Vous l’aurez remarqué, le sentiment d’infériorité est plus souvent présent chez la femme que chez l’homme. Celui-ci se traduit par le féminisme ou une volonté de compenser en criant, hurlant, revendiquant, geignant, en se plaignant surtout dans et de la société, et tout ceci pour récupérer ce pouvoir dont elle croit manquer. Ainsi la féministe est cliniquement une femme malade. Elle manque. Mais elle n’est pas avare de nous en faire profiter.
Au lieu de se droguer avec des substances toxiques comme le ferait n’importe quelle personne normalement perturbée mais humble, elle a choisi de polluer son environnement. Il faut donc qu’elle détruise les autres pour vivre. Et elle est suivie en cela par tout un tas d’hommes qui, eux, souffrent de leur complexe de supériorité, mais j’y reviendrai certainement dans un autre article.
Toujours est-il que la féministe est une personne en souffrance et qu’elle a besoin d’un bon gros médicament administré indifféremment par voie orale, génitale ou même annale. Or avant de parler de posologie, penchons-nous un instant sur les origines du problème.
Un complexe de castration mal résolu aboutissant à la nostalgie du pénis.
C’est un fait, la petite fille en grandissant s’aperçoit qu’elle a quelque chose de moins que le petit garçon. Devant ce constat effrayant, elle peut prendre peur si elle n’est pas rassurée. Et c’est là que l’environnement familial dérangé de la féministe intervient. Soit que le papa de la féministe méprise les femmes mais aime sa fille, soit que la maman de la féministe méprise les hommes mais les envie en secret, elle va trouver injuste une situation qui ne relève que de la nature.
Au lieu de se réaliser dans sa vocation de femme aimante et féconde, elle va investir toute son énergie à acquérir le pénis dont elle est dépourvue. Cette quête du trésor englouti va la conduire à vivre dans le fantasme de l’autre, ce temps béni où elle pouvait croire qu’elle n’était en manque de rien. D’où le terme médical approprié de « nostalgie du phallus », soit la mélancolie d’une perte dont elle n’a jamais eu aucun des attributs et qui n’était qu’un mensonge. D’où la propension plus grande de la féministe par rapport à une femme à mentir, et c’est dire. La manipulation de la réalité sera fonction chez elle de sa proportion à se l’être cachée. Vous connaissez tous Caroline Fourest.
Jamais la féministe n’aura prise sur sa vie. Et moins elle en aura, plus elle essaiera de changer le monde au lieu de s’adapter aux circonstances de celui-ci. La féministe est donc par nature une inadaptée. Elle pourrait ouvrir les yeux, elle préférera crever ceux des autres. on la retrouve donc dans les universités de sociologie ou d’histoire, le but n’étant pas ici de faire évoluer la recherche, mais d’en mettre plein les mirettes à ceux et celles qui veulent bien la croire. Et dans notre bonne France de ce début du 21ème siècle, Dieu sait qu’ils sont nombreux. Ils s’appellent les Charliemoutons,
Pour ces mêmes raisons, la féministe se retrouve aussi en nombre chez les journalistes où elles paissent nerveusement en compagnie de quelques hommes politiques misandres, quand elles ne cherchent pas à s’approprier leur phallus dans des ébats contre-nature durant la période de rut.
Enfin, on la trouve aussi dans le marketing pour vous faire acheter des produits dont il est certain qu’ils ne vous seront d’aucune utilité. La poésie n’est-elle pas aussi un pieu mensonge ?
La féministe n’est pas forcément lesbienne contrairement à ce qu’on pourrait croire. Elle ne mange pas que de la choucroute mais se gave aussi de saucisse, d’autant plus qu’elle pensera pouvoir dominer le phallus de son partenaire grâce à son vagin. Je dirais même que la féministe est souvent une sacrée baiseuse. Seulement oubliant son rôle de femme, elle perturbe son couple jusqu’à la rupture, même lorsqu’elle connaît sa place.
