Elles ne connaissent plus rien à leur corps, ni à l’amour

Article écrit par

le

dans la catégorie


Je comprends parfois les hommes qui veulent conserver leurs images d’Epinal sur les femmes. Les fantasmer est toujours plus agréable que de les mettre à nu. Laisser planer le mystère maintient dans un confort sentimental et intellectuel satisfaisant qui renvoie beaucoup d’entre nous à l’âge où inconscients et heureux, ils étaient dans les bras de leur mère. Nous nous plaisons à penser la fragilité de la part des femmes, ou la beauté, mais rarement la bassesse ou même la simple médiocrité. Quand les femmes sont à la hauteur de ce que nous attendons d’elles, nous trouvons cela normal. Mais quand elles trahissent trop fortement cette image de perfection, nous voilà déstabilisés. Alors mieux vaut ne pas voir.

Les bijoux ont été interdits à certaines périodes de la Rome antique.
Les bijoux ont été interdits pour les femmes à certaines périodes de la Rome antique.

 

Durant les périodes de décadence, plus les femmes s’abaissent, plus elles ont intérêts à préserver le mystère sur ce qu’elles sont devenues, plus elles jouent de leur corps, et plus nous avons intérêt à fermer les yeux pour pouvoir les aimer encore. Enfin quand la débâcle est là, elles peuvent s’exprimer sans crainte. Les hommes qu’elles ont faits naître sont devenus des animaux domestiques, et rien de ce qu’elles pourront dire ne les détournera de leur esclavage sexuel.

 

Nous vivons une telle débâcle.

Après 40 années d’un silence extraordinaire, certaines femmes françaises commencent à nous parler ouvertement, par exemple en matière de pilule contraceptive, de leurs pensées profondes. Enfin, « nous » parler. A en parler entre elles au grand jour, sans se préoccuper plus que cela du regard halluciné qui pourrait être celui d’un homme en les entendant. Entre-temps, elles ne se seront pas posées de questions sur le bien fondé de ce moyen avant que les hommes de notre pays ne fussent entièrement asservis. Et elles auront consenti au sacrifice de centaines de milliers d’entre elles pour la cause (1). Elles auront payé le prix de la mort et du silence, jusqu’à ce que nous en arrivions à être indifférents en tant qu’hommes à ce genre de suicide.

Maintenant que nous sommes devenus des animaux, maintenant qu’elles ont réussi à contrôler médiatiquement le scandale, en parlant de la dangerosité de la pilule de 3ème et 4ème génération (5) tout en omettant de discuter de ces pilules de 1ère et 2ème génération qui avaient bien plus d’effets sur leurs corps, elles lâchent enfin le morceau (2, 3). Et de quoi témoignent-elles dans ces articles de Rue89 largement relayés ?

 

La pilule contraceptive détruit le corps des femmes.

 

Saignements, dérèglements divers et variés, prise de poids, acné,acne-treatments influence sur le comportement, nausées, ces effets secondaires seraient largement répandus, mais plus encore, il ne faut pas être le dernier des imbéciles pour comprendre que la stérilité de certaines femmes aura pu en découler (4). Je sais, ce n’est qu’une question de bon sens, mais s’attaquer à son système reproductif et croire qu’il n’y aurait pas d’incidence sur sa fécondité me semble avoir été d’une naïveté incroyable voire coupable.

 

Les femmes préfèrent leur impunité à l’intégrité de leur corps.

 

