Des violeurs impunis, c’est le fond du féminisme

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Ce fait divers m’a pris à la gorge.

 

Il a osé gifler le violeur de sa fille de 4 ans ! La mère du violeur l’a attaqué en justice pour la gifle. Et elle l’a fait condamner !

http://www.sudouest.fr/2012/05/24/un-pere-poursuivi-pour-une-gifle-au-violeur-de-sa-fille-723251-4697.php

 

« L’âme de la mécanique c’est le jeu » me dit un jour mon garagiste.

 

Notre mécanique sociale est grippée à force d’avoir serré la vis masculine. Elle ne nous laisse plus aucun jeu. Historiquement, le système judiciaire était chargé de contrôler la violence masculine. Quand les hommes furent à la tête de ce système, ils furent sans pitié pour leurs frères qu’ils considéraient comme des déchets de l’humanité. Mais jamais ils n’exercèrent de tyrannie organisée contre eux, se contentant de sanctionner ceux qui tombaient sous leur maillet, durement certes, mais justement. Depuis que notre société s’est féminisée, et avec elle, le système judiciaire, le son de cloche a perforé. Ce n’est plus l’éclat dur du maillet qui résonne à nos oreilles, mais la lame tranchante d’une guillotine sociale. guillotine Plus sèche, elle fait moins de bruit tout en étant beaucoup plus efficace. Les hommes considérés comme naturellement violents représentent le danger ultime dans une société contrôlée par les femmes. Greffées au système judiciaire, celles-là contrôlent qu’il n’y ait pas le moindre débordement. La plus petite contestation est censée révéler la nature violente de l’homme qui la commet, mais également de tous les hommes, car elle a été théorisée comme un acte de domination masculine. Tout écart est devenu un crime de lèse majesté envers une autorité féminine qui ne conçoit et ne comprend plus la moindre déviance physique à son égard. Dans une paranoïa de femmes lésées, les chiffres de la violence masculine sont grossis par les féministes, exagérés et intégrés à notre inconscient collectif. Et le moindre contrevenant ne devient plus seulement un criminel, mais un blasphémateur. De l’école à la justice, les méthodes sont les mêmes pour des résultats identiques, un échec massif. Rappelez-vous quand vous étiez sur les bancs de l’école comment votre institutrice s’y prenait avec vous, comment elle vous contenait sans valoriser vos qualités d’hommes… si vous vous en êtes sortis, vous avez intégré la minorité d’homme dont on a encore besoin pour faire le sale boulot. Vous avez intégré le formatage. Mais ceux qui ne s’en sortent pas, la majorité, que sont-ils devenus à votre avis ? Regardez-les enfin vos frères, regardez-les dans les yeux quand vous les croisez dans la rue, croyez-vous qu’ils soient nés criminels ? Non, tout un système féministe les a mis à la rue, en prison, au chômage, dans des métiers à risque physiquement puis les en a culpabilisés, tout en déclarant que les femmes étaient les vraies victimes de notre société. Quelle triste rigolade !

 

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Notre conditionnement débute très tôt. Tout petit, on nous écarte de l’éducation de nos pères. A l’école, on nous supprime tout repère masculin. Devenus à notre tour des pères, nous légitimons des femmes qui contrôlent tout autour d’elles. Les éducateurs non féminisés sont écartés naturellement des enfants, leur tâche devient de plus en plus impossible. Nous sommes maintenus dans une illusion de bonté des femmes et pour finir, nous leur laissons toute latitude.

 

Mais enfin, quand allons nous ouvrir les yeux sur cette tyrannie !

 

Elle n’est pas un monde idyllique de douceur mais un cauchemar sans fin ultra-violent. Cette tyrannie ne s’occupe pas de distinguer le fait moral de celui qui ne l’est pas, elle est justice brute et tranche toute tête qui oserait sortir du rang, indistinctement, même et surtout pour la plus petite contravention. Elle se sert du système judiciaire pour réclamer toujours plus de virilité, toujours plus de sanctions envers les hommes, toujours plus de ségrégation. Aujourd’hui les femmes sont aux deux bouts du manche, raison pour laquelle la tête des hommes est durement frappée en cas d’écart : elles élisent, votent et réclament les sanctions. Majoritaires et bien organisées dans nos démocraties, aucun contre-pouvoir ne semble en mesure de limiter leur totalitarisme. Elles chargent des hommes d’exécuter leurs moindres désirs. Elles deviennent de plus en plus insatiables tandis que la virilité reflue du couple pour s’investir dans la société. Car la peur augmente chez elles au fur et à mesure qu’elles écartent les hommes de leur quotidien. Pour se rassurer, les voilà à surinvestir cette masculinité dans une représentation symbolique et sociale. Regardez en matière de violence routière… nous sommes au bord de devoir abandonner la voiture et bientôt, à part quelques ministres, seuls des brigands auront pouvoir de rouler librement avec des avertisseurs de radars toujours plus performants et toujours plus chers. Bientôt, il n’y aura plus de violences routières parce que le citoyen honnête aura cessé de conduire.