Sa nostalgie du phallus se calme avec l’âge. Il est difficile de passer toute une vie à s’affronter aux réalités. A un moment donné, il faut en accepter certaines. La maternité, en particulier, lui mettra un peu de plomb dans la tête, et si elle ne transpose pas son aigreur sur ses enfants, ce sera déjà un progrès dans l’histoire de sa généalogie familiale.
Posologie :
Dans les meilleurs cas, la féministe cherche à être violée pour s’en sortir. Bien entendu, les nombreux exemples de guérison ne doivent pas vous obscurcir l’esprit : vous ne devez pas la suivre sur ce chemin, elle pourrait contester les effets du médicament, en particulier s’il lui a donné trop de plaisir, et se retourner juridiquement contre vous. Ce serait pour elle la manière de se réapproprier un phallus imaginaire et de vous le couper en même temps.
D’autres cas plus graves de féminisme nécessitent l’emploi du bâillon, voire de la camisole de force type « le silence des agneaux »
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Bonjour M. Durandal,
J'espère que vous allez bien. Je viens de terminer la lecture de L'homme subjugué d'Ester Vilar. Je tiens tout d'abord à vous remercier de m'avoir suggéré la lecture de ce livre. Deuxièmement, je tenais à vous dire que j'ai grandement appris à la lecture de ce livre. Étant devenu cynique avec l'âge, je n'ai pas subi de choc en le lisant et contrairement aux hommes français et aux personnalités de type '' PNJ '' de la majorité de mes concitoyens (les Américains les appellent '' NPC characters ''), j'ai plutôt été surpris de la portée de la manipulation et de la profondeur de sa signification. N'étant pas une femme, certaines choses m'ont échappé. Ester Vilar m'a fait comprendre pourquoi j'aime et de déteste les femmes, pourquoi la galanterie côtoie la misogynie dans ma personnalité (j'en avais déjà l'intuition).
En filigrane, elle confirme aussi que la vie, à bien des égards, est absurde et qu'il n'y a rien qui explique pourquoi Dieu, le 6e jour, à décidé de nous créer. La vie sur Terre est effectivement infernale, car les hommes travaillent comme des porcs et les femmes ne sont pas capables et surtout ne veulent pas s'élever intellectuellement et spirituellement.
Merci encore pour votre référence que je garde précieusement dans ma bibliothèque.
Cordialement,
Cyrus
Bonjour M Cyrus,
Merci. En filigrane, il y a aussi l'idée que si l'homme est capable d'être subjugué, il est aussi capable de se libérer et de trouver le sens de la vie en dehors d'une femme.
Cordialement.
M.D
Je suis très sceptique vis à vis de cette théorie de complexe de castration. Je ne le constate chez très peu de petites filles. A mon humble avis, cette théorie est plus le reflet des complexes qu'auraient pu avoir M.Freud vis à vis des femmes.
Le complexe de castration est peut-être vrai chez les garçons mais j'y vois plutôt une peur de la féminité, cette antre sombre qui semble sans fond.
Pour ce qui es des femmes féministes, en général, elles ont tout simplement un père mysogyne ou une mère tyrannique. Ou alors , une histoire personelle violente avec les hommes.
Bonjour Lou,
Maintenant que je le conçois, je le vois partout chez les filles. Cela ne concerne pas le garçon qui vit en symbiose avec sa mère, bien tard, et qui a besoin de se sentir puissant. La fille complexe de ne pas être un homme, pour le dire en mots plus simples. Regardez les féministes, vous aussi vous ne verrez que ça bientôt... les pantalons... le milieu professionnel... la jalousie contre l'homme blanc patriarcal de plus de 50 ans etc... alors que foncièrement, elles n'arrivent pas à être des hommes et qu'elles ne le veulent même pas, sauf les plus atteintes.
Cordialement.
M.D
J'y ai longtemps souscrit mais justement il y a quelque chose qui ne colle absolument pas.
