La femme juge nous induit en erreur. Sa prolifération également. Elle ne s’est pas retrouvée là pour prendre des décisions, mais pour asseoir la pensée dominante qui légitime sa réputation. La raison d’état n’a jamais été si présente depuis son avènement. Ce qui n’est pas incompatible avec une tolérance pour le viol, s’il est commis par quelque étranger qu’elle révère ou qui promeut l’impuissance feinte de son employeur, son impuissance, qu’elle n’a pas réussi à obtenir auprès de l’homme blanc.
L’impuissance que la femme cherche, équivaut à sa soumission. Comme durant un rendez-vous galant. Il s’agit pour l’homme de briller par ses qualités qu’il saura mettre au service de la dame, esclave de la belle, afin qu’elle puisse exercer le pouvoir de sa soumission féminine dans un hypothétique futur foyer. Si la femme sent la moindre faille dans l’engagement, si elle éprouve le moindre doute quant au sérieux de son prétendant et plus généralement de son interlocuteur, alors elle perturbe, elle s’oppose, elle désobéit, elle rejette, parce que la femme abhorre plus que tout, une faiblesse qui ne serait pas sienne. Voilà pourquoi encore, elle préfère le mensonge du séducteur à la vérité d’un brave gars, parce que son péché affaiblit l’homme menteur et qu’elle peut alors le contrôler dans sa victimitude. Elle n’aime que la faiblesse de ses proches, jusqu’au point d’en être terrorisée pour elle, tant cette puissance de femelle pourrait l’emporter sur sa psyché. Actuellement, la contrepartie de sa faiblesse, cette force immense, elle ne la cède plus vraiment à un homme particulier, mais plus en puissance à l’état, parce que la faiblesse de l’homme féminisé moderne lui est devenue inutile. D’abord promue quand elle croyait pouvoir augmenter sa faiblesse en diminuant la force de son partenaire, cette dernière a été remplacée par une administration dont elle sent désormais les limites. Après avoir terrassé l’homme blanc, après avoir vidé l‘état, elle commence à demander au sauvage, venu de l’étranger, de raviver la flamme de sa faiblesse. Dans le monde des femmes, même les mots perdent de leur sens. La faiblesse est force. La force est soumise. Voilà pourquoi les hommes ont tant de mal à comprendre les femmes et pourquoi ils obtiennent d’elles le contraire de ce qu’ils espéraient alors qu’ils cherchaient à les amadouer en leur donnant du pouvoir social.
Le mâle blanc, avec sa force réprimée, la jalousie que la femme éprouve à son encontre, et la culpabilité de l’avoir humilié qu’elle évacue en agressivité, dixit le concept féministe de « mâle blanc de plus de 50 ans hétéronormé », apparaît de plus en plus comme un reliquat de l’histoire. Celui-ci souffre vraiment sous la férule du pouvoir féminin. Il aurait toutes les raisons de renverser la table pour imposer des règles sociales légitimes, en rétablissant le tabou du viol par exemple, très lié à l’interdit de l’inceste, et à la force patriarcale. La mère est incestueuse par nature. Seul l’homme lui permet de mettre de la distance entre elle et ses enfants, si cet homme n’est pas encore un enfant sous l’influence incestueuse de sa mère. Mais cet homme blanc moderne a été dépassé par la technique qu’il avait créé et le culte qu’il vouait à ses filles. S’il refuse d’évoluer, s’il n’accepte pas de traiter collectivement ses femmes en femme, cet homme qui n’exerce plus sa force, parce qu’il s’est laissé concurrencé par l‘état, méprisé par ses partenaires, sera remplacé par des hommes venus d’ailleurs de plus en plus féminisés, de plus en plus barbares, jusqu’à l’effondrement tribal qui donnera toute place à la mère. Les femmes préféreront toujours la provocation régressive à la disparition.
