Laura Doyle a tiré de son expérience d’épouse un livre dans lequel elle explique comment elle a failli saccager son mariage en jouant les capitaines fendus. Voilà un témoignage qui concerne les femmes. Or cette conception de la soumission n’est ni celle de toutes les femmes, et encore moins celle des hommes.
Dernièrement, un père de famille est intervenu sur le blog pour affirmer qu’il avait une relation assertive avec sa femme, et que donc, il n’avait jamais été question de soumission entre elle et lui, sauf dans les débuts où elle croyait devoir jouer ce jeu là (sic).
Je ne crois pas qu’il puisse être déduit de l’assertivité d’une femme, sa non-soumission. Ici, elle lui avait seulement donné une teinte collaborative, comme l’attendait d’ailleurs son mari, mari qui ne voyait pas dans l’attitude de sa femme, le reflet de ses propres attentes. En somme, elle avait tâté le terrain jusqu’à comprendre comment ils pourraient fonctionner ensemble, et lui n’y avait vu que du feu. Même après plusieurs décennies de vie de couple.
Les hommes occidentaux croient souvent que soumission rime avec domination et même abus de pouvoir. Il est réellement difficile de leur faire comprendre qu’une soumission peut permettre une domination dans les relations personnelles. Ils ont l’image de la soumission dans le domaine public, et cet enchevêtrement de vassaux et de suzerains, ils ont du mal à s’en départir. Or dans le domaine du religieux ou des sentiments, il n’en est pas ainsi.
Songez seulement au terme « musulman » dont les mohamétans affirment qu’il signifie « soumis », soumis à Dieu. Personnellement, en tant que catholique, il m’est interdit de dire que des pratiquants de l’islam, seraient soumis à Dieu. Cela irait contre la vérité en laquelle je crois. Je les appelle donc des disciples de Mohammed, et donc des mohamétans. Qui d’ailleurs est vraiment soumis à Dieu ? Qui croit faire sa volonté en respectant à la lettre un simple texte ? C’est d’une prétention et d’un orgueil sans bornes. Jamais je n’oserais me dire soumis à Dieu. Je dirais plutôt de moi que j’essaie de m’y soumettre, et encore, quand le péché ne me fait pas chuter, c’est à dire tout le temps.
Si vous transposez cette petite aparté spirituelle dans les sentiments humains, il vous sera aisé de comprendre combien la soumission élève. Comme tout croyant, la femme qui investit sa famille, se grandit en s’y soumettant. Elle doit se soumettre à toutes les obligations qui feront d’elle une mère, aux attentes de ses enfants et de son mari. A cette condition seule, elle fera fructifier ce capital humain dont elle est la principale responsable. Car à l’évidence, cette responsabilité lui échoit. Vous n’avez qu’à regarder autour de vous, la médiocrité absolue des hommes modernes. Ceux-là ne peuvent certainement pas concurrencer leur femme sur ce terrain alors qu’ils n’arrivent même pas à en percevoir la dynamique. Ce serait un comble que la nature leur permette d’endosser ce rôle.
Notez d’ailleurs combien toutes ces femmes qui mettent en avant leur soumission, estiment aussi devoir « résister à la tentation de critiquer, rabaisser, ou rejeter votre mari ». Comme si leur mari en relief, était si faible qu’il fut incapable de résister à leur pression. Tel est pourtant bien le cas. Qu’une femme se soumette ou qu’elle ne se soumette pas, vous serez incapable de résister à votre femme dans les rapports intimes. En tant qu’homme, il vaut donc mieux que vous commenciez à l’admettre : vous allez devoir faire avec une femme soumise. Et si elle ne l’est pas, non seulement vous lui serez supérieur, mais en plus, vous serez malheureux.
Car la non soumission d’une femme, et votre propre supériorité morale, est la pire chose qui puisse vous arriver dans la vie. Une femme insoumise, une femme indépendante, c’est une femme stérile, une femme qui fait le malheur des siens, qui vit de relations familiales médiocres et limitées, qui vit aux dépends de ses enfants, enfermée, et qui a le pouvoir de faire perdre la tête à son mari. En ce sens, la non soumission d’une femme comporte bien des stades de dépravation. Et cette femme possède de nos jours un pouvoir social que vous n’imaginez même pas.
Pour revenir à l’exemple de mon commentateur de mari, celui-ci n’avait même pas intégré que sa femme aurait pu l’exclure socialement, juridiquement, tout en conservant le bénéfice d’une vie confortable. Il ne savait pas pourquoi elle l’avait gardé auprès d’elle finalement. Il n’avait pas compris qu’il devait tout à sa soumission qui était pour elle, la marque ultime de son amour. Les hommes devraient en prendre conscience pour ne pas transmettre à leurs filles et à leurs garçons, bien des mensonges sur la vie. Et leur faire apprécier ce qui est beau et vrai.
