Que ce doit être bon d’être une femme ! Non seulement de ne pas avoir à respecter les mêmes lois que les hommes, mais en plus d’être moins sanctionnée à crime égal. Par exemple, les femmes peuvent pratiquer l’infanticide par avortement parce que l’enfant n’est rien si elles le décident.
Par contre, si c’est un homme qui veut ordonner ce même infanticide par avortement parce que l’embryon n’est rien, on l’en empêchera. Les femmes peuvent abandonner leurs enfants à n’importe quel âge, la société les prendra en charge. Un homme à qui il prendrait l’idée de ne plus vouloir payer sa pension alimentaire quand bien même ce serait pour se nourrir lui-même, et qui souhaiterait tout de même s’occuper de ses enfants, ira en prison pour abandon de famille, et ne pourra plus voir ses enfants. Quant aux dépassements de la loi, les statistiques sont claires sur ce sujet : à crime égal, une femme est moins condamnée. Il n’y a qu’à se remémorer les cas de congélation de bébés par des mères dont le traitement juridique a abouti à des condamnations laxistes (8 ans sans compter les remises de peine). Ou encore, les mères qui ont décidé unilatéralement de tuer leur enfant (Marie Humbert) et qui ont carrément été relaxées pour cela. Certaines font maintenant la promotion de leur crime dans toute la France (Alexandra Lange (11), Marie Humbert…). Non, vraiment, qu’il doit être bon de vivre en femme dans notre société moderne quand on se veut complètement irresponsable.
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La masculinité indistinctement pourchassée.
Dernièrement ce sont les agressions à caractère sexuel qui sont l’objet d’une attention forcenée de la part de notre société. Le moindre comportement entreprenant d’un homme sera bientôt interprété comme un crime. Le concept de harcèlement de rue (1), cache d’ailleurs, mal, une volonté d’éradiquer ce désir masculin de la sphère publique. Quant aux violences conjugales, les autorités ne veulent plus entendre parler de provocations de la part des femmes (2). Elles ne veulent plus sanctionner que les hommes. On donne un chèque en blanc à ces dames, en pensant qu’elles se comporteront toujours bien, puis on s’étonne de voir les victimes retourner vers leurs agresseurs, même dans les cas qui ont été médiatisés (3). Elles sont alors sommées de renoncer à leur liberté au nom du droit des femmes (sic) (4). Qui dira que ces histoires de couples sont plus complexes qu’on ne veut le croire et que parfois, les femmes en sont entièrement responsables ? A vouloir nier le problème, on l’entretient. Telle est bien l’hypocrisie de notre monde qui aurait tous les moyens scientifiques de comprendre ce phénomène des violences conjugales mais qui ne le veut pas au nom du féminisme.
Le sanction juridique du viol comme moyen de contrôler les hommes.
Aujourd’hui, les féministes ont décidé de traquer le viol partout où il ne se cache pas. Progressivement, elles nous imposent l’idée que le consentement de la femme devrait être explicite, éclairé, et pourquoi pas contractualisé. Si une femme est en état d’ivresse, son consentement à faire l’amour n’étant plus entièrement certain, elle acquière la possibilité d’accuser de viol, son-ses compagnon(s) d’un soir. Si elle participe à une tournante, elle est soupçonnée d’avoir été psychologiquement forcée, et sa culpabilité pourra même l’entraîner à porter de fausses accusations qui seront relayées par l’appareil judiciaire et médiatique (5). Les féministes appelle ces situations sordides, « la culture de viol » (6) et tentent de faire passer dans la loi, des comportements qui n’engagent que la moralité des individus concernés. Elles auront beau jeu par la suite de reprocher aux religions de donner des consignes en termes de moralité, quand elles, ne supportent pas le moindre écart et veulent le faire sanctionner par la loi.
A la remorque des anglophones canadiens.
Bien entendu, les féministes françaises trop heureuses chez nous, doublant par la gauche la bêtise des féministes anglophones du Canada, et ne sachant pas parler des problèmes spécifiques à notre société (voir la médiatisation des viols en Inde), ont trouvé le moyen d’importer ce concept de « culture du viol » (6) qui ne correspond absolument pas à notre situation en France. Qu’importe finalement, puisqu’il s’agit de construire une mythologie (7). Seulement là, c’est un peu gros, parce que les féministes canadiennes se sont légèrement prises les doigts dans la porte, ce que nos féministes françaises oublient de rappeler. En effet, leur campagne marketing a été habilement contrée par les mouvements antiféministes américains. Le hommes se sont si bien mobilisés sur le sujet qu’ils ont réussi à éclipser la campagne initiale des féministes. La réaction s’est soldée aussi bien par une diffusion massive sur internet de la réponse antiféministe, que dans les rues, par un affichage et des reprises diverses et variées sur le net plus ou moins réussies :
Campagne initiale (Alberta):
Reprise dans diverses provinces du Canada avec des financements officiels (Vancouver):
Réponse des mouvements antiféministes américains :
Reprises diverses et variées :
La « culture du viol », un concept puritain inadapté à la situation en France
Nous n’avons pas à accepter des concepts moraux qui ne correspondent en rien à notre société, et qui la féminisent bien plus que nécessaire.