Ainsi nous vivons une époque où une femme parcourt les plateaux télés pour dénoncer le viol dont elle a été victime parce qu’un déviant sexuel étranger n’a pas été expulsé par un système féminisé, tandis qu’un jeune homme fait de la prison pour avoir collé une affiche dénonçant les conséquences de ce laxisme. Là encore, le fait qu’une femme se plaigne de la conduite d’un homme, même étranger, nous induit en erreur, quand bien même la majorité des féministes ne relaieraient pas cette plainte. Elle ne se plaint pas pour améliorer le fonctionnement de notre société comme l’imaginerait un homme, mais parce qu’elle a été victime personnellement de ce fonctionnement social. Et elle n’accuse pas ses soeurs d’avoir permis l’abus, ce même système abusif qui sanctionne toute initiative masculine, ici un collage d’affiche, mais elle accuse un homme, immigré. Les hommes devraient s’écharper entre eux pour régler un problème que des femmes ont créé de toute pièce, et qu’elles empêchent les nationaux de solutionner. Le viol, toujours le viol…
D’ailleurs, autre signe évident de cette féminisation, notre politique migratoire très proche de l’écart de cuisses, n’est plus envisagée comme une prise de décision politique, mais comme une bataille de faits divers, auquel participe la gauche avec ses petits Aylan sur les plages, et plus encore cette droite qui la dépasse en fureur avec ses Lola, Marin et autre romans sur isère. La droite révèle ici deux fois son impuissance : en utilisant un moyen victimaire qui a structuré l’accession au pouvoir de la gauche (les povs immigrés, les povs femmes, les povs pédés…) tout en affichant son incapacité à se faire entendre autrement. La gouvernance par le fait divers a été entériné et dans un pays féminisé, qui n’a pas identifié la féminisation comme un très grave problème, il n’est plus question de faire autrement à gauche comme à droite.
Impuissance feinte du gouvernement face à l’immigration, je dis. Car le gouvernement féminisé, s’entend très bien avec une société immature du tout argent, de l’entrepreneur grégaire qui emploie des étrangers en situation irrégulière parce qu’il n’y a plus que l’argent qui compte, ce même raisonnement stérile qui nous a conduit à manquer de main d’oeuvre autochtone dans notre pays. Vous comprenez, il fallait faire 1 seul enfant, au pire 2, pour préserver son petit confort, et continuer à aller travailler ! Quand la famille ne voit plus que par les conditions matérielles, elle n’existe plus. Elle s’éteint donc chez nous parce que nos femmes dont les conditions matérielles n’ont jamais été aussi favorables, ont plaqué leurs désirs de réussite sur ceux des hommes. Or elles ne peuvent réussir comme des hommes sauf à se dénaturer, ou à dénaturer la société. A partir des années 60, elles se sont dénaturées. Puis gagnant en pouvoir dans la société, elles l’ont dénaturée. De nos jours, elles voudraient bien retrouver la fécondité qu’elles ont perdue en s’égarant avec les marchands d’espoirs. Il faudrait pour cela qu’elles acceptent de nouveau, l’homme. Ce n’est pas gagné tant par le fait qu’elles sont agressives et insoumises à son égard, que par le fait de la propre faiblesse sociale dans lequel cet homme est empêtré.
Tout comme l’impuissance, la femme cherche l’insatisfaction, mais aussi l’irresponsabilité, car la responsabilité n’a pas de sens dans les rapports intimes. Il ne faut pas être responsable au sens propre du terme pour maintenir des relations familiales, mais au contraire, faire preuve d’abnégation pour gagner en pouvoir, se retirer, laisser place à l’autre pour qu’il prospère et vous fasse prospérer.
Pour bien vous faire comprendre l’irresponsabilité intrinsèque féminine, chez une femme, la responsabilité équivaut à ne jamais avoir de famille. Une femme responsable devrait quitter son foyer pour gagner l’argent dont sa famille a besoin, et donc abandonner sa famille. Au contraire, pour qu’elle ait une place, pour qu’elle ait la plus grande des places, il faut que son mari soit responsable à sa place. Plus son mari sera responsable, plus son irresponsabilité lui permettra de s’investir dans les rapports humains qui feront grandir sa progéniture.
Quand la femme entend « responsabilité », elle conçoit donc sa propre irresponsabilité, et donc la responsabilité de l’homme, qui devant un tribunal, en cas de séparation devra être plumé pour qu’elle puisse perpétuer encore de nos jours, au milieu de la stérilité qui est la nôtre et de notre culte imaginaire pour l’indépendance individuelle, son propre assistanat, avec l’aide de l’état.
