« Culture du viol » : l’irresponsabilité sexuelle des femmes s’étend

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Que ce doit être bon d’être une femme ! Non seulement de ne pas avoir à respecter les mêmes lois que les hommes, mais en plus d’être moins sanctionnée à crime égal. Par exemple, les femmes peuvent pratiquer l’infanticide par avortement parce que l’enfant n’est rien si elles le décident.

Par contre, si c’est un homme qui veut ordonner ce même infanticide par avortement parce que l’embryon n’est rien, on l’en empêchera. Les femmes peuvent abandonner leurs enfants à n’importe quel âge, la société les prendra en charge. Un homme à qui il prendrait l’idée de ne plus vouloir payer sa pension alimentaire quand bien même ce serait pour se nourrir lui-même, et qui souhaiterait tout de même s’occuper de ses enfants, ira en prison pour abandon de famille, et ne pourra plus voir ses enfants. Quant aux dépassements de la loi, les statistiques sont claires sur ce sujet : à crime égal, une femme est moins condamnée. Il n’y a qu’à se remémorer les cas de congélation de bébés par des mères dont le traitement juridique a abouti à des condamnations laxistes (8 ans sans compter les remises de peine). Ou encore, les mères qui ont décidé unilatéralement de tuer leur enfant (Marie Humbert) et qui ont carrément été relaxées pour cela. Certaines font maintenant la promotion de leur crime dans toute la France (Alexandra Lange (11), Marie Humbert…). Non, vraiment, qu’il doit être bon de vivre en femme dans notre société moderne quand on se veut complètement irresponsable.

Mère tueuse

Retrouvez le blog de M Sani ici

La masculinité indistinctement pourchassée.

Dernièrement ce sont les agressions à caractère sexuel qui sont l’objet d’une attention forcenée de la part de notre société. Le moindre comportement entreprenant d’un homme sera bientôt interprété comme un crime. Le concept de harcèlement de rue (1), cache d’ailleurs, mal, une volonté d’éradiquer ce désir masculin de la sphère publique. Quant aux violences conjugales, les autorités ne veulent plus entendre parler de provocations de la part des femmes (2). Elles ne veulent plus sanctionner que les hommes. On donne un chèque en blanc à ces dames, en pensant qu’elles se comporteront toujours bien, puis on s’étonne de voir les victimes retourner vers leurs agresseurs, même dans les cas qui ont été médiatisés (3). Elles sont alors sommées de renoncer à leur liberté au nom du droit des femmes (sic) (4). Qui dira que ces histoires de couples sont plus complexes qu’on ne veut le croire et que parfois, les femmes en sont entièrement responsables ? A vouloir nier le problème, on l’entretient. Telle est bien l’hypocrisie de notre monde qui aurait tous les moyens scientifiques de comprendre ce phénomène des violences conjugales mais qui ne le veut pas au nom du féminisme.

 

Le sanction juridique du viol comme moyen de contrôler les hommes.

 

Aujourd’hui, les féministes ont décidé de traquer le viol partout où il ne se cache pas. Progressivement, elles nous imposent l’idée que le consentement de la femme devrait être explicite, éclairé, et pourquoi pas contractualisé. Si une femme est en état d’ivresse, son consentement à faire l’amour n’étant plus entièrement certain, elle acquière la possibilité d’accuser de viol, son-ses compagnon(s) d’un soir. Si elle participe à une tournante, elle est soupçonnée d’avoir été psychologiquement forcée, et sa culpabilité pourra même l’entraîner à porter de fausses accusations qui seront relayées par l’appareil judiciaire et médiatique (5). Les féministes appelle ces situations sordides, « la culture de viol » (6) et tentent de faire passer dans la loi, des comportements qui n’engagent que la moralité des individus concernés. Elles auront beau jeu par la suite de reprocher aux religions de donner des consignes en termes de moralité, quand elles, ne supportent pas le moindre écart et veulent le faire sanctionner par la loi.

 

A la remorque des anglophones canadiens.

Bien entendu, les féministes françaises trop heureuses chez nous, doublant par la gauche la bêtise des féministes anglophones du Canada, et ne sachant pas parler des problèmes spécifiques à notre société (voir la médiatisation des viols en Inde), ont trouvé le moyen d’importer ce concept de « culture du viol » (6) qui ne correspond absolument pas à notre situation en France. Qu’importe finalement, puisqu’il s’agit de construire une mythologie (7). Seulement là, c’est un peu gros, parce que les féministes canadiennes se sont légèrement prises les doigts dans la porte, ce que nos féministes françaises oublient de rappeler. En effet, leur campagne marketing a été habilement contrée par les mouvements antiféministes américains. Le hommes se sont si bien mobilisés sur le sujet qu’ils ont réussi à éclipser la campagne initiale des féministes. La réaction s’est soldée aussi bien par une diffusion massive sur internet de la réponse antiféministe, que dans les rues, par un affichage et des reprises diverses et variées sur le net plus ou moins réussies :

 

Campagne initiale (Alberta):

1cbis 1dbis

Reprise dans diverses provinces du Canada avec des financements officiels (Vancouver):

1ebis 1fbis

Réponse des mouvements antiféministes américains :

2 2bbis

Reprises diverses et variées :

3a

3b

3c

 

La « culture du viol », un concept puritain inadapté à la situation en France

Nous n’avons pas à accepter des concepts moraux qui ne correspondent en rien à notre société, et qui la féminisent bien plus que nécessaire.