 

Au pénal, on charge les policiers d’obtenir des résultats. Des résultats pour être impitoyables envers leurs frères. Des résultats qui stoppent toute réflexion en eux. Des résultats dont les ont chargés des femmes qui demandent à être protégées, sans fin, elles et leurs enfants. Ils faut que cette société soit pacifique, pacifiée quel qu’en soit le prix. M Sarkozy n’a pas été réélu à cause de cela : il n’a pas su répondre à cette demande de sécurité de la part des femmes (sécurité économique et physique). Il a été perçu comme un fraudeur encore plus par les femmes d’extrême gauche que d’extrême droite. Or cette même demande de sécurité grève les dernières libertés masculines. Si les maris n’écoutent pas bien leur femme, ils perdent leurs enfants. Si des travailleurs ne se comportent pas comme il faut, ou ne disent pas ce qu’il faut, les voilà ostracisés. Si un homme conteste une femme, le voilà rejeté. Et désormais s’il réagit au viol de sa fille, c’est un délinquant !

 

La pacification des hommes cache mal la violence sociale des femmes. Demandez à ce père qui a vu sa fille de 4 ans violée quel est le sens de « pacification » dans notre société. La pacification c’est la tyrannie féministe d’aujourd’hui. Avant, les policiers ou les gendarmes n’auraient pas pris la plainte de la mère du violeur. Aujourd’hui non seulement la mère de ce violeur de 13 ans a eu assez d’audace pour aller voir le service d’ordre, mais encore elle a été écoutée, et de surcroît sa démarche a été légitimée. Quant aux gendarmes ou aux policiers hommes, ils ont pris une plainte dont ils étaient certains qu’elle rentrerait dans leurs statistiques de crimes résolus. Tous ont failli par excès de zèle envers les femmes. Oui, c’est un simple excès de zèle pour ces dames qui nous pousse vers la tyrannie. Souvent j’entends dire qu’on ne peut se faire justice. Mais ici, il ne s’agissait même pas d’une question de justice ! Il s’agissait d’éducation. Cet enfant a mérité la gifle qu’on lui a donné, et il en aurait mérité bien d’autres. Mais participant au drame, son père a regardé mollement son fils se faire éduquer par un autre, et la mère, qui n’assistait pas à cette leçon éducative s’est chargée de porter plainte pour que justice soit rendue au nom de son petit violeur chéri. Pourtant au moment même où il prenait cette gifle, cet enfant ne grandissait-il pas enfin ? N’apprenait-il qu’un autre monde existait en dehors de sa mère ? N’apprenait-il pas que la souffrance des autres existait en dehors de sa mère ? N’apprenait-il pas qu’il pouvait être puni pour avoir commis un crime ? Loin de cela, la justice a prononcé une sentence que cet enfant aura bien du mal à comprendre : la justice a encore donné raison à sa mère. Et elle compte réparer le mal qu’elle a fait par des mesures éducatives quand elle a été incapable de montrer l’exemple. La justice, ne voyant que par elle, enfermée dans des rapport maternels, cette justice autiste a dit brutalement, bêtement qu’on n’avait pas le droit de taper une autre personne, qu’on n’avait jamais le droit d’exprimer une quelconque violence, en aucune circonstance, sans parler de se faire justice soi-même. Mais la justice a tort. Quand il s’agit de montrer sa souffrance à un autre être humain, d’ouvrir un enfant au monde adulte, de responsabiliser un être en construction, et même de responsabiliser un être tout court, on a le droit de l’exprimer par un geste physique, par une gifle. Notre société féministe hypocrite sanctionnera plus tard le violeur, durement, tandis qu’auparavant, elle aura empêché tous les hommes d’intervenir dans l’éducation de ce garçon. Puis elle se retournera contre les hommes en affirmant que le viol est un acte social de domination masculine (Clémentine Autin). Le viol n’est pas un acte social de domination masculine. Il est le résultat de notre société féministe dont les prisons regorgent, plus que jamais, de criminels sexuels.

34 réponses à “Des violeurs impunis, c’est le fond du féminisme”


  1. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Clémentine Autin appelle à une pétition contre les hommes et leur domination par le viol :

    http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20120711.OBS6807/viol-l-appel-de-clementine-autain.html


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