En France, les hommes n’ont jamais vraiment réussi à s’émanciper. Eduqués à la galanterie, ils ont pris de plein fouet ces concepts venus d’ailleurs et qui ont rajouté à leur relative soumission une volonté objective de promouvoir les femmes à l’identique des hommes. Aux Usa peut-être plus qu’en France, les gens boivent de l’alcool pour se décomplexer et s’autoriser une relation sexuelle. En France, plus qu’aux USA, les hommes n’arrivent même plus à bander. Ils tâtonnent pour savoir comment ils pourraient exciter une femme, sans imaginer devoir s’occuper de leur propre désir pour y réussir. Notre problème principal, n’est donc pas de l’ordre d’un désir qui serait trop grand, ou même d’un désir mal orienté, mais d’un désir qui se meure (voir les analyses de M Zemmour sur le sujet). Or les féministes voudraient appliquer des recettes qui renforceraient encore le problème qui est le nôtre. Oui, il est à espérer que les hommes français de demain aient du désir, un désir accru et viril envers les femmes, avant que ce désir ne puisse être sanctifié à l’intérieur d’une union devant Dieu. En mettant la charrue avant les bœuf, et en désirant canaliser ce désir masculin avant même qu’il n’existe, les féministes tuent le désir chez les hommes. Ce faisant, elles propagent des comportements immatures chez eux. Elles en font ces grands enfants que nous côtoyons actuellement, puis reprochent à ces enfants leur manque de prises de responsabilités dans le couple, voire d’être devenus des pédophiles, alors qu’elles les ont poussés à cela.
Comparaison avec la conduite au volant.
La « culture du viol » est une tartuferie féministe venue des USA et qui convient encore moins à la France. Elle a pour but de rendre des femmes toujours plus irresponsables en matière sexuelle. A titre de comparaison pensez comment, en parallèle, la conduite en état d’ivresse est désormais sanctionnée. Elle n’est plus jugée comme une circonstance atténuante mais au contraire, est devenue une circonstance aggravante. D’un côté, notre société jette donc l’opprobre principalement sur des hommes s’ils ont bu quand ils se servent d’une voiture (10), qu’il y ait eu accident ou pas, de l’autre, elle excuse les femmes de tous leurs comportements en cas de prise d’alcool. Le système devrait se donner une logique cohérente et non discriminatoire contrairement à son fonctionnement actuel. Soit la prise d’alcool ne grève en rien le consentement. Dès lors on ne sanctionnera pas les conduites en état d’ivresse, mais on sanctionnera particulièrement les accidents de la route sous emprise de d’alcool puisque le conducteur en question, en plus de l’accident, aura été incapable de juger de son état réel (principe de responsabilité). Dans ce cadre, les relations sexuelles sous alcool ne présumeront en rien du consentement de la fille et du garçon, et seul en cas de viol, la prise de boisson par l’un des partenaires et non par l’autre, pourra être considéré comme un facteur aggravant. Soit l’alcool altère le consentement et il faudra interdire toutes les relations sexuelles sous alcool, mais aussi interdire la conduite en état d’ivresse et minorer la responsabilité du conducteur ivre en cas d’accident. Dans ce deuxième cas, si on pousse le principe logique jusqu’au bout, ce ne sera pas seulement l’homme qui devra être sanctionné en cas de relation sexuelle avec une femme ivre, mais aussi la femme qui se sera rendue coupable d’avoir abusé d’alcool. On voit ici comment l’autorisation d’une drogue se conjugue difficilement avec l’exercice strict de la loi. La drogue est par essence une soupape sociale qui fait sortir des cadres de la loi. Les femmes qui désirent la sécurité plus que les hommes, cherchent à faire appliquer un cadre strict d’où la drogue serait exclue, notamment pour les hommes. Mais pas seulement. A tout choisir, je pense qu’elles préfèrent encore se soumettre à des lois raides plutôt que les hommes puissent y échapper. Ce faisant, quand le système ne leur est pas particulièrement favorable, cela expliquerait pourquoi elles en arrivent tout de même à imposer une forme de totalitarisme explosif pour le bon fonctionnement global de la société plutôt que de faire perdurer une situation juste à un niveau global mais insécurisante elles (8).