En France, les hommes n’ont jamais vraiment réussi à s’émanciper. Eduqués à la galanterie, ils ont pris de plein fouet ces concepts venus d’ailleurs et qui ont rajouté à leur relative soumission une volonté objective de promouvoir les femmes à l’identique des hommes. Aux Usa peut-être plus qu’en France, les gens boivent de l’alcool pour se décomplexer et s’autoriser une relation sexuelle. En France, plus qu’aux USA, les hommes n’arrivent même plus à bander. Ils tâtonnent pour savoir comment ils pourraient exciter une femme, sans imaginer devoir s’occuper de leur propre désir pour y réussir. Notre problème principal, n’est donc pas de l’ordre d’un désir qui serait trop grand, ou même d’un désir mal orienté, mais d’un désir qui se meure (voir les analyses de M Zemmour sur le sujet). Or les féministes voudraient appliquer des recettes qui renforceraient encore le problème qui est le nôtre. Oui, il est à espérer que les hommes français de demain aient du désir, un désir accru et viril envers les femmes, avant que ce désir ne puisse être sanctifié à l’intérieur d’une union devant Dieu. En mettant la charrue avant les bœuf, et en désirant canaliser ce désir masculin avant même qu’il n’existe, les féministes tuent le désir chez les hommes. Ce faisant, elles propagent des comportements immatures chez eux. Elles en font ces grands enfants que nous côtoyons actuellement, puis reprochent à ces enfants leur manque de prises de responsabilités dans le couple, voire d’être devenus des pédophiles, alors qu’elles les ont poussés à cela.

Comparaison avec la conduite au volant.

La « culture du viol » est une tartuferie féministe venue des USA et qui convient encore moins à la France. Elle a pour but de rendre des femmes toujours plus irresponsables en matière sexuelle. A titre de comparaison pensez comment, en parallèle, la conduite en état d’ivresse est désormais sanctionnée. Elle n’est plus jugée comme une circonstance atténuante mais au contraire, est devenue une circonstance aggravante. D’un côté, notre société jette donc l’opprobre principalement sur des hommes s’ils ont bu quand ils se servent d’une voiture (10), qu’il y ait eu accident ou pas, de l’autre, elle excuse les femmes de tous leurs comportements en cas de prise d’alcool. Le système devrait se donner une logique cohérente et non discriminatoire contrairement à son fonctionnement actuel. Soit la prise d’alcool ne grève en rien le consentement. Dès lors on ne sanctionnera pas les conduites en état d’ivresse, mais on sanctionnera particulièrement les accidents de la route sous emprise de d’alcool puisque le conducteur en question, en plus de l’accident, aura été incapable de juger de son état réel (principe de responsabilité). Dans ce cadre, les relations sexuelles sous alcool ne présumeront en rien du consentement de la fille et du garçon, et seul en cas de viol, la prise de boisson par l’un des partenaires et non par l’autre, pourra être considéré comme un facteur aggravant. Soit l’alcool altère le consentement et il faudra interdire toutes les relations sexuelles sous alcool, mais aussi interdire la conduite en état d’ivresse et minorer la responsabilité du conducteur ivre en cas d’accident. Dans ce deuxième cas, si on pousse le principe logique jusqu’au bout, ce ne sera pas seulement l’homme qui devra être sanctionné en cas de relation sexuelle avec une femme ivre, mais aussi la femme qui se sera rendue coupable d’avoir abusé d’alcool. On voit ici comment l’autorisation d’une drogue se conjugue difficilement avec l’exercice strict de la loi. La drogue est par essence une soupape sociale qui fait sortir des cadres de la loi. Les femmes qui désirent la sécurité plus que les hommes, cherchent à faire appliquer un cadre strict d’où la drogue serait exclue, notamment pour les hommes. Mais pas seulement. A tout choisir, je pense qu’elles préfèrent encore se soumettre à des lois raides plutôt que les hommes puissent y échapper. Ce faisant, quand le système ne leur est pas particulièrement favorable, cela expliquerait pourquoi elles en arrivent tout de même à imposer une forme de totalitarisme explosif pour le bon fonctionnement global de la société plutôt que de faire perdurer une situation juste à un niveau global mais insécurisante elles (8).