Car de nos jours, le mensonge fait florès et l’insoumission des femmes s’étend avec les effets que nous constatons autour de nous : ruptures, pauvreté, baisse du niveau scolaire, diminution des relations sexuelles, augmentation de la pornographie, relations sexuelles déviées.
Chez une femme, il y a ce stade de l’insoumission que Laura Doyle a dû assez bien décrire, c’est à dire une femme qui veut faire le bonheur de sa famille, mais qui exerce un contrôle étouffant, totalitaire et maternant. De celui-là, il me semble facile de revenir. Mais il existe des formes d’insoumissions bien pires, comme rabaisser le père de ses enfants, l’ignorer ou le manipuler.
Tout d’abord, le père de vos enfants aura beau être la plus belle crevure qui soit, la mère ne devra pas l’enfoncer dans son rôle de père. Ce genre de pères s’enfoncent d’ailleurs très bien tous seuls. Au contraire, cette mère devra savoir faire preuve de miséricorde à son égard quand bien même elle aurait dû s’en séparer. Ainsi, la mère devra être soumise à l’image de père, quand bien même le père réel serait défaillant. Voilà qui est identique lorsqu’une personne a eu des parents maltraitants. Il ne faut jamais dire que ces parents là ont fait de belles choses, s’ils en ont fait d’horribles. Toutefois, il faut conserver une image positive en soi de ce rôle, en allant le prendre ailleurs et en demandant à Dieu de nous le faire connaître. Voilà comment s’entend la parole : « Tu honoreras ton père et ta mère. » Tu n’honoreras certainement pas des crevures, et leurs péchés, mais ce rôle qui était le leur et qu’ils n’ont pas su remplir à cause de leurs choix et de leur histoire personnelle. « Tu seras miséricordieux pour ton père et ta mère, car tu auras besoin de cette miséricorde envers toi dans ta propre vie de parent. »
Ignorer le père de ses enfants, c’est priver sa progéniture de bras. Le manipuler, je m’entends, il y a une manipulation positive parce que les hommes sont souvent incapables d’accepter les réalités sentimentales, mais le manipuler pour le détruire, le faire boire, le pousser à l’agressivité, au cancer, à la maladie en général, n’est pas digne d’une mère qui entend devenir une noble femme soumise.
Avoir des enfants avec n’importe qui est aussi une forme d’insoumission. Tous les prétendants se valent alors. Dans ce cas, la femme n’est soumise à aucun de ceux-là spécifiquement. Idem pour la tromperie.
Etre jaloux de ses enfants est une forme d’insoumission, ou encore être jaloux de son mari. Au contraire, une femme doit se réjouir de voir ses filles devenir plus heureuses qu’elle. Et un mari doit se réjouir de voir ses fils devenir plus forts que lui. Il/Elle n’a pas à soumettre ses enfants pour dominer, mais à être soumis à ce qu’ils sont. Ils doivent d’ailleurs les punir sévèrement quand eux-mêmes font preuve d’insoumission. Car une bonne éducation consiste pour partie à apprendre la soumission à Dieu. Il n’y a pas d’êtres violents qui n’aient d’abord été soumis. Notre société et ses êtres apathiques nous montrent tous les jours les dangers d’une éducation non violente. Je préfère encore un peu d’excès en la matière, qui permet le rebond, qui permet la réaction, que cette attitude de veaux qui est un frein absolu aux progrès de l’humanité.
Que dire encore de la working girl qui préfère se soumettre à son patron plutôt qu’à son mari, si ce n’est qu’elle est dans les pires ratées qui soient. Que lui devra l’humanité, qu’un homme n’ait pas pu faire en mieux ? Tandis que dans sa famille, elle aurait pu donner beaucoup de fruits, uniques ? Qu’est-ce que cette femme qui ne sera jamais ni femme ni homme ? Qu’est-ce que cette privée d’utérus, châtrée ou peut-être plus précisément chattée ?
Si la soumission est si connotée négativement de nos jours, c’est parce que nous sommes un peuple d’orgueilleux, qui croit pouvoir faire plier le monde, la nature, et les circonstances, tandis qu’il a subi une ablation du sexe. Il faut les entendre ces « insoumis » de la Nupes, ces politicards racoleurs qui prospèrent sur les complexes des petites gens fonctionnaires. Il faut les entendre ces transhumanistes qui veulent vivre éternellement tandis qu’ils n’arrivent même pas à organiser la cuisson du poulet pour leurs enfants :
(mais où est sa bonne femme à celui-là?)
