Faire la guerre pour les femmes

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Les naïfs qui pensent en termes de « genres » et non de « sexes », imaginent que les femmes n’ont jamais mis les mains dans la marre de sang. Elles n’ont pas participé aux guerres, elles seraient donc innocentes. Outre l’arrivée de nombreuses femmes dans notre armée dite moderne et qui ne rêvent que d’en découdre, outre la présence historique de femmes à de hauts niveaux de responsabilité politique et qui ont eu des comportements pour le moins sanguinaires (5), il existe une autre manière de guerroyer pour les femmes : envoyer les autres faire la guerre pour elles. J’ai déjà analysé comment les hommes de 14-18 identifiaient leur patrie à la femme, à leur femme (7) et combien ils avaient l’impression de la protéger en mettant leur vie en jeu. Mais je n’ai pas encore parlé du sentiment féminin sur le sujet.

La fascination de certaines femmes pour l’uniforme vient d’une forme d’égocentrisme extrême : elles valorisent l’homme prêt à mourir pour elles. Le chevalier servant qui se prête à ce jeu entre dans une forme de relation sado-masochiste dont il est le souffrant. En effet l’homme visé accepte la plus grande des soumissions : mettre sa vie en jeu pour protéger une société, dont la femme se sait la première des bénéficiaires. Car loin des clichés féministes sur la domination patriarcale, toute société qui évolue cherche à pacifier les relations entre ses membres. Et cette pacification est organisée par les femmes et pour les femmes. La police et l’État sont chargés de réprimer toute forme de violence masculine qui remettrait hommes et femmes sur un pied d’égalité. A l’extrême, le système peut devenir si jaloux de ses prérogatives, qu’il pourchasse les hommes qui n’appartiennent pas à l’État quand ils ont essayé de se défendre. Dans notre société actuelle, les exemples foisonnent : du bijoutier condamné pour avoir défendu son commerce, au pauvre type qui a dérouillé l’agresseur sexuel de sa fille ou de son amie, au mari violenté, la justice est impitoyable envers les hommes qui ont osé perpétrer la violence en dehors de la légitime intervention de l’État. Même quand il n’a pas agi, le soupçon sur les hommes est si lourd, qu’ils sont souvent condamnés sans autre forme de procès. Je pense en particulier à ces pères qui peuvent se voir enlever définitivement la résidence de leurs enfants sur de simples allégations de leur ex-compagne. Je pense aux fausses accusations de ces dames qui au cours d’une procédure française et qui ne seront jamais sanctionnées, ou si peu que c’est un encouragement au crime.

Ainsi, l’homme qui n’appartient pas aux forces de l’ordre est éduqué dès sa plus tendre enfance à ne pas répondre, à ne pas se défendre, à appeler l’autorité compétente au lieu d’agir. Il devient alors la proie du premier déséquilibré violent venu que les services de répression officiels seront incapables d’arrêter.

L’homme qui rentre dans les forces de l’ordre est lui sélectionné pour son immaturité. Il ne lui est surtout pas demandé de réfléchir, et pour cause, ce serait un joli foutoir. Il ne lui est pas demandé d’agir en conscience non plus, ou très peu. Il développe ainsi des rapports enfantins aux autres. Gendarmerie écoleL’automobiliste est un grand gamin traité comme tel, qui parfois ne respecte pas ses prérogatives et qui doit être puni pour raison garder. On peut aussi lui délivrer des certificats de bonne conduite s’il s’est bien comporté. Il est vrai que ce système puéril est efficace à court terme, mais il ne faut pas négliger combien le développement de ce genre de pratiques finit par infantiliser toute une société. Il est également vrai que les forces de l’ordre ou la société peuvent court-circuiter cette régression psychologique par des us et coutumes parallèles à la loi. Les codes tacites, la référence à des devises à des drapeaux d’unités, le sens de l’honneur, le pouvoir discrétionnaire laissé aux fonctionnaires, le recrutement de profils atypiques, leur permettent de développer une culture plus humaine que la simple observance du droit. Mais parce que ces systèmes parallèles représentent un danger, ils ne sont pas favorisés au sein de l’institution. Au contraire, les sociétés ayant tendance à se féminiser, comprennent de moins en moins la culture du soldat. Son potentiel de liberté fait peur. Son pouvoir plus encore.

