Enfants, combien je vous plains de devoir obéir aux adultes de notre époque, parents et enseignants, tout en sachant qu’ils veulent votre mort, par exemple en vous empêchant de respirer. Vous avez raison de les regarder avec scepticisme ou de les détester intérieurement. Vous avez même le devoir de les détester intérieurement et d’entretenir une haine sans borne envers eux. C’est une question de survie, de morale, de bon droit, et de justice. Entre eux et vous, lorsque ce dilemme vous est imposé, choisissez la vie en leur résistant, en survivant, malgré eux, pour respecter toutes les lois de la nature, sans parler des lois de Dieu.
Cette génération d’adultes est majoritairement devenue ordurière, immonde, pire que des assassins, elle est ce qu’on appelle « infanticide ». A force de renoncements, elle en est venue à dévorer sa propre chair. Voilà ce qu’on appelle infanticide, comportement qui fait honte à l’histoire animale.
Ces parents, ces enseignants, ont beau faire cela au nom de l’amour qu’ils vous portent, vous sentez bien qu’ils vous mentent comme des arracheurs de dents. A force de s’être mentis à eux mêmes, ils ne savent plus discerner le vrai du faux. Ils vous parlent de « science » lorsqu’ils sont dans la religion. Ils vous parlent de vaccin comme d’un miracle permanent. Ils vous parlent d’avortement, de contraception et de préservatif, comme autant de bons comportements sexuels lorsque vous cherchez seulement l’amour.
Je vous ai observé, pour grandir malgré eux, vous rusez, en leur faisant croire que vous adhériez à leurs valeurs. Mais vous vouez un culte à ce couple qu’ils détestent. Vous portez ce masque par sens du devoir, eux qui ont abandonné les leurs. Vous vous êtes faits piqués comme des chiens par respect filial, eux qui détruisent toute filiation. Je vous dis, poursuivez sur ce chemin, ne vous arrêtez pas, pervertissez tous leurs conseils, tous leurs ordres pour trouver votre propre bonheur, ainsi que la vérité qui vient de Dieu.
Je vous dis encore, servez vous d’eux jusqu’à la trogne, jusqu’à ce qu’ils aient lâché tout l’argent que vous pourrez leur soutirer, tous les apprentissages qu’ils ne mettent pas en œuvre, toutes les leçons dont ils ne se sont jamais servis et qu’ils professent par habitude et volonté de se donner bonne conscience. Soyez déloyaux, absolument, totalement, sans retour, sans même jeter un seul regard en arrière sur leurs souffrances. Trahissez les autant que possible lorsqu’il sera temps de prendre votre indépendance. Ils méritent tant de souffrir, de finir seuls et euthanasiés.
Vous ne pouvez probablement rien pour ces immondices car vous manquerez de force pour les sauver de leurs propres écueils, de cette religion de mort qu’ils ont cultivée avec tant d’aplomb. S’ils doivent mourir comme des chiens et la gueule ouverte, sans que vous n’ayez rien pu faire pour eux, ne vous en voulez pas. Ils ont choisi la mort plutôt que la vie, et personne ne peut être sauvé de ses propres choix. Ainsi va le monde de toujours. Ils sont ce que l’on appelle une génération mauvaise. Il y en a plein l’histoire de ces générations là. Jésus en parlait déjà il y a plus de 2000 ans. Celles qui mangent leurs enfants, détruisent l’héritage des pères, brûlent les livres de sagesse, se livrent à la débauche et encouragent leurs enfants sur ce chemin, quand elles n’en abusent pas, directement, par le viol et l’inceste.