Car leurs interventions à un niveau social visent souvent à détruire la responsabilité de chacun par des lois autocratiques, pour « préserver les personnes » malgré elles (9), et quand elles ne réussissent pas à imposer ce cadre strict et puritain, elles font perdurer un double système légal en leur faveur. Dans notre société, les conducteurs sont jugés coupables de leur prise d’alcool s’ils prennent le volant qu’il y ait eu accident ou pas (irresponsabilité et féminisation récente). Ils sont encore faiblement sanctionnés s’ils tuent quelqu’un sous l’emprise de l’alcool (acte toujours reconnu comme un homicide involontaire d’où notion d’irresponsabilité privilégiée) même si dernièrement, les lois se durcissent en la matière pour faire appliquer un principe de responsabilité qui pénaliserait particulièrement les hommes. Quant à l’alcool dans les soirées, c’était le principe de responsabilité qui était privilégié jusque là puisque, hommes ou femmes, s’ils buvaient devaient rendre compte de leurs actes quoiqu’il arrive. Désormais avec cette poussée féministe, les hommes seraient seuls responsables d’une relation sexuelle avec une femme ivre. A moins que finalement, les féministes réussissent à empêcher la prise d’alcool elle-même.

Lois ambivalentes.

Les lois ne peuvent continuer plus longtemps à être ambivalentes entre hommes et femmes, ni même personnelles. Du côté de la filiation, on oblige les hommes à reconnaître leurs enfants naturels et même à leur céder un héritage équivalent à ceux conçus dans le mariage. Mais quand ce sont des lesbiennes qui transgressent la loi, et vont se faire faire une PMA à l’étranger, la République est prête à détruire la filiation naturelle pour leur rendre service, et à octroyer à la seconde mère, les droits naturels qu’on a retirés à un homme. Que ce soit principalement des femmes qui profitent de ce genre de laxisme, ne me semble pas un hasard. Le double principe discriminatoire et légal envers les hommes est en train de s’étendre aujourd’hui dans les pratiques judiciaires françaises, en même temps que notre droit devient de plus en plus incohérent et puritain. Ces nouvelles mesures ont tendance à s’attaquer majoritairement aux comportements masculins, pour privilégier principalement des femmes (conduite à risque, filiation, stérilisation des corps, reconnaissance des enfants…) parce que les féministes désirent défendre leurs droits de femmes à tout prix. L’homme français ne devrait plus accepter que son statut de sous-citoyen s’élargisse. Il devrait au minimum se donner les moyens d’imposer un principe d’égalité réel entre hommes et femmes dans la loi, ou encore mieux, faire reconnaître le principe de responsabilité sociale comme un principe supérieur de vie en société, quand bien même ce principe aboutirait à une différenciation entre hommes et femmes.

 

1 Tag sur le site Madmoizelle.com, 35 articles au 15/07/2014.

 

2 « One is too many« , Youtube MrShadowfax42 février 2014.

 

3 « Rihana et Chris Brown : après les violences conjugales », Jurika.fr, Mars 2012.

 

4 « Beyoncé accusée de faire l’apologie de la violence conjugale », Pure people, janvier 2014.

 

5 « Tournantes, l’impossible sanction des innocents », Aimeles du 11/10/2012.

 

6 « Culture du viol : Jada, 16 ans, devenue la risée du web. », Rue89 du 11/07/2014.

 

7 « Le phénomène anecdotique des femmes battues », Aimeles du 24/11/2012.

 

8 « Prohibition aux USA : histoire d’une intervention catastrophique des femmes en politique. » Aimeles du 03/07/2014.

 

9 « Féminisation dans la politique : des décisions sentimentales et individualistes. », Aimeles du 15/04/2013.

 

10 « Société des radars automatique et vérole féministe », Aimeles du 31/10/2010.

 

11 « Permis de tuer pour les femmes victimes de maris violents : le cas Alexandra Lange. », Aimeles du13/11/2012.

113 réponses à “« Culture du viol » : l’irresponsabilité sexuelle des femmes s’étend”


  1. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    La culture du viol gauchiste

    culture-viol-trump


  2. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    1. Avatar de François ALLINE
      François ALLINE

      Bonjour Léonidas, Avez-vous un article (je n’ai pas trouvé) sur cette expérience effectuée à Marbella par des compagnies d’assurance proposant aux « victimes de viol » de les dédommager financièrement et qui fut interrompue en raison d’une multiplication des demandes d’indemnités par 20 en un mois (de mémoire)


      1. Avatar de Léonidas Durandal
        Léonidas Durandal

        Non, rien.


      2. Avatar de kasimar
        kasimar

        Encore un bon moyen pour les mégères de se faire du fric. Comme si les hommes n’étaient pas endettés par les pensions .