En fin de pacification, la quasi totalité des hommes hors forces de l’ordre d’une société féminisée ont été rendus inaptes à se défendre. Quant à l’institution de répression, elle est devenue une coquille vide de sens et impuissante, toujours à la limite de sombrer face au premier autoritarisme venu. La procédure n’est plus comprise, le rapport humain se laisse aller à des sentiments inappropriés. L’impuissance excède tandis qu’elle est à la source du processus de pacification.

La rencontre entre une femme et un beau militaire se fait donc sur un double quiproquo : tout d’abord la femme fantasme d’être avec celui qu’elle peut contrôler de bout en bout jusqu’à lui faire perdre sa vie, tandis que l’homme se fera une gloire de vaincre en entrant dans l’armée; ensuite la femme fantasme un potentiel de puissance et de sécurité qui est d’autant plus éloigné de la réalité que l’homme qui s’est engagé risque à tout moment de se laisser influencer par des rapports professionnels immatures et de plus en plus féminisés. Dans ce dernier cas, l’homme docile au boulot, mais qui veut pourtant être obéi, finit par perdre toute l’admiration dont il bénéficiait auprès de sa femme. L’adultère n’est plus très loin.

La situation des militaires est extrême en matière de conflits sociaux et humains. Mais l’habitude d’envoyer les hommes à la guerre est beaucoup plus répandue dans les sociétés humaines qu’à l’intérieur du simple cadre martial. Dans le cadre marital par exemple, combien de femmes opposées à l’enseignant de leur enfant, ou avec un voisin, envoient leur mari faire pression physiquement sur l’impudent. En cas de dérapage, l’homme se fera condamner et sera accusé par les féministes d’avoir perpétué la domination « patriarcale ». Or deux types de femmes auront été les gagnantes de ce jeu : celles qui auront obtenu la fin d’un comportement jugé inapproprié de la part de la personne dérangeante et celles qui pourront accuser les hommes de se comporter en hommes et ainsi demander à ce que le contrôle social soit renforcé sur eux. Cet effet ruche joue même à l’international, ou pour les élections, quand des femmes demandent à ce que des hommes défendent « le droit des femmes ». Celles là en appellent à leur « défense », mais contre qui et pour quoi ? Sous-entendu les hommes accusés de brimer ces dames à l’adresse de tous les autres prêts à les défendre.

Ici, vous voyez comment ce mécanisme de protection des femmes est détourné par un esprit féminisé et son affiche immigrationniste qui appelle au règlement des tensions inter raciales de notre société par le viol (8) :

La Française aux Africains
« Les Françaises aux Africains »

Qu’est-ce qu’une femme ou un pays qui se laisserait rouler dessus par le premier venu pour éviter la guerre, sinon une entité qui aurait perdu son libre arbitre ? Chez certains animaux, le sexe est chargé de réguler les tensions sociales. C’est du même niveau. Sauf que là, il s’agit d’affirmer que les hommes blancs ont perdu toute légitimité aux yeux de ces dames, et qu’ils valent tout autant qu’un étranger inconnu d’elles. Plus de culture, déni des différences, des frontières, cette provocation peut engendrer deux types de réactions : une volonté de réappropriation de ces dames par les autochtones. Dans ce cas l’affiche est un appel clair au viol de la part des résidents blancs. A l’inverse, si les Français de souche ne veulent pas réagir, l’affiche est un appel clair au viol de la part des étrangers. On voit bien ici comment le progressisme peut fomenter la guerre en niant les différences entre peuples tout en les érigeant les uns contre les autres. Le féminisme est un appel au viol (9).

Immigration

 

Retrouvez le blog de M Sani ici.

