Elles ne connaissent plus rien à leur corps, ni à l’amour

Article écrit par

le

dans la catégorie


Je comprends parfois les hommes qui veulent conserver leurs images d’Epinal sur les femmes. Les fantasmer est toujours plus agréable que de les mettre à nu. Laisser planer le mystère maintient dans un confort sentimental et intellectuel satisfaisant qui renvoie beaucoup d’entre nous à l’âge où inconscients et heureux, ils étaient dans les bras de leur mère. Nous nous plaisons à penser la fragilité de la part des femmes, ou la beauté, mais rarement la bassesse ou même la simple médiocrité. Quand les femmes sont à la hauteur de ce que nous attendons d’elles, nous trouvons cela normal. Mais quand elles trahissent trop fortement cette image de perfection, nous voilà déstabilisés. Alors mieux vaut ne pas voir.

Les bijoux ont été interdits à certaines périodes de la Rome antique.
Les bijoux ont été interdits pour les femmes à certaines périodes de la Rome antique.

 

Durant les périodes de décadence, plus les femmes s’abaissent, plus elles ont intérêts à préserver le mystère sur ce qu’elles sont devenues, plus elles jouent de leur corps, et plus nous avons intérêt à fermer les yeux pour pouvoir les aimer encore. Enfin quand la débâcle est là, elles peuvent s’exprimer sans crainte. Les hommes qu’elles ont faits naître sont devenus des animaux domestiques, et rien de ce qu’elles pourront dire ne les détournera de leur esclavage sexuel.

 

Nous vivons une telle débâcle.

Après 40 années d’un silence extraordinaire, certaines femmes françaises commencent à nous parler ouvertement, par exemple en matière de pilule contraceptive, de leurs pensées profondes. Enfin, « nous » parler. A en parler entre elles au grand jour, sans se préoccuper plus que cela du regard halluciné qui pourrait être celui d’un homme en les entendant. Entre-temps, elles ne se seront pas posées de questions sur le bien fondé de ce moyen avant que les hommes de notre pays ne fussent entièrement asservis. Et elles auront consenti au sacrifice de centaines de milliers d’entre elles pour la cause (1). Elles auront payé le prix de la mort et du silence, jusqu’à ce que nous en arrivions à être indifférents en tant qu’hommes à ce genre de suicide.

Maintenant que nous sommes devenus des animaux, maintenant qu’elles ont réussi à contrôler médiatiquement le scandale, en parlant de la dangerosité de la pilule de 3ème et 4ème génération (5) tout en omettant de discuter de ces pilules de 1ère et 2ème génération qui avaient bien plus d’effets sur leurs corps, elles lâchent enfin le morceau (2, 3). Et de quoi témoignent-elles dans ces articles de Rue89 largement relayés ?

 

La pilule contraceptive détruit le corps des femmes.

 

Saignements, dérèglements divers et variés, prise de poids, acné,acne-treatments influence sur le comportement, nausées, ces effets secondaires seraient largement répandus, mais plus encore, il ne faut pas être le dernier des imbéciles pour comprendre que la stérilité de certaines femmes aura pu en découler (4). Je sais, ce n’est qu’une question de bon sens, mais s’attaquer à son système reproductif et croire qu’il n’y aurait pas d’incidence sur sa fécondité me semble avoir été d’une naïveté incroyable voire coupable.

 

Les femmes préfèrent leur impunité à l’intégrité de leur corps.

