Sans notre sainte semence, les femmes n’auraient pas d’enfants, et elles n’auraient jamais eu l’espérance folle de pouvoir se passer d’hommes grâce aux progrès d’une technologie entièrement inventée par des mâles blancs hétérosexuels. Notre domination sur l’histoire est totale. Notre réussite complète. Personne n’a jamais fait mieux que nous. Les acquis des autres peuples, des femmes et des minorités sexuelles ne l’ont été qu’à l’extrême marge. Nous avons inventé dans les sciences plus que jamais auparavant, poussé l’art à des sommets, complexifié et compris la musique comme aucun autre peuple, donné à l’individu une place unique dans les sociétés, cultivé la sainteté sans commune mesure avec les autres races et l’autre sexe. L’homme blanc est le sommet de la création génétique.
Je dis blanc, mais je devrais plutôt dire indo-européen, car sous d’autres contrées, comme l’Egypte , l’Inde, le Maghreb, le mâle blanc descendant de néandertal, s’est bruni sous l’effet du soleil. Il n’en reste pas moins l’unique dépositaire d’une tradition inégalée jusque là. Les dernières recherches archéologiques rapprochant même l’apparition de l’espèce humaine, dans sa zone d’influence, ici au Maroc. Le monde méditerranéen serait donc le berceau du monde, et la race méditerranéenne, indo-européenne, donc néandertalienne, son unique géniteur. Je vous laisse en conclure par vous-mêmes. Si nous avons subi des influences positives, nous les avons subi de nous-mêmes et pour nous-mêmes depuis les âges les plus reculés.
Je dis aussi hommes, car le petit nombre de réussites féminines montre surtout que de tout temps, il a été possible aux femmes d’agir et de créer comme des hommes, mais qu’elles ne l’ont pas fait. Il y a eu des Sapho, il y a eu de nombreuses reines dans l’histoire, les peuplades étaient toutes matriarcales à l’origine, et elles n’ont rien créé de pérenne jusqu’à l’instant où elles ont laissé les hommes à la manœuvre. Elles sont alors devenues civilisation. Et parfois même, civilisation d’excellence dans le monde indo-européen.
Et puis, il n’y a pas à aller chercher si loin pour comprendre. Il nous suffit de regarder la situation actuelle. Dans notre horrible monde perverti qui se veut égalitaire par exemple. Partout où il y a féminisation sociale, il y a régression au niveau tribal. Penchons-nous simplement sur l’université puisqu’il s’agit ici d’excellence. Dans toutes les sections où les femmes deviennent majoritaires, elles salissent invariablement la science, la transformant en une espèce de pleurniche victimaire et incohérente. Regardez les études de genre, regardez les études néo-coloniales, regardez le communisme/marxisme/constructivisme/situationnisme cette idéologie de bâtards féminisés trop proches de leur mère, regardez le professorat. La femme salit socialement même l’homme qui ne s’est pas départi de la femme en lui.
Je dis aussi hétérosexuel car c’est un fait. Nombre de gays ont réussi parce qu’ils n’avaient pas de famille à entretenir. L’homme blanc hétérosexuel a su lui créer, mais aussi perpétuer le monde. En même temps, dans son immense générosité. Il lui a fallu devenir génie, avec un boulet aux pieds, sa femme. Encore de nos jours, il lui faut traîner ce boulet par une imposition qui va jusqu’à tuer toute création de richesse, ou toute création scientifique, et toute famille par l’entremise du juge aux affaires familiales, surtout en France où les hommes baisent le cul des femmes. Et tout cela pourquoi ? Pour entretenir un système féminisé mortifère et de pleurniche, qui doit supplanter le mâle dans sa famille et contrebalancer son pouvoir. Résultat, un immense chaos social, la tentation du retour d’un tyran, l’incohérence et la pleurniche partout, la religion nulle part.
Il est vrai qu’il est bon pour l’homme de faire face à un contre-pouvoir. Il est bon pour l’homme de se savoir un vermisseau en-dessous de Dieu. Mais il est aussi bon pour la femme de se savoir comme un vermisseau devant Dieu et devant son homme. Car la tentation de domination sans conteste est encore plus forte chez la femme qui enfante que chez l’homme qui invente.
En plus de toutes ses qualités inhérentes, le mâle blanc hétérosexuel vient donc encore contrebalancer chez la femme, sa tendance folle au totalitarisme. L’homme blanc relativise le poids de la mère auprès des enfants. L’homme blanc est l’équilibre en ce monde.