Car leurs interventions à un niveau social visent souvent à détruire la responsabilité de chacun par des lois autocratiques, pour « préserver les personnes » malgré elles (9), et quand elles ne réussissent pas à imposer ce cadre strict et puritain, elles font perdurer un double système légal en leur faveur. Dans notre société, les conducteurs sont jugés coupables de leur prise d’alcool s’ils prennent le volant qu’il y ait eu accident ou pas (irresponsabilité et féminisation récente). Ils sont encore faiblement sanctionnés s’ils tuent quelqu’un sous l’emprise de l’alcool (acte toujours reconnu comme un homicide involontaire d’où notion d’irresponsabilité privilégiée) même si dernièrement, les lois se durcissent en la matière pour faire appliquer un principe de responsabilité qui pénaliserait particulièrement les hommes. Quant à l’alcool dans les soirées, c’était le principe de responsabilité qui était privilégié jusque là puisque, hommes ou femmes, s’ils buvaient devaient rendre compte de leurs actes quoiqu’il arrive. Désormais avec cette poussée féministe, les hommes seraient seuls responsables d’une relation sexuelle avec une femme ivre. A moins que finalement, les féministes réussissent à empêcher la prise d’alcool elle-même.
Lois ambivalentes.
Les lois ne peuvent continuer plus longtemps à être ambivalentes entre hommes et femmes, ni même personnelles. Du côté de la filiation, on oblige les hommes à reconnaître leurs enfants naturels et même à leur céder un héritage équivalent à ceux conçus dans le mariage. Mais quand ce sont des lesbiennes qui transgressent la loi, et vont se faire faire une PMA à l’étranger, la République est prête à détruire la filiation naturelle pour leur rendre service, et à octroyer à la seconde mère, les droits naturels qu’on a retirés à un homme. Que ce soit principalement des femmes qui profitent de ce genre de laxisme, ne me semble pas un hasard. Le double principe discriminatoire et légal envers les hommes est en train de s’étendre aujourd’hui dans les pratiques judiciaires françaises, en même temps que notre droit devient de plus en plus incohérent et puritain. Ces nouvelles mesures ont tendance à s’attaquer majoritairement aux comportements masculins, pour privilégier principalement des femmes (conduite à risque, filiation, stérilisation des corps, reconnaissance des enfants…) parce que les féministes désirent défendre leurs droits de femmes à tout prix. L’homme français ne devrait plus accepter que son statut de sous-citoyen s’élargisse. Il devrait au minimum se donner les moyens d’imposer un principe d’égalité réel entre hommes et femmes dans la loi, ou encore mieux, faire reconnaître le principe de responsabilité sociale comme un principe supérieur de vie en société, quand bien même ce principe aboutirait à une différenciation entre hommes et femmes.
1 Tag sur le site Madmoizelle.com, 35 articles au 15/07/2014.
2 « One is too many« , Youtube MrShadowfax42 février 2014.
3 « Rihana et Chris Brown : après les violences conjugales », Jurika.fr, Mars 2012.
4 « Beyoncé accusée de faire l’apologie de la violence conjugale », Pure people, janvier 2014.
5 « Tournantes, l’impossible sanction des innocents », Aimeles du 11/10/2012.
6 « Culture du viol : Jada, 16 ans, devenue la risée du web. », Rue89 du 11/07/2014.
7 « Le phénomène anecdotique des femmes battues », Aimeles du 24/11/2012.
8 « Prohibition aux USA : histoire d’une intervention catastrophique des femmes en politique. » Aimeles du 03/07/2014.
9 « Féminisation dans la politique : des décisions sentimentales et individualistes. », Aimeles du 15/04/2013.
10 « Société des radars automatique et vérole féministe », Aimeles du 31/10/2010.
11 « Permis de tuer pour les femmes victimes de maris violents : le cas Alexandra Lange. », Aimeles du13/11/2012.
A chaque défaite de la gauche, à chaque frustration, ce sont les mêmes images qui…
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Kasimar, je crois que le concept de culture du viol est l'extension du concept de harcèlement sexuel au travail.
Je dirai même que le concept de culture du viol ne peut sortir du cerveau d'une femme paranoïaque qui voit des viols et des agressions sexuelles partout.
Sinon pour cette campagne don't be that girl, elle vient du site
http://www.mensrightsedmonton.com/
D'ailleurs si vous cherchez don't be that girl dans google les premiers résultats donnent tous sur des sites féministes alors qu'on s'attendrait à la page du site qui a été l'origine de la campagne en premier lien. Indice supplémentaire qui laisse penser que google censure l'antiféminisme (ou qu'au moins la question se pose).
Avez-vous vu le trumblr avec le crocodile ? Tous les hommes sont représentés en crocodile. Extrêmement caricatural et méprisant envers les hommes. Même un regard sur un décolleté et une nénette en mini-jupe est assimilé à du harcèlement. Ca en dit long sur le concept de liberté de ces gens-là, de quoi rendre Kim Ung Jon jaloux himself. Tous ces mouvements de gauche, il faudra un jour ou l'autre leur interdire d'avoir pignon sur rue. Vous n'avez pas parlé du "harcèlement" dans votre article qui est à mon sens beaucoup plus inquiétant et dangereux l'amalgame qui en est fait.