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Comment les hommes sont mécaniquement éliminés par le socialisme

La principale victime de la marche du monde est masculine, particulièrement en pays socialiste

Penchons-nous sur les grands mouvements historiques socialistes. Les camps de concentration en URSS sont principalement peuplés d’hommes, pour ainsi dire quasi exclusivement. Le communisme fomenteur de guerres élimine bien évidemment des hommes en masse pour s’imposer, à l’intérieur du pays qu’il veut conquérir tout comme à l’extérieur, communisme asiatique inclus. Mais ceci n’est pas un facteur propre au socialisme. Tout système totalitaire à vrai dire, agit de la sorte.

Reste une question en suspens :  y-a-t-il des systèmes totalitaires en dehors du socialisme ? Pour ma part, excepté quelques régimes militaires bâtards, je n’en vois pas. Même les oligarchies d’argent défendent leur petit groupe et dictent leur conduite aux individus n’appartenant pas à leur coterie, ou même, les individus de leur camp qui ne voudraient pas coopérer. Ainsi constituent-elles des systèmes d’oppression par le haut qui briment les consciences au nom d’une pseudo-vérité d’intérêt général légitimée par des artefacts intellectuels, socialisme s’il en est.

Il est vrai que, lorsque le socialisme s’impose et que les intérêts individuels ou la propriété privée ne commandent plus la marche sociale, la pauvreté s’étend et touche hommes et femmes. A la limite, les famines s’abattent sur les uns et les autres dans une quasi-égalité. Mais il est aussi d’une règle universelle que les femmes sont victimes de leur volonté de contrôle social après que les hommes sont les premiers touchés. 

Prenez les infanticides par avortement. Tout d’abord, l’assassinat est présenté comme d’une mesure égalitaire de libération de la femme par rapport à l’homme. Puis s’en suit la solitude, la stérilité et à l’extrême la sélection des mâles et l’élimination des femelles, comme en Chine ou en Inde. Les lesbiennes qui se font inséminer préfèrent pondre des petites filles, futures victimes des choix de leur mère.

Autre exemple, l’alcoolisme en URSS. Les hommes en crèvent avant que les entreprises ne deviennent improductives et que les filles-mères ne s’appauvrissent et ne soient forcées à une double journée de travail pour survivre.

Dans nos sociétés, les féministes ont perçu le père de famille comme d’un problème avant que les femmes ne soient elles-mêmes touchées par la pauvreté et la délinquance de leurs enfants qui devait découler d’une telle posture. Encore de nos jours, il ne faut pas attendre de remise en question des principaux mouvements égalitaires. Cependant, d’autres discours féministes émergent pour s’inquiéter de cet état de fait. La bourrique masculine, rincée de partout, féminisée au possible, aura bien du mal à se relever d’un tel essorage.

Après ce bref tour d’horizon, voyons maintenant comment le socialisme procède pour s’attaquer aux hommes et à la masculinité en général.

 

La revendication égalitaire ou l’inefficience érigée en règle

De nos jours, les quotas de femmes dans la haute administration ou dans les conseils d’entreprise, sont la partie émergée d’un iceberg bien plus large. En pays socialiste, la pression sociale s’exerce à tous les niveaux pour recruter sur des bases égalitaires. Le socialiste conçoit la production richesse comme ne dépendant pas des individus qui composent la société. Pour lui, c’est la société qui produit la richesse, le chef, le roi, le monarque, la dictature du prolétariat, la mairie. Ainsi, les décisions de la société, égalitaires en l’occurrence, permettent de partager un gâteau, que le socialiste perçoit de manière fixe.

Pire encore, il s’imagine souvent que cette politique générale va être source de création de richesse. En effet pour lui, l’égalité ou plutôt ce qui devrait être appelé jalousie, absence de différence, ou encore indifférenciation, rendra heureux des individus qui en retour, donneront le maximum au groupe. L’expérience prouve qu’il en va tout autrement, et qu’en pays socialiste, l’individu a alors intérêt à se reposer sur le collectif et à en faire le moins possible pour être rétribué autant que s’il s’était impliqué.