 

Dans le premier témoignage de Rue89 (2), l’étudiante en arrive à faire adopter à son partenaire la méthode contraceptive dite du retrait au moment du coït. Dans le deuxième témoignage, une autre étudiante lui répond d’un ton maternel et condescendant que ce genre de contraception peut aboutir à un infanticide par avortement. Or, Julie, la première étudiante, peut-elle l’ignorer ? Les femmes sont largement informées sur le sujet. D’ailleurs dans l’article, elles le reconnaissent toutes avec force détails (présence de spermatozoïdes avant éjaculation, risques, etc…). Ici, il ne s’agit donc pas de contraception mais de contrôle dans la relation. D’ailleurs la contraception par préservatifs est écartée à chaque fois pour des raisons fallacieuses (séparation entre les partenaires, prix…). Seule la vasectomie resterait acceptable pour ces dames (6), alors que pour l’homme, cette contraception représente une forme ultime de mutilation. Les femmes le savent très bien, raison pour laquelle, elles n’ont pas de remords à la proposer. En fait quand l’homme contrôle la contraception, la femme perd de son pouvoir. Et à terme, cette situation n’est pas acceptable pour celles qui ont conquis leur « liberté sexuelle » pour elles-seules. amour fusionnelLa prise de la pilule contraceptive permet à la femme de tomber enceinte quand bien même l’homme ne le voudrait pas. C’est là son réel et unique intérêt au vu des désagréments qu’elle engendre. Quand une femme voit que sa manipulation n’a pas marché et que l’homme refuse l’enfant qu’il n’a pas désiré, elle peut toujours se replier sur l’infanticide par avortement. Or non seulement dans ce cas, elle en arrive à s’attaquer à l’intégrité de son corps mais aussi à l’intégrité du corps d’un autre. En résumé, tandis qu’avant, la plupart des femmes jouaient sur la continence pour exercer leur domination sur les hommes aujourd’hui, elles l’exercent en s’attaquant, plus ou moins, à l’intégrité physique de leur corps, ou du corps d’un autre, et tout ceci sans aucune forme de morale (combien de femmes traumatisées se sont engagées dans des associations de lutte contre l’infanticide par avortement?).

 

L’impossibilité à concevoir une relation dans le temps.

 

Ici, ce ne sont pas des accidents qui sont décrits, mais une relation stable et régulière qui finit immanquablement par déraper dans l’infanticide par avortement. Or que cachent ces pratiques à risque si ce n’est une impossibilité à concevoir la relation dans le temps en dehors d’un asservissement sexuel ? En effet, la contraception induit des pratiques sexuelles à risque qui provoquent forcément une grossesse tôt ou tard. La mort d’un enfant, la destruction de leurs propres corps de femme, la prise de risques ne deviennent pour les femmes qu’un moyen d’exercer leur « liberté ». En fait de liberté, la relation se construit progressivement dans le contrôle psychique des hommes et ceci afin qu’elles puissent se rassurer psychologiquement. Exit les règles de vie à deux, l’engagement conscient ou la canalisation sociale du couple, et bonjour le choix guidé par les hormones, la sexualité comme asservissement du couple, l’absence complète de moralité, méthodes qui seules peuvent assurer la domination féminine. Dans ce cadre, les ruptures sont obligatoires et seul un fond de christianisme les empêche d’être systématiques. En agissant ainsi, les femmes croient consolider leur vie du couple, comme pour le reste, elles la tuent en voulant la contrôler.

 

L’impossibilité à accepter les critiques : le refus des praticiens hommes.

 

