(Exclusivité Aimeles) Agression sexuelle du métro de Lille : « Oui, j’ai laissé faire ».

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sachant que votre site seul serait susceptible de publier mon témoignage en entier.

Témoignage Anonyme reçu suite à l’agression sexuelle du métro de Lille.

« J’ai décidé de prendre la plume parce que je suis outré. J’ai lu de nombreux commentaires dans les journaux. Tout le monde sait, ou tout le monde croit savoir plutôt. Ils voudraient pouvoir se payer une bonne conscience sur notre dos. Nous étions là. Nous n’avons rien fait. Nous sommes des monstres. Je suis un de ceux qui était dans la rame du métro à Lille quand la jeune fille s’est faite agresser sexuellement. Nous ne sommes pas des monstres.

Quand le jeune homme éméché a commencé à avoir une attitude inappropriée, j’ai pensé que cela lui passerait. Et puis je ne sais pas si cela vous l’a déjà fait, mais oser intervenir, c’est risquer l’incident. Personne d’entre nous ne voulait provoquer l’incident. Je pense qu’à cet instant, nous nous sommes tous dit que le plus raisonnable était de nous taire. C’est instinctif. J’ai l’habitude des transports en commun et cela se passe toujours ainsi. Un poivrot entre. Il dit n’importe quoi. Nous, les personnes sociables, nous nous taisons. Nous avons la loi et nos certitudes pour nous. C’est comme si ça n’existait pas. Chacun d’entre nous peut se dire « encore un ». Et chacun prie pour que cela ne se termine pas trop mal. Et à chaque fois, cela ne se termine pas trop mal. On descend en l’entendant brailler. Ou bien il descend. L’affaire est close. Quand je lis les commentaires des internautes, je me demande pourquoi tant de personnes se disent offusquées alors que je n’en ai jamais vu réagir dans la vraie vie.

Personne ne réagit dans la vraie vie, parce que tout le monde est enkysté dans son petit confort personnel. Tout le monde sait bien que la police vous reprochera d’être intervenu. Ou même que la victime se considérera assez forte pour se défendre toute seule. J’en ai connu une qui m’a insulté après que j’ai choisi de la défendre. Depuis j’ai appris à vite ranger ma galanterie. Tout cela est d’un autre âge. Je n’ai jamais aimé avoir des ennuis pour rien.

 

Le jour de l’agression quand le type sous alcool a commencé à observer les filles de la rame, j’ai senti d’instinct qu’il allait finir par se tourner vers elle. Elle avait, comment dire, la tête et le physique. Cette morgue féminine est une pure provocation pour un de ces mâles de banlieue. Imaginez ce pauvre gars, étranger, qui rêvait de venir en France pour s’enrichir. Le voilà arrivé à l’état de déchet. Et on lui dit que c’est lui l’oppresseur patriarcal et toutes ces conneries qu’on entend à la télé et à la radio. Lui, il boit toute la journée. Il n’a pas un rond, pas de femme, pas de famille. Et il voit ce qu’il juge être une petite pute nouvellement intégrée qui rentre du boulot, intéressée uniquement par sa gueule, qui pue le narcissisme. Le grand écart.

 

Pour éviter d’être présents, par réflexe, mes voisins pianotaient sur leur téléphone. Les autres fixaient le vide, peut-être plus intensément que d’habitude. Je sentais qu’ils pensaient tous : « Pourvu que cela ne me retombe pas dessus. En quoi cela me regarde ? ». Très vite, la fille a commencé à protester, mais plus elle avait peur, plus cela excitait le type. Et plus elle s’adressait à la communauté plus nous nous enfermions individuellement. Cependant si j’ai donné l’apparence de l’indifférence, je n’ai pas fui intérieurement. J’étais bien présent. Je dois vous avouer que ce genre de spectacle est jouissif en ce qui me concerne. Tous les jours, je vois au boulot une bande d’hypocrites qui ne pensent qu’à eux et qui voudraient que le monde aille mieux. Ils répètent tout le temps « chacun fait ce qu’il veut chez lui, en quoi ceci ou cela nous regarde ». Et s’ils ne le disent pas, on sent qu’ils le pensent fort. Je ne peux plus les supporter ceux-là. Les mecs qui provoquent des incidents dans le métro bouleversent les règles. Ils obligent tous ces petits cul-terreux à sortir de leur confort intellectuel. C’est le principe de réalité appliqué au métro.