Il faut les voir ces travailleurs du dimanche parce qu’il n’y a pas assez de la semaine, ou encore ces autres fainéants qui n’iront pas jusqu’à l’Église, car quoi, un être humain a-t-il le besoin de réfléchir à ce genre de choses pour avoir des pattes au beurre dans son assiette ? Tous ridicules dans leur insoumission, et d’autant plus ridicules qu’ils sont insoumis, tout comme ces femmes indépendantes, qui doivent tout aux autres (subventions, logements, innovations, médecine, science…) sans jamais rien faire pour les leurs.
Oui, la soumission d’une femme fait le bonheur de sa famille, et indirectement celui de toute la société. Et la soumission d’une femme précède celle d’un homme, car oui, tel est le rôle particulier d’une épouse. La raison en est simple : cette femme dans la famille a un rôle plus central que celui de l’homme, qu’elle est le phénomène de gravitation grâce à laquelle les planètes tournent correctement, l’esprit saint qui doit guider sa famille à bon port en adulant le capitaine homme qui est à la barre, tout en attendant qu’il ait un peu grandi.
Enfin, loin d’être une faible, la femme soumise est immensément plus forte que la femme insoumise ou indépendante. Les femmes faibles sont incapables d’accueillir un homme tel qu’il est, quand elles ne sont pas incapables d’accueillir leurs enfants, ou qu’il leur faille faire pour cela, des efforts incommensurables. Elles crient, elles éructent, elles se soulagent sur leur environnement familial et même professionnel, usant de tous les avantages d’être une femme dans nos sociétés naïves. Ce sont des oies émotives, qui n’ont jamais appris à se dominer, et qui croient être fortes parce qu’elles imposent leur diktat. Seulement, elles sont incapables d’agir autrement, et de faire des choix qui les rendront heureuses. Leurs sentiments les dominent. Les imbéciles appellent cela « avoir du caractère ». Seule la femme soumise est dotée d’un vrai caractère.
Car la femme soumise est dotée d’une force morale peu commune, qui l’empêche de se croire inférieure parce qu’elle n’userait pas de son pouvoir totalitaire. Une femme soumise a un objectif de vie difficile à atteindre : la réussite de sa famille. Elle est donc capable de souplesse pour y arriver. Elle ne détruit pas tout, pour rien, parce qu’une idée saugrenue lui a traversé la tête. Pour elle, la vérité se situe ailleurs, dans la force morale de se dominer tout en apparaissant cachée aux yeux du monde. Son sacrifice n’est jamais vain. Elle est par essence, catholique.
Les hommes ne sont pas en reste dans cette histoire. Ils ont un rôle à jouer : être à la hauteur de la soumission de leur femme. Un homme doit réussir à être légitime aux yeux de sa femme. Sans miséricorde, ce n’est pas une mince affaire. L’homme doit donc faire des efforts constants pour s’élever moralement. S’il a misé sur le matériel, qu’il ne s’étonne pas d’être dépassé en tout par sa femme, et d’avoir à en subir les conséquences : tromperie, abandon, mépris. Beaucoup d’hommes de nos jours voudraient avoir une place dans leur famille, simplement en suivant mémère, ou par intérêt. Les premiers n’apportent rien à leur famille, tandis que les seconds ne sont que des animaux qui finiront immanquablement par être méprisés par leur entourage. Tout comme la femme doit être une noble épouse soumise à son mari, l’homme doit apprendre à évoluer dans ce monde des sentiments où il est si peu à l’aise. Il doit donc être capable de s’affirmer, sans abuser, trouver ce juste équilibre. Car il est le garant de ce qui est vrai. Lui-aussi ne progressera donc qu’en devenant catholique, chaque jour que Dieu fait.
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"Les vertus qui rendent l'âme forte" Thérèse, femme à part du 06/10/2024.
Bonsoir,
C'est ma grand-mère soumise qui m'a dit de faire des longues études et de ne pas me presser pour me mettre en ménage. Bonheur pour tous sauf pour la femme en question manifestement.
Cordialement,
Laetitia
Bonjour Laetitia,
Votre grand-mère, n'était pas une femme pas si soumise que ça apparemment... (et transmettre sa frustration à ses descendants est la pire des choses qu'une femme puisse faire).
Cordialement.
M.D
Bonjour,
A la fin non clairement. Elle était franchement aigrie et mais bon à sa place, je l'aurais été aussi.