Dans le premier témoignage de Rue89 (2), l’étudiante en arrive à faire adopter à son partenaire la méthode contraceptive dite du retrait au moment du coït. Dans le deuxième témoignage, une autre étudiante lui répond d’un ton maternel et condescendant que ce genre de contraception peut aboutir à un infanticide par avortement. Or, Julie, la première étudiante, peut-elle l’ignorer ? Les femmes sont largement informées sur le sujet. D’ailleurs dans l’article, elles le reconnaissent toutes avec force détails (présence de spermatozoïdes avant éjaculation, risques, etc…). Ici, il ne s’agit donc pas de contraception mais de contrôle dans la relation. D’ailleurs la contraception par préservatifs est écartée à chaque fois pour des raisons fallacieuses (séparation entre les partenaires, prix…). Seule la vasectomie resterait acceptable pour ces dames (6), alors que pour l’homme, cette contraception représente une forme ultime de mutilation. Les femmes le savent très bien, raison pour laquelle, elles n’ont pas de remords à la proposer. En fait quand l’homme contrôle la contraception, la femme perd de son pouvoir. Et à terme, cette situation n’est pas acceptable pour celles qui ont conquis leur « liberté sexuelle » pour elles-seules. amour fusionnelLa prise de la pilule contraceptive permet à la femme de tomber enceinte quand bien même l’homme ne le voudrait pas. C’est là son réel et unique intérêt au vu des désagréments qu’elle engendre. Quand une femme voit que sa manipulation n’a pas marché et que l’homme refuse l’enfant qu’il n’a pas désiré, elle peut toujours se replier sur l’infanticide par avortement. Or non seulement dans ce cas, elle en arrive à s’attaquer à l’intégrité de son corps mais aussi à l’intégrité du corps d’un autre. En résumé, tandis qu’avant, la plupart des femmes jouaient sur la continence pour exercer leur domination sur les hommes aujourd’hui, elles l’exercent en s’attaquant, plus ou moins, à l’intégrité physique de leur corps, ou du corps d’un autre, et tout ceci sans aucune forme de morale (combien de femmes traumatisées se sont engagées dans des associations de lutte contre l’infanticide par avortement?).

 

L’impossibilité à concevoir une relation dans le temps.

 

Ici, ce ne sont pas des accidents qui sont décrits, mais une relation stable et régulière qui finit immanquablement par déraper dans l’infanticide par avortement. Or que cachent ces pratiques à risque si ce n’est une impossibilité à concevoir la relation dans le temps en dehors d’un asservissement sexuel ? En effet, la contraception induit des pratiques sexuelles à risque qui provoquent forcément une grossesse tôt ou tard. La mort d’un enfant, la destruction de leurs propres corps de femme, la prise de risques ne deviennent pour les femmes qu’un moyen d’exercer leur « liberté ». En fait de liberté, la relation se construit progressivement dans le contrôle psychique des hommes et ceci afin qu’elles puissent se rassurer psychologiquement. Exit les règles de vie à deux, l’engagement conscient ou la canalisation sociale du couple, et bonjour le choix guidé par les hormones, la sexualité comme asservissement du couple, l’absence complète de moralité, méthodes qui seules peuvent assurer la domination féminine. Dans ce cadre, les ruptures sont obligatoires et seul un fond de christianisme les empêche d’être systématiques. En agissant ainsi, les femmes croient consolider leur vie du couple, comme pour le reste, elles la tuent en voulant la contrôler.

 

L’impossibilité à accepter les critiques : le refus des praticiens hommes.

 

Une des dernières modes des femmes est de cracher sur les gynécologues. Ceux-là seraient incompréhensifs parce qu’ils seraient des hommes. Ils contrôleraient les services de médecine tout en n’en faisant qu’à leur tête sans prendre en compte leurs patientes (2, 3, voir sur ce point la polémique sur « le point du mari » (7)). Quand ils leur déconseilleraient le stérilet à cause du risque de stérilité pour une jeune femme nullipare, ils seraient trop brutaux. Quand ils refuseraient de prescrire la pilule contraceptive à une femme à qui cela donnerait des nausées et des saignements, ils ne connaîtraient pas leur métier. En fait, en leur donnant ces prescriptions, ceux-là viennent seulement de sauver la vie de leur patiente ingrate, ou encore de préserver leur fécondité. Mais non, le soupçon d’avoir utilisé leur savoir pour contraindre la liberté des femmes est à peine voilé. Ce sont des hommes qui voudraient conserver leur pouvoir sur les femmes. L’identification en miroir est évidente, et elle en dit plus long sur la mentalité de ces femmes que sur les hommes eux-mêmes. Dans ce cadre, vous imaginez bien comment ici, comme ailleurs, les femmes finissent par éliminer professionnellement les hommes dès qu’elles le peuvent, sur de simples fantasmes accusatoires alors même qu’ils sont là pour les servir. gynecoEt effectivement, ces praticiens ont commis un crime de lèse-majesté immense, même s’ils l’ignorent : ils ont mis des femmes modernes en face du principe de réalité de leur corps, genre « vous savez qu’après 50 ans il est difficile d’avoir des enfants ? » (sur ce, voir le récit désincarné d’une femme qui va devenir médecin : 8). Mais complètement aveugles, engoncées dans leur sentiment d’omnipotence, ces femmes immatures ne s’aperçoivent même pas de leur toupet. Elles préfèrent accuser le monde entier de leurs limites même si petit à petit, devant les évidences, il leur faut admettre ce bon sens premier qui était pourtant à la base de la société dont elles ont héritée. Entre temps, cela ne les aura pas empêchées de s’être rendues stériles, d’avoir commis un infanticide par avortement ou fait un enfant dans le dos de leur compagnon en espérant pouvoir lui faire admettre sa condition de serf, ou encore d’avoir professé des conseils immatures à ses pairs. Mais qu’importe puisque de toutes les manières« il y aura toujours une solution (ndt : de contraception) pour chaque femme » (3).