 

Le sale type aviné commence donc à peloter la fille. Elle se dégage, tente de sauver les apparences. Elle aussi ne veut pas sombrer dans la provocation. Elle garde sa petite attitude mièvre. Elle se réfugie près d’un homme qui lui semble plus viril qu’un autre. Mais ils ont le regard aussi bovin l’un que l’autre. L’agresseur sait y faire. Il mélange drague lourde et tentatives de rapprochement. Partout où elle va, il la suit. On pense que cela va se terminer comme ça. Et effectivement. Le petit jeu se poursuit ailleurs. La fille descend de la rame, et le mec la suit. L’incident est clos. Le mec va certainement l’embêter un peu jusqu’au moment où il va voir une voiture de flics, et où ils vont rentrer chacun de leur côté. La fille va embrasser son chat ou engueuler ses enfants. Le type dessaouler en se tirant sur la nouille. Et tout le monde en sera quitte pour raconter son histoire : l’un à ses camarades de beuverie, l’autre à ses amies féministes.

 

Chacun est effectivement rentré chez soi sans que l’incident n’ait été plus grave que ce que j’ai décrit. C’est en lisant les journaux que j’ai compris qu’on avait donné une autre tournure aux événements. Le type a pris 18 mois de prison ferme. Et maintenant, on fait tout un pataquès de ça. Les passagers auraient dû faire ceci ou cela. On va nous rechercher, et tenter de nous poursuivre pour non assistance à personne en danger. Je l’attends de pied ferme celle-là !Il y aurait pu avoir viol nous dit-on. En ce qui me concerne je pense que s’il devait y avoir eu viol, il y aurait eu viol. Cependant il n’y a pas eu viol. Et la société a fait son travail.

 

Par contre, si l’un d’entre nous s’était mis en danger, il y aurait peut-être eu un mort. Et là, il n’y aurait pas eu tant de journaux pour s’offusquer. Alors oui, j’ai laissé faire, en toute conscience. Et je pense que c’était encore la meilleure solution car dans une société policée, on ne demande pas au simple citoyen de faire le gendarme. Dans notre société, si un enfant se fait taper dessus, on lui demande d’aller voir son professeur. Si un bijoutier se fait voler, on lui demande d’appeler la police. Si un homme se fait frapper par un homme ou même par une femme, il doit fuir. Si une personne se permet de répondre physiquement à une agression en général, il est considéré comme un agresseur. Cette société possède ses propres moyens pour se défendre. Seules les forces de l’ordre ont le droit d’user de force virile. On peut le regretter, on peut se demander où sont passés les hommes, c’est ainsi, et personne ne souhaite vraiment le retour d’une autorité masculine ailleurs qu’au sein de l’Etat. Même les forces de l’ordre sont féminisées toujours plus tant on pense que cette force masculine est inutile. Alors demander au simple quidam de faire preuve d’esprit d’initiative, c’est vraiment déplacé et même contradictoire : il n’est pas possible de demander aux hommes de faire preuve exceptionnellement de virilité tandis que dans la vie de tous les jours, ce sont les comportements les plus lâches qui sont valorisés, en particulier dans l’entreprise.

A mon avis, ce genre d’incident sert surtout à légitimer les sanctions sur les hommes, des sanctions toujours plus fortes sur des faits toujours moins graves. Car ce que j’ai vu ne méritait pas une telle punition. Pour moi, la société a peur de voir la situation lui échapper, alors elle tape d’autant plus sur les hommes qui ne sont pas « civilisés ».18 mois ferme pour avoir touché une femme… Demain on nous expliquera peut-être que déranger une de ces dames mérite la peine de mort ?