Déjà, il mélange tout, vouloir une certaine autonomie en des temps d'inégalité de droits ce n'est pas envier les hommes. Au final les sociétés où les filles rêvent d'êtres des hommes ou d'avoir des garçons, c'est celles de type talibans et compagnie. Je suis absolument convaincue que lorsqu'il y a égalité de droits sans propagande égalitaire, les femmes s'arrangent en cherchant un équilibre, trvaillent à mi temps, créent leurs petites entreprises, développent leurs talents tout en privilégiant leur rôle de mère avant tout.
En fait, le complexe de la castration, je le conçois comme une maladie chez certaine femmes, souvent féministes certes. Mais certainement pas comme un passage obligé de la psychologie féminine. Je trouve qu'ici Freud projette une conception masculine sur les femmes. Définir les femmes par le manque, c'est ne pas comprendre la passivité féminine. Et la féminité tout court d'ailleurs. Je ne me suis jamais sentie lésée par rapport aux garçons. Au contraire d'ailleurs. Mes frères devaient exceller en maths et faire des sports masculins. Moi je pouvais tout faire, (bon ma mère a tenu à ce que j'aille en filière scientifique au lycée contrairement à mon père qui était ravie que j'entre en hypokhagne), à condition de rester féminine. Je me sentais pas à la hauteur dans mon rôle de femme. Alors je me suis tournée vers le féminisme. Quelque chose du genre "je ne ppeux faire face à la compétition des autres femmes. Je vais donc devoir me débrouiller seule. Il est tant de devenir indépendante". J'ai le même retour des femmes garçons manqués. D'ailleurs, les autres femmes n'aiment pas les femmes non féminines en général. Elles désservent la "ruche" comme vous aimer l'appeler par bien des façons.
Je pense que ce complexe concerne les garçons qui sont certes en symbiose avec leurs mères mais qui ont l'air d'avoir une identité masculine plus fragile au final (voir le nombres de "femmes" transgenres en comparaison aux "hommes" transgenre).
Les femmes se permettent d'adopter des comportements masculins parce que notre féminité, on la ressent profondément, dans notre corps, nos cycles, nos intuitions, nos humeurs, notre solidarité entre femmes. Je ne suis pas du tout d'accord avec Mme de Beauvoir on naît profondément femme. D'ailleurs, les moments où les femmes se sentent vraiment attaquées dans leur féminité c'est quand leur corps est attaqué : en cas de stérilité ou à la méonopose.
Pour les hommes, la masculinité est plus à prouver au quotidien, dans leur comportement. C'est eux, bien plus que nous, qui ont besoin de se séparer de nous pour pouvoir retrouver le plein usage de leur phallus et se définir loin des femmes. Ils ont peur d'être "contaminés" par la féminité d'une certaine manière. Les hommes ont peur d'avoir l'air "gay" par exemple ce n'est pas une peur qu'ont les femmes. Leur complexe de castration se constate dans leur mépris des femmes. Plus un homme a un problème avec sa masculinité plus il est méprisant envers les femmes. Surtout ceux qui ne sentent pas à la hauteur de leur rôle d'homme dans le couple. Une femme féministe, ça a l'air d'être moins de boulot au début : elle couche sans engagement, elle partage l'addition, elle cache ses besoins affectifs, elle ne vous demande pas d'aide, elle "partage vos centres d'intérêts" donc vous n'avez pas d'effort à faire pour la comprendre…
D'ailleurs, depuis que j'assume pleinement ma féminité, j'ai constaté des réactions assez épidermiques de certains hommes que je n'ai compris que sur le tard.
Bonsoir Lou,
Je voudrais d'abord répondre sur les points que j'accrédite : c'est tout à fait vrai qu'il y a un rejet fort de la féminité chez les hommes, rejet fort qui leur permet de se construire. Et quand c'est raté, ça donne ce que vous dîtes.
Que M Freud ait projeté son propre vécu sur celui des femmes, cela ne serait pas étonnant au vu de son parcours.
Sur la "passivité" des femmes (terme impropre), je suis là aussi d'accord, puisque je la défends à longueur d'articles. Et pourtant, il y a bien des femmes qui veulent singer les hommes. Quid de celles là ? Et pourquoi les retrouve-t-on souvent dans le militantisme féministe ?