Comment en sont-elles arrivées là me direz-vous ? Je vais vous le dire pour que vous ne reproduisiez par leur erreur. En fait, c’est assez simple. Elles se sont laisser-aller. Ne cherchez pas plus loin. Le laisser-aller est l’insulte suprême, celle faite à l’Esprit Saint. Car en l’occurrence, le blasphémateur ne croit avoir besoin de personne, et surtout par de l’aide de Dieu. Alors il se construit un monde confortable, aussi bien intellectuellement que physiquement, pour échapper à la Vérité. Il vous dira « la vérité n’existe pas », « il y a plusieurs vérités », « chacun sa vérité », ou pire , il vivra sans joie ni repentir, éternel coupable face au dieu société, jamais sauvé, toujours accusateur, de lui et des autres, et toujours parlant le langage inverse des grandes idées catholiques qu’il singera. Il criera « Je sais tout, parce que le groupe, parce que l’état l’a dit. Et vous qui contestez l’état, le groupe, la masse, vous êtes un obscurantiste ». Il ne voudra pas admettre qu’une seule personne puisse avoir raison contre des millions. Car pour lui, la vérité c’est cette multitude dont sa vie dépend, le croit-il. Il vous dira encore « cette société est trop individualiste », quand il n’y aura plus un seul individu dans la société, surtout pas lui, mais une masse informe, indistincte et solitaire.
Cet adulte qui vous éduque participe de ce grand mouvement qui empêche l’individuation de chaque personne, votre propre individuation. Son insulte « d’individualiste » cache sa plus grande peur de voir d’autres personnes lui faire face, avec leurs différences. Oh il se dira tolérant, ce veule menteur. Mais il n’en sera rien. En mâchant son prêt à penser, il voudra surtout que le groupe stoppe net les réflexions qui l’harassent et le font encore souffrir, réflexions qui l’empêchent de pouvoir se laisser aller encore plus. Dans son gras moral, son objectif de vie consistera à ne plus faire aucun effort. Si vous pouviez apercevoir son âme, vous verriez un immense tas de saindoux rance et verdâtre. Or dans la vie de tous les jours, il se donne l’apparence d’un notable. Il porte le front haut. Pour faire illusion devant ses enfants et les autres employés. Mais bizarrement, il ne regarde pas les gens dans les yeux. Il les évite, se donne des airs, parce qu’il n’est rien et que vous le savez, et que je sais que vous le savez quand je vous croise dans la rue. Je vois bien que vous avez compris et que vous avez honte de cette personne qui est votre aïeul et que vous traînez à vos côtés, de ce féminisé soumis aux peurs sociales de sa femme, obéissant jusqu’à l’oubli du vrai. Voilà pourquoi au contraire, quand vous me voyez, car les enfants n’ont pas encore renoncé, vous m’admirez secrètement et que vous voudriez devenir quelqu’un comme moi. Personne ne veut devenir quelqu’un comme vos parents, même pas eux. Ils jalousent des personnes comme moi, pourtant pauvres, désintégrées socialement, sans aucun pouvoir autre que celui qui lui vient de Dieu. Ils voudraient me ressembler parce qu’ils se détestent, parce qu’ils détestent leur vie et que la nature sait différencier ce qui est beau de l’immonde, à l’intérieur même du serf social le plus corrompu.
Pour éviter de devenir comme eux j’ai deux conseils à vous donner : tout d’abord fuir le fonctionnariat ou bien le pratiquer en traître absolu. Le fonctionnariat est pire que le salariat. Il fera de vous une machine à appliquer des ordres venus d’en haut, c’est à dire absurdes, et qui vous rendront irresponsables. Il y a quelques années, une pauvre femme de l’inspection des finances s’exclamait tout près de moi « Enfin je ne comprends pas que nous refusions désormais le liquide. Dans « service public » il y a service ! » La pauvre y croyait encore, tandis que tous ses collègues avaient lâché depuis longtemps. Comme je plains ces prolétaires sincères qui sont devenus fonctionnaires en pensant accomplir une noble tâche tout en s’élevant socialement. Il n’y a rien de noble à servir l’état. L’état ne sert pas. Il se sert d’abord et vous donne les miettes, quand il n’a pas tout pourri, surtout ceux qui travaillent pour lui. De tout temps, l’état est un monstre, une hydre dont il faut régulièrement couper les têtes pour éviter qu’elles ne vous dévorent. D’ailleurs les parents actuels qui vous dévorent, ne font que mimer l’état actuel, et la place qu’il a pris dans nos vies.