Sans lui, des familles qui ressemblent à des cohortes de chimpanzés ou de bonobos. Sans lui, une société sans altérité, où tout se vaut et rien ne vaut. Sans lui, pas de génie scientifique, ou à la marge, et de toutes les manières, destruction du cadre qui permet ce progrès. Sans lui, pas de progrès significatif et signifiant. Juste de la surconsommation de maquillage dans des grandes surfaces dévolues à des dépensières ingrates et « écolos ».
Les femmes devraient remercier les hommes d’être encore hétérosexuels. C’est grande miséricorde de leur part. Ils courent souvent après des chimères à cause de leur trop grande gentillesse. S’ils devaient calculer scientifiquement ce que leur rapporte les femmes par rapport à ce qu’elles leur coûtent, l’espèce humaine aurait déjà disparu. Et de nos jours, le danger est là car si la femme n’existait pas, l’homme tellement fort, tellement génial, saurait même se donner une altérité en l’inventant.
Nous en sommes aussi là, parce que la femme a décidé de ne plus exister en tant que femme. La femme occidentale est devenue tellement bête et jalouse à force de tolérance de notre part, qu’elle s’est mise elle-même dans la position d’être remplacée par un utérus artificiel, ou par d’autres femmes venant de pays islamiques. Elle trône en tyran sur des décombres. Car tandis que la société humaine doit tout à l’homme de néandertal, les femmes blanches n’ont même pas été foutue de s’occuper de nos familles dans les capitales néandertaliennes. Elles ont accepté de s’occuper de politique, et ici comme ailleurs, à tout vouloir, elles ont tout détruit, à force de bons sentiments.
Nous leur devons les unions de duos homosexuels, les adoptions par des célibataires dans une société qui manque d’enfants à adopter, les divorces, la maltraitance sur les enfants, les infanticides. Un véritable massacre que les hommes ont laissé faire. Mais les hommes doivent-ils s’occuper de tout ? Ne serait-il pas possible qu’ils se reposent un tout petit peu sur leurs compagnes ? Est-ce vraiment trop leur demander, en plus de ne pas maquiller l’histoire humaine telle une voiture volée ? Devrons-nous nous contenter du concept de « génie lesbien » pour toute rétribution ? Génie lesbien qui soit dit en passant, n’est qu’une volonté accessoire d’être mâle…
Tout le monde a intérêt à la médiocrité dans une société féminisée. Le fonctionnaire doit obéir à une hiérarchie qui se demande pourquoi elle devrait être compétente puisqu’elle vit de l’impôt. Irresponsable. Et dans la famille, il en est de même. L’homme doit obéir à une femme qui le menace judiciairement, femme qui ne voit pas pourquoi elle devrait se départir de tant de pouvoirs alors qu’elle n’en mérite aucun. Irresponsable.
Pour retrouver un juste équilibre, il est donc temps que chacun reçoive ce à quoi il a contribué. Dans ce cadre, il faut réhabiliter urgemment et à sa juste mesure, le mâle blanc hétérosexuel. Il est temps de voir des femmes françaises obéir au doigt et à l’oeil à leur mari. Et de s’excuser aussi, pour tout le mal qu’elles ont fait, collectivement dans leurs familles. De nous demander pardon humblement et à quatre pattes pour avoir outrepassé leurs prérogatives sociales. Nous mêmes, en tant que mâles blancs hétérosexuels, nous devons nous excuser les uns les autres, battre notre coulpe en pêcheurs impénitents pour avoir accepté sans raison d’être culpabilisés.
« Excuse-moi homme blanc hétérosexuel d’avoir douté de toi, excuse-moi fleur de ce monde, sommet de l’espèce, génie survolant les montagnes, phallus sacré. Et surtout, merci, toi, à qui nous devons tant. Que les femmes blanches te baisent les pieds jusqu’à la fin des temps, qu’elles te rendent grâce pour tout ce que tu leur apportes, que leurs bouches chantent éternellement tes louanges jusqu’à leur dernier soupir, émerveillées de tant de splendeurs, amoureuses et reconnaissantes pour tant de grâces reçues de ta part. Les cieux t’adoubent. Gaïa te porte comme une perle dans un écrin d’or qui tend vers l’infini. Tu es la consécration de pacha mama qui a peur de te salir quand elle te sert de support. Tu resplendis, homme blanc hétérosexuel, tel un soleil au milieu de la nuit. Vive ton génie, ta force, ton courage, ta puissance, ta mesure, ton intelligence, tes conquêtes. Bénis soient tes enfants, ton souffle. Tu humes la sainteté. Tu inspires le dépassement de soi et l’accomplissement. Respect. «
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