Une des dernières modes des femmes est de cracher sur les gynécologues. Ceux-là seraient incompréhensifs parce qu’ils seraient des hommes. Ils contrôleraient les services de médecine tout en n’en faisant qu’à leur tête sans prendre en compte leurs patientes (2, 3, voir sur ce point la polémique sur « le point du mari » (7)). Quand ils leur déconseilleraient le stérilet à cause du risque de stérilité pour une jeune femme nullipare, ils seraient trop brutaux. Quand ils refuseraient de prescrire la pilule contraceptive à une femme à qui cela donnerait des nausées et des saignements, ils ne connaîtraient pas leur métier. En fait, en leur donnant ces prescriptions, ceux-là viennent seulement de sauver la vie de leur patiente ingrate, ou encore de préserver leur fécondité. Mais non, le soupçon d’avoir utilisé leur savoir pour contraindre la liberté des femmes est à peine voilé. Ce sont des hommes qui voudraient conserver leur pouvoir sur les femmes. L’identification en miroir est évidente, et elle en dit plus long sur la mentalité de ces femmes que sur les hommes eux-mêmes. Dans ce cadre, vous imaginez bien comment ici, comme ailleurs, les femmes finissent par éliminer professionnellement les hommes dès qu’elles le peuvent, sur de simples fantasmes accusatoires alors même qu’ils sont là pour les servir. gynecoEt effectivement, ces praticiens ont commis un crime de lèse-majesté immense, même s’ils l’ignorent : ils ont mis des femmes modernes en face du principe de réalité de leur corps, genre « vous savez qu’après 50 ans il est difficile d’avoir des enfants ? » (sur ce, voir le récit désincarné d’une femme qui va devenir médecin : 8). Mais complètement aveugles, engoncées dans leur sentiment d’omnipotence, ces femmes immatures ne s’aperçoivent même pas de leur toupet. Elles préfèrent accuser le monde entier de leurs limites même si petit à petit, devant les évidences, il leur faut admettre ce bon sens premier qui était pourtant à la base de la société dont elles ont héritée. Entre temps, cela ne les aura pas empêchées de s’être rendues stériles, d’avoir commis un infanticide par avortement ou fait un enfant dans le dos de leur compagnon en espérant pouvoir lui faire admettre sa condition de serf, ou encore d’avoir professé des conseils immatures à ses pairs. Mais qu’importe puisque de toutes les manières« il y aura toujours une solution (ndt : de contraception) pour chaque femme » (3).

 

L’animalité comme seul horizon.

 

Au-delà des plaintes, le parlé vrai de ces articles fait ressortir une chose : exit les grands sentiments, le partenariat avec un homme, les valeurs masculines et féminines. Dans le discours de ces femmes tout est vu par le prisme de la sexualité et donc par le prisme de la contraception. Tout passe avant. On comprend comment, pour paraphraser le Pape Jean-Paul II, « la contraception a engendré des comportements qui ont permis la propagation de l’épidémie du Sida. » Ces femmes se donnent le droit de tuer, tromper, se tromper ou s’énerver tant qu’elles ont le droit de baiser. La baise détermine la relation du couple, preuve en est les avortements qui suivent ces relations jugées « sérieuses ». Si elles étaient si sérieuses que cela, les partenaires n’auraient-ils pas pu discuter du fait d’avoir des enfants ? Si elles étaient si sérieuses que cela, ces partenaires ne feraient-ils pas passer la venue d’un enfant avant leur ambition professionnelle et avant tout le reste ? Non, car ce qui est vraiment important dans leur relation, c’est autre chose. C’est l’argent qu’ils vont pouvoir gagner, le plaisir sexuel que l’autre va pouvoir leur apporter, et plus précisément la propension d’un des partenaires à rassurer affectivement l’autre. Ainsi, loin de se faire confiance, tous ces couples modernes basent leur relation sur une défiance qu’ils ressentent comme de la prudence. Où sont passés l’amour, le rêve, le sacrifice pour l’autre ? Toutes ces valeurs positives ont été étouffées au nom du progrès. A force, ces gens feront des enfants ensemble par compromis : qui pour garder un petit compagnon à leurs côté, qui pour obtenir une sécurité financière, qui comme moyen d’aliéner le partenaire. Le mariage d’amour chez ces couples « modernes » est devenu une chimère toujours plus distante. L’autre n’est devenu qu’un moyen de satisfaire des ambitions individuelles. Et quand ces dernières ne sont plus concordantes, c’est l’inévitable séparation.

 

bonobos

 

Le ton libéré de femmes aliénées.