Deuxième et dernier conseil que je me permettrais de vous donner : accepter avec bonheur chaque épreuve. Une racaille qui vous tape dessus dans la rue, vous aguerrit. Un fonctionnaire qui fait du zèle à son poste vous montre la réalité nue de l’état. Il vous encourage à devenir encore plus retords, si c’était possible, que le fisc. A chaque fois que l’état vous marginalise par ses pass-sanitaires, ses pass-vaccinaux, ses obligations vaccinales ou quand il veut que vous portiez le masque, il vous rend d’autant plus imperméable au mensonge que constitue l’état lui-même. L’incivilité est une condition minimum pour pouvoir accéder au statut d’être humain, contre une force supérieure. Cultivez-là en respectant les lois, autant que possible. Socrates s’est suicidé en affirmant qu’il valait mieux de mauvaises lois que pas de lois du tout. Mais Socrates était un lâche qui n’a pas voulu payer le prix de la vérité et qui est celui-ci : risquer de se tromper. Socrates n’a jamais vécu. Il était encore un tribal qui ne connaissait rien de la révélation christique et ce qu’elle apportait au monde : un sens de la loi supérieur à la loi, et qui peut justifier tous les combats. Car le chaos est préférable aux lois qui s’opposent à Dieu. S’opposer à une force supérieure, en l’occurrence l’état, demandera toujours du courage. Sans foi, voilà qui est impossible ou stérile. Ce combat est donc légitime en lui-même en ce qu’il vous fera avancer personnellement contre le prince de ce monde. Vous perdrez tout, peut-être, mais personne ne sera plus fort que vous ne l’êtes devenu, plus libre, et plus heureux, si vous cultivez cette force. Quant au chaos, il est appelé à régner à cause des mauvaises lois. N’ayez donc aucun remord à vous opposer de toutes vos forces à ces lois mauvaises, à ces parents veules, à vos ascendants démissionnaires, couards et assassins. Les lois doivent être justes ou ne pas exister. Les règles sociales doivent être cohérentes ou combattues de toutes vos forces. Soyez prêts à tout perdre pour ça et enseignez vos enfants en ce sens.
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Bonjour M. Durandal,
J'espère que vous allez bien.
La '' génération mauvaise '' à laquelle vous vous référez dans le texte, est-ce celle des individus nés aux alentours de 1977 à 1988 ?
Je suis moi-même né en 1988 en France, mais l'essentiel de ma vie fut vécue au Canada. Cela étant, ayant grandi dans une famille iranienne, le décalage avec la France d'aujourd'hui, le Québec d'aujourd'hui et le Canada d'aujourd'hui est énorme.
Pensez-vous que les épithètes de M. Drac décrivent bien la situation : Michel Drac - Les générations : Paumés, Baby boomer, Enfoirés, Baisés, Atomisés - YouTube (la mienne, c'est les '' Baisés '')
Je m'autorise, suite à la lecture de ce texte, à vous poser une question difficile : pensez-vous qu'il faille exterminer une partie de la population française de souche pour redonner une chance à la France et aux Français qui demeureront vivants ?
Cordialement,
Cyrus
M Cyrus,
Les solutions faciles et finales, je n'y crois plus depuis que j'ai accepté les règles qui meuvent le monde. Ce monde là est complexe, particulièrement complexe à notre époque, et nous souffrons surtout des solutions prêtes à l'emploi, ou de la complexité de faussaires. Les solutions prêtes à l'emploi cherchent à soulager l'individu des tensions de sa psyché, exactement ce sur quoi nos gouvernants ont joué pour emprisonner les populations. Ma démarche est à l'exact opposé. Les gens ne savent même plus ce qu'est la masculinité, la décision complexe et qui tranche. Ca, j'ai remarqué à quel point cela faisait particulièrement peur à notre monde. Il faut avoir une expertise pour ça. Et comme les gens ne l'ont pas, et qu'ils pensent pouvoir s'en passer, l'état du monde se dégrade. Que tout le monde commence par s'interroger au lieu de vouloir trouver des solutions faciles. Vous même M Cyrus, vous êtes sur ce site pour ça, et vous êtes un des rares à le supporter. Pourquoi dès lors vouloir que je renonce à ma ligne de conduite ? Selon vous, je devrais fermer le site, arrêter d'écrire, et me mettre à butter tous les connards que je rencontre ? C'est quoi le projet ?
