Un pasteur est accusé de la mort de 3 enfants parce que son livre vendu à 670 000 exemplaires prône l’utilisation de châtiments mesurés.
L’une des familles maltraitantes décrite dans l’article avait été acheter ses enfants en Afrique. Elle s’est bien vite retrouvée face à la réalité de l’adoption et non à l’image véhiculée par les féministes lesbiennes et les mouvements gays. Ces parents consuméristes qu’on a laissé faire, étaient déjà des parents maltraitants dans leur démarche. Maltraitants dans leur laxisme moral. Cet article, d’un journal français soit-disant de droite, généralise sur une famille, qui loin de donner une éducation à ses enfants, ne devrait jamais en avoir eu. Et que sait-on des deux autres familles dénoncées dans l’article ? Rien. Plus certainement des gens laxistes moralement que des hérauts de l’éducation… En France ces parents qui ne voulaient pas d’enfant, loin de le laisser aux services sociaux, s’en sont servi comme d’un souffre douleur :
Doit-on confondre le désir d’éduquer ses enfants avec ce genre de couple laxiste et meurtrier ? Les uns donnent des fessées pour apprendre à leur enfant à respecter certaines valeurs, les autres pour se soulager psychiquement, démarches totalement opposées l’une de l’autre.
Seuls des esprits malins peuvent les confondre volontairement.
Le laxisme aujourd’hui en France fait beaucoup plus de victimes que l’administration de fessées ou de claques. Il n’y a qu’à voir le nombre d’accidents domestiques, première cause de mortalité en France et qui n’est pourtant que la partie émergée de l’iceberg. On se moque des Américains et de leurs débats, tandis qu’en France on fait bien pire. Combien d’enfants laissés à l’abandon éducatif, se retrouveront en dépression, en échec scolaire, en prison, ou au bout d’une corde, voire mourront le long du bitume pour avoir adopté une conduite suicidaire ? Mais de ces dizaines de milliers de morts dus au laxisme éducatif qui règne en France, on n’en parlera pas. Pour rappel, la France est la championne du monde en matière de suicide. Il serait temps qu’elle s’interroge sur les valeurs éducatives qu’elle transmet à ses enfants, ou qu’elle ne transmet pas…
La fessée, sans haine, ni rancune, pour un acte grave de dépassement conscient des règles, est bien un acte qui se justifie. Quand une société n’a plus aucune morale, elle ne peut pas comprendre cela. Elle préfère abandonner ses enfants de fait, plutôt que de les éduquer. Elle écarte les pères de l’éducation de leurs enfants. Celles-là qui défendent cette société, sont les vraies meurtrières, les Edwige Antier, les Alice Miller… elles voudraient nous faire croire que tout peut se résoudre par la parole ! Pauvres femmes ridicules, ne sachant pas que la loi précède l’être, qu’elle précède le corps, qu’elle précède la parole. Car la Loi fait la parole, la Loi fait l’homme avant le corps, elle est le Verbe qui nous précède. Dans leur omnipotence féministe, elles croient que tout peut sortir de leurs corps, dont la vie. Mais de leur corps ne sort qu’un amas de chair. L’essence de l’humain vient de Dieu, et non d’une femme qui procrée dans un acte qui la dépasse, largement. S’il ne faut parler que de chair, ce que les féministes font, alors tuons, avortons, maltraitons nos enfants. Si, par contre, nous parlons d’âme, éduquons, aimons, châtions nos enfants. Le châtiment corporel ou pas, est à l’opposé de la maltraitance. Battre un enfant sans raison, n’est pas un châtiment, c’est une perversion, un laxisme moral inacceptable. C’est la maltraitance. Mais ne pas châtier un enfant qui a commis volontairement un dépassement des limites fixées par les adultes, c’est également de la maltraitance. Mme Dolto soulignait déjà que ces deux comportements étaient une même maltraitance, la deuxième étant bien plus sournoise que la première. En dernier lieu, pour moi, ils ne sont que les deux faces d’une même pièce. Cette pièce de monnaie issue du consumérisme ne devrait jamais être confondue, comme nous le faisons dans notre société laxiste, avec l’éducation et la répression nécessaire de certaines volontés négatives chez nos enfants. En cela, notre violence d’adulte est parfois très positive, très nécessaire. Etre incapable de cette violence, vouloir la réprimer par la loi, ou encore la dénoncer chez les autres, démontre simplement que nous sommes passés d’une société équilibrée, à une société maltraitante féminisée.
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