Après avoir expérimenté différents modes de contraception, soit ces femmes en arrivent à des conclusions qu’un enfant de 5 ans aurait pu anticiper (2). Soit elles se disent plus mûres et admettent avoir fait des erreurs, mais continuent sur ce mode de pensée qui leur a fait commettre ces erreurs (3, avortements, relation futile). Soit elles continuent de manière inconsciente à accuser le monde entier de leurs propres erreurs en affirmant qu’il n’est pas à la hauteur des grands idéaux qui ont flatté l’égocentrisme de leur enfance (8). Toujours est-il que la femme moderne qu’on nous avait vendu comme le prototype le plus évolué de femme libérée me fait plutôt l’effet d’une écervelée qui serait complètement aliénée à des idées et des sentiments médiocres et viles, alors même que ces femmes « journalistes » de Rue89 sont en haut du panier socio-professionnel français. Si celles-là ne savent pas donner l’exemple, même en préservant les apparences, comment peuvent se comporter les autres dans la vie de tous les jours ?

C’est comme si ces femmes étaient sans passé, justes bonnes à accomplir une tâche professionnelle très délimitée dans la société. On a dû les flagorner en les laissant se construire par elles-mêmes à un stade où il aurait été bon qu’elles apprennent d’un autre. Toujours est-il qu’au final, elles apparaissent plus idiotes que jamais. Elles voudraient être libres, mais ne maîtrisent rien de leur contraception. Quant à maîtriser leur sexualité, oula. Quand on ne peut se passer d’une contraception que l’on sait inefficace, il semble devenu aléatoire de pouvoir maîtriser une quelconque forme de sexualité. Et si celles-là ne sont capables ni de maîtriser leur contraception, ni leur sexualité, je vous laisse imaginer les grands sentiments qui peuvent être les leurs dans l’intimité…sexuellement-liberee

Des femmes plus aliénées que jamais mais qui voudraient donner des leçons de liberté. Des citoyennes qui ont le droit de vote et qui exercent leur domination au quotidien sur les hommes. Des personnes qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez alors que « l’Education Nationale » est censée avoir réussi leur éducation. Un tableau partiel mais significatif des résultats de la féminisation . Mais surtout des témoignages effrayants de technique sexuelle et qui omettent le principal : l’amour.

 

1 « Pourquoi la pilule contraceptive n’est pas encore interdite ? », Aimeles juillet 2013.

 

2 « La pilule m’a fait trop souffrir, je suis passée au retrait », Rue89 12/06/2014.

 

3 « Comme toi, j’ai pratiqué le retrait et je suis tombé enceinte », Rue69 du 22/06/2014.

 

4 « J’ai toujours entendu : un enfant quand je veux si je veux. Cela m’a pris 20 mois. », Rue89 du 16/03/2014.

 

5 Dossier Doctissimo sur les pilules de 3ème et 4ème génération, mise à jour du 16/05/2014.

 

6 « Interruption de grossesse, c’est encore les femmes qu’on accuse. », Rue89 Strasbourg du 19/12/2013.

 

7 « Le point du mari est-il un mythe ? », 20 minutes du 25/03/2014.

 

8 « Je pensais que la contraception était un jeu d’enfant », Rue89 du 05/01/2014.

 

75 réponses à “Elles ne connaissent plus rien à leur corps, ni à l’amour”


