pourtant moins performantes que des hommes, bien d’autres problèmes sont liés à un emploi des femmes que les hommes supportent. Par exemple qui évoque la question hormonale de femmes enceintes devenues ingérables sur leur lieu de travail ? Qui souligne que des femmes « injustement » concurrencées par des hommes vont avoir tendance à vouloir les éliminer de leur cadre professionnel (voire de leur famille) ? Qui parle du principal problème de l’humanité : le manque de moralité, moralité qui a pourtant pour but de canaliser les réflexes animaux, notamment des femmes. Qui dénonce ce besoin de sécurité dans des milieux professionnels qui ne sont pas fait pour ça ? Qui dénonce l’amoralité qui en découle ?
Oh, les nouvelles féministes se soucient gravement de savoir comment les petits garçons vont être bien éduqués pour être gentils avec leur future serpillière à sperme. Mais jamais elles ne portent un regard sur elles, et sur leurs responsabilités, parce que elles, vous comprenez, elles sont toutes fragiles.
La fragilité et la tyrannie vont de pair. Mais le sentiment de fragilité seul, sans aucun fondement, peut lui-aussi mener à la tyrannie. Aujourd’hui nous en avons l’exemple avec des femmes qui n’ont jamais été aussi puissantes, et qui imposent pourtant des règles de tortionnaires aux hommes, jusqu’à en avoir fait officiellement des sous-humains.
Il faut dire que le féminisme, par définition, a pour but de défendre leurs droits. Femmes contre hommes. Et maintenant que les droits des personnes ont progressé, pédés contre hétéros, trans machin chouette contre personnes sexuées, nègres contre babtous ou bougnoules, jeunes contre vieux. Le règne du féminin comme paix universelle, il faudra repasser. Son retour signe plutôt celui du tribalisme, des sacrifices publics, des lynchages, de la guerre civile, de la fin de la conscience individuelle et des libertés publiques.
Cet esclavage, nous le ressentons particulièrement dans l’économie. Les travailleurs hommes ont de plus en plus de mal à supporter un état féminisé qui vit sur leur dos. L’administration fiscale est la représentante ultime de cette tyrannie, elle qui peut mettre à la rue n’importe qui, sous prétexte de mauvaise foi, ou en déployant des moyens disproportionnés. Rien ne la contient dans la loi. Chez nous, l’administration publique est au-dessus des lois qu’elle impose aux autres, machine sanguinaire à tuer la liberté des individus et à les pousser au suicide. Mais en vérité, elle n’est que la représentante des femmes, femmes qui décident des élections, femmes qui monopolisent les emplois de fonctionnaires, femmes qui bénéficient majoritairement de toutes les aides sociales tandis que les hommes crèvent dans les rues, et qu’ils y sont mis volontairement parce que devenus inutiles à leur famille de matriarches.
La mainmise des femmes est telle qu’aucun homme politique n’ose affronter le problème de front. Même ceux favorables à la réduction du nombre de fonctionnaires, bottent en touche, parlant de réduire les effectifs, mais pas celui de tous ces fonctionnaires si utiles à notre nation, enseignants, juges, infirmières etc… tout simplement parce qu’il faut dire aux femmes qu’une autre sera concernée, pas elles. Le mensonge est patent et les femmes le savent si bien que cet immense problème n’est jamais questionné sereinement. Il ne faut pas blesser les égos au nom de la vérité. Le politiquement correct évite l’affrontement tout en favorisant la guerre civile.
Addenda du 27/05/2021 : cette demande de sécurité des femmes a abouti en France à une frénésie d’intervention étatique dans l’économie (nous en sommes à plus de 60%, record mondial !), intervention qui a faussé tous les prix de marché. Comme le signale Charles Gave, les mécanismes de planche à billets européenne et le financement des déficits publics par la destruction de l’épargne, permettent à des entreprises privées inefficientes de continuer à vivoter. Ces mécanismes empêchent aussi d’autres, plus performantes, d’émerger, l’imposition formant une sorte de barrière à l’entrée. Et enfin, ces mécanismes de financement public développent un secteur étatique complètement inefficient.