Et puis que dire d’une idéologie qui sous couvert d’égalité, déteste tout comportement novateur, toute différence qui aboutirait à une forme de préséance sociale d’un individu sur un autre, et qui sacrifie régulièrement des milliers de personnes qualifiées de folles ou d’irréductibles, crimes que le socialiste commet pour expurger la violence mimétique découlant d’une telle posture ? Ces mécanismes girardiens ou shumpétériens ont déjà été largement analysés et commentés par la littérature scientifique, ce qui n’empêche pas le socialiste de renouveler ses crimes à intervalles réguliers tant il a la mémoire d’un poisson rouge et tant il répète ce passé archaïque dont il veut faire table rase.

Ma contribution personnelle n’intervient qu’à ce stade du raisonnement. Car qui est l’individu novateur par excellence, le producteur de richesse par excellence, l’aventurier par excellence si ce n’est l’homme blanc de plus de 50 ans hétérosexuel ? Si le socialiste en est arrivé à ce point à s’acharner sur celui-ci, la raison en est simple : le socialiste a toutes les raisons de jalouser un tel personnage, a priori, quand bien même celui-ci ferait partie des 80% de cette catégorie pas plus intelligente, pas plus productive, pas plus innovatrice que la moyenne nationale. Seulement, pour le socialiste, il suffit que 20% de cette catégorie soit au-dessus de la moyenne, pour qu’elle dusse être castrée, socialement.

En URSS, malgré sa plus grande compétence, cet homme était rabaissé financièrement au niveau du commun. Il devint indistinct de la foule, des femmes, non reconnu dans sa famille, inutile en quelque sorte, et écrasé par le système socialiste/matriarcal/archaïque/tribal, il se mit à boire.

L’alcoolisme est d’ailleurs un bon marqueur de féminisation dans une société, ou encore la prise de drogue quand les pouvoirs publics cherchent à soigner les symptômes plutôt que la maladie, et à interdire la consommation d’alcool en la taxant ou en la prohibant. La France est en tête de la consommation de cannabis par habitant… Buvez du bon vin mes amis, raisonnablement, en général. Mais ne sombrez pas dans la déchéance complète qu’est l’alcoolisme ou l’addiction, et qui est à l’exact opposé d’une consommation de bon vivant. Ne devenez pas un de ces tribaux obligé de consommer de la drogue pour supporter une réalité trop dure à ses yeux d’enfant, un individu incapable de se sortir de l’emprise de sa mère.

L’enfant mâle, socialiste, lui, ne peut pas supporter la réalité. Il n’a pas de place dans un système tribal/communiste, où l’important, c’est de porter les enfants, et où toutes les ressources sociales ne concourent qu’à cet objectif, sans qu’aucune place vraie ne lui soit faite, horizon étriqué s’il en est. En effet, tout comme la tribu, la société socialiste/communiste s’imagine pouvoir pondre un nouvel homme par la magie de l’enfantement, avant maternel, ici social. Conséquemment, ce genre de société immanente n’aboutit qu’à une déchéance complète des civilisations et à un retour complet à un stade primitif de l’évolution humaine, sans parler des souffrances personnelles qu’elles génèrent.

 

Le quota, ou comment la compétence perd tout sens

Le quota n’est pas la cause l’incompétence. Il en est la conséquence. Recruter quelqu’un sur la base d’un quota, c’est imaginer que tous les autres postes qui ne subissent pas cette politique des quotas, ne servent à rien. Un homme vaut une femme, un homme sans culture du travail capitaliste, vaut un immigré de première génération issu d’une société tribale, un adulte vaut un enfant qui peut voter à l’âge de 16 ans tandis qu’il est considéré par toute la société des femmes comme un pauvre petit être immature. Imaginez la reconnaissance d’un homme dans un tel système. S’il est compétent, il lui est répondu qu’il ne génère pas plus de chiffre d’affaire qu’un autre. Voire il est stigmatisé comme d’un possible danger pour ses collègues. Ou bien, il lui est reproché de s’approprier un poste qu’une autre pourrait apprendre à tenir aussi bien que lui. En somme, meilleur êtes-vous en système socialiste, plus vous êtes rejeté. 