        1. Avatar de François ALLINE
          François ALLINE

          Pour ce qui est de « pomper » du fric, elles ne sont jamais en panne d’imagination…:

          http://www.lepoint.fr/insolite/france-un-homme-condamne-pour-ne-pas-avoir-honore-sa-femme-pendant-des-annees-29-11-2011-1401922_48.php


    1. Avatar de Léonidas Durandal
      Léonidas Durandal

      « La France s’est redressée après bien des débâcles. Ce qui l’a toujours sauvée du désastre, c’est le courage de quelques-uns. » La France est usée jusqu’à la corde. La France ne fait plus d’enfants. La France se complaît dans l’auto destruction depuis 200 ans. Et enfin, la France ne compte plus que sur quelques uns, et ça, c’est le pire.


  3. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    « Veuvage : pourquoi les femmes mettent plus de temps à refaire leur vie » Figaro madame du 23/06/2016.

    Plutôt étonnant cet article où un psychiatre essaie de déresponsabiliser les femmes, et où la journaliste essaie de chercher les motivations réelles de ces dames.


    1. Avatar de kasimar
      kasimar

      Pourquoi s’en étonner ? Quand on sait que les psychiatres sont justement ceux qui poussent les femmes à s’ « émanciper » et font tout pour la rendre méprisable.

      Pour ma part je ne connais que de rares psychiatres intègres. Un peu comme les scientifiques qui défendent la thèse du gender ou le réchauffement climatique dans une motivation politique plus qu’une motivation intellectuelle


    2. Avatar de Manuela
      Manuela

      ça me fait penser à quelque chose, pensez-vous qu’un psychiatre puisse être profondément catholique? Ce que je veux dire c’est comment peuvent-ils faire la différence entre l’exorciste et Norman Bates? Il y’en a un dans ma paroisse faudrait peut-être que je lui pose la question.


      1. Avatar de Léonidas Durandal
        Léonidas Durandal

        Je ne sais pas. J’imagine qu’il vaut mieux qu’ils le soient s’ils veulent faire des miracles dans leur métier. J’ai déjà fait référence à Jacques Arènes dans un de mes articles. Si un psychanalyste peut vivre son métier en catholique, pourquoi pas un psychiatre ? D’ailleurs, je vous dirais qu’en général les sciences humaines ont pris une mauvaise direction en voulant se « profaniser » à tout prix. Je ne vois pas comment soigner des gens qui ne sont pas physiologiquement malades, sans Dieu. D’ailleurs je ne crois pas que les psys aient fait mieux que les prêtres jusque là. Encore faut-il tomber sur un bon prêtre comme vous le soulignez dans un autre message, vocation encore plus improbable dans laquelle s’engager que celle de psy de nos jours.


  4. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    « 27% des Français déresponsabilisent le violeur si la victime est « aguichante » », L’Express du 02/03/2016.

    Cela veut donc dire que 73% des Français pensent qu’une femme peut envoyer des signaux contradictoires à ses partenaires et usurper leur confiance. Le pigeon est prêt à se faire plumer.

    Selon l’article, 58% des viols sont perpétrés dans le couple : les fausses accusations sont donc majoritairement utilisées comme arme de destruction massive contre les hommes en couple, enfin pour tous ceux dont la compagne ne les quitte pas immédiatement, c’est à dire une majorité.

    24% des sondés pensent que la fellation forcée relève de l’agression sexuelle et non du viol. En fait cela dépend des cas. Pour qu’il y ait viol dans ce cas particulier, il faut qu’il y ait menace et contrainte, sinon la femme peut déclarer n’importe quoi, ce que certaines ne se privent pas de faire. Donc le chiffre de 24% ne veut rien dire, ou bien il minore la réalité des fausses accusations.

    Enfin pour l’Express, il ne peut y avoir plaisir et contrainte… bien entendu, les femmes sont toutes pures et innocentes. Et je ne parle même pas des fausses enquêtes de victimisation reprises par ce même journal. Un monument de manipulation.

    viol2


    1. Avatar de Manuela
      Manuela

      Si il y’a viol conjugal il faut accepter l’adultère, je pense que le viol reste un fantasme pour beaucoup de femme mais un fantasme, c’est elle qui tire les ficelles de son scénario. Dans la réalité celles qui aguichent se tournent vers des hommes déjà engagés et quand ça tournent au vinaigre elles parlent de viol ce sont généralement de grandes mythomanes, j’ai un cas dans ma famille et dans mon travail (j’en ai déjà parlé) et je peux vous assurez que ça ne s’arrange pas avec l’âge. il faut interdire le film « les nuits avec mon ennemi » qui est certainement plus dangereux que certain porno.


      1. Avatar de sonia
        sonia

        je pense que le viol n’est un fantasme pour personne . Il ne faudrait pas confondre le viol qui est le fait de chosifier le corps de l’autre pour assouvir ses plaisirs pervers et dominateur/trice que ce corps soit celui d’un enfant , d’un ado , d’une femme ou d’un homme. Le viol c’est la pulsion de mort.A contrario il y a chez certaine femme et aussi homme des fantasmes d’être dominer volontairement.

