Les cas sociaux engendrent les cas sociaux et les familles qui réussissent des familles qui réussissent, sauf exception.
L’exception est pourtant importante. Elle est le miracle, le signe que des individus dans une société donnée peuvent ressusciter à la vie, ou à l’inverse, que des enfants peuvent choisir le mal, et une société malsaine le favoriser.
Vous l’aurez compris, dans notre environnement en perte de spiritualité, et riche du divorce, les exceptions malsaines deviennent la règle. Non seulement, les gens s’entendent de moins en moins, mais en plus, ils divorcent de plus en plus. Ce mouvement semble avoir si peu de limites que d’aucuns en sont à se demander si l’humain est fait pour la monogamie. Pourtant malgré ce cadre défavorable, les adolescents continuent à rêver d’amour, au couple, à espérer pouvoir se perpétuer à deux. La famille traditionnelle est profondément ancrée dans le devenir de l’humain. La situation que nous vivons actuellement n’est donc pas normale. Elle est une victoire du mal qui en est arrivé à nous faire désespérer et à nous faire imaginer des solutions toujours plus folle à un problème qui se formule simplement : comment nous entendre entre hommes et femmes ?
Cette question en appelle immédiatement une autre : comment hommes et femmes se rencontrent ? Qui peut se réinterpréter ainsi si je veux faire preuve d’honnêteté : comment les femmes choisissent l’homme de leur vie ? Car l’homme propose et la femme dispose. Et ce n’est pas parce que nous avons gagné en liberté que le monde a changé. Dans la vie de tous les jours, il arrive que ce soit la femme qui fasse le premier pas. Cependant, il n’y a pas de meilleur moyen de tuer le désir chez un homme. En effet, dans ce type de relation, le phallus est symboliquement utilisé par la femme qui invite son partenaire à renoncer à toute masculinité pour vivre avec elle. Autant dire que ce couple débutant va commencer sous les plus mauvais auspices et que cette relation va se terminer le plus souvent par le cocufiage de la femme quand son mari voudra reconquérir son statut de mâle ou s’éprendra d’un autre homme. Si entre temps, ce couple a fait des enfants, vous pouvez les ranger dans la catégorie « cas sociaux ». D’où les réticences d’un homme à se faire draguer. Quand bien même il accepterait cette situation, il imaginera au fond de lui que cette concession ne sera que temporaire ou qu’il pourra la supporter. Il s’engagera avec l’espoir de pouvoir rester un être immature ou de devenir celui qui tiendra la culotte dans le couple, même si ce ne sera jamais le cas.
Quand elles ont eu un papa, les femmes comprennent très vite que si elles désirent, elles doivent surtout susciter le désir pour gagner en pouvoir, et choisir le « compagnon idéal » d’une relation saine. Il faut au moins donner à l’homme l’illusion d’être à sa place d’homme. D’où le maquillage, le shopping et autres forfaitures qui n’ont que peu d’intérêt pour cette discussion sauf à rajouter qu’en plus de devoir tenir leur place d’homme dans la relation naissante, ou de faire semblant, nos damoiseaux devront se défier de ce genre d’usurpation et orienter leur désir par-delà le masque dont se parent les femmes. Cela est d’autant plus difficile que les garçons sont appelés dès leur plus tendre enfance à aimer le corps de ces dames à travers celui de la première qu’ils rencontrent et qu’ils aiment plus que tout : leur mère. En fait le maquillage et l’habillement d’une femme ne doivent avoir qu’un seul intérêt : montrer à l’homme qu’elle est disponible et prête à faire des efforts pour lui. A certaines époques, les Romains ont d’ailleurs interdit aux femmes mariées de porter des bijoux sous peine d’amendes.
Un homme qui veut réussir sa vie de couple, doit donc se défier du corps des femmes qu’il côtoie pour évaluer les qualités réelles et les valeurs qu’il partage avec une compagne potentielle. Certes, le corps a son langage, mais il a aussi des qualités communes inintéressantes pour orienter son désir. Comme aiment à se le dire les adolescents un peu provocateurs « un trou est un trou, une chatte est une chatte, une bitte n’a pas d’oeuil ». A suivre nos attirances sexuelles seules, nous nous mettons en couple avec n’importe qui et laissons surtout les femmes en décider. Pour courcircuiter l’emprise du sexe sur leur vie, beaucoup de jeunes adultes modernes n’ont pas trouvé de meilleur moyen que de baiser avec le plus de personnes possible. Cette masturbation par corps interposés empêche surtout de réinvestir son énergie dans une rencontre importante et de se focaliser sur une seule personne. C’est une déviance au sens littéral du terme.