La perversion personnelle va jusqu’à étendre la guerre civile à l’international. Voici comment une journaliste française relaie l’initiative d’un parti kurde en Turquie qui a gagné les élections tout en voulant « libérer » les femmes : « HDP : le parti qui veut libérer les femmes turques » Figaro Madame du 08/06/2015.

 

guerrepourfemme3bis

Comme si les femmes kurdes avaient quoi que ce soit à envier aux Françaises : peut-être le droit d’être célibataires et de rêver de se faire troncater par un Africain venu d’ailleurs pour la principale raison qu’il serait pourvu d’un plus gros membre et surtout qu’il ne serait pas blanc… à part ce genre de raisons débiles et qui ont cours parmi nos blanches déséduquées, je ne vois pas bien. Or ici, la défense du droit des femmes, se mue d’une forme de guerre civile à une guerre à l’internationale engagée par la France contre la Turquie, cette dernière étant jugée oppressive contre ces dames. Tout un programme de pacification qui a bien l’air d’un appel à l’émeute et à la désintégration culturelle quand on y regarde de plus près.

La femme opprimée, blessée, torturée, mobilise l’esprit d’hommes toujours trop perméables au beau sexe parce qu’ils sont nés d’une mère. Il suffit alors à une femme de se déclarer victime ou d’aller au contact physique pour provoquer une réaction de soutien complète de la part de son entourage masculin. Au niveau d’une société, c’est l’appui en sous-main à l’Allemagne nazie ou communiste (6). Au niveau personnel, observez bien cette altercation entre un policier et une femme journaliste qui essaye d’approcher sa star :

 

Cohue autour de Le Pen: une journaliste de l… par afp

Des cris pour forcer le passage, une morsure pour provoquer la réaction inappropriée des forces de l’ordre, d’autres cris durant la nécessaire interpellation, d’autres hommes qui essayent de la libérer malgré l’importance du dispositif policier et enfin un retour au calme dès qu’elle comprend qu’elle n’aura pas gain de cause. Une de ces journalistes hystériques de l’AFP a été cette fois été miraculeusement calmée, mais il aura fallu l’intervention de plusieurs policiers, encourir un risque d’émeute, et que le représentant des forces de l’ordre mordu se retienne de lui donner une bonne claque dans la tronche qu’elle aurait 100 fois méritée. Malgré le comportement évidemment inapproprié de celle qui se dit injustement traitée de « salope », ses confrères continuent à la défendre envers et contre tout (4)  : les barrières n’auraient pas été installées, la journaliste hurleuse aurait été coincée par le policier contre un mur, la pauvre n’aurait plus réussi à respirer, et elle aurait donc naturellement et « légèrement » mordu un gars qui fait trois fois son poids au bas mot (3). Joli scénario pour une personne incapable de se contenir et de faire son métier de manière honorable. Disons plutôt qu’elle désirait plus que tout être guérie de son hystérie mais qu’elle n’a pas pu aller jusqu’au bout de son fantasme de pénétration sans consentement devant tant de monde. Qui sait, la belle et la bête se reverront peut-être en dehors des caméras ?

 

Dans la vie de tous les jours, les hommes isolés n’ont pas autant de chances de pouvoir échapper à la violence détournée de telles furies qui multiplient les manipulations pour obtenir ce qu’elles désirent, l’omnipotence engendrant la maladie. Qu’elles invitent les hommes à opérer en théâtre extérieur ou plus insidieusement qu’elles demandent à être protégées sans raison valable, les femmes peuvent jouer sur le sentiment tribal qui rattache chaque homme à sa mère pour obtenir de celui-ci un comportement servile. Un homme devrait toujours comprendre les propos d’une femme seulement par rapport aux faits qui lui sont rapportés minorés ou majorés par l’intention de celle qui est en train de lui parler. Ce retraitement de l’information doit particulièrement s’effectuer avec des femmes qui connaissent leur interlocuteur et qui savent sur quelles cordes sensibles elles doivent jouer pour obtenir ce qu’elles désirent. Beaucoup de femmes cherchent la puissance dans les rapports humains et dans la société et ne peuvent l’obtenir que par la manipulation (2). Les hommes de paix devraient se méfier de cette mécanique de la pensée et des sentiments inter-personnels dans leur rapport aux femmes. Beaucoup de guerres inutiles se sont faites sur le sentiment de l’honneur que des femmes s’étaient attachées à développer chez les hommes de leur famille pour servir leur propre cause (1). Ce même sens de l’honneur dévoyé, les féministes essaient aujourd’hui de le raviver chez les hommes modernes qui hier l’avaient abandonné. Elles y ont tant intérêt.

