Vous l’aurez remarqué, le sentiment d’infériorité est plus souvent présent chez la femme que chez l’homme. Celui-ci se traduit par le féminisme ou une volonté de compenser en criant, hurlant, revendiquant, geignant, en se plaignant surtout dans et de la société, et tout ceci pour récupérer ce pouvoir dont elle croit manquer. Ainsi la féministe est cliniquement une femme malade. Elle manque. Mais elle n’est pas avare de nous en faire profiter.
Au lieu de se droguer avec des substances toxiques comme le ferait n’importe quelle personne normalement perturbée mais humble, elle a choisi de polluer son environnement. Il faut donc qu’elle détruise les autres pour vivre. Et elle est suivie en cela par tout un tas d’hommes qui, eux, souffrent de leur complexe de supériorité, mais j’y reviendrai certainement dans un autre article.
Toujours est-il que la féministe est une personne en souffrance et qu’elle a besoin d’un bon gros médicament administré indifféremment par voie orale, génitale ou même annale. Or avant de parler de posologie, penchons-nous un instant sur les origines du problème.
Un complexe de castration mal résolu aboutissant à la nostalgie du pénis.
C’est un fait, la petite fille en grandissant s’aperçoit qu’elle a quelque chose de moins que le petit garçon. Devant ce constat effrayant, elle peut prendre peur si elle n’est pas rassurée. Et c’est là que l’environnement familial dérangé de la féministe intervient. Soit que le papa de la féministe méprise les femmes mais aime sa fille, soit que la maman de la féministe méprise les hommes mais les envie en secret, elle va trouver injuste une situation qui ne relève que de la nature.
Au lieu de se réaliser dans sa vocation de femme aimante et féconde, elle va investir toute son énergie à acquérir le pénis dont elle est dépourvue. Cette quête du trésor englouti va la conduire à vivre dans le fantasme de l’autre, ce temps béni où elle pouvait croire qu’elle n’était en manque de rien. D’où le terme médical approprié de « nostalgie du phallus », soit la mélancolie d’une perte dont elle n’a jamais eu aucun des attributs et qui n’était qu’un mensonge. D’où la propension plus grande de la féministe par rapport à une femme à mentir, et c’est dire. La manipulation de la réalité sera fonction chez elle de sa proportion à se l’être cachée. Vous connaissez tous Caroline Fourest.
Jamais la féministe n’aura prise sur sa vie. Et moins elle en aura, plus elle essaiera de changer le monde au lieu de s’adapter aux circonstances de celui-ci. La féministe est donc par nature une inadaptée. Elle pourrait ouvrir les yeux, elle préférera crever ceux des autres. on la retrouve donc dans les universités de sociologie ou d’histoire, le but n’étant pas ici de faire évoluer la recherche, mais d’en mettre plein les mirettes à ceux et celles qui veulent bien la croire. Et dans notre bonne France de ce début du 21ème siècle, Dieu sait qu’ils sont nombreux. Ils s’appellent les Charliemoutons,
Pour ces mêmes raisons, la féministe se retrouve aussi en nombre chez les journalistes où elles paissent nerveusement en compagnie de quelques hommes politiques misandres, quand elles ne cherchent pas à s’approprier leur phallus dans des ébats contre-nature durant la période de rut.
Enfin, on la trouve aussi dans le marketing pour vous faire acheter des produits dont il est certain qu’ils ne vous seront d’aucune utilité. La poésie n’est-elle pas aussi un pieu mensonge ?
La féministe n’est pas forcément lesbienne contrairement à ce qu’on pourrait croire. Elle ne mange pas que de la choucroute mais se gave aussi de saucisse, d’autant plus qu’elle pensera pouvoir dominer le phallus de son partenaire grâce à son vagin. Je dirais même que la féministe est souvent une sacrée baiseuse. Seulement oubliant son rôle de femme, elle perturbe son couple jusqu’à la rupture, même lorsqu’elle connaît sa place.
Sa nostalgie du phallus se calme avec l’âge. Il est difficile de passer toute une vie à s’affronter aux réalités. A un moment donné, il faut en accepter certaines. La maternité, en particulier, lui mettra un peu de plomb dans la tête, et si elle ne transpose pas son aigreur sur ses enfants, ce sera déjà un progrès dans l’histoire de sa généalogie familiale.
Posologie :
Dans les meilleurs cas, la féministe cherche à être violée pour s’en sortir. Bien entendu, les nombreux exemples de guérison ne doivent pas vous obscurcir l’esprit : vous ne devez pas la suivre sur ce chemin, elle pourrait contester les effets du médicament, en particulier s’il lui a donné trop de plaisir, et se retourner juridiquement contre vous. Ce serait pour elle la manière de se réapproprier un phallus imaginaire et de vous le couper en même temps.
D’autres cas plus graves de féminisme nécessitent l’emploi du bâillon, voire de la camisole de force type « le silence des agneaux »
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A contre-temps. Je crois qu’il n’y a pas de meilleur mot pour désigner l’action politique…
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"Le Piolet d'or à l'orgueilleuse qui voulait surpasser les hommes" Le Point du 19/09/2020.
Je ne sais pas si C Destivelle a un gros pénis qui lui manque beaucoup, par contre, la journaliste, c'est certain.
"Adèle Haenel, Céline Sciamma et Virginie Despentes : qu’est-ce que le « génie lesbien » ?" L'Obs du 12/04/2020.
Le génie lesbien ? Un resucé de génie masculin. Pauvres garçons manqués.
"Odile Fillod a œuvré à réhabiliter le clitoris dans les manuels scolaires :Les travaux de l’auteure du blog Allodoxia ont conduit quatre éditeurs scolaires à intégrer en cette rentrée des croquis de l’anatomie complète de l’organe." Le Monde du 22/09/2019.
"Avec la grande guerre, « les femmes ont gagné en visibilité »", Le Monde du 02/11/2018.
"A Cannes, 82 femmes du 7e Art demandent "l'égalité salariale"", L'Obs du 12/05/2018.
Fabrication de kikis à la chaîne.
"Comment les réseaux sociaux peuvent foutre une vie en l'air", L'Obs du 09/05/2018.
Voilà une recette pour réussir : vendre des livres en jouant sur le complexe de castration mal résolu des femmes.
Ici, un chevalier maman homme se sent dans l'obligation d'affirmer dans son livre, que les femmes sont particulièrement victimes de harcèlement sur internet. Même si c'était vrai, combien d'explications plausibles auraient pu être retenues ? Une seule l'a été : l'infériorisation des femmes. Il a réussi son coup.
DW Winnicott "Conversations ordinaires" sur le féminisme
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""Dictionnaire universel des créatrices": la place des grandes femmes", L'Obs du 08/03/2018.
Pauvres malades.
"Libre, féministe, elle-même : Fifi Brindacier, badass avant l'heure", l'Obs du 14/01/2018.
C'est pas beau de favoriser la maladie mentale de toute une population.
"Fatigués d’être hystérisés ?", Polémia du 08/12/2017.