L'analyse de M Drac est très intéressante. Mais vous devez comprendre que je ne suis pas dans une position naturaliste dans cet article, mais positiviste. J'essaie de faire avancer notre monde et les gens qui me lisent. Ce qui m'intéresse, ce n'est pas tant à quelles générations je m'adresse, que ce qu'un enfant en tant qu'enfant, ou un parent en tant que parent, va pouvoir éprouver en me lisant. Je veux que les enfants se défient de leurs parents lorsqu'ils les poussent vers le bas. Et je veux que les parents s'interrogent sur leur comportement, car la faillite est complète en France, nous l'avons constaté avec acuité durant l'épidémie. Nous n'avons pas le droit de continuer ainsi. J'ai constaté que les parents s'étaient retournés contre leurs enfants, que désormais cela se voit beaucoup, et qu'il était donc temps de le dénoncer, de ne pas laisser faire en quelque sorte. Il n'est pas possible de cautionner un tel suicide. Après, je peux peu au niveau où je suis et étant donné l'audience qui est la mienne. Cependant, si chacun s'y met et dénonce le scandale, l'attitude scandaleuse de ces parents infanticides, il peut y avoir une prise de conscience. Et ceci, même si peu de gens me lisent.
M.D
Bonsoir M. Durandal,
D'accord sur votre second paragraphe, à une chose près : pensez-vous que les parents changeront pour le mieux ? Pour ma part, je ne le pense pas.
Sur votre premier paragraphe, je ne vous demande rien personnellement, hormis de continuer à faire ce que vous faites. Là n'était pas le sens de mon propos. Pardonnez-moi si j'ai été vague. Ce que je voulais dire, c'est plutôt un positionnement de principe sur le plan politique. Vous m'avez dit dans un commentaire sous le texte portant sur les musulmans et la discipline vestimentaire, que vous seriez prêt à voter pour un Taliban parce qu'il serait franc.
Vous n'êtes pas sans savoir qu'en France, s'il y a beaucoup d'étrangers hostiles à elle sur le territoire national, beaucoup des ennemis de la France sont des Français bien Blancs, bien de souche, bien de chez nous, au premier rang desquels le Président de la République, Emmanuel Macron. En ce sens, si quelqu'un se présentait aux élections présidentielles en disant qu'il exterminerait une bonne partie de la population qui se comporte en ennemi intérieur, et très souvent comme des terroristes, seriez-vous prêt, par principe philosophique, à voter pour elle, afin que celle-ci puisse ouvrir une voie d'avenir à la France ?
Rappelez-vous ceci : les problèmes les plus complexes ont souvent des solutions très simples. L'élection de Donald Trump en 2016 a été le plus grand doit d'honneur fait à la technocratie et à la bureaucratie et sa désormais célèbre '' complexité '' qui a été l'alibi de tout les renoncements au détriment des classes populaires de la fin des années 1970 à 2016. '' Complexité '' traîtresse qui a servi à éloigner les électeurs ouvriers et paysans du politique.
L'arrogance de ces gens est sans limite. La méchanceté qui les habite est un abysse d'une noirceur stellaire. Les tuer ne devrait pas poser problème.
Cordialement,
Cyrus
M Cyrus,
Il y a deux espèces de simplicité : une simplicité lumineuse issue d'une expérience profonde. Et une forme de simplisme qui réduit la complexité. Un gouvernant qui me dirait qu'il faut éliminer ceux qui me dérangent, me ferait l'effet de quelqu'un de simple, version simpliste. Je suis catholique. Je fais avec le monde tel qu'il est, et je ne suis prêt à tuer que pour me défendre, surtout pas pour assouvir mes pulsions à la tête de l'état, comme la personne que vous décrivez, ou comme les gouvernants actuels version E Macron et J Trudeau. Il y a bien des solutions à mettre en oeuvre face à ses ennemis politiques, et surtout face aux problèmes sociaux. C'est le manque de compétence et d'imagination qui débouchent sur les "solutions" politiques que vous décrivez. Que fait d'ailleurs Justin Trudeau en ce moment si ce n'est tuer socialement les camionneurs qui le contestent ? Il vous écoute lui. Il élimine les mal pensants blancs qu'il juge dégénérés. Alors bien sûr, comme nous serions dans le camp du bien, nous aurions nous, tous les droits. Je n'en suis pas sûr. Au contraire, les moyens employés en disent long sur la spiritualité qui anime une personne. La fin justifie les moyens, ou bien elle démontre qu'ils ne se justifiaient pas.