Ainsi, la féminisation du marché de l’emploi et son corolaire en forme d’augmentation du besoin de sécurité, a participé à fausser les prix chez nous. Nous achetons des biens publics gratuitement, biens de mauvaise qualité et qui nous coûtent très chers. Dans le secteur privé, nous générons du profit à partir de biens qui ne devraient plus se vendre, et donc nous abaissons nos marges de rentabilité, générant moins de PIB que nous ne le devrions. Et enfin, le pire : peu d’entreprises innovantes peuvent émerger dans un tel écosystème financier. D’où une régression de la France dans le concert mondial.
Mais le mensonge n’a pas gagné que dans l’économie. La censure procède du même mécanisme. Car il s’agit là de fausser les termes du débat, avec le même résultat que dans l’économie : une perte de capacité à s’adapter et un appauvrissement généralisé. La censure qui a été fortement favorisée par des esprits féminisés pour “protéger de pauvres minorités”, dont une majorité de femmes, a permis au mensonge de s’imposer. Nous en avons constaté un des effets parmi d’autres durant cette crise grippale du covid19 : nos institutions ont non seulement favorisé des solutions de protection des populations disproportionnées et inefficaces, mais il n’a pas été possible de revenir dessus. Et ce sont les femmes qui ont très majoritairement cautionné notre absence de réflexion sur le sujet. Habituées à protéger leurs enfants et leur famille, elles n’ont vu que par les soins, jusqu’à légitimer la tyrannie en surévaluant le danger que nous étions en train de courir. Mêmes causes, mêmes conséquences. L’appauvrissement, mondial cette fois, a été gigantesque, pour presque rien. L’intervention étatique dans l’économie n’a cessé de croître. La soviétisation a progressé dans les pays perméables à ce genre de discours.
La sur-représentation des valeurs féminines dans le débat public fausse notre perception du monde, pour le pire, et nous conduit à un appauvrissement généralisé. Tout comme l’intervention des hommes dans la maternité est une catastrophe. Les bateaux sont en sécurité dans le port, mais ils ne sont pas faits pour y rester.
(fin de l’addenda)
Dans notre pays, les femmes n’ont réagi, et n’ont autorisé les hommes à réagir, à travers le mouvement des gilets jaunes, que lorsqu’elles ont commencé à être touchées par cet état invasif. Femmes des milieux modestes donc.
Il était plus que temps car la déconfiture est totale. Si l’état ne peut plus se payer une bonne conscience par le racket des forces vives masculines de notre pays, que lui reste-t-il ? S’attaquer au problème des banlieues ? Bon courage. Et puis pourquoi se priver de son électorat… S’attaquer aux riches amoraux ? Les institutions en sont remplies. Mettre en cause la fonction publique ? Celle-ci a été tellement mal gérée que, tout comme dans les banlieues, c’est un nouveau tonneau des Danaïdes, qui vote pour ceux qui la paye…
Dans d’autres pays, là où les institutions sont moins corrompues, les peuples ont réélu des hommes forts, comme d’une dernière chance. Ce n’est pas un hasard. Le marasme au féminin a bien vécu sur la bête, et il va falloir qu’il cesse ou qu’il se décide à redevenir plus empathique envers les hommes. Ce débat, nous devons le mener aussi chez nous pour survivre. Avant même de retrouver un homme viril à la tête de notre gouvernement, il faudra en éduquer dans la société. Mes articles et ceux d’autres personnes y contribuent très modestement. Ce mouvement est inévitable pour les pays qui veulent prospérer. Notre rôle est de l’accélérer, de le rendre plus conscient et profond que jamais, et ceci afin d’éviter la cause de tous les marasmes : “Trop tard!”.
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