Vous confondez situation objective et ressenti dans l'histoire du féminisme : que les femmes aient bénéficié d'une autonomie juridique, nous pouvons en discuter. Mais quelles ont été leurs motivations à l'époque ? Un désir pur de justice ? Laissez moi en douter. D'abord, il est à noter que ce sont des hommes qui l'ont voulue cette autonomie. La très grande majorité des femmes n'ont pas milité pour cela, voir étaient très sceptiques, notamment sur le droit de vote, comme je l'ai déjà fait remarquer dans pas mal d'articles. Les femmes les plus féminines de l'époque ne se préoccupaient pas du tout de cela (s'en préoccupent-elles vraiment de nos jours ?). Par contre, comme de nos jours, une armée de lesbiennes, de femmes mal dans leur peau et dans leur rapport à leur papa bourgeois, y souscrivaient. Vous me parlez d'hommes mal dans leur peau. Mais mon article ne parle pas d'eux. Vous voulez faire un parallèle que je n'ai pas fait et vous avez une discussion avec la théorie freudienne. Or je souscris à votre point de vue sur les hommes comme je vous l'ai écrit juste avant. Pourquoi cette confusion (allongez-vous sur le divan SVP). Parlons maintenant de ce qui vous dérange, ces femmes perturbées avec leur rôle. Chez elles, ce rapport inversé peut expliquer leur militantisme. Il se voit même dans leur manière de se comporter, de s'habiller (dans la provocation ou de manière masculine) et de revendiquer des droits qui les desservent ou dont elles n'ont que faire. Elles militent pour se donner une contenance qu'elles n'ont pas et parce qu'elles manquent de pénien. Père absent/Père révoltant. En 1900 que des pères aient été trop présents pour ces femmes militantes, je peux le concevoir. J'aimerais étudier le sujet de plus prêt, car nous ferions, à coup sûr, de belles découvertes psychologiques. En tout cas, de nos jours, l'attitude de ces femmes parle pour elles mêmes. Et si les militantes du passé sont du même acabit, ce dont je suis convaincu, le féminisme est pluss une question psychologique, qu'un vrai débat philosophique ou spirituel. Allez, pour être un peut provocateur, je me demande si le débat philosophique ne concerne pas que les hommes. Même dans leur militantisme, les femmes ne se focalisent que sur des questions personnelles et intimes : leur vagin, leur clitoris, voter comme les hommes, avoir le même salaire que les hommes (sans se poser aucunement la question de leur rentabilité), déconstruire les hommes pour qu'ils se comportent en femmes pour ne pas faire concurrence à leur petit pénis et à leurs gros complexes, et je ne sais quoi encore... Personnellement, je crois que les femmes se contrefoutent, mais vraiment, de leur boulot. Elles y sont par projection masculine, ou parce que les hommes le veulent, ou par obéissance au dogme social, ou pour maintenir de bonnes relations sociales et pas être isolées etc... Pour vous donner un exemple, quand je disais avec délectation à mes collègues féminines après la pause café "Allez retournons faire du fric", elles étaient outrées.
"Je suis absolument convaincue que lorsqu'il y a égalité de droits sans propagande égalitaire, les femmes s'arrangent en cherchant un équilibre,"
Oui, et elles prennent tout l'espace, excluant tous les hommes au passage pour se construire un environnement sécurisé. Elles occupent l'espace que les hommes ont voulu leur laisser pour en faire des hommes comme eux. Notez que désormais, ces hommes qui voulaient que les femmes deviennent des hommes, sont en phase de féminisation avancée. Imbéciles...