En dehors d’un divorce décidée par la femme, cette irresponsabilité mal nommée, il la faut. Le malheur vient de l’hypocrisie qui ne reconnaît plus à l’homme son rôle de chef de famille, tout en le spoliant parce qu’il devrait assumer ce rôle. L’homme blanc, encore lui, est perdant sur tous les tableaux. Reste le fantasme du nègre, de l’enfant immature, de l’homme blanc féminisé, qui pourrait valoriser cette femme dans son rôle de femme/mère/épouse. En général, elle déchante très vite. Mais ce n’est pas pour cela qu’une femme se remettra en question. Le peut-elle d’ailleurs quand ce genre de choix épisodique l’engage sur toute une génération ? Il lui faudra la parole d’un homme pour cela, une dénonciation sociale comme celle que j’opère en ce moment, un père. Sinon, elle ne comprendra pas. Pour elle, l’idée ne naît pas d’une réflexion autonome, mais d’une altérité sentimentale. La parole de l’homme n’est écoutée qu’à proportion de ce qu’elle prospère ou de ce qu’elle lui donne du crédit pour des raisons sentimentales. Or cette même parole, elle a tendance à la censurer, à l’ignorer, et l’empêcher de porter atteinte à son pouvoir de femelle. Les hommes féminisés veulent la protéger en toutes circonstances et l’encouragent en ce sens :
La prise de conscience est repoussée jusqu’à la catastrophe… qui ne vient pas, car la féminisation empêche non seulement la prise de décision, mais aussi le conflit que la femme déteste. La décadence opère lentement.
Cet évitement peut prendre pourtant des atours très violents. La prise de décision d’un juge femme est particulièrement autocratique, car il ne faut pas qu’il y ait voie à la contestation, qui suggérerait la possibilité d’une opposition crédible. Ou alors, il s’agit d’adoucir la réception de la décision, bref de ne jamais parler du fond du problème. La décision d’une femme n’en est pas une en somme. Là encore, elle est calquée sur sa conception des rapports humains, entre chaleur et contrôle. Lui parler d’état de droit, c’est lui faire insulte. Mais ne pas parler d’état de droit, c’est exercer une forme de tyrannie.
Voilà pourquoi de nos jours, au-delà du milieu judiciaire, plus personne ne fait son métier. Le système est en train de se bloquer à cause de ça. Pas à cause de je ne sais quelle crise économique ou menace étrangère ou parce que les chômeurs ne voudraient pas travailler, mais parce que ceux qui travaillent ne font plus leur boulot, et qu’ils n’ont surtout pas intérêt à le faire.
Pour faire son métier, il faudrait que la responsabilité soit protégée et reconnue. Le monde ne prospère qu’ainsi. Or la responsabilité, c’est affronter des difficultés, et des intérêts, et donc faire des mécontents. De nos jours, faire des mécontents, c’est froisser des égos. Dans un monde de femmes, l’homme responsable est donc un gêneur. Au contraire, celui qui refuse de prendre des décisions est-il promu. Il gagne les élections, et il est réélu, sans faire campagne, surtout pas, parce que sinon, il pourrait apparaître comme « clivant ». Personne n’est clivant de nos jours, tout le monde est « inclusif », tout le monde « mutualise ses moyens », en tout cas, ceux qui veulent avoir l’espérance d’acquérir une audience. La censure des réseaux sociaux (voir la section commentaires) est perçue comme normale. Personne ne se précipite sur les réseaux alternatifs pour s’assurer une forme de liberté d’expression et d’information, mais tout le monde continue à utiliser les mêmes outils. Derrière, il y a l’idée de rester en contact avec le groupe, quitte à manquer d’indépendance, mais surtout, une légitimation inavouée du politiquement correct. La normalité, c’est la censure de tout ce qui pourrait froisser un négro, un pédé, une pouffiasse, un youtre, une grosse vache, en dehors de l’idée que les gens seraient capables de penser et de censurer par eux-mêmes. La censure publique n’existerait pas dans un monde où les individus auraient confiance en l’intelligence de leurs coreligionnaires. Dans notre monde, il est de bon ton de prendre l’autre pour plus con que soi et de valider par là, la laideur de ce monde étatisé/administré/censuré.
La traduction concrète de cet état d’esprit à un niveau publique, c’est une Giorgia Meloni qui arrive au pouvoir en italie par la dénonciation de l’immigration et qui n’a jamais autant régularisé d’immigrés.