Dans le cas commun, le mensonge de la plastique permet aux femmes de choisir. Or heureusement, si les hommes sont trop souvent bernés par les corps féminins, ou par leur désir, les femmes elles, choisissent moins au hasard. Ainsi, il y en a souvent un de lucide pour assumer la relation ou pas, ce qui empêche bien des drames. Ce censeur est souvent féminin. D’où l’intérêt de s’interroger sur ce qui les émoustille pour mieux savoir dans quoi nous nous engageons en tant qu’hommes.
Vous pensiez que les temps de chevalerie étaient dépassés. Rien de plus faux. Rien n’a changé entre hommes et femmes depuis des millénaires : un homme montre ses qualités dans le tournoi de la vie, la femme l’évalue, et l’adoube, ou pas. Vous pensiez également que la mixité était de mise dans notre société du tout permis. Rien de plus faux également. Nous côtoyons les gens qui ont les mêmes revenus que nous, les mêmes parents que nous, les mêmes moyens que nous, les mêmes intérêts que nous, les mêmes codes que nous, les mêmes repères que nous, les gens qui nous comprennent et que nous comprenons, les gens qui fréquentent les mêmes lieux de détente que nous, qui ont le même langage. Finalement, le choix d’une compagne potentielle en est d’autant plus restreint. La religion seule qui permet l’égalité des statuts devant Dieu et uniformise les codes, autorise un peu de jeu dans cette mécanique sociale. Notre pratique moderne du culte étant ce qu’elle est, vous en conclurez par vous mêmes combien nous avons gagné en diversité réelle et en possibilité de nous rencontrer…
Ainsi hommes et femmes se choisiront d’autant mieux qu’ils sauront ce qu’ils sont et d’où ils viennent, et qu’ils accepteront l’idée qu’ils doivent partager les mêmes valeurs avec leur promis(e) pour espérer se perpétuer dans les meilleures conditions, même si ces valeurs proviennent de milieux sociaux différents. Nous sommes attirés par la différence, mais la similitude nous convient. Et il ne faut pas confondre cette nécessaire complémentarité physiologique, psychologique, sexuelle qui fonde le couple, avec l’impératif d’avancer dans la même direction, ou encore avec la question de notre milieu de naissance. Cette confusion crée bien des malheurs dans notre société moderne qui mélange tous les plans, et qui croit tout possible, de plus en plus par désespoir, quand elle ne supprime pas la complémentarité homme-femme, ou ne l’inverse.
La complémentarité, vivre d’amour, c’est admettre son incomplétude.
Combler un manque, sécurise. Femmes et hommes cherchent à se sécuriser en entrant dans une relation, mais pas pour les mêmes raisons.
La sécurité pour une femme ou ce qui autorise l’homme à être envisagé comme compagnon durable (je ne parlerai donc pas des multiples expériences sexuelles hypergames d’une femme qui la ramèneront immanquablement où elle devait en arriver, ici) :
1 La ressemblance/dissemblance avec son père
Il n’est pas tout à fait exact de parler du père d’une femme. Il est plus exact de parler de l’image qu’elle s’en fait, et pire encore, l’image que s’en fait sa propre mère et qu’elle lui a transmis. En somme, la première des variables qui sécurise une femme, ne vous appartient pas. Elle n’est pas de l’ordre d’un choix, mais d’un modèle qui n’est pas un choix non plus pour elle. Du coup, chaque rencontre « importante » doit être relativisée. D’autant plus que l’homme aussi se réfère à sa mère, où à l’image de sa mère, ou à l’opposé de l’image de sa mère (ce qui revient au même), quand il envisage de considérer une partenaire plus sérieusement que comme une pute. Vous comprendrez aussi facilement que dans un modèle volontairement transgressif, où le recul des parents n’est pas sollicité, vous aurez tendance à reproduire une histoire passée qui n’est pas la vôtre, à l’identique. Ou comment le choix insécurise et tue la diversité là où il était censé l’encourager… Cependant, et il ne faudra jamais assez se le répéter, vous ne pouvez vous fixer que par rapport à votre histoire passée. Elle est votre héritage, et le mieux que vous puissiez faire, c’est la prendre en compte pour avancer. Pour votre couple, il n’y a qu’une seule règle à suivre pour savoir si cette histoire vous mène quelque part : est-ce que vous êtes sur la même longueur d’onde avec votre partenaire ?