 

L’animalité comme seul horizon.

 

Au-delà des plaintes, le parlé vrai de ces articles fait ressortir une chose : exit les grands sentiments, le partenariat avec un homme, les valeurs masculines et féminines. Dans le discours de ces femmes tout est vu par le prisme de la sexualité et donc par le prisme de la contraception. Tout passe avant. On comprend comment, pour paraphraser le Pape Jean-Paul II, « la contraception a engendré des comportements qui ont permis la propagation de l’épidémie du Sida. » Ces femmes se donnent le droit de tuer, tromper, se tromper ou s’énerver tant qu’elles ont le droit de baiser. La baise détermine la relation du couple, preuve en est les avortements qui suivent ces relations jugées « sérieuses ». Si elles étaient si sérieuses que cela, les partenaires n’auraient-ils pas pu discuter du fait d’avoir des enfants ? Si elles étaient si sérieuses que cela, ces partenaires ne feraient-ils pas passer la venue d’un enfant avant leur ambition professionnelle et avant tout le reste ? Non, car ce qui est vraiment important dans leur relation, c’est autre chose. C’est l’argent qu’ils vont pouvoir gagner, le plaisir sexuel que l’autre va pouvoir leur apporter, et plus précisément la propension d’un des partenaires à rassurer affectivement l’autre. Ainsi, loin de se faire confiance, tous ces couples modernes basent leur relation sur une défiance qu’ils ressentent comme de la prudence. Où sont passés l’amour, le rêve, le sacrifice pour l’autre ? Toutes ces valeurs positives ont été étouffées au nom du progrès. A force, ces gens feront des enfants ensemble par compromis : qui pour garder un petit compagnon à leurs côté, qui pour obtenir une sécurité financière, qui comme moyen d’aliéner le partenaire. Le mariage d’amour chez ces couples « modernes » est devenu une chimère toujours plus distante. L’autre n’est devenu qu’un moyen de satisfaire des ambitions individuelles. Et quand ces dernières ne sont plus concordantes, c’est l’inévitable séparation.

 

bonobos

 

Le ton libéré de femmes aliénées.

Après avoir expérimenté différents modes de contraception, soit ces femmes en arrivent à des conclusions qu’un enfant de 5 ans aurait pu anticiper (2). Soit elles se disent plus mûres et admettent avoir fait des erreurs, mais continuent sur ce mode de pensée qui leur a fait commettre ces erreurs (3, avortements, relation futile). Soit elles continuent de manière inconsciente à accuser le monde entier de leurs propres erreurs en affirmant qu’il n’est pas à la hauteur des grands idéaux qui ont flatté l’égocentrisme de leur enfance (8). Toujours est-il que la femme moderne qu’on nous avait vendu comme le prototype le plus évolué de femme libérée me fait plutôt l’effet d’une écervelée qui serait complètement aliénée à des idées et des sentiments médiocres et viles, alors même que ces femmes « journalistes » de Rue89 sont en haut du panier socio-professionnel français. Si celles-là ne savent pas donner l’exemple, même en préservant les apparences, comment peuvent se comporter les autres dans la vie de tous les jours ?