" Je me sentais pas à la hauteur dans mon rôle de femme"
Exacte définition du complexe de castration mal résolu. Vous n'investissez pas votre rôle de femme parce que vous préférez gérer fantasmatiquement un phallus. Vous devenez donc indépendante comme un mec. Et vous ne vous sentez pas à la hauteur de votre féminité. En vérité, vous ne devriez même pas vous poser ce genre de questions si votre complexe de castration avait été bien résolu. Vous seriez femme, à une certaine place dans la ruche, et c'est tout. Point à la ligne. Vous avez par contre raison sur un point. Pour bien des raisons, les femmes mal assurées dans leur féminité, qui tentent de jouer la bande en singeant les hommes (par défiance envers leur féminité ou attirance pour la masculinité, ce qui finit par se confondre à mon avis, car douter de sa féminité et prendre une autre voie, qu'est-ce sinon se rapprocher du masculin ?), desservent la ruche, comme les féministes sont en vérité, détestée humainement par les autres femmes, parce qu'elles sont mi hommes mi femmes, dangereuses de beaucoup de points de vue, des monstres pour les autres femmes, et pour elles-mêmes. Dans la vie moderne, les femmes occidentales doivent renoncer à deux choses : la négritude, et leur phallus. Peut-être que la féminité est une essence qui précède le masculin, mais ceci est un autre débat (ne sommes-nous pas tous issus du féminin, déesse mère et compagnie). Seulement à un moment donné ou à un autre, vient la confrontation, la rencontre avec le saint phallus. Ou l'acceptation pleine et entière de sa féminité (ce qui est encore la même chose à mon avis, car la femme se construit par rapport à cet autre qu'est le saint phallus). A ce moment là, la petite fille s'inscrit-elle dans la continuité de sa mère, ou bien veut-elle faire "pouce" en singeant un homme, ou pire, en s'y identifiant ?
"Je pense que ce complexe concerne les garçons"
Les garçons doivent faire vivre leur phallus, pas y renoncer. Ce n'est donc pas une castration. "Ils ont peur d'être "contaminés" par la féminité" comme vous écrivez, c'est à dire qu'ils doivent refuser la castration de la mère/de la féminité, alors qu'ils sont issus de la mère. De son côté, la femme doit pleinement accepter d'être femme, et d'être donc, privée du grand phallus.
"D'ailleurs, depuis que j'assume pleinement ma féminité, j'ai constaté des réactions assez épidermiques de certains hommes que je n'ai compris que sur le tard. "
Ils sont plutôt terrorisés par la mère symbolique/ le pouvoir féminin issu de votre féminité. Ils sont donc plus proches de l'homosexualité que la moyenne, parce qu'ils assument mal leur phallus, qu'ils voient en vous une concurrente maternelle, et non pas parce qu'ils ont renoncé à leur phallus (ce que signifie "castration"). Autrement dit et plus simplement, ils se méfient de vous parce qu'ils sont encore trop proches de maman. Et ils doivent se méfier de vous pour pouvoir continuer à se construire. Car votre pouvoir est une menace à leur intégrité psychique. Ou pourquoi l'homophobie est nécessaire pour la construction du petit mâle. Quand celui-là sera rassuré dans son rôle d'homme, il pourra vous fréquenter. Non pas quand il sera castré symboliquement telle une femme, mais quand il sera membré.
En espérant avoir été clair avec un cadre théorique qui n'est pas le mien, qui n'est pas mon préféré et avec lequel je me suis plus à faire surtout, un article qui se voulait amusant.
M.D
Je ne vois pas en quoi cela traduit un complexe de castration même réussi. Mais soit.
Mais c’est justement ça le problème. Les hommes entre eux aiment naturellement travailler, pas pour l’argent et parfois jusqu’à l’esclavage.
Tout à fait, l'équivalent féminin de cela c'est de s'occuper de leur famille jusqu'à en devenir esclave. D'où la concentration sur l'argent alors qu'il s'agit en fait dans les deux cas de poser des limites et se faire respecter (l'auteur de the surrendered wife en parle d'ailleurs).
Bonjour M.Léonidas,
Et pourtant, il y a bien des femmes qui veulent singer les hommes.
Je ne nie par leur existence. Là où je ne suis pas d'accord c'est pour dire que c'est un passage obligée dans la construction des filles. C'est un symptome pathologique.