  1. Avatar de Lise
    Lise

    Pourquoi nous marions-nous … Et bien, la réponse première, c’est par amour. Nous avons très vite parlé mariage. Nous avions tous deux besoin de concrétiser notre union aux yeux de tous. Nous souhaitons nous unir officiellement et idéologiquement pour ne former plus qu’un : notre couple. Nous voulons ajouter une nouvelle définition à la personne que nous sommes. Bientôt, je serai sa femme, et lui mon mari. Nous nous promettrons fidélité, amour, force, joie, soutien dans l’adversité. Non pas que nous ne nous le promettions pas déjà aujourd’hui, mais au travers de nos croyances, une force religieuse et idéologique rendra notre amour sacré. Nous devrons respecter et alimenter ce bijou que la vie nous offre chaque jour que Dieu fait. Nous avons besoin de ça.Ce sera aussi l’occasion d’une belle fête en famille et entre amis, pleine d’amour, de joie et d’émotion. J’ai le coeur gros à chaque fois que j’y pense. Ce sera un jour ou les larmes de joie vont verser sur nos têtes. Outre cet aspect (dont je n’ai peut-être pas su rendre l’importance, mais sachez qu’elle m’habite vraiment) nous nous marions pour la sécurité. S’il m’arrivait quelque chose de grave, je veux qu’on aie recours en premier lieu à mon mari pour décider des affaires à suivre. Lui seul me connait assez bien. C’est à lui que je fais confiance plus qu’à n’importe qui. Ce sont ses conseils que j’écouterai en premier lieu. Son avis m’importe plus que n’importe lequel. Même mes parents qui ont toujours une place fondamentale dans ma vie, ne pourront pas le détrôner. Il sait quoi faire, et je saurais quoi faire dans le cas inverse, puisque la réciproque existe.Nous nous marions aussi parce qu’il est important pour nous de faire les choses dans le bon ordre. Nous envisageons notre vie commune comme ça : mariage, maison, enfants, et .. Vieillir ensemble, main dans la main, jusqu’à la fin. Si l’enfants vient plus tôt, nous l’accueillerons avec joie, mais dans l’idéal nous préférerions être déjà mariés et avoir de l’espace pour l’accueillir. Pourquoi cet ordre en particulier ? Sans doute parce que nos parents et le reste de nos familles respectives ont fait comme ça, et que jusqu’à preuve du contraire, ça a porté ses fruits. Enfin, si je me laisse souvent happer par notre romantisme et notre bonheur, sachez que j’ai aussi conscience que la vie est faite d’embuches. Je le sais. Et je sais aussi que je souhaite les appréhender à ses côtés. Je reste certaine que je n’en aimerais pas d’autre, qu’il est le seul et qu’il le restera. Nous le savons tous les deux. Je l’ai dans la peau ;).J’espère que ma réponse vous convient, Lise.


  2. Avatar de Demonanar
    Demonanar

    La vraie question c’est : pourquoi vous mariez-vous? C’est la conception du mariage propre aux concernés qui détermine sa longévité.


  3. Avatar de alexandre
    alexandre

    Nous ne sommes pas durs Lise, nous ne parlons tout simplement pas des femmes comme vous qui semblent être tout à fait conscientes des dérives actuelles ce qui est tout à votre honneur. Pour ma part  les femmes ne sont pas un « problème » c’est la propagande lourde et omniprésente dont elles font l’objet qui est problèmatique. Les femmes sont les premières victimes. Je pense qu’ici plus qu’ailleurs nous aimons les femmes. 


  4. Avatar de Lise
    Lise

    Bien sur que je suis sérieuse !!Nous sommes fiancés depuis le début de l’année et nous nous marions le 15 mars 2015.


  5. Avatar de Lise
    Lise

    Je vous trouve durs, messieurs avec ces dames. Je reconnais qu’aujourd’hui, les méthodes de contraception et la manière dont elles sont utilisées me font hurler. Pour ma part, j’ai 22 ans. A 18 ans, j’avais mon premier rapport sexuel. Première idée ? Prendre la pilule contraceptive. Pourquoi ? Parce que c’est ce qu’on m’a appris à l’école. « Prenez la pilule pour ne pas tomber enceinte ». Naïve, j’ai suivi. Deux années plus tard, j’ai compris que ces médicaments me rendraient stériles (et j’espère que ça n’est pas déjà le cas). Depuis, nous aussi, nous utilisons a méthode du retrait (nous l’avons choisi ensemble). Mais je tiens à préciser que nous sommes un couple stable, et que d’un commun accord, nous déciderions de garder l’enfant s’il arrivait. Avortement ? Surtout pas. Je pense que la société est plus à blamer que les femmes, et les hommes. C’est elle qui nous conditionne. Cette société ultra sexualisée qui nous dicte comment vivre, baiser, être, traiter les autres …Ma génération en est un exemple parfait. Certaines de mes amies me font hurler quand je les entends parler de leurs conjoints, ou plutôt de « leurs sextoys vivants ». L’inverse est vrai aussi. Certains hommes prennent vraiment les femmes comme du bétail. A croire que ça n’existe (presque) plus, les couples qui s’aiment, s’écoutent, se suivent, se sont fidèles, et se rendent heureux dans la perspective de vivre ensemble jusqu’à la fin main dans la main. Bien à vous,Lise. 