C’est comme si ces femmes étaient sans passé, justes bonnes à accomplir une tâche professionnelle très délimitée dans la société. On a dû les flagorner en les laissant se construire par elles-mêmes à un stade où il aurait été bon qu’elles apprennent d’un autre. Toujours est-il qu’au final, elles apparaissent plus idiotes que jamais. Elles voudraient être libres, mais ne maîtrisent rien de leur contraception. Quant à maîtriser leur sexualité, oula. Quand on ne peut se passer d’une contraception que l’on sait inefficace, il semble devenu aléatoire de pouvoir maîtriser une quelconque forme de sexualité. Et si celles-là ne sont capables ni de maîtriser leur contraception, ni leur sexualité, je vous laisse imaginer les grands sentiments qui peuvent être les leurs dans l’intimité…sexuellement-liberee

Des femmes plus aliénées que jamais mais qui voudraient donner des leçons de liberté. Des citoyennes qui ont le droit de vote et qui exercent leur domination au quotidien sur les hommes. Des personnes qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez alors que « l’Education Nationale » est censée avoir réussi leur éducation. Un tableau partiel mais significatif des résultats de la féminisation . Mais surtout des témoignages effrayants de technique sexuelle et qui omettent le principal : l’amour.

 

1 « Pourquoi la pilule contraceptive n’est pas encore interdite ? », Aimeles juillet 2013.

 

2 « La pilule m’a fait trop souffrir, je suis passée au retrait », Rue89 12/06/2014.

 

3 « Comme toi, j’ai pratiqué le retrait et je suis tombé enceinte », Rue69 du 22/06/2014.

 

4 « J’ai toujours entendu : un enfant quand je veux si je veux. Cela m’a pris 20 mois. », Rue89 du 16/03/2014.

 

5 Dossier Doctissimo sur les pilules de 3ème et 4ème génération, mise à jour du 16/05/2014.

 

6 « Interruption de grossesse, c’est encore les femmes qu’on accuse. », Rue89 Strasbourg du 19/12/2013.

 

7 « Le point du mari est-il un mythe ? », 20 minutes du 25/03/2014.

 

8 « Je pensais que la contraception était un jeu d’enfant », Rue89 du 05/01/2014.

 

75 réponses à “Elles ne connaissent plus rien à leur corps, ni à l’amour”


  1. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    « Pire qu’être une femme en politique : être enceinte au gouvernement », Slate.fr du 19/08/2015.

    La journaliste le précise : seulement 20% des grossesses sont à risque et nécessite un suivi particulier. Cela tombe bien puisqu’avec ses 40 ans, Axelle Lemaire doit faire partie de cette catégorie. Le fait qu’elle ne démissionne pas prouve seulement qu’on est pas tenu de faire son travail correctement si on est femme, tout comme on est pas obligé de s’occuper de son enfant s’il en a pourtant besoin. Si vous rajoutez à cela la plainte parce que les journaux ont publié un démenti sur la démission d’Axelle Lemaire, alors qu’ils auraient dû se taire pour la journaliste, vous avez le tableau presque complet d’une forfaiture féministe de bas étage.


  2. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    « Moins la tête au travail quand elles sont enceintes, et manque d’ambition », L’Express du 25/06/2015.

    Malheureusement, ils ne sont même pas une moitié à constater que les femmes préfèrent leurs enfants à leur travail. Et si les femmes devenaient des monstres froids ?


    1. Avatar de kasimar
      kasimar

      Le pire est soit disant que les femmes seraient discriminées par les méchants hommes qui n’acceptent pas les femmes enceintes. Alors que Jacques Commaille dans son livre stratégie du travail des femmes démontre justement que les plus discriminants se trouvent être … les femmes elles-mêmes ou en tout cas tout autant que les hommmes. D’ailleurs les ressources humaines ne sont ils pas composés uniquement … de femmes ?