2 Le désir de l’homme
Le désir pour une femme rend un peu/très con, selon l’âge. Mais il facilite la rencontre. En effet, le sentiment dévorant d’un homme pour sa belle la flatte, et l’incite à accepter la relation. A l’extrême, il lui donne un pouvoir démesuré, si ce sentiment est réel (une des caractéristiques des pervers et des séducteurs est de savoir mimer ce désir pour inverser le rapport de domination). De toutes les manières, la femme n’a pas le droit de perdre la tête face à ce désir, elle qui est pourtant mise sur un piédestal, et qui a souvent suscité ce désir. Dans cette situation, celle qui est aimée doit discerner le bon du mauvais, la relation envisageable de celle qui ne l’est pas. Car une femme peut avoir suscité la relation, sans en vouloir, sans même savoir si elle pouvait aboutir. Elle doit alors prendre ses responsabilités, prolonger ou casser, laisser à l’homme la possibilité de la connaître, et inversement dans un aller-retour plus ou moins fécond. Mais si elle n’est jamais l’objet d’un tel désir, elle ne doit pas le chercher à tout prix (syndrome du prince Disney) car alors se cache chez elle une volonté de domination sans concession, et d’incapacité à accueillir un homme tel qu’il est, ce qui explique son échec.
Si l’homme qui désire et celle qui s’est faite désirée, sont animés par les mêmes valeurs, et si ces valeurs sont positives, le hasard fait bien les choses et la relation a une chance d’aboutir. Si la société protège les engagements de chacun, la rencontre passionnelle a le temps de s’apaiser dans la durée. Sinon, elle échoue. Si ce désir n’est que sexuel, la relation naissante tient plus de la roulette russe que de l’engagement, avec une majorité de balles dans le barillet.
Primat d’un désir masculin jugulé.
Dans une société qui ne protège plus les engagements, où la moralité n’a plus cours et où donc les gens ne se retrouvent plus sur les mêmes valeurs, le désir des hommes devient un traquenard pour eux. Il est intéressant de noter que la « libération sexuelle » n’aurait pu aboutir que dans un cadre qu’elle était en train de détruire. De leur côté, les femmes modernes lascives investissent dans des futilités (leur travail), et négligent souvent la psyché masculine, jusqu’à ce que leurs « amoureux » ne soient plus assez aveugles pour pouvoir les rassurer. Car pour les hommes, la confiance dans les femmes diminue avec l’âge alors qu’ils sont capables d’être d’autant plus entreprenants. Et davantage une femme attend, moins elle a de chance de prendre dans ses filets ce qu’Agatha Christie appelait une « tête de veau au regard malade« . Cependant, ce mécanisme n’empêche pas nombre d’entre elles à qui il a été promis monts et merveilles, d’espérer de tomber sur un homme à la stupidité identique que lorsqu’il était adolescent, tandis qu’elles sont parvenues à un âge avancé pour se reproduire. Cette divergence explique le nombre grandissant de célibataires dans notre société. Le désir masculin a été contraint dans un cadre où il ne peut plus s’épanouir de manière positive et susciter la rencontre. Trop fort à un moment où il n’est plus protégé, trop faible ou trop maîtrisé pour des working girls médiocres, fripées et parfois même mamans. Au fur et à mesure que l’insatisfaction grandit dans notre société, le désir féminin prend les devants pour nous faire accepter des relations plus impossibles les unes que les autres. L’homme doit alors endosser le rôle de censeur à un âge où il devrait être marié et bon père de famille, à l’abri de la convoitise dans une société morale. Cette inversion des rôles marque une époque où les femmes n’ont pas su cultiver l’amour dans leurs existences et le cherchent de manière hystérique ailleurs que chez Dieu. Elles veulent pouvoir revenir sur leurs choix. Mais pas plus que pour les hommes, l’horloge de la vie ne remonte jamais le temps.