Si certains s’inquiètent de la montée des incivilités, je m’inquiète plutôt du contrôle social qui augmente toujours plus au fur et à mesure que les promesses de notre société ne sont pas tenues. La dictature est en train de remplacer l’autorité du père. Cette dictature ne réglera rien aux incivilités. Par contre elle dégradera toujours plus nos libertés publiques.

 

Si vous vous demandez comment j’ai pu acquérir une vue d’esprit aussi particulière, sachez que je vous le dois en partie, et que je vous en remercie. De surcroît, ayant été victime du système judiciaire lors de mon divorce, j’ai été sensibilisé à ces sujets d’une autre manière. Ce sont les deux raisons pour lesquelles je lis votre blog et que j’ai voulu témoigner de ce que j’ai vu ce jour-là dans le métro. On m’a retiré mes enfants et je sais que dans quelques années on me reprochera qu’ils n’aient pas été éduqués. Mais puisque la société a voulu s’occuper d’eux, je lui demande désormais d’assumer. Quelle assume aussi pour tous les autres monstres qu’elle contribue à créer en détruisant les familles. De même, je n’ai rien à voir avec cette accusation de mise en danger d’autrui. Si je n’ai pas agi, c’est parce que je sais trop bien quel est le prix à payer quand on veut jouer à l’homme ici. Personne ne nous demande plus de jouer ce rôle, sauf quelques femmes lorsqu’elles se retrouvent en situation délicate, et encore. Je sais d’expérience que ces femmes ne diront même pas merci si on les aide. J’ai été galant, mais je ne veux plus me soumettre à des hypocrites.

 

Je vais vous dire quelque chose qui va vous choquer, et vous pouvez l’enlever si vous décidez de publier mon témoignage : je comprends pourquoi les soldats violent les filles en territoire ennemi. A mon avis, ils se vengent de leurs propres femmes, de tout ce qu’elles leur font subir au quotidien sous couvert d’innocence. Tout ce contrôle social qui monte en épingle des gestes déplacés, c’est le meilleur moyen de frustrer abusivement toute une population d’hommes. Et je comprends ce jeune homme qui a agressé cette fille devant mes yeux. Non seulement je crois qu’il ne fallait pas intervenir pour ne pas que la situation dégénère, mais pour tout vous dire, je n’en avais pas vraiment envie. J’ai regardé avec plaisir cette fille se faire punir pour toutes les mauvaises actions de ses sœurs qui ont fait la promotion de la libération sexuelle sans jamais tenir leurs promesses. En cet instant je pense aussi à ces policiers du Quai d’Orsay (nde : du Quai des Orfèvres en fait) qui ont certainement été accusés de viol à tort parce qu’une fille du Canada n’aura pas supporté la culpabilité d’une soirée trop festive. Eux aussi auront payé cher pour cette folie, et j’espère qu’au moins, ils en auront bien profité.

 

Vous qui croyez en Dieu, vous me condamnez certainement pour mes propos mais je ne peux pas vous dire autre chose que ce que je pense, ma vérité. En attendant, j’espère que vous continuerez à vous battre contre l’hypocrisie et qu’un jour l’on pourra parler des vrais problèmes, sans monter en épingle des dramatisations ridicules qui font reculer les choses. »

 

 

 

412 réponses à “(Exclusivité Aimeles) Agression sexuelle du métro de Lille : « Oui, j’ai laissé faire ».”


  1. Avatar de Laymore
    Laymore

    Deux pages, presque trois, pour justifier avec un verbiage grotesque le fait d’être lâche. C’est beaucoup d’efforts pour justifier une attitude machiste en agissant comme une lopette.


  2. Avatar de Jnl

     Il est grand temps de grandir. Le monde est merveilleux quand on sait l’affronter.Quand on cesse de chouiner sur l’envahissant pouvoir des femmes dans la société, par exemple ?