  3. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    « Ces gynécos archaïques qui font souffrir leur patiente », Figaro Madame du 21/11/2014, Pauline Verduzier.

    Description détaillée de femmes qui se mettent en danger pour satisfaire leurs désirs, intouchables, impossible à raisonner.


  4. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Enfin, un article intelligent dans le Monde. Ici, un gynécologue évoque le désir de certaines femmes d’attirer l’attention à elles par la plainte en ce qui concerne le « problème du point du mari » (et dans d’autres cas à mon avis). Mais la journaliste souligne surtout la question de la compétence et du temps pris par l’obstétricien pour recoudre la femme après un accouchement… tout un programme dans un monde féminisé qui n’a plus le temps. En général, on voit bien que les femmes sont victimes de ce monde qu’elles ont contribué à promouvoir…

    « Derrière le point du mari, le traumatisme de l’épisiotomie », Le Monde du 18/04/2014.


    1. Avatar de Manuela
      Manuela

      Franchement elles vont nous chercher de ces trucs, je n’avais jamais entendu parler de ça, mais de là à voir l’épisiotomie comme un viol, la vache, elles auraient préférées se faire déchirer peut être. pfff


  5. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Les femmes veulent des enfants après les hommes, alors qu’elles sont proches de la stérilité :

    « Les hommes veulent des enfants entre 29 et 35 ans » Figaro Madame du 21/08/2014.


  6. Avatar de Homme Humain
    Homme Humain

    Bien sûr, virer un homophobe c’est de la dictature, et c’est moir qui confond dictature et liberté mais bien sûr! ce n’est pas moi qui veut interdire aux gens d’utiliser le navigateur qu’il veulent et ce n’est pas moi l’anti choix ici!mais d’ailleurs, en parlant de patriarcat anti choix: voici ton rève, le monde que veux instaurer, celui où les femmes sont détruites par l’ordre moral, le patriarcat et la rleigion!http://chiro06.skyrock.com/3224557691-Dictature-de-la-pensee-unique-anti-choix-culture-de-mort.htmlempreint de vérité absolue et dénonce le mal!c’est ça ton rêve, asservir le femmes et leur interdir de choisir et de vivre et c’est ce qui est dénoncé dans ce texte sur cet article!


  7. Avatar de Homme Humain
    Homme Humain

    Un fils de pute doublé d’un fils de chien qui ne veut pas que les gens choisissent le navigateur qu’ilsz veulent juste parce que monsoieur le conanrd égoïste le décide ainsi, ordure nazi d’hitler, catho de merde tous les mêmes ces fachos!tu te prends pour qui de vouloir interdire aux gens d’utiliser le navigateurs qu’ils veulent sale déchet pourris engendré par un chien et une chienne pourris! moi je suis pur, je suis athée, donc va te faire foutre ordure anti choix!je prend firefox et si ça te plaît pas tires-toi une balle, adolf de mes deux! je choisis et tu ferme ta gueule! t’as rien à dire ou à imposer sur ce que les gens choisissent d’installer sur leur pc, tu t’appels big brother ou quoi, facho!et pour savoir quel monde tu établirais: http://chiro06.skyrock.com/3224557691-Dictature-de-la-pensee-unique-anti-choix-culture-de-mort.htmlceci est ton rêve, ceci est le mort!


    1. Avatar de Léonidas Durandal
      Léonidas Durandal

      Mais je ne vous oblige pas à venir me lire. Et avec votre niveau de langage, je préférerais d’ailleurs que vous alliez voir ailleurs. Votre audience ne m’est pas nécessaire. Et si j’ai envie de ne parler qu’à certaines personnes, j’en ai le droit. Nous sommes en démocratie, oui ou non ? Les dictateurs sont ceux qui licencient les gens pour délit d’opinion. Quant à moi, je n’oblige personne à me lire. Vous pouvez tout autant passer votre chemin. Et ce n’est pas de la dictature, ça. Au contraire, cela s’appelle le liberté. Votre problème est que vous confondez liberté et dictature.