L’économie socialiste captant toute la rente des individus compétents, elle la redistribue à des personnes incompétentes qui gèrent des milieux ou la compétence n’a aucune importance. Et comme avec l’élimination des hommes dans la famille, il arrive que cela retombe 1 : sur les femmes compétentes qui sont elles -aussi discriminées ; 2 : sur toute la société qui ne sait plus générer de richesses. Ceci est à ce point vrai que dans une société française riche à crever comme la nôtre, qui doit tout à l’économie capitaliste, des bidonvilles sont réapparus autour de Paris, et autour de toutes les villes gérées par des assimilés socialistes, conséquence indirecte de l’irresponsabilité des citoyens salariés à tous les niveaux, particulièrement dans les milieux de fonctionnaires où le monopole est la règle et s’impose par la force de la loi. L’hôpital et l’école français sont devenus des poubelles en l’espace de quelques années.

A la racine de cette politique d’indifférenciation, existe ce que Tocqueville appelait la passion pour l’égalité des sociétés démocratiques, ou ce que René Girard appelle le mimétisme. Dans la grande ruche indifférenciée des petites filles sages, l’homme compétent n’est pas contrôlable. Cet aventurier est automatiquement perçu comme d’un danger par la ruche qui n’aime pas l’innovation, qui n’aime que ce qu’elle connaît et reproduit depuis des millions d’années. Il est alors envié jusqu’à devoir être sacrifié.

La démocratie n’est pas tant un système qui tend vers l’égalité, qu’un système de corruption mafieux où une offre politique qui se veut majoritaire négocie avec des entités minoritaires pour former majorité, et où donc, la médiocrité est de mise. Comme j’aime à le rappeler, l’essentiel de nos débats politiques en France ne consistent pas à proposer des projets concrets, mais à convaincre des groupes d’électeurs selon leur appartenance sociale. En boucle, les journalistes nous répètent à satiété qui d’untel ou d’untel a favorisé ou ému telle ou telle tranche de la population qui lui fait ou ne lui fait pas confiance, selon tel résultat dans les sondages. Aucune mesure n’est envisagée en ce qu’elle est bonne ou mauvaise, mais à quel point elle satisfait aux croyances de telle ou telle catégorie sociale. Au-delà de la médiocrité du débat, voilà qui enfonce n’importe quel peuple.

Vous me direz : et la grande réussite des Américains ? Or contrairement à ce qui se dit, les USA n’ont réussi à prospérer qu’en tuant la démocratie de manière institutionnelle, c’est à dire en empêchant le pouvoir central d’exercer sa prééminence sur le reste de la population, par tout un tas de contre-pouvoirs qui s’annulent les uns les autres. Le but des institutions aux USA a toujours été d’empêcher la démocratie, d’empêcher cette tyrannie de la majorité, c’est à dire l’exercice d’un pouvoir réel par le peuple. Et seulement depuis qu’un état profond a réussi à contourner ces règles, les USA dégénèrent.

En un sens, cet état profond qui se veut le représentant de la démocratie n’a pas entièrement tort. Il l’est bien, héraut de la démocratie, au détriment du pouvoir des individus américains qui ne cessent de reculer face à lui et sous son action. Depuis que l’idée démocratique prospère, et s’impose par le biais des socialistes, ce pays ne cesse de déchoir. Voilà encore pourquoi le voyou ou le coup de force, comme il s’est passé lors de l’élection du démocrate Joe Biden, est toléré. Pour l’Américain moyen, la liberté peut s’entendre jusqu’à la consécration de la loi du plus fort. Ce que jamais les démocrates n’accepteront. Si les démocrates ont usé de ce moyen pour imposer la démocratie, jamais ils ne toléreront que d’autres l’emploient pour la mettre à bas. Le démocrate est très jaloux de ses prérogatives à tel point que tout système alterne est intolérable à ses yeux, monarchique ou libre. Au contraire, l’Américain historique, lui, imagine bien un pays où l’individu s’imposerait contre l’esprit des lois, et seulement parce qu’il l’aurait désiré. Par essence, le cow-boy n’est pas démocrate, mais christique. Il vient rétablir la justice là où la majorité peureuse a failli. Et si le voyou est à ce point idéalisé aux USA, courses poursuites filmées à notre époque incluses, ou séries policières tortueuses à souhait, c’est parce qu’il a la capacité de remettre en cause des institutions jugées par essence, tyranniques, ce qu’elles sont bien. Il est un contre-poids à la puissance étatique, réaction qui a fait doublement élire un Donald Trump.