 
1 « Des femmes dans la mafia », L’Express du 24/06/2012.

2 « Manipulation de femme en 400 avant JC », aimeles.net du 02/04/2014.

3 « Procès Le Pen : une journaliste interpellée après une violente bousculade », Yahoo.fr du 13/06/2015.

4 « Une journaliste mord un policier en pleine cohue autour de Le Pen », L’Express du 14/06/2015.

5 « Des dates contre la mythologie féministe » Aimeles.fr.

6 « Crime statistique et planche à billets : de la féminisation à la tyrannie », aimeles.net du 24/01/2015.

7 « L’amour entre hommes et femmes durant la guerre de 14-18 » aimeles.net du 11/11/2014.

8 « Les Françaises aux Africains. », NDF du 16/06/2015.

9 « Le féminisme est un appel au viol », Aimeles.net du 11/12/2013.

69 réponses à “Faire la guerre pour les femmes”


  1. Avatar de Léonidas Durandal

    « Tchétchénie : trois associations LGBT portent plainte pour génocide des homosexuels », L’obs du 16/05/2017.

    Pourquoi la Tchétchénie et pas les autres ? C’est pas parce qu’ils sont pro russes les vilains.


  2. Avatar de Léonidas Durandal

    « Viol sur mineurs: pourquoi existe-t-il un délai de prescription? » L’Express du 10/04/2017.

    Un article équilibré de l’Express, assez rare pour le souligner.
    Flavie Flament, peut-être victime de viol, pense que la judiciarisation 30 ans après la majorité de la victime de faits impossibles à prouver, va aider à la reconstruction de la dite victime. Comme le souligne l’article, où des magistrats sont pour une fois honnêtes : la justice ne fera que renforcer le sentiment d’injustice. L’issu de ce mouvement, ce sera soit l’affaiblissement des victimes, soit de condamner des hommes sans preuve, parce que des juges femmes auront été émues par le discours d’une personne qui l’aura reconstruit de toute pièce. Il y a des limites à tout. Flavie Flament ne le sait pas et cherche le père.

    Quelle société violente où les victimes en appellent à la justice pour rajouter à la violence ambiante.


  3. Avatar de Léonidas Durandal

    « 27 ans de prison pour l’homme qui avait si peur de sa mère qu’il voulait tuer sa femme », AFP du 08/03/2017.

    Je crois qu’on ne peut pas faire plus caricatural en cette journée de la femme. Un homme tue son épouse sous la pression de sa mère, et cet homme ingénieur, de bon niveau intellectuel, complètement immature, a eu pour père un commissaire de police. Qui commandait dans cette famille ? A n’en pas douter, l’officier devait être un peu loin de tout. Le fils, cultivé, entièrement sous l’emprise de sa mère. La femme, n’a certainement pas réussi à le mettre sous son emprise. La mère a gagné.

    A noter que le père a été privé de tous ses droits sur l’enfant. Là encore l’esprit féminisé de notre temps n’a pas voulu considérer que le rapport à la mère et à l’enfant n’avaient rien à voir pour un homme. Le système a donc validé un inceste dont tous ont été les victimes.

    Enfin, 27 ans de prison pour le commanditaire, d’un assassinat raté, il était difficile de lui donner plus. Aucune compassion pour cet homme qui aura été le jouet de sa mère. Pendant ce temps, les femmes peuvent tuer leur enfant en toute impunité…

     

     


  4. Avatar de Léonidas Durandal

    Exemple de femme qui joue du machisme pour faire ce qu’elle a envie :

     


    1. Avatar de Cyrus
      Cyrus

      Bonjour Monsieur Durandal,

      Dois-je comprendre que vous dénoncez cette vidéo ? Dois-je comprendre que ces hommes sont soumis (les agents de sécurité) à la jeune femme et à Marine Le Pen ? Et que c’est pathétique ?