3 Les valeurs
Derrière ce vocable, s’agglomère les conceptions qu’une femme se fait de la vie avec un homme.
Ces valeurs lui sont données en héritage par son père et par sa mère. Si son père et sa mère lui donnent un bon exemple, la femme reproduira cet exemple, tout comme elle reproduira, en général, un mauvais exemple. Dans une famille saine, les femmes favorisent l’accueil de l’autre, ouvrent la discussion, prennent en compte les affects de chacun, adoubent le père auprès de ses enfants etc… Les hommes de ces familles saines sont des êtres moraux, qui font vivre des règles justes entre chacun et s’y soumettent, ouvrent les enfants au monde par le jeu, leur apprennent ces codes sociaux qui leur permettront de s’insérer en société, sanctionnent les manquements, stoppent la discussion quand elle est devenue un moyen d’échapper à la vérité. Les familles de cas sociaux, riches ou pauvres, ne respectent pas ces règles. Elles perpétuent des pratiques favorables au conflit comme délégitimer le père auprès des enfants pour une femme, par des provocations multiples et variées, ou appliquer des règles injustes pour un homme. A noter qu’un homme qui possède de hautes valeurs est très attirant pour une femme, mais que celle-ci n’est pas forcément apte à vivre avec lui du fait de l’exemple qu’elle aura reçu, et/ou de ses manques personnels. Ainsi le preux chevalier doit-il se méfier des femmes qu’il attire et se concentrer surtout sur la réalité de celles qui lui envoient des signes positifs, au risque de se brûler les ailes dans une relation précoce s’il est obnubilé par le désir qu’il a réussi à provoquer chez une femme qui lui plaît. Plus généralement, les femmes vénales iront avec des hommes vénaux, les religieuses avec des religieux, les enfants perdues avec les enfants perdus, les orgueilleuses avec des orgueilleux et ainsi de suite pour les pragmatiques, les abrutis, les intellectuels, les artistes, les baiseurs et tous les autres. Et il vaut mieux qu’il en soit ainsi comme je l’ai suggéré avant. Car imaginez les dissensions qui pourraient naître entre un baiseur et une religieuse, pour ne citer qu’un exemple. Hommes et femmes qui se rencontrent doivent cultiver les mêmes plaisirs, avoir les mêmes intérêts dans la vie, car non seulement ils ne se comprendront pas si ce n’est pas le cas, mais de surcroît ils s’affronteront.
4 L’argent/la célébrité/la position sociale
L’attirance des femmes pour l’insertion professionnelle de leur futur mari et plus généralement pour ses revenus, n’est pas une question de vénalité comme le pensent la plupart des hommes quand ils découvrent cet état de fait. C’est une nécessité.
Dire que les femmes n’aiment pas le corps des hommes, parce qu’elles seraient moins dominées par leurs instincts, est une grosse erreur. Une femme aussi peut entamer une relation inappropriée attirée bestialement par ses hormones et celles de son partenaire sexuel. Une femme normale aime les muscles, la jeunesse, la force, l’esthétique masculine, la puissance qui peut se dégager d’un corps d’homme. Les femmes ne se donnent pas aussi facilement que les hommes parce que justement, le corps a plus d’emprise sur elles, et qu’elles laisseraient ainsi leur partenaire les dominer dans un domaine où elles doivent savoir se faire respecter et désirer. A l’inverse, les hommes peuvent plus facilement baiser sans s’impliquer émotionnellement.
La force physique masculine rassure la nature fragile de la femme qui se révèle, encore une fois, au moment de la maternité. La femme a parfois développé des compétences sentimentales pour compenser cette fragilité. La nature se paye de complémentarité et heureusement que les corps expriment aussi des caractères sinon hommes et femmes seraient encore plus trompés qu’ils ne le sont par le corps des uns et des autres.
6 La stabilité émotionnelle/l’instabilité émotionnelle
Les Anglais appellent cela le « shit test ». Une femme qui accepte que vous l’approchiez, va forcément vous renvoyer dans les cordes au cours d’une discussion pour tester votre réaction. Ce sera un long silence, une remarque assassine, une incohérence. Car en plus de devoir éprouver du désir, le chevalier servant devra savoir le contrôler.