        Maintenant j’aimerai comprendre votre phrase « si il y a viol il faut accepter l’adultère  » j’ai pas compris le lien

        quand au femme qui mentent , hélas c’est une réalité qui empoisonne la vie les vrais victimes et du pain béni pour les agresseurs réels qui brandis ces menteuse pour ce défendre.

         

         


        1. Avatar de kasimar
          kasimar

          Et c’est d’ailleurs un éternel cercle vicieux, puisque les « défenseurs » des femmes violées, se servent à leur tour de cet argument pour accuser quiconque cherche la à connaître la vérité de dédouaner, voire de cautionner le viol sur les femmes.

           


          1. Avatar de sonia
            sonia

            « quiconque cherche la à connaître la vérité de dédouaner, voire de cautionner le viol sur les femmes. »=>désoler Kasimar je ne comprend pas cette phrase


          2. Avatar de kasimar
            kasimar

            @Sonia : je voulais dire par là le fait de dire la vérité contre certaines fausses accusations, revient aux défenseurs des droits de la femme de nous accuser d’ignorer voire de cautionner le viol sur les femmes et parfois même par je ne sais quelle pirouette, d’être un violeur ou un complice.


        2. Avatar de Manuela
          Manuela

          je ne comprends pas du tout ce qu’est le viol conjugal tout simplement, pour moi ça n’a aucun sens j’ai peur d’être un peu crue mais nous sommes sensés partagé des rapports intimes pendant le mariage et si l’un des deux ne veut jamais et que l’autre fait tout les efforts nécessaire pour comprendre le blocage mais en vain faut pas s’étonner si un jour il se soulage ailleurs parfois vous pouvez ne pas avoir envie et pourtant vous pouvez faire plaisir à l’autre? Est-ce un viol? Peut-on prendre plaisir à faire plaisir? L’appétit viens en mangeant non? 🙂


          1. Avatar de ue
            ue

            Je suis d’accord avec vous Manuela. On peut comprendre que pour l’un ou l’autre des conjoints le désir puisse s’émousser, autrefois les migraines soulageaient l’épouse des ardeurs d’un compagnon pourvu d’une libido excessive. Ce qui est en cause c’est le pouvoir exorbitant au moyen de cette arme qu’est la loi que ce sont octroyés les femmes. 20 ans de prison c’est hallucinant. D’autant qu’à l’inverse, un homme qui n’éprouve qu’un désir limité peut se voir condamner pour ne pas remplir son devoir conjugal. Avouez que c’est un peu Kafkaïen pour ne pas dire autre chose… http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/11/30/01016-20111130ARTFIG00475-condamne-pour-avoir-delaisse-sexuellement-son-epouse.php


          2. Avatar de Manuela
            Manuela

            elle est pas mal celle là porter plainte pour manque de relation sexuelle et un homme peut-il porter plainte pour la même chose? ou peut-il porter plainte si sa femme lui saute dessus sans son consentement? je suis obligée d’en rire mais c’est grave quand même.


          3. Avatar de kasimar
            kasimar

            @Manuela : votre post du 3 mars 12 h 25 me rappelle qu’il y a une femme qui a battu son mari qui a prétexté la migraine alors qu’elle avait elle-même une libido débridée. Il y a des femmes qui surpassent bien des hommes à ce niveau-là !


    2. Avatar de François ALLINE
      François ALLINE

      Ce matin, sur RMC, Muriel Salmonna la psychiatre givrée qui fait son beurre sur la victimisation des femmes et des enfants annonçait sans rire « 250 000 fammes sont violées par an » Peggy Sastre écrivait il y a peu sur son blog « Tous les hommes sont des violeurs »… Comment si peu de monde ne s’insurge contre de tels propos diffamatoires ?


      1. Avatar de sonia
        sonia

        Personnellement je respect Muriel Salmonna pour son travail sur les abus sexuelles en particulier sur les mineurs même si on peux critiquer les chiffres qu’elle avance et qu’elle ne parle pas assez des victimes masculine et de la délinquance sexuelles féminines .

        Quand à Peggy sastre j’ai jamais beaucoup apprécier et là phrase que vous avez citer est effectivement choquante et diffamatoire .

         


        1. Avatar de ue
          ue

          Sonia, on devrait mesurer la gravité d’un acte aux dommages qu’il cause. Muriel Salmona est de celles qui ont décidé qu’une agression sexuelle traumatisait forcément à vie. C’est son business. Elle en vit.. Pour ma part, je pense que la victimisation de l’individu est étroitement liée à son ressenti, lequel dépend de ce qu’on lui a appris. (Ex : Une bonne soeur qui se fait violer n’aura pas le même ressenti qu’une prostituée) Je partage l’avis de Marcela Lacub disant : Plutôt que d’apprendre aux femmes violées à se plaindre on ferait mieux de leur apprendre à se défendre si besoin est.