  3. Avatar de plouf
    plouf

    cette événement pour les passager du tram s’appelle l’effet de meute, si un passager avait bougé son cu les autres l’auraient suivit c’est un instinct grégaire de la société. Donc je comprend le message qu’il veut passé et c’est vrai parfois dans notre formidable justice la personne défendent l’autre si elle porte un coup sur l’agresseur peu être condamné après sur les propos de ta famille, qui soit disant passant ne nous regarde pas, personnellement je viens d’un famille de divorcé j’ai été très bien éduqué  sans pour autant avoir un père réellement présent voir parfois inexistant, se n’est pas la justice qui a fait séparer ton couple assume ta vie de famille et soit présent pour tes enfants; ensuite sur ton passage de la guerre et du viol: j’ai juste à dire « ça t’aurais plus qu’on te coupe tes couilles pour plus pouvoir te reproduire sous l’effet que ta femme de face chier » ??   ps être anonyme sur le net ça n’existe pas     


  4. Avatar de Demonanar
    Demonanar

     Le registre émotif ne fait que court-circuiter nos capacités d’analyse. La plupart des gens ici se sont abandonnés à leurs émotions, alors que l’impératif était justement de s’en soustraire, au moins pour un temps.Beaucoup n’ont pas cerné le véritable sens dans lequel Monsieur Durandal a publié ce témoignage. Les assidus du site et du travail de Monsieur Durandal auront compris qu’on ne préconise absolument pas l’individualisme ou la véhémence à l’égard des femmes, mais qu’on la déplore bel et bien comme une fatalité engendrée par un système pervers. En décorticant, non pas un phénomène isolé comme tendraient à le croire des gens obstrués, mais un phénomène de société grandissant, on distribue une étude de sociologie compréhensive.Je vois certaines réponses au-dessus de la mienne qui arguent la très classique « frustration », abîme de toutes les haines : « oh oh, il doit être frustré pour agir ainsi, quel mal baisé celui-là! qu’il aille se faire une pute, ça ira mieux ». Merci pour la lapalissade, mais on avait bien compris qu’il était sujet à une forme de frustration. D’ailleurs, tous les gens du bus le sont.Non, les vraies questions qui incombaient à ce temoignage étaient les suivantes : D’où vient-elle, cette frustration? Quelle en est la cause, le facteur? Comment un homme, que pourtant tout prédisposait à affectionner les femmes, en est-il arrivé à mépriser à ce point la gente féminine? Comment en est-il arrivé, non plus à éprouver de la simple stupeur, mais tout bonnement de l’épanouissement dans la contemplation de leur propre affliction? Voilà les questions soulevées à l’issue de ce témoignage, et auxquelles il convenait d’y répondre. Car en réalité, les réponses se dissimulent dans l’inconséquence de vos propres principes. Le féminisme rejette tout ce qui est humain, et confine tous les acteurs de la société dans une haine mutuelle qui se nourrit d’elle-même. Cet abandon de la tradition, cible du colimateur de la tragédie féministe, a désorienté hommes et femmes en leur attribuant des rôles bâtis sur de faux concepts.Donc je le dis, cet homme est une victime du féminisme. Ce sont vos croyances qui ont enfanté cet homme et votre misère. Vous orchestrez votre propre descente dans une supplice inextricable. Ces croyances, vous en êtes les enfants en tant que produits, mais vous en êtes aussi les parents en tant que garants.


  5. Avatar de ByN
    ByN

    l’avant dernier paragraphe est violent… »J’ai
    regardé avec plaisir cette fille se faire punir pour toutes les
    mauvaises actions de ses sœurs qui ont fait la promotion de la
    libération sexuelle sans jamais tenir leurs promesses. » libération sexuelle, et alors quoi?? les femmes
    doivent donc désormais tjrs dire oui?? elles sont libérés sexuellement mais ne peuvent pas choisir ce qu’elles font de leur corps, c’est à vous, monsieur le divorcé, d’en décider?? en même tps, dans ce que ce gars raconte,
    je pense que bcp sont dans cet etat d’esprit, la femme est la pour servir l’homme,
    libérée ou pas, d’où le fait que celui ci en veuille aux femmes et que quelquechose lui échappe dans l’évolution des comportements.Il a
    du regardé trop de films, vu trop de pubs mettant en scène des femmes pour promouvoir des produits destinés
    aux hommes. la disquette à l’air bine profonde, le formatage bien ancrémais il
    y a tout de même dans son analyse des éléments qui se tiennent, des
    vérités quand à l’évolution des humains, le dédain de certains,
    l’individualisme, chacun s’occupant de son ptit cul dans ce monde
    pourtant plein d’inégalité et où, exemple parmi tant d’autres, les téléphones derniers cris sont
    produits au prix de souffrances d’autres êtres, et tout de même achetés malgré la connaissance de certaines réalités, etc… je pense qu’il énonce surtout ici le retour de flammes.son article pousse tout de m^me à la réflexion pour qui veut vraiment retirer ses oeillères.