    1. Avatar de Léonidas Durandal
      Léonidas Durandal

      Vous avez l’air sérieuse : quand est-ce que vous avez prévu de vous marier avec votre compagnon ?


  6. Avatar de alexandre
    alexandre

    Tache de Sysiphe! Mais oui, je suis d’accord Leonidas et m’y attelle chaque jour. Ce que je regrette cependant, quand je me vois perdre des plombes à la faire redescendre sur terre, c’est cette énergie perdue, énergie que nos ancêtres allouait à des taches bien plus nobles et pérennes…C’est peut-être ça l’heroisme moderne!


    1. Avatar de Léonidas Durandal
      Léonidas Durandal

      Ah mais je crois fermement que c’est cela.


  7. Avatar de alexandre
    alexandre

    Tellement vrai ce que se dit ici! A chaque fois que ma petite amie revient d’une après-midi entre copines elle ne peut s’empêcher de m’assaillir de reproches… et moi de remonter le courant de ce brainwashing.


    1. Avatar de Léonidas Durandal
      Léonidas Durandal

      Il faut parfois ramer à contre-courant pour leur imposer un peu de lucidité.


  8. Avatar de kasimar
    kasimar

    Moi ce qui me ferais peur ce serait de trouver finalement la bonne personne et que cette dernière soit influencée malgré elles par des femmes peu recommandables.Il n’y a rien de pire pour un homme qu’un groupe de femmes et je suis certain qu’aucun de vous ne m’apportera la preuve du contraire. La synchronisation des cycles tout ça …


    1. Avatar de Léonidas Durandal
      Léonidas Durandal

      Dernièrement j’ai rencontré un homme qui vient de se faire quitter grâce aux bons conseils de la douce et tendre nouvelle amie de sa femme. 20 ans de vie commune, 4 enfants… un détail.


  9. Avatar de alexandre
    alexandre

    Vous auriez tort de vous passer des interactions avec le femmes observateur. Que ce soit au travers du travaux des MGTOW, d’Alain Soral ou de Durandal vous disposez sur le net d’un arsenal assez complet pour palier a toutes les situations pour déjouer les pièges tendues par ces belles coquilles vides qui nous font tourner la tête. Si vous considérez la relation comme un jeu vous marquerez d’emblée des points; quel plaisir en effet de les voir pédaler dans la semoule quand vous ne rentrez pas dans leur jeu! A ce train là vous ferez vite le tri et je vous assure il existe encore des femmes qui en valent la peine. Plus vous serez aguerri plus ainsi vous éliminerez tôt dans le processus de séduction les hystériques et les manipulatrices de tout poil. Elles ont juste une longueur d’avance dans un système capitaliste voué à s’auto-détruire car s’appuyant justement sur l’impermanence féminine. Nous avons pour nous l’Histoire, les Religions, le Bon sens , le Genie masculin et en dernière instance la force…


    1. Avatar de observateur
      observateur

      Le problème c’est qu’elle vaut la peine au moment où vous la rencontrez mais après, au bout d’un an de relation c’est là que les problèmes commencent.

      Sans compter comme le souligne kasimar qu’une femme préfère en général écouter ses copines que son mari.


      1. Avatar de Léonidas Durandal
        Léonidas Durandal

        Ca, c’est le signe de la vraie hiérarchie pour une femme. Amusez vous à participer à une conversation de femmes et regardez comment vos propos sont pris en compte, si on ne vous coupe pas la parole pour rien, si on vous répond même. Souvent il n’y a que les apparences de l’écoute. En vérité, beaucoup de femmes n’écoutent qu’elles et leurs copines, et la parole d’un homme n’a pas d’existence. Au contraire, quand une femme dit n’importe quoi mélangée à un groupe d’hommes, il y a aura toujours des hommes pour essayer de défendre sa position face aux contre-arguments ô combien mérités. Et généralement, en provoquant une confrontation idiote, c’est même les arguments les plus idiots de cette femme qui finiront par s’imposer, d’autant que beaucoup d’hommes auront peur de passer pour des machos en la remettant à sa place. Sans même parler des femmes qui ont une mauvaise image du père. Celles-là sont proprement ingérables en société. Elles finissent pourtant par imposer leurs bêtises bien souvent.