          Le viol, pour exécrable qu’il soit n’est pas une pulsion de mort mais de vie pour n’être rien d’autre qu’une manifestation de notre désir, homme comme femme. C’est un acte sexuel culturellement déviant. Rien d’autres. Sans désir il n’y aurait pas de vie sur terre.

          Ce que je comprends du propos de Manuela concernant l’adultère, c’est qu’à force d’avoir enfermé le masculin dans unilatéralité du désir d’un féminin le mettant à la merci de son désir, lui interdisant de l’exprimer en dehors du lit conjugal, il peut y avoir débordement. L’église y a pensé depuis longtemps, fermant les yeux officieusement sur bordels et maîtresses. Ce nouveau pouvoir qu’est le femelisme en a décidé autrement invoquant des motifs plus farfelus les uns que les autres.


          1. Avatar de Léonidas Durandal
            Léonidas Durandal

            « fermant les yeux » : pour ceux qui se repentaient. Ce « fermer les yeux » ne convient pas. Pardonner et ne pas oublier serait plus juste.


          2. Avatar de sonia
            sonia

            le viol une autre forme de pulsion de vie ? je croit plutôt qu’il sert comme une forme de contrôle ou de punition sur le corps d’autrui . Dans les guerres il sert a humilier le peuple vaincu , dans le monde de la prostitution a casser toutes forme de rébellion chez la prostituée , dans les Etats très conservateur comme les pays sous charia islamique a punir celle qui ne correspond pas à l’idée de la bonne musulmane . Et désolé mais je ne croit pas qu’une prostituer violer est moins traumatiser qu’une bonne sœur .Disons plutôt qu’une bonne sœur sera plainte et écouter alors que la prostituer et bien tous le monde s’en fout vu que c’est une femme de seconde zone et cela elle le sait et donc se tait. Quand à Marcella iacub je préfère ignoré cette femme pro mariage gay, pro prostitution , pro porno et pour l’utérus artificiel .

             

             


          3. Avatar de François ALLINE
            François ALLINE

            Evidemment Sonia que le viol est une forme de domination. Il n’en demeure pas moins que c’est une pulsion de vie répondant à un désir, lequel est d’ordre sexuel. Il ne s’agit pas de ce que pensent les autres, en l’occurrence, mais de ce que ressent la personne violée et dans quelle mesure elle peut surmonter cet événement. Ce qui différencie le viol d’une relation sexuelle consentie, c’est l’absence de consentement. C’est tout. La mort c’est l’absence de désir. Une société comme le Japon ou la démographie est en berne puisqu’il n’y a plus de désir se meurt. 85% des garçons de 18/34 ans ne s’intéressent plus au sexe. Leur société/civilisation se meurt. Lentement mais surement.

            Or, la bonne soeur ne saurait être consentante pour avoir fait vœu de chasteté. Je n’ai jamais entendu parler de prostituées qui l’aient fait… Le problème de la bonne soeur c’est son rapport à Dieu. A sa foi. Celui de la prostituée c’est que le client ne l’a sûrement pas payé…

            Vous soulignez dans ces deux cas l’importance du regard de la société sur ce que doivent ressentir l’une comme l’autre. Et là vous avez raison. Il est considérable. On nous dit ce que nous devons penser et ressentir. C’est ce que vous faites en pensant à la place des autres en décidant ce qu’elles doivent ressentir (Moi aussi pourriez-vous me rétorquer, bien non. Je me suis renseigné auprès d’intéressées) Ce n’est donc guère étonnant que vous préfériez une Muriel Salmonna qui se régale et se nourrit de la souffrance des autres, souffrance inculquée à une Marlela Lacub qui considère qu’au lieu de se lamenter les gens (en général) feraient mieux d’apprendre à se défendre et non, dans ce cas précis, laisser la société décider de ce qu’ils doivent penser et ressentir.

            Cet état d’esprit est général pour être la conséquence d’un changement de pouvoir où la victimisation féministe est de mise. recommandée. Subventionnée. Avant, on apprenait aux garçons à tomber et se relever sans pleurer en serrant les dents. C’était le patriarcat. Maintenant, on leur apprend à pleurnicher – comme des filles – avant de tomber.

            Heureusement, certaines d’entre elles et elles sont de plus nombreuses, commencent à comprendre que déclin et décadence sont la conséquence de ce lamento sociétal.


          4. Avatar de sonia
            sonia

            Et bien qu elle jugement sur ma personne qui frise l insulte. A quel moment j ai dit ou sous entendu que je pensait à la place des autres ? OU ÇA? Je préfère effectivement une M.Salmona (mais d autre aussi) qui met en lumière des sujet longtemps nie par votre système patriarcale comme la pédophilie par exemple . à contrario peu de respect effectivement pour Marcelle i. qui regrette que la prostitution ne soit pas devenu une activité banal , qui pense que la maternité est le principale ennemie de la femme . j aimerai savoir le programme de défense de M.iacub (le port d arme à l américaine par exemple , pour un enfant victime d inceste des cours de boxe ?) J ai lu son livre qu avez fait de la libération sexuelle est franchement à mes yeux cette femme ni plus ni moins un bobo libertaire qui rêve d une société de pute .