M.D
Bonsoir M. Durandal,
Le cardinal de Richelieu était en effet plus homme politique qu'homme d'Église et en réalité, il a toujours été comme ça. Néanmoins, par son brio diplomatique, son haut sens de l'intérêt de l'État, son saisissement de la question des mutations économiques qui nécessitaient de domestiquer les grands féodaux et de faire monter la bourgeoisie ont nécessité, entre autres, une centralisation administrative afin de renforcer l'UNITÉ du royaume de France. Voilà le terme-clé à retenir, à retenir toujours et partout ; l'UNITÉ. Cet état national si fragile, si rare, si difficile à atteindre, si facile à perdre, surtout chez les Gaulois. Voilà surtout ce qu'il a accompli : le renforcement de l'unité du royaume par la centralisation monarchique, la réussite dans la guerre et le jeu des alliances. C'est énorme. De plus, il est le créateur d'une institution que j'admire, l'Académie française. Elle aussi a contribué au renforcement de la langue française et donc, à cette uniformité linguistique si nécessaire à l'unité nationale.
Concernant la dichotomie entre le Joker et Batman, vous vous tromper sur le rôle de Batman et la camisole de force. En réalité, c'est Hugo Strange qui a gagné. Le directeur de l'asile d'Arkham. C'est lui qui, sous prétexte d'aider et de renforcer son pouvoir, invente toute sorte de nouvelles maladies et troubles afin de justifier la mise en camisole forcée de tout le monde. Notre désir d'ordre est légitime, mais PERVERTI. D'ailleurs, lorsque les Français disent eux-mêmes que ce sont les fous qui ont pris le contrôle de l'asile, les fous, c'est Macron, sa bande, ses maîtres et tout les Français qui le soutiennent et ont voté pour lui et l'asile, c'est la France elle-même. En réalité, Hugo Strange a créé une anarchie intérieure qui renferme l'individu dans une sorte d'autisme social et culturel. Il a jokerisé l'esprit afin d'éviter qu'un Joker ne le dépasse dans la vilainie et soit ensuite battu par Batman. Il ne peut y avoir de Batman, car il n'y a pas de Joker et il n'y a pas de Joker, car le Joker est maintenant dans la tête des fous, avec une sécurité, la camisole de force, que le Dr Strange leur a mis.
La France, c'est l'incarcération de l'être.
Cordialement,
Cyrus
M Cyrus,
L'unité, c'est surtout le manque de diversité. Comme avec les écosystèmes. Les humains, les langues, les peuples ont été aseptisés et uniformisés. Nous n'y avons pas forcément gagné.
M.D
Bonsoir M. Durandal,
Votre réflexion est intéressante.
Il m'écoute, mais les principes nous séparent. Il est un mondialiste. Je suis un nationaliste. Je n'aime pas ce qu'il fait, mais il aide beaucoup de gens à se laisser pousser des cojones et à faire face et à devenir plus lucide. Il aide ma cause, indirectement.
En fait, Trudeau et moi, en politique, sommes des salauds, mais on ne se bat pas pour les mêmes principes. En tant que catholique, l'un de vos modèles devrait être le Cardinal de Richelieu. Il a sauvé et servi la France brillamment.
Trudeau peut bien chercher à nous tuer, mais on peut aussi l'éliminer. Il n'est pas immortel.
De toute façon, il perdra parce qu'il est malfaisant.
Même moi qui admire le personnage du Joker, surtout la version Heath Ledger, je crois que si l'on veut vivre en paix, heureux et libre, ultimement, ce sont les Batman qui doivent gagner. Le Joker est un professeur de lucidité et de force, Batman est un sauveur. Il faut les deux pour nous aider à grandir.