      Cordialement,

      Cyrus


      1. Avatar de Léonidas Durandal

        Si la femme n’était pas intervenue, ils auraient fait leur boulot avec professionnalisme.
        Elle les a manipulé pour obtenir une réaction affective de leur part.
        C’est une féministe qui se sert du machisme pour arriver à ses fins.


  5. Avatar de Léonidas Durandal

    « Yann Barthès qualifie Cyrille Eldin de «collègue misogyne, un peu violent et mal poli» », Figaro du 23/01/2017.

    La pauvre ne supporte pas d’être remise à a place… alors il faut la défendre.


  6. Avatar de Léonidas Durandal

    « Nantes. Il photographie une femme dans le tramway à Bellevue et déclenche une bagarre », Breizh du 09/01/2017.

    En fait, il est autorisé de prendre en photo des gens dans la rue. La femme a donc provoqué un pugilat sans aucune raison. Enfin, même si c’était interdit, était-ce la peine ? Des fouteuses de merde attachées à une galanterie qu’elles ne cessent pourtant d’attaquer quand cela les dessert en milieu professionnel.


    1. Avatar de Manuela
      Manuela

      Monsieur Léonidas moi ça m’est arrivée lorsque j’étais lycéenne je travaillais dans un supermarché et un pauvre gars qui vivait avec sa mère venait au moins 3 fois par jours dans le magasin passait à ma caisse et me prenait en photo avec son portable, il n’était pas discret et vu qu’il était moche et qui sentait vraiment mauvais ce n’est pas très flatteur et ça fait un peu flipper quand même.


      1. Avatar de Léonidas Durandal

        Il faudra m’expliquer en quoi cela vous mettait en danger. Dites-vous qu’au pire, vous avez donné un peu de joie à un pauvre bougre dans ses plaisirs solitaires. Franchement, je crois qu’il était plus à plaindre qu’autre chose…

        Rien n’est à sa place dans ce monde. Pourquoi les femmes ont du mal à se mettre un peu au-dessus de ce genre de situations ? D’où vient cette peur des femmes occidentales, cette raideur même parfois… je ne comprends pas.


        1. Avatar de Manuela
          Manuela

          Vous êtes adorable monsieur Léonidas merci, je sais très bien je m’en fichais mais vous auriez vu la tronche du haricot, parfois ça peut faire peur quand même surtout quand il vient plusieurs fois par jour dans le magasin jusqu’à la fermeture, sincèrement j’ai jamais dit que j’était en danger arrêter d’en rajouter vous même, mais avoir un peu peur de CYPRIEN vous pouvez comprendre quand même, NON?

          Peut être qu’ il ne ferais pas de mal à une mouche, mais c’est pas écrie sur sont front et puis j’avais à 19 ans.

          J’ai pas été porter plainte non plus je ne suis pas cinglée grrr!!! c’est un pauvre gars je sais très bien.

          J’ai été tranquille quand il m’a vu avec mon mari, qui comme vous ce foutais de moi, mais il venait quand même me chercher…


          1. Avatar de Léonidas Durandal

            En y réfléchissant bien, votre histoire m’a fait penser aux superstitions portugaises au sujet du bon oeil et du mauvais oeil.
            Le mal que nous souhaitons aux autres, peut les influer, et influe sur toute la société, effectivement. Cependant, je crois qu’un catholique a le devoir de se hisser au-dessus de la superstition, pour échapper au « mauvais oeil ». Le regard malsain qu’une personne nous porte, ne devrait pas avoir d’effet, en théorie, sur notre propre confiance en Dieu. Le catholique devrait même réussir à donner un autre sens à ce regard de mort. Mais cela reste théorique et plus difficile pour les uns que pour les autres.