          5. Avatar de François ALLINE
            François ALLINE

            La prostitution est non seulement une activité banale, mais qui plus est banalisé par les femmes elles-mêmes. Que pensez-vous de cette loi votée l’année dernière permettant aux femmes de payer leur permis de conduire en nature : http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/aux-pays-bas-on-peut-payer-ses-lecons-de-conduite-en-nature_1748331.html Ou de ces étudiantes qui se prostituent pour payer leurs études ? http://www.francetvinfo.fr/societe/video-etudiante-elle-se-prostitue-pour-payer-ses-frais-de-scolarite_882455.html Ou encore de ces femmes qui se vendent pour le dernier sac à main à la mode ? La prostitution légalisée protégeait la famille. Femmes et enfants.

            Pour protéger les enfants victimes d’incestes ? La parole, Sonia. Informer les enfants dès la maternelle que leur corps leur appartient. C’est de l’éducatif. Ce n’est pas ce qui se passe. Le puritanisme l’emporte encore sur leur protection. Plutôt que de toucher à la sacro-sainte famille où se passent la grande majorité des agressions sexuelles perpétrés sur les enfants, les médias préfèrent s’en prendre aux quelques curés ou enseignants qui dérapent. Excellents boucs-émissaires. La multiplication des incestes a deux causes : Des hommes/pères enfermés dans une réalité conjugale contraignante et des femmes/mères finissant par confondre incestuel et incestueux pour développer un sentiment amoureux déplacé pour leurs enfants, sentiment encouragé par une société de plus en plus malsaine : « Qui veut épouser mon fils » Vous savez que les épouses couvraient les agissements de leurs maris et que ceux-ci se foutaient pas mal de ceux de leurs épouses qu’ils ne voyaient pas pour être absents du domicile conjugal puisqu’ils travaillaient.

            Les femmes violent, hommes comme enfants : http://www.slate.fr/story/90153/hommes-viol où vous lirez que les femmes pédophiles ou/et incestueuses sont légions sauf que, comme pour ce qui se passe dans les familles, c’est tabou comme le titre du livre l’indique : http://www.psychologies.com/Moi/Epreuves/Souffrance/Livres/L-ultime-tabou (Outreau ce fut 27 femmes mises en cause pour 12 hommes) et cela reste quasiment impuni. Lorsqu’une femme comme cette mère de famille, enseignante, entretient des relations sexuelles avec un enfant de 9ans, son élève, pendant trois ans, elle ne fait pas un jour de prison : http://www.charentelibre.fr/2012/09/04/vendee-une-enseignante-maire-de-famille-de-5-enfants-condamnee-pour-avoir-eu-des-relations-sexuelles-avec-un-enfant,1112533.php

            Le Patriarcat est mort en 346 ap JC, occis par cette femme/mère des croyants qu’est l’église. Ressuscité en 1803 après le bazar qu’a causé la révolution Française par un Napoléon ; son code civil remettant les pendules à l’heure. Mère l’église a régné sans partage pendant 15 siècles, faisant et défaisant rois et reines.

            Alors le patriarcat ancestral et son oppression masculine. Mon oeil !

            L’inceste et la pédophilie sont d’essence femeliste et l’organisation de la frustration du masculin conduit regrettablement beaucoup trop d’hommes à commettre des actes sexuels inapproprié. Ce sont les femmes qui ont enfermé l’homme à la maison et non l’inverse comme on voudrait nous le faire croire.


          6. Avatar de François ALLINE
            François ALLINE

            Léonidas, je vois que mon commentaire de nature à aider Sonia est depuis 24h en modération. Vous n’allez tout de même pas me faire le coup de la censure des sites féministes j’espère ?


          7. Avatar de Léonidas Durandal
            Léonidas Durandal

            Pas de paranoïa. J’ai un système de modération automatique qui met à l’écart les commentaires avec trop de liens par exemple. Et je ne suis pas 24h/24h présent.


          8. Avatar de François ALLINE
            François ALLINE

            Excusez-moi. Je me disais aussi, c’est un des rares blogs où l’on peut ne pas toujours être en accord avec l’auteur qui ne censure jamais. Média Press que vous connaissez aussi en fait partie admettant que mes prises de position ne soient pas toujours dans leur ligne éditoriale. Et de fait, dans les médias phagocytés par les féministes, au moindre écart vous êtes censuré. Or e sont bien eux qui façonnent les esprits.


          9. Avatar de Léonidas Durandal
            Léonidas Durandal

            Il m’arrive de censurer quand un commentaire est volontairement malhonnête ou que la personne fait preuve de trop peu d’introspection. Il y a des personnes mal intentionnées quand elles commentent et mon blog n’est pas un dépotoir.