 

Les différents types de faussaires de l’égalité

Tout comme les banques centrales qui impriment trop d’argent faussent les prix du marché, favorisent des employés peu productifs, et en défavorisent d’autres qui ne seront pas justement rétribués, les socialistes dénaturent la société et la famille de bien des manières pour se créer une clientèle. Notez d’ailleurs combien cette tendance à vouloir conserver le pouvoir de manière artificielle en matière économique, en empêchant toute adaptation de la part des individus dans une sorte de paternalisme dévoyé, fait écho au désir de diriger un groupe social pour créer un « homme nouveau » loin de toute souffrance, sans un passage par la croix. 

« L’homme nouveau » ou la société égalitaire sont deux concepts socialistes qui s’alimentent l’un l’autre à toute époque. Le changement de l’homme permettra d’aboutir à une société égalitaire et donc juste et heureuse. Car le socialiste appelle justice, l’absence de différences, et non rétribution selon les talents de chacun. En vérité cette conception est à l’opposé de toute notion de justice. Mais là aussi, il faut que le socialiste retourne jusqu’au sens des mots. L’infanticide par avortement devient une libération de la femme etc…

Cette conception paradoxale de la justice suppose que chacun reçoive à part égale les fruits de la société parce qu’il n’y a pas de différences entre les individus. Or de fruits de la société, il n’y en a point. Existe seulement des fruits individuels. D’ailleurs, il est impropre de parler de la réussite d’une entreprise. Une entreprise ne réussit rien. Seuls ses employés qui lui donnent vie, peuvent concourir à sa réussite. Il n’est de richesses que d’hommes. Cette facilité de langage de parler de « la réussite d’une entreprise » est une autre marque du socialisme qui imprime les esprits depuis le fond des âges.

Inspiré par cette même erreur, et la poussant jusqu’à son extrémité, le socialiste considère que l’état, l’entreprise, le groupe, dans une abstraction désincarnée, génère la richesse, et que tous les individus de la sociétés sont égaux et indifférenciés, ce qui facilite son raisonnement : nous devons tout au groupe et rien aux particularismes individuels. Ainsi sont évacués la jalousie, le ressentiment, la volonté guerrière de tuer Abel et qui sont à la source de toutes les déconvenues de l’humanité : le péché originel. Pour supprimer la chaleur, cassons le thermomètre, pourrait être en quelque sorte un résumé de la démarche socialiste.  Refusons la croix. Le retour à des temps pré-christiques de la part du socialiste n’est qu’une manière simplifiée d’envisager le monde pour se donner l’espérance de progresser sans avoir à souffrir. Et contraint à falsifier le langage, le socialiste appelle cette régression, « progrès ».

Cette attitude est à rapprocher d’une immaturité d’enfant resté collé symboliquement à sa mère, et incapable de transcender les épreuves de la vie. L’homme dans la tribu grégaire n’est qu’un accessoire de la mère. Encore de nos jours, combien je vois d’hommes ne réagir qu’à ce qu’ils appellent « le beau sexe » et considérer ceci comme d’une des marques les plus élevées de la civilisation, alors qu’ils singent là son effondrement. 

 

1er stade : l’égalité

Les utopies de ces petits enfants prennent plusieurs formes, mais qui peuvent se résumer à une seule : « il n’y a pas de différences ». Oh, combien le socialiste célèbre les différences, pour affirmer qu’elles n’existent pas. Il n’y a donc pas de différences entre l’homme et la femme. Il n’y a pas de différences entre le caucasien et le congoïde. Il n’y a pas de différences entre l’adulte et l’enfant. Il n’y a pas de différences entre les personnes instruites et les autres, entre les riches et les pauvres, entre les pratiques sexuelles, entre les corps, entre les animaux et les humains et je ne sais quoi encore. L’imagination du socialiste est sans borne pour lui permettre de vivre dans le monde des bisounours.