    2. Avatar de observateur
      observateur

      Et aussi le problème ce n’est pas seulement les femmes, c’est aussi l’industrie du divorce.


      1. Avatar de Léonidas Durandal
        Léonidas Durandal

        Tout cela vit en symbiose. Inutile de faire une distinction entre le comportement des femmes et celui d’un système féminisé. D’ailleurs, l’idéologie féminisée de la justice a fini par remplir le système judiciaire de femmes, même au niveau du terrain. Résultat, quand on les envoie en mission dangereuse, elles ont beaucoup plus de chances de se faire égorger, comme ces deux femmes gendarmes il y a 2 ans. Si notre idéologie est capable d’envoyer des femmes se faire tuer pour leur donner des places professionnelles, imaginez combien les gens qui dirigent se moquent de la compétence en général à des niveaux plus « cérébraux ».


  10. Avatar de Mindstyle
    Mindstyle

    Je reconnais dans votre texte la relation que je vis aujourd’hui; en effet, je sors avec une jeune femme qui cherche à tout prix à contrôler la relation, qu’il s’agisse par la sexualité ou bien par des attitudes à peines dissimulées. J’ai bien cerné son petit manège mais je ne ferai jamais confiance à une femme pour ce qui concerne la contraception. Tant que je ne voudrai pas d’enfants, je porterai systématiquement un préservatif et si ma partenaire commence à être dure et à exiger plus de relâchement de ma part à ce sujet, je saurai immédiatement ce qu’il en est et où cela me mènera (une pension alimentaire à payer pour au minimum les 20 prochaines années). Votre blog, ainsi que d’autres témoignages et d’autres écrits sur internet m’ont fait prendre conscience qu’on a vite fait de se faire piéger et d’avoir sa vie ruinée à cause d’une femme qui contrôlera le moment où elle tombera enceinte, où, et avec qui. Il ne faut pas être naïf; avec les femmes, rien n’est JAMAIS GRATUIT. Pour un homme, même si cela est moins agréable qu’un rapport sexuel naturel, le préservatif est le moyen de contraception qui lui permet de contrôler l’issue du rapport sexuel. Je pense que plutôt que de blâmer systématiquement les femmes, vous devriez aussi vous attaquer aux hommes décidemment trop naïfs et qui se font piéger par des femmes voulant désespérement un enfant pour ne pas finir seules. Les hommes ont leur rôle à jouer dans cette affaire; aujourd’hui, ils peuvent renoncer à la paternité; ils peuvent choisir de ne plus faire d’enfants et de ne plus être les dindons de la farce. Et pour ce qui concerne la pilule contraceptive, je me demande comment un individu de bon sens peut en venir à absorber des hormones de synthèses sans suspecter des conséquences à long-terme sur son organisme. La propagande a été rudement bien orchestrée.


    1. Avatar de observateur
      observateur

      Votre témoignage est interessant. Avez-vous entendu parler des MGTOW?

      Ce sont d’autres personnes qui ont étudié ces problèmes de relations entre les couple à des niveaux plus important.

      Pour ma part, je suis tellement écœuré par les comportement manipulatoires des femmes et leur mépris envers les hommes qui je préfère éviter de me mettre en couple pour le moment.


    2. Avatar de Léonidas Durandal
      Léonidas Durandal

      Franchement, c’est une des questions principales que je me pose : comment sensibiliser les hommes qui ont une confiance aveugle en leur maman ? Je peux vous garantir que j’écris en étant presque convaincu qu’aucun ne comprendra vraiment avant qu’il n’ait été piégé. Et je ne sais pas trop quel langage adopter avec eux.


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.