En fait je réagissais à votre début d'article d'où mon passage sur le complexe des hommes : je voulais dire que Freud projette et érige en règles des choses qui ne concerne que des femmes malades car il plaque la construction de la psyché masculine sur des femmes. Avez vous déjà entendu les femmes parler des hommes entre elles ou se donner des conseils sur les hommes ? Elles ont plutôt un complexe de supériorité et jouent les complexées pour obtenir ce qu'elles souhaitent d'eux...Les hommes font l'inverse beaucoup de bravado pour au final beaucoup d'insécurité...Tant de femmes aiment les machos, ce n'est pas pour rien.
Si on devait absolument relier la découverte de sa féminité à la confrontaion avec le phallus, ce serait à la puberté. Et c'est plutôt de la peur face au pouvoir qu'on sur celui-ci, on ne sait pas quoi en faire. Ou on en abuse. Ou les deux à la fois. Mais même là, je trouve ça bancal comme explication. Je trouve que ce procédé est plus une conséquence qu'une cause.
"Oui, et elles prennent tout l’espace, excluant tous les hommes au passage pour se construire un environnement sécurisé."
C'est la situation où nous nous trouvons car il y a propagande. Sans ça vous auriez une petite poignée de femmes dans les métiers d'hommes et dans l'ensemble une séparation genrée dans les métiers.
"En vérité, vous ne devriez même pas vous poser ce genre de questions si votre complexe de castration avait été bien résolu. Vous seriez femme, à une certaine place dans la ruche, et c’est tout. "
Ceci est une interprétation masculine. Toutes les femmes se posent la question et celles qui ne se la posent pas...terminent mal. Je préfère ne pas élaborer là-dessus. Cette idée qu'une femme se sent privée du phallus peut expliquer certains cas de féminisme mais pas tous...Justement une femme femme se pose la question de ce que font les autes femmes et de sa position par rapport à elles...Pas des hommes et leur pénis. Cette fixation sur le phallus est typiquement masculine, elle ne concerne pas la majorité des femmes.Définir la féminité par une absence de quelque chose c'est là encore ne pas comprendre la féminité.
Personnellement, je crois que les femmes se contrefoutent, mais vraiment, de leur boulot.
Ca dépend. En tout cas, elles aiment toutes gagner de l'argent, c'est surtout ça le nerf de la guerre.
"Elles ont plutôt un complexe de supériorité et jouent les complexées pour obtenir ce qu'elles souhaitent d'eux…"
Vous définissez exactement un complexe de castration réussi : manipuler pour avoir accès au pénien. Et non exercer le pouvoir directement.
"Ca dépend. En tout cas, elles aiment toutes gagner de l'argent, c'est surtout ça le nerf de la guerre. "
Mais c'est justement ça le problème. Les hommes entre eux aiment naturellement travailler, pas pour l'argent et parfois jusqu'à l'esclavage. Seuls les hommes trop près de leur maman, encore dans l'avidité, sont ambitieux. Il y a même plus. Non seulement un homme ne travaille pas pour l'argent, jusqu'à détester l'argent qui peut nuire à la qualité de son travail, mais de surcroît il est capable de donner sa vie pour le travail, dans des guerres (aussi absurdes soient-elles, surtout les guerres modernes qui n'ont plus rien de glorieux) par exemple. Pour les femmes, l'argent est le nerf de la guerre, de leur guerre personnelle effectivement. Lorsqu'un homme obtient la résidence principale pour ses enfants, la moitié du temps, il ne demande pas de pension alimentaire à la mère. Pas uniquement parce qu'il se conçoit comme un pourvoyeur de fond, mais parce que cette demande lui paraît proprement ridicule, qu'il y a beaucoup plus important dans la vie, et qu'il trouvera toujours un moyen de se débrouiller (surtout qu'il cherche à se sentir responsable de la situation). A l'inverse, le sentiment d'insécurité de la femme, ou sa médiocrité morale, va jusqu'à la pousser à se servir de la pension alimentaire comme d'une arme de vengeance, un juste dû pour son sacrifice ou je ne sais quoi. Tout autant de réaction humaine minable. Certaines femmes le comprennent d'ailleurs et élèvent le débat en faisant une place au père durant la séparation. Mais c'est encore un écueil. Leurs hommes ayant perdu leur rôle de transmetteur, ne se battent même plus pour obtenir justice auprès de cette société. Et nous en sommes arrivés petit à petit à la dégénérescence maximale, où ce sont des femmes qui, sûres de leur pouvoir, des allocations qu'elles recevront, de leur boulot de petite fonctionnaire sage, ont pitié de leur mari qui ne sait plus très bien quel est le sens de cette mascarade. Voilà le travail au féminin.