  6. Avatar de Monsieur, vous me dégouttez.
    Monsieur, vous me dégouttez.

    Un témoignage intolérable, d’une bêtise inouïe et de plus qui se veut contestataire. Oui nous vivons une époque d’ hyperféminisation mais est ce une raison pour laisser un homme empiéter sur la volonté d’une femme?  Vous rendez vous compte de ce que cela implique? Et si demain un musclor de 1m80 venait et vous mettez un doigt dans le cul comment vous réagiriez?De plus, les hommes ont le droit de se trimbaler torse nu et une fille en jupe elle ça pose problème? Mais pourquoi? Parce que les hommes sont le sexe fort? Parce que les hommes ne peuvent contrôler leurs instincts? Donc les hommes sont des bêtes connes non doté d’intelligence et d’une conscience?Non, il faut s’arrêter. Ce n’est pas de la faute des femmes c’est celle du marketing et des publicités qui sont de plus en plus débridé, d’internet qui regorge d’extravagances. Le sexe est aujourd’hui complètement libéré et dès le plus jeune âge, n’importe qui peut y avoir accès, comment se construire à partir de ce moment là? Tout ceci me dégoûte et j’espère qu’il arrivera la même chose à votre futur/actuelle fille pour que vous compreniez la gravité de votre non acte.


  7. Avatar de B393
    B393

    Je ne vois absolument pas le rapport avec le fait que les femmes aient besoin  des hommes ou non, vous détournez les choses pour servir votre propos de pauvres petits mecs émasculés et privés de leur rôle de protecteurs. Ce serait un homme qui se serait fait agresser, l’inaction aurait été tout aussi condamnable. Pour ma part, du haut de mes un mètre soixante, je me suis déjà dressée entre un clochard qui se faisait tabasser et les trois grands mecs qui l’agressaient, ça n’a strictement rien à voir avec un quelconque rapport homme/femme. Il s’agit ici de la lâcheté de l’humanité, indépendamment des affaires de sexes. De plus, il ne s’agissait pas de s’ériger en justiciers, tout simplement d’offrir son appui à la jeune femme, ça suffit le plus souvent…P’tain c’est dingue, vous faites vraiment feu de tout bois quoi…Vous dites des féministes, mais c’est vous qui pensez tout en terme de combat homme/femme. Alors que dans le cas présent, il s’agissait d’un être humain en souffrance et vous n’êtes pas intervenu. C’est juste lâche. C’est pas grave, ça nous arrive à tous d’avoir peur. C’est pas glorieux, mais vous pourriez au moins l’assumer plutôt que de vous cacher derrière vos justifications nauséabondes et haineuses.


  8. Avatar de Sauveur
    Sauveur

    J’aurai probablement intervenu ! J’ai toujours voulu aidé mon prochain …J’imagine juste que cela peut-être un proche, peu m’importe la religion, l’âge, ou la nationalité de la personneDans une rame de métro, on est pas seul … il suffit de se mobiliser ensemble …Je suis outré encore plus avec l’apparition de ce message …


  9. Avatar de Fred
    Fred

    Mon avis sur la question est simple, effectivement on risque l’incident ET ALORS ?Mais si vous n’avez pas assez de COUILLES pour intervenir messieurs, faites vous en greffer une paires … Putain que vous êtes mous les nordistes … (et j’habite à Roubaix pourtant…)


  10. Avatar de punkisation
    punkisation

    je n’aurai qu’une seule à dire, celui qui a écrit cet article est une merde doublée d’un lâche. on verra comment tu réagira quand se sera ta femme, ta soeur, ta fille ou ta mère. 


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