          2. Avatar de Manuela
            Manuela

            Comment distinguer la foi de la superstition? Beaucoup d’athée sont superstitieux.

             


          3. Avatar de Léonidas Durandal

            Tout s’oppose à la superstition dans la foi. La superstition renferme dans la peur et les préjugés. La superstition c’est donner son destin à un autre, horoscope ou cartomanciennes. La religion c’est prendre son destin en main pour le laisser à Dieu.

            Ce n’était pas une plaisanterie quand je vous disais que vous auriez dû aller vers ce pauvre bougre du supermarché et casser le fantasme, ou bien le considérer avec miséricorde. Dieu vous a laissé plusieurs chance d’ailleurs. Ce genre de geste de pacification devrait être accompli par de nombreuses femmes catholiques dans leur entourage au lieu de permettre au cycles de violence de se perpétuer. Au lieu de cela, elles sont devenues aujourd’hui encore pire que les autres (je ne parle pas pour vous là). Elles s’enferment dans la prière, en intervenant jamais dans leur vie.

            Regardez le fait divers dans le tram dernièrement, nous en avons déjà discuté. Le type prend en photo une femme, la femme demande à son mari d’intervenir, le mari se prend un coup de couteau dans le ventre. Je pense qu’une personne sûre d’elle, forte, aurait dû intervenir calmement pour lui dire que cela l’inquiétait, ou qu’elle ne comprenait pas. Un mort d’évité. Or bien souvent, ce ne sont pas des morts qui nous interrogent, mais de petites situations quotidiennes qui nous empoisonnent la vie à tous. Je ne suis pas encore un saint, et je n’y arrive pas toujours. Seulement je vois bien où est le chemin, pour lequel je manque encore parfois de force. Surtout face aux pervers, aux personnes possédées par le diable, c’est très difficile. Priez pour moi comme je prie pour devenir un peu meilleur dans la vraie vie. Voilà à quoi, en partie, un catholique doit arriver par la grâce de Dieu.


        2. Avatar de Lou
          Lou

          Cette peur vient de toutes les histoires dans la presse d’hommes qui « stalk » les jeunes filles, les suivent chez elles, les harcèlent au boulot et bien entedu les violent puisque la presse aime toujours montrer le pire des cas. De manière générale, c’est juste…embarrassant comme situation ? J’ai travaillé comme hôtesse d’accueil dans une entreprise, un homme est venu je lui ai demandé s’il voulait de l’aide il m’a répondu qu’il avait juste envie de m’observer m’a invitée à continuer mon boulot pendnat qu’il restait là à me regarder. C’était le soir, une demi-heure avant la fermeture, il n’y avait personne dans le hall. J’avoue m’etre sentie très gênée. Pas en réel danger mais pas très sereine non plus. Après, il y a certainement pas de quoi appeler la police.C’est peut-être une paranoia typiquement féminine. Un truc qu’en tant qu’homme on ne peut jamais comprendre parce qu’on est homme justement ? Un peu comme les femmes qui comprennent jamais vraiment la libido des hommes ?Et puis je pense que naturellement, inconsciemment, toutes les femmes ont un peu peur des hommes parce qu’ils sont physiquement plus forts.


          1. Avatar de kasimar
            kasimar

            Mais moi ce sont les femmes qui me font peur, du moins ce qu’elles sont capables de faire et le fait que dans la société c’est complètement ignoré.

            Bref, je dirais que les femmes aussi ont quelque chose de terrible


      2. Avatar de kasimar
        kasimar

        C’est la diffusion des images vous concernant à des tiers qui est interdite si je ne me trompe pas.


  7. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    « Des hôtesses de l’air refusent de porter le voile en Iran », Figaro du 03/04/2016.

    Elles foutent un sacré bazar dans un pays qui n’est pas le leur pour imposer aux femmes évoluées d’Iran de devenir des salopes occidentales. Le pire dans tout cela, c’est de voir les crétins hommes du Figaro soutenir leurs cruches à 85%.

     


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