En matière d’instabilité émotionnelle, les psys ne disent-ils pas que l’amour est la rencontre de deux névroses. Ici, le terme d’amour est complètement impropre, mais passons. L’idée à retenir est que si vous attirez une femme grâce à vos qualités, il est aussi possible que vous l’attiriez par vos fragilités.
7 La prime à l’originalité
8 La loose
(Voir le passage à partir de 1’34)
Si vous n’avez plus le désir d’un adolescent, si vous ne côtoyez plus des dizaines de femmes comme aux temps de l’université ou du lycée, pour sélectionner une qui corresponde à vos valeurs, si vous n’avez pas d’argent, si votre corps n’a plus 18 ans (période de fécondité/désir maximal pour un homme), et si vous avez eu une mère folle et un père absent, si votre milieu familial ou professionnel ne favorise pas les événements propices à vous faire trouver une compagne (bal des pompiers, rallyes…), si vous fréquentez des femmes intelligentes, ne vous étonnez pas d’être célibataire. Par contre, vous comprendrez mieux pourquoi les footballeurs professionnels qui ont parfois le cerveau d’une limande trouvent femme et construisent des relations assez stables, jeunes, tout au moins tant qu’ils gagnent de l’argent . En effet, ils sont indépendants financièrement, bien portants et bien faits de leur personne, riches, bourrés de testostérone (qui décuple leur désir), ils ont des valeurs dans lesquelles bon nombre de femmes du prolétariat peuvent se reconnaître, et s’ils ne sont pas forcément très stables émotionnellement parlant, leurs épouses se chargent de les excuser eu égard à toutes les qualités sus-cités. Cela leur donne même un petit côté loose qui n’est pas sans être gratifiant pour elles.
Maintenant comme je l’ai dit en début d’article, un miracle est toujours possible dans un sens ou dans l’autre. Ne désespérez pas et sachez cueillir la fleur du matin même si elle s’approche de midi, et que le prix à payer pour jardiner un terrain de plus en plus accidenté augmente dans notre parc national. Il est des célibats contraints, mais heureux. Il est des unions choisies, mais troubles. Nous ne sommes que pétales jetés au vent.
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C'est aussi et surtout une manière de capter l'attention de leur compagnon présent, afin qu'il ne s'endorme pas sur ses lauriers.
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"DANS LES RENCONTRES EN LIGNE, LE TOP 10 % D’HOMMES OBTIENNENT 58 % DES PRÉFÉRENCES DES FEMMES." Les 3 étendards du 06/01/2023.
Ce qui serait vraiment intéressant à étudier ce serait : qu'est-ce qu'elles leur trouvent exactement ?
"LES FEMMES PRÉFÈRENT SYSTÉMATIQUEMENT LES HOMMES AYANT UN REVENU ET UN NIVEAU D’ÉDUCATION ÉLEVÉS (ET PENSENT QU’ELLES SONT « L’ÉGALE » DE LEUR PARTENAIRE…). " les 3 étendards du 06/12/2022.
"BUG DANS LE PATRIARCAT : LE FAIT D’ÊTRE MOCHE RÉDUIT LES CHANCES DES HOMMES DE TROUVER UN PARTENAIRE, MAIS PAS CELLES DES FEMMES." les 3 étendards du 17/06/2022.
Une bite n'a pas d'oeil, un trou est un trou.
"LA PERSONNALITÉ D’UN HOMME N’A D’IMPORTANCE POUR UNE FEMME QUE S’IL RÉPOND D’ABORD À SES CRITÈRES DE BASE EN MATIÈRE D’APPARENCE." Les 3 étendards du 16/06/2022.
Et il y a Alexandre Jollien, marié trois enfants :
"LES GENS SAVENT-ILS CE QU’ILS DÉSIRENT CHEZ UN PARTENAIRE ROMANTIQUE ? EN RÉALITÉ, CE SONT LES FEMMES QUI MENTENT LE PLUS À CE SUJET. " 3 étendards du 13/06/2022.
"Essai sur les femmes" Shopenhauer