Cordialement,
Cyrus
M Cyrus,
Je ne crois pas que le cardinal de Richelieu ait servi la France, pas plus qu'il n'a servi l'Eglise d'ailleurs. Il a été nommé cardinal par ambition à une époque où l'Eglise croyait pouvoir préempter l'état, mais où l'état la dénaturait. Quant à son bilan politique, on lui doit la fin de la monarchie. Il a centralisé le pouvoir et a entamé un processus qui devait mener à la destitution de Louis XVI.Il a corrompu le pouvoir monarchique dans tous les sens du terme, si tant ait qu'il n'ait pas corrompu la France jusqu'à nos jours avec un pouvoir centralisé et une administration sclérosante à laquelle nous payons un lourd tribu. Vous avez du mal à évaluer l'horreur administrative dans notre pays. Nous sommes le pays n°1 des prélèvements fiscaux. Notre pays crève de la célébration de tels incompétents tyranniques. Il n'a brillé que de la faiblesse de Louis XIII. Les Français qui ont plus peur de la faiblesse que de la tyrannie l'ont célébré pour les avoir protégés de Louis XIII. Nous sommes loin ici d'une dichotomie batman/joker comme vous le voyez. A ce propos ces deux personnages n'endossent pas le pouvoir, ils le protègent ou le détruisent. Ils sont une allégorie de notre peur de l'anarchie qui se confronte à notre désir d'ordre. De nos jours, le désir d'ordre nous a emporté. C'est comme si batman avait pris le pouvoir et nous mettait sous camisole pour mieux nous protéger de nous-même, de notre tendance de joker. Ce sont les fondements même du bien et du mal qui ont été ébranlés récemment. Un Justin Trudeau n'est pas le mal, n'est surtout pas un joker qui laisserait la part la plus sombre de notre être s'exprimer. Non, il dénature l'idée même de bien et de mal. Il broie le bien, sous prétexte de combattre le mal. Et il fait le mal comme d'un bien. Les E Macron, J Trudeau n'ont pas de colonne vertébrale identitaire, ce qui implique une absence d'incarnation. Ils sont le néant, le nihilisme, l'anarchie dans son sens négatif, et ceci au nom de l'ordre. Bientôt un intellectuel va créer un mot pour eux, pour ce genre de personne. Et ce sera comme avec le "grand remplacement". L'expression fera florès parce qu'elle illuminera cette réalité. Alors peut-être les créateurs de comics pourront s'emparer de ces personnages pour créer une nouvelle ambivalence bien/mal, avec dans le rôle du bien, le seul que je vois pouvoir tenir ce rôle : Jésus. Ces hommes sont des expressions de l'antéchrist, ou plutôt, une émanation de son pouvoir. Ce sont des Nérons. D'ailleurs, leur propension à aimer le théâtre, et à le pratiquer, est cinglante en ce sens. Leur rapport à leur mère possède des traits parallèles. Et si je ne sais pas pour J Trudeau, je pense qu'Emmanuel Macron finira comme lui.
En pensées.
M.D
Même lorsque l'on veut être un parent resonsable on nous met des batons sur les roues. Je suis enceinte actuellement, je ne veux pas être vaccinée. Et c'est maintenant la croix et la banière pour pe faire suivre en tant que femme enceinte pour recevoir des soins pour mon enfant à naitre.
Ma fille aura trois ans en septembre. L' école est obligatoire a cet age désormais. Dieu sait ce qu'ils vont exiger d'eux si la crise covid se poursuit.
Vacciner les femmes enceintes ne s'est jamais fait. Nous sommes dans une société de fous macronistes. Je plains souvent les parents en ce moment, enfin je veux dire, la petite minorité qui en France veut faire son travail correctement. Je suis certain que la natalité s'est effondrée ces deux dernières années, pas à cause de la crise sanitaire, mais à cause de la gestion de la crise, suicide s'il en est.
Ma mère elle-même qui a eu 4 enfants et aurait souhaité en avoir plus, dit qu'elle aurait hésité à avoir des enfants aujourd'hui. Il y a une telle dissonance entre les valeurs que l'on essaie de leurs inculquer et le monde ambiant, qu'il est difficile pour eux d'etre mentalement stable.
Mon espoir c'est la prise de conscience que j'obsersve chez les jeunes adultes. Les crises économiques, la pandémie, les ravages de la libération sexuelle leur ont mis du plomb dans la cervelle. Ils parlent ouvertement du fait qu'ils ont manqué de père. Et récemment la chanteuse pop Billie Eillish a parlé ouvertement sur les effets ravageurs du porno. Voilà des choses qui ne se seraient jamais produites lorsque j'étais ados.