Ses conseils m'ont permis d'avoir une vie qui me satisfait. J'ai pu dévéloppé mes talents, développé mon intellect et me marier pour les bonnes raisons et pas parce qu'il faut se marier avant un certain âge. J'ai eu mon premier enfant à 29 ans et ça ne m'a pas empêchée d'en avoir 4. J'ai mon auto entreprise et je gagne mon propre argent. Je sais qu'en cas de coup dur, je pourrais subvenir aux besoins de ma famille. Je suis autonome et responsable de ma vie. Je suis contente de ne pas avoir à passer par mon mari pour prendre des décisions qui ne concernent que moi. Pour cela, je serai toujours reconnaissante envers les féministes. Je ne sais pas si je suis une femme soumise ou non je sais que mon mari et mes enfants sont heureux et c'est tout ce qui compte.
Cordialement,
Laetitia
Bonjour,
Vous êtes donc soumise au bonheur de votre famille en quelque sorte ? Et vous n'avez pas eu besoin de le sacrifier jusque là, parce que vous avez pris les bonnes décisions dans la vie ? C'est ça petite innocente ?
Cordialement.
M.D
Bonjour Monsieur,
J'avais parfaitement compris ce que vous vouliez dire mais je ne voulais pas entrer dans votre jeu. Si vous vouliez connaitre mes convictions ou mes croyances il suffisait de demander. A la place, vous avez voulu faire une sorte de dialogue socratique en partant de postulats faux sur moi à savoir que je suis athée ce qui est faux, que je suis aveuglément les lois sociales ce qui est également faux : vous qui aimez parler du vaccin contre le COVID, sachez que je n'en n'ai reçu aucune dose par exemple. Et enfin que je n'ai jamais eu de soucis dans ma vie que je réussi "par chance" sans accroc, sans avoir à revoir me remettre en question, ce qui est également faux. Je me suis monumentalement trompée sur pleins de choses mais j'ai pu avancer et réfléchir parce que j'étais responsable de ma vie et de mes choix. C'est pour cela que je ne crois pas à la soumission de la femme à l'époux car ça fait de la femme une éternelle adolescente, victime éternelle. Et ça abaisse l'homme.
Se soumettre à son mari, c'est obéir à ce qu'il dit quand on est pas d'accord ce à quoi je ne souscrit pas. C'est aussi caresser l'homme dans le sens du poil parce que son petit égo ne supporte pas qu'on lui montre ses failles. Je ne pense pas que nous rendions servive à qui que ce soit en faisant ça. Ma grand-mère l'a compris sur le tard. D'ou son aigreur.
Néanmoins, certains appelle soumission le fait d'être agréable. Donc, certains m'appelleront soumise alors que ça pour moi c'est être poli et je n'en attends pas moins de mon mari ou de mes enfants ou de n'importe qui d'autres d'ailleurs. Comme dans le bouquin : l'auteure dit des choses basiques du genre "remerciez votre mari quand il fait quelque chose pour vous". L'auteure était une folle qui de sa propre admission n'était même pas capable d'aller à un rdv galant sans dire à son partenaire quelle route prendre en voiture, où se garer, chercher à savoir dans quel restaurant elle serait emmenée en avance etc. Une obsédée du controle. Les hommes controlants sont tout aussi toxiques et ne sont pas rares du tout.
Je vous ai trouvé via des sites pro vie. Et je n'ai certes pas besoin d'un coach en développement personnel.
Je vous remercie pour vos bénédictions et vous souhaite que Dieu guérisse votre orgueil typiquement masculin.
Laetitia
Bonjour Laetitia,
Vous vous adressez à un autre que moi. Vous ne répondez pas à mes propos par exemple. Vous dîtes que je ne vous ai pas devinée etc... alors qu'il s'agit d'avoir des discussions franches, sans jouer au marabout, d'essayer de comprendre l'autre sur des bases rationnelles en public, argumentées, ici sur mes conceptions de la soumission, avant de tester la personne en permanence sur des facteurs émotionnels comme vous le faîtes pour savoir s'il est crédible ou je ne sais quoi. Je ne suis pas votre père. Je ne suis pas crédible. Je n'ai pas envie de me justifier sur ce que je suis pour susciter la confiance chez vous (notez cette attitude généralement défiante qui vous empêche d'envisager toute soumission à votre mari ou même d'écouter ce que je vous dit) et j'aurais seulement aimé que nous discutions de l'article et des arguments avancés dans l'article, pas de généralités pleines de préjugés ou d'histoires familiales (si ce n'est à titre d'illustration et non comme centralité d'un raisonnement éminemment affectif). Votre manière d'intervenir ici a été très maladroite, brusque et sans charité. Voilà d'ailleurs où mène l'insoumission. En outre, je n'ai pas dit que vous n'étiez pas croyante et que vous vous étiez faite vacciner, ou je ne sais quoi encore, mais j'ai plutôt suggéré que vous étiez certainement dans un entre deux. Je ne sais toujours pas à qui va votre soumission (à celui qui vous paye à la fin du mois ?). Mais j'ai bien peur que cette seule question vous dépasse. Relisez donc mon article.
