L’union d’amour est une bêtise pour individus immatures, pour toute une société immature.
Il a été travesti par l’idéologie féministe.
L’amour est devenu un moyen pour les femmes de nos sociétés de contrôler les imbéciles que nous sommes.
Les hommes aiment, on leur a appris à aimer et aimer bêtement. Ils aiment et ne réfléchissent plus. Ils donnent leur argent et baisent, voilà toute leur satisfaction et celle de leurs femmes.
Au nom d’un dogme idiot de l’amour, hommes et femmes s’accouplent puis se séparent. Ils ont des enfants presque par hasard, sans que l’homme y ait bien réfléchi. La femme n’a plus l’obligation de respecter son mari, et tel est le sens du divorce, tandis que l’homme doit continuer à entretenir son ex-femme et sa nouvelle compagne, pris dans sa folie amoureuse qui a toutes les allures d’un esclavage. Son désir sexuel est entretenu et canalisé par la publicité, la mode et la pornographie. Rendu au niveau des animaux, il sait au moins où il se trouve dans l’échelle du progrès. Ce triste animal s’en contente. Il éjacule et cela lui suffit.
Cette société fragile accouche de familles fragilisées. Et ces familles perdent leurs enfants. Ces familles mono-parentales puisqu’il faut les appeler ainsi, ce sont des filles-mères avec enfant(s), des mères prises entre leur désir dévorant de maternité et leur désir d’être aimées pour elles. Elles ne connaissent rien à l’engagement, elles ne connaissent rien des hommes à qui elles devraient faire confiance, elles veulent seulement être désirées. Ce désir s’oppose à l’épanouissement de leurs enfants. Elles le sentent bien, voudraient protéger leurs enfants tout en voulant vivre pour elles. Dans cette équation impossible à résoudre, le mieux qui puisse leur arriver est de rester seules. Les familles recomposées qu’elles croient pouvoir regagner sont ingérables. Personne n’y est à sa place, ni les enfants du premier mariage, ni ceux du beau-père, ni ceux de la belle-mère.
Le seul avantage pour ce genre de famille est l’obligation pour les membres du couple de faire des efforts. Ce que chacun n’avait pas compris ou vécu dans son précédent couple, chaque membre de ce nouveau couple essaie de l’accomplir enfin, mais dans des circonstances beaucoup plus difficiles. Quant aux enfants, ils font ce qu’ils peuvent pour s’attacher à une personne qui n’est rien pour eux, sans trahir « l’ancien » parent, situation psychologique difficilement soutenable, et qui grèvera sans conteste leur avenir affectif. Dans d’autres cas, ces mères célibataires passeront d’hommes en hommes, toujours avides d’être désirées et détruisant tout modèle stable pour leurs enfants. Cette instabilité perpétuelle pour les enfants, ce désir insatiable d’être désirée tout en protégeant sa progéniture amène parfois ces femmes à des situations ubuesques. Certains prédateurs savent profiter des ambiguïtés de ces mères. Ici, un jeune homme bien propre sur lui, s’est installé comme « pédo-analyste », rassurant ces mères pau
mées en prenant en charge gratuitement leurs enfants et abusant tout aussi gratuitement d’eux :
http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2011/10/09/de-colmar-a-grasse-itineraire-d-un-pedophile
Là le beau-père a abusé des enfants dans le silence complice d’une femme qui vivait des sentiments partagés pour sa progéniture :
http://www.lobservateurdudouaisis.fr/24092011Sin-le-Noble–Climat-incestueux–le-beau-pere-condamne,6515.media?a=2961
Il n’y a rien de bon dans ces nouveaux modèles. Il s’agit en fait d’une véritable maltraitance généralisée envers des enfants au nom du sacro-saint désir individuel. Ce désir individuel est-il compatible avec la famille ? Clairement c’est non si on en croit les statistiques sur l’échec total des familles mono-parentales (délinquance) et recomposées (viols). Ces pseudos familles génèrent des conflits psychologiques de plus en plus ingérables pour les victimes qui les subissent : les enfants.
De nombreuses filles-mères me disent autour de moi que leur enfant fait peur, que les hommes ne veulent pas s’engager avec elles à cause de ça. En fait ce ne sont pas leurs enfants qui font peur à ces hommes, mais elles ! Elles qui par le passé, ont été incapables de concevoir dans l’engagement, elles, toujours prêtes à quitter leur homme à la moindre lubie, enfantant en changeant les pères à leur guise, elles en qui on ne peut absolument pas avoir confiance. Elles font peur aux hommes égoïstes, oui, et tant mieux. Quant aux autres, la majorité, elles les roulent dans la farine. Dans la réalité, il y a toujours quelque pigeon sur lequel ces femmes peuvent compter. Les idiots croyant sauver la veuve et l’orphelin sont nombreux, seulement l’orphelin a déjà un père et la veuve un mari qui est encore vivant. Nombreux sont les hommes pleins de bonnes intentions qui servent à ces femmes de godemiché ou, s’ils sont de bons partis de pourvoyeur de pensions. Si les hommes avaient un tant soit peu conscience de leur propre exploitation…
Heureusement la morale est sauve : le quotidien de ces couples adultères ramène les prétentieux à la réalité, s’ils ne se font pas piéger par l’état et les reconnaissances de paternité. Et s’il leur faut plusieurs fois pour comprendre, tant mieux.
L’amour n’est pas un vaudeville féministe.
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