M.D
"Une princesse suédoise forte et indépendante veut conquérir les cieux et apprendre aux noirs à voler, la suite tragique va vous étonner" DP du 11/10/2022.
"Féminisme et troubles mentaux" eromakia du 09/05/2021.
(prise d'écran) lettrinfo du figaro du 02/02/2021.
Le "ténor du barreau" est une expression masculine. Mais le plus marrant dans l'histoire, c'est son emploi pour la compagne de Benjamin Griveaux, pris en flagrant délit de masturbation vidéo sur internet juste avant d'être écarté de l'élection municipale de Paris. Est-ce à dire qu'elle contrôle le barreau de son mari. C'est moins sûr.
"Nancy Pelosi : la guerrière du Congrès" Les echos du 11/01/2021.
La pauvre veut récupérer les codes militaires de Donald Trump, 2 semaines avant la fin de son mandat. Elle a pété un plomb. Si tentative de coup d'état il y a, c'est bien de la part des démoc rats.
"Sexisme, Légion d’honneur, Raoult… 10 choses à savoir sur l’infectiologue Karine Lacombe" L'Obs du 07/01/2021.
Portrait éloquent d'une ratée qui a voulu, toute sa vie, singer les hommes pour conquérir le phallus qu'elle n'aura jamais. Tombée sur un os, le professeur Raoult, elle a les plus grandes peines du monde à faire profil bas. Et pourtant...
"Vendée Globe: Isabelle Joschke côtoie la peur : Elle ne cache pas son usure psychologique." Figaro du 09/12/2020.
Elle aurait mieux fait de rester à terre et de lire mon blog pour se faire peur.
"Photographie: la revanche du deuxième sexe" Figaro du 11/11/2020.
"Longtemps, l’histoire de l’image fut écrite par les hommes pour les hommes. " : Valérie Duponchelle, une vieille avec un gros zizi (photographie pour elle = gros objectif. J'en ai connu un paquet comme ça, mais ouf, pas de manière intime)
(Vidéo) "La Transphobie et le Football féminin - Micro-Connard" El Rahyan du 25/10/2020.
Toutes les femmes sont "tolérantes" et croient que le corps d'un homme est identique à celui d'une femme. En somme, elles sont imbaisables et il est très dangereux de s'engager avec :
Oh punaise et dire quelles sont diplômées.
à l'époque où on veut supprimer un maximum les produits chimiques des aliments, où on veut quasiment un retour au Moyen-Age, mais chez l'Homme tout peut se modifier grâce au progrès.
Un trans jusqu'à preuve du contraire garde ses chromosomes...
Notez que l'une d'elle a fait un mémoire sur l'absence de différences entre hommes et femmes. Il y a plusieurs années, j'avais alerté sur un mémoire débile produit au Québec. Désormais, dans certains milieux, en France, il semble que ce soit devenu la norme.
Oui et le pire c'est qu'il l'a perturbé avec une question bateau sur la loi du marché et la copine qui les enfoncent encore plus en révélant que le foot ne l'intéresse pas. C'est vraiment grave d'avoir si peu d'analyse ça me dépasse.
Pas mal de femmes jouent de leur ignorance comme d'une force. Elles ne veulent pas réfléchir et se donnent des airs. Enfin elles assument leur bêtise comme si c'était d'une évidence, que l'autre avait tort et pas elles. Tout est alors question de déstabilisation psychologique. Et la vérité n'est jamais effleurée.