Puis vient l’affreuse réalité. L’égalité homme femme aboutit à un renforcement des différences hommes femmes, dans les métiers, dans la famille, avec les enfants. L’égalité caucasien-congoïde aboutit au retour de l’esclavage et des ghettos. L’égalité adulte enfant, devient pédékirastie. L’égalité riches pauvres, augmente les différences sociales. L’égalité des pratiques sexuelles favorise les maladies sexuellement transmissibles, le sida par exemple. La normalisation du gros débouche sur une société diabétique et d’individus prompts à crever du covid. Enfin l’anti-spécisme ne peut aboutir qu’à la zoophilie, ce que les mariage et les héritages donnés aux animaux célèbrent déjà de manière anecdotique.  

 

2ème stade : l’égalitarisme

Devant des résultats aussi décevant, le socialiste ne va pas se remettre en question. La société n’a pas échoué à cause du socialisme mais par manque de socialisme. Ainsi devenu fou en France, le socialiste peut-il affirmer sans broncher que, dans un pays où plus de 60% de la production de richesses des individus est captée par l’état, nous vivons dans une société libérale. Il passe donc au deuxième stade de son plan : puisque l’égalité n’aboutit pas aux résultats escomptés, il faut passer à l’égalitarisme. La différence ne doit plus se voir, et pour ce faire, il faut priver les individus de liberté, mettre en opposition égalité et liberté, pour indifférencier les masses. D’où les quotas, d’où le vote universel, même d’individus non émancipés de leur cadre familial. D’où les enlèvements d’enfants par la justice, au nom de maltraitances plus ou moins inventées. D’où l’intervention dans l’intimité des couples pour exiger que les comportements soient nivelés, lavage de la vaisselle compris. D’où privation pour les hommes d’user de leur force physique, dans le couple, dans les conflits inter individuels, et remplacement de celle-ci par l’intervention de la force publique. D’où grille des salaires. D’où code du travail buissonnant. D’où oppression de la religion, surtout catholique, qui par sa mesure, offense toutes les inclinations extrémistes des socialistes. D’où délégitimation du père. D’où religiosité de la science et religion scientiste (transhumanisme).

 

3ème stade : la lutte de tous contre tous

Vient alors un troisième stade, où l’égalitarisme en vient à s’attaquer à son propre coeur nucléaire dans un effondrement de trou noir, et où il n’est pas possible de savoir qui va l’emporter de ce mouvement indifférenciateur ou de celles qui l’ont initié. Car la mère qui est à l’origine de l’inceste, de la confusion de tous et du tout, réagit parfois devant la souffrance de ses enfants victimes de pédékirastie, une pédékirastie qu’elle n’a pourtant cessé de favoriser en étendant ses pouvoirs à l’infini, suppression du père incluse. Elle réagit aussi quand elle s’aperçoit qu’il devient difficile de trouver un partenaire viable, ou encore quand une salope se sert des institutions misandres pour manipuler son ex-conjoint, ou inversement quand l’ex-conjointe devient un bourreau. Elle réagit aussi parfois quand, bourrée  de produits pharmaceutiques, elle des devenue une machine sexuelle, définitivement stérile. Elle réagit par un contrôle renforcé, par un laisser-aller total, ou en tentant « d’impliquer les hommes dans sa cause », ou alors en ressuscitant le père défunt, ou encore en promouvant gaïa. Autant d’attitudes contradictoires entre femmes qui donnent peu de chance à cette démarche collective de réussir.      

 

La masculinité éliminée

Quand le socialiste a transformé l’homme en alcoolique, en seconde mère, en déchet inemployable, en enfant capricieux, quand l’homme compétent n’est plus qu’un paria, jalousé, exclu, infériorisé, stigmatisé, humilié en tant que dominant patriarcal, colonisateur, ne reste plus que l’effondrement comme horizon dans une longue agonie parasitaire du capitalisme, car l’homme en particulier et la différence en général sont à la source de tout principe évolutif. Et un cycliste qui arrête de pédaler, tombe à terre. 

Léonidas Durandal

Antiféministe français, j'étudie les rapports hommes femmes à travers l'actualité et l'histoire de notre civilisation.

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Léonidas Durandal

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