  8. Avatar de kasimar
    kasimar

    @LiseD’abord, je vous souhaite beaucoup de bonheurs et de prospérité dans votre couple.Les femmes qui se sentent « maltraitées » en venant ici, sont bien souvent des femmes ayant très peu de compassion et de profondeur comme vous-même. La majorité de ces femmes ont répondu à l’appel de la propagande et continuent encore, parce que ça les arrange. Vous au moins vous avez eu le courage de ne pas vous être arrêter sur la forme, mais avez cherché à comprendre le fond, ce qui est un initiative tout à fait à votre honneur et qui force le respect et la reconnaissance sociale de certaines femmes. Malheureusement beaucoup ne sont pas comme cela, car trop cupide/ trop égoïstes/ trop serviles à la doxa mainstream/ trop misandre/ trop supreficielle ?…Une chose est sûre, les femmes dans leur majorité représentent une masse très influençable et manipulable pour le système. Quand je pense que les suffragettes se sont battu pour que les femmes soient reconnues et s’avèrent être pour certaines des coquilles vides, surtout celles qui font le plus de bruits.En tout les cas, si le féminisme avait pour objectif de reconnaître socialement la femme, ce dernier a ressorti le pire de celle-ci, et écrase de plus en plus la gent masculine : décrochage scolaire des garçons, hommes battus et transformation en pourvoyeur de pensions sans voir ses gosses. Bien entendu tout cela continue d’être ignoré, tant que ça ne touche pas la gent féminine. Et encore je ne parle même pas d’autres choses moins importante.Le féminisme et son armée de pintades ont donné une mauvaise image de la femme, c’est ce féminisme moderne qui est à l’origine de la déception, du désarroi et du malaise dont souffrent une bonne partie des hommes.Le respect entre hommes et femmes est désormais inconcevable en occident, tant la société a pourri l’image de la femme et la femme elle-même. J’ai compris peut être un peu tard que le féminisme est à l’origine de ce mal-être, des divorces également, en isolant chaque parent et déresponsabilisant de plus en plus la femme tout en cherchant à conformer l’homme aux désirs et besoins des femmes.Demandez-vous pourquoi de plus en plus d’hommes recherchent des femmes à l’étranger, pourquoi l’homosexualité a tant augmenté, pourquoi les hommes n’osent pas aborder l’autre sexe, de peur de se manger un procès.Soral en parle très bien dans Misère du désir et sociologie du dragueur


  9. Avatar de Lise
    Lise

    Alexandre, je suis d’accord avec vous. Seulement, je pense qu’en venant sur ce site, les femmes se sentent … Maltraitées (j’ai en effet eu connaissance de celui-ci de cette manière : une amie rageait contre les articles publiés ici).Pour ma part … Oui, j’ai d’abord été dérangée par certains propos. Mais avant de crier au loup, j’ai cherché à comprendre, et donc à poursuivre au travers des articles et des liens mentionnés dans ceux-ci. Etant toujours dans la recherche de respect entre homme et femme, je suis d’accord avec certains points soulevés ici, notamment la lourde « propagande » dont les femmes font l’objet, la reconnaissance des pères, la contraception et quelques autres. Seulement, lorsqu’on lit les articles, on se sent toutes mises dans le même panier. C’est dommage.Aussi, on peut ressentir une « haine » de la femme, parfois. En particulier dans l’article concernant l’agression dans le métro. Je trouve toujours très dur de le relire. Parce que même si on n’arrête pas de gaver la population avec des « femmes battues et maltraitées » .. Dans la rue, on se fait quand même malmener, sans pour autant se faire frapper ou violer mais .. C’est juste une question de respect. Cela dit, je pense que si on arrêtait d’en parler comme ça, à tout va, et bien les agressions reculeraient. Mais ça … Je trouve cela dommage, parce que ce site à des choses importantes à dire. C’est la paroles de beaucoup d’hommes, qu’on n’écoute jamais. C’est fondamental. Mais ne perdez pas espoir messieurs. Beaucoup de femmes ont compris qu’il fallait se séparer de la masse sociétaire. Le soucis, c’est que souvent, ces femmes sont quand même obligées de faire semblant, pour ne pas se faire brûler au bucher. 


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.