      2. Avatar de Léonidas Durandal
        Léonidas Durandal

        J’imagine que les gens aiment s’émouvoir bêtement, et qu’ils n’ont pas conscience du mal qu’ils font en tolérant de tels mensonges.


    3. Avatar de kasimar
      kasimar

      Voilà pourquoi je ne lis plus les torch… euh les journaux. Je préfère encore lire une BD, c’est parfois beaucoup plus instructifs et d’un niveau nettement moins médiocre


      1. Avatar de Léonidas Durandal
        Léonidas Durandal

        Sauf quand les féministes se mettent en tête de contrôler aussi ce milieu d’hommes…


        1. Avatar de kasimar
          kasimar

          C’est vrai, c’est en tout cas moins drôle et plus amer …


    1. Avatar de observateur
      observateur

      Une immense foule composée a vue de nez d’une dizaine de personne organise un évènement d’importance planétaire (ça a lieu en Inde, on en parle en France) pour râler contre des évènements dont l’existence est douteuse.

      J’ai cru voir un complot quelque part.

       


      1. Avatar de Léonidas Durandal
        Léonidas Durandal

        Pour une raison qui m’échappe encore, l’Inde est devenu le principal terrain de jeu féministe à l’international.


        1. Avatar de observateur
          observateur

          Il doit certainement y avoir un coup d’état à la mai 1968 en préparation.


        2. Avatar de François ALLINE
          François ALLINE

          Les Indes, c’est cette nation qui est passée du Kamasûtra au puritanisme Victorien sous la houlette de cette Reine d’Angleterre exportant son mal-être de mal baisée dans cette région du monde dont les anglais ont pris le contrôle. L’Inde c’est le berceau de toutes les religions, christianisme, bouddhisme, Islam compris. Le christianisme n’a jamais fait que reprendre le concept Zoroastre s(inspirant de la croyance Mazdéisme.

          Alors, que ce pays cristallise l’actuelle vindicte féministe au motif d’une mauvaise sexualité n’a rien d’extraordinaire.. Le moindre fait divers est exploité. C’est aussi le pays où des femmes détiennent le pouvoir absolu dans certaines régions comme celle où les Kashis, cette société matriarcale totalitaire millénaire perdure et traite les hommes comme de la mer….

          L’Inde, c’est la région du monde par excellence qui n’a pas basculé dans ce que nous appelons laïcité ; comme l’a fait l’Europe ou même la Chine qui n’a eu aucun mal pour être confucianiste, cette forme de laïcité, bien avant que Voltaire ou Rousseau ne voient le jour dans notre occident chrétien. Quoique Voltaire ne fut pas Athée mais Déiste, ce qui ne l’a pas empêché pas pour autant d’avoir conchié toutes les religions.

          Le couvre-feu, observateur a raison, c’est ce qui a préfiguré les événements de 68 partant des dortoirs de Nanterre…


          1. Avatar de Léonidas Durandal
            Léonidas Durandal

            Comme vous l’avez fait remarqué, l’Inde a une culture d’oppression historique de la part des femmes. Bien avant l’arrivée du Christianisme, le Mahabaratha relate l’histoire d’une mère dont les fils vont conquérir le monde pour elle. La société de caste est une société rigide. Là encore, le Christianisme n’a rien à y voir. D’ailleurs, les Indiens sont plutôt hermétiques à la religion chrétienne qu’ils oppriment, comme beaucoup d’autres. En vérité, les peuples les moins chrétiens sont les plus perméables au totalitarisme féminin. Le culte de la déesse mère est plus présent chez eux. Cela ne nous empêche pas d’être aussi influencés de manière négative mais c’est sans commune mesure avec les autres peuples.

            Enfin, le sexe débridé, c’est le contrôle des femmes sur les hommes, et non l’inverse.


    2. Avatar de Manuela
      Manuela

      ça me rappel une sortie scolaire ou les nanas de ma classe avait tapé un scandale pour sortir le soir en insistant sur le fait que nous étions majeures que leurs parents étaient d’accord etc etc et se sont plaint en rentrant de leur escapade d’avoir été importunées par des hommes dans la rue (ahah) ou je ne sais plus elles avaient été dans un bar je crois. Quelque chose me dit que si il lève le couvre feu et qu’une fille se fait dézinguer se sont les mêmes qui vont gueuler.


  5. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    « USA : Les fraternités étudiantes dans la tourmente », Figaro étudiant du 27/03/2015.

    Je me demande si les USA vont laisser leur élite se faire dépecer comme nous…


  6. Avatar de ALLINE
    ALLINE

    « 37% d’avances sexuelles non désirées, les étudiants anglais sont vraiment des pédés. »C’est ce qu’affirmait Edith Cresson si j’ai bonne mémoire !


  7. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Le harcèlement sexuel défini comme des « avances sexuelles non désirées » :

    A ce compte là, seulement 37% d’avances sexuelles non désirées, les étudiants anglais sont vraiment des pédés.

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