Merci d'avance.
M.D
PS : parfois nous dégénérons involontairement, pris dans un flot social qui nous emporte loin de la si belle vérité chrétienne, et nous rapproche de notre si moche, passé familial et humain. Je ne veux pas asservir toutes les femmes. Seulement les catholiques.
Re bonjour,
Je ne sais pas ce que vous sous entendez avec vos questions.
Bonne soirée,
Laetitia
Bonjour,
C'est bien là le problème.
Vous évoquez votre cas personnel comme d'une vérité alors que c'est une toute petite goutte dans l'infini des possibles. Mais il y a pire que cette manière typiquement féminine d'aborder les problèmes par des questions uniquement personnelles.Il y a l'égocentrisme car en somme, vous dîtes : "faîtes comme moi, suivez le discours social, ça marche." alors que finalement vous n'avez pas mis votre vécu en relief. Vous avez eu de la chance tout simplement, ou de l'inconscience, ou pire... mais voilà, ce pire, vous ne l'abordez pas publiquement ici, même sous couvert d'anonymat. Vous attendez d'échouer pour revenir sur vos convictions, comme la plupart des gens, vous ne voyez pas l'échec à l'oeuvre. Notez que je souhaite de tout mon coeur vous voir réussir. Cependant, je sais que la vie exige de nous de devenir adultes. Elle retarde parfois l'échéance, mais c'est tout.
Ceci étant dit, tout le monde est soumis à quelque chose. Si ce n'est pas à Dieu, c'est au diable. Vous ne savez pas à quoi vous êtes soumise, autant dire que vous avez de fortes chances d'être soumise au diable. Laissez-moi vous dire comment le diable agit avec les personnes qui lui sont soumises : il les leurre très longtemps, le plus longtemps possible, jusqu'à ce que le chemin de retour soit le plus difficile possible. Bon entre les deux, il y a une bonne palette de nuances. Encore faudrait-il que vous sachiez, au minimum, où vous en êtes et pour le dire autrement, où va votre soumission, où va votre croyance. Bien entendu, l'humain moderne, imbu de lui-même s'imagine facilement qu'il n'a pas de croyances, de religion personnelle. Ce même humain promeut une pénétration vaccinale sans consentement, parce que "la science l'a dit", cette même science qui n'en finit pas de se contredire selon les époques. A part ça, il ne croit en rien, non non non.
Je ne sais pas comment vous êtes arrivée sur ce site, mais je ne suis pas payé pour faire du développement personnel. Votre place n'est pas ici, parce qu'il faut comprendre ou au moins ressentir ce que je viens d'évoquer un peu plus haut, et surtout arriver dans un esprit de soumission. Il n'y a que comme cela qu'il est possible d'apprendre, notamment.
Que Dieu vous bénisse.
M.D
Bonjour;
Trop d'hommes qui theorisent sur la soumission des femmes. Pas assez d'hommes qui la méritent ou qui se pose même la question de la mériter. Sommes-nous moraux ? Sommes nous valeureux ? Sommes nous bons ? Cherchons nous des épouses avec de bonnes qualités morales ?
Pour la plupart la réponse est non. Ca se réveille après un divorce douloureux. Et puis nous virons à droite et on se demande pourquoi "elles ne veulent pas comprendre que c'est pour leur bien et qu'elles devraient être tradis aussi"
Orneli
Bonjour,
Justement, vous êtes sur un site qui se fait gloire de pousser les hommes au cul. Cependant, comme je l'écris dans l'article, même si un homme est une épave, il est préférable que la femme soit soumise pour le bien de tous. La soumission de la femme est un préalable à la vie en famille, pas une récompense. Par la suite seulement se pose la responsabilité des hommes, car une femme insoumise va foutre en l'air sa famille et son homme, sans qu'il ne puisse rien faire. Nous ne sommes pas égaux dans la famille. La femme est en position de supériorité naturelle dans ce cadre précis, ce qui implique une responsabilité plus grande aussi.
Enfin, les