(image non issue d’aimeles trouvée ici)
Constante de la politique féminisée, il faut combattre le problème en le légitimant, en accueillant toujours plus. J’entends que les électeurs voudraient un retour au sens des responsabilités de la part des décideurs politique mais combien sont-ils en france à droite, à lui chercher des excuses, en particulier parce qu’elle est une femme. Et puis, elle fait partie du sérail. Et puis, elle parle comme il faut. Et puis, elle ressemble tant à ces femmes que nous avons en france et qui sont sensées mettre en œuvre une véritable révolution. Il n’y aura pas de changement dans un tel cadre. Javier Milei en argentine est peut-être plus proche de la vérité avec sa tronçonneuse. Encore faudra-t-il voir dans les prochaines années s’il n’est pas un de ces nombreux traîtres promus par le système pour dire aux gens ce qu’ils ont envie d’entendre. Mais à mon avis, ne se laissent berner que ceux qui veulent bien se laisser séduire par des discours qui flattent la bonne image qu’ils veulent se donner, puis qui acceptent le cocufiage.
Le rapport à la séduction n’est pas étranger à notre faillite politique. Nous jugeons sur des paroles doucereuses et peu sur les actes. Là encore, celui qui agit, choque, il est un frein au pouvoir féminin, comme celui qui parle vrai, parce qu’il devrait ménager les égos de ces dames. Le rapport féminin à la politique est complètement inapproprié. Et puis, la femme veut pouvoir dire non au séducteur même si elle ne vit que par lui. Cet énième mauvais rapport au monde politique se traduit en impuissance parce que la femme conçoit sa toute puissance à travers la possibilité de censurer l’homme compétent. Elle dira plus facilement oui à une de ses sœurs ou à un homme féminisé, parce qu’elle ne verra pas en eux, un frein à son pouvoir relationnel. Qu’il est plaisant pour une femme d’avoir un prétendant fort et valeureux et de ne pas lui céder, et ainsi, de relever sa valeur et son ego artificiellement. Ou bien, qu’il est plaisant de croire un menteur qui vous dit ce que vous avez envie d’entendre pour être séduite et qui ainsi, satisfait à tous vos fantasmes…
La juge écrase la contestation. En politique, le féminisé prospère, jusqu’à la tyrannie. Le monde économique et sa rationalité sont submergés par la corruption ou l’avidité grégaire : les entreprises vivent de plus en plus de commandes d’état ou d’un système d’assurance. Elles tentent d’importer de la main d’oeuvre sans chercher à anticiper sur les conséquences sociales d’une telle erreur. Plus personne ne paye rien, dans l’éducation, la justice ou la santé, milieux féminisés à outrance. Mais le travail n’est pas fait. Les pénuries augmentent. On compte sur l’immigré esclavagé pour remettre une pièce dans la machine. Il alimente la décadence, même à son corps défendant, tout en ayant l’avantage de flatter la générosité supposée de ces dames, ou en leur faisant bénéficier d’une augmentation de la concurrence entre mâles. La qualité n’est jamais investie. Car la qualité, c’est l’homme blanc dépositaire d’un héritage multimillénaire. Lui préfère-t-on la génération spontanée, éternelle adolescence trompée, née du ventre de déesses mères forcément toutes puissantes. Le QI a même fini par baisser, en quelques années seulement.
Si l’intelligence régresse, le monde n’a pas changé. Si nous voulons qu’il se reproduise, la place de la femme est à la cuisine, accessoirement dans le monde politique et économique, comme d’un hobby, ou alors de manière exceptionnelle comme d’une réalisation personnelle qui sera forcément synonyme de stérilité. Stérilité car la femme investie à plein, ne peut, par définition, assurer sa présence sur deux fronts à la fois, et que sans mère, la famille n’existe pas. Double stérilité quand l’homme doit payer pour l’indépendance de la femme, et qu’il se retrouve en concurrence avec des travailleurs qui ne le valent pas mais qui doivent être payés autant, et que la médiocrité se propage.
La prétention des humains à égaliser les conditions de chacun pour échapper au péché originel, là encore de supprimer la question et ne pas avoir à y répondre, n’a jamais abouti et n’aboutira jamais. Ce désir existe en forme d’impossibilité anthropologique à se réaliser. L’humain veut croquer le fruit de l’arbre de la connaissance, s’imaginant tout pouvoir faire sans Dieu, et il se retrouve à chaque fois nu. Seul Jésus est apte à le rhabiller en l’éclairant sur ses motivations profondes et donc, en le rendant plus responsable concernant ses décisions pour les hommes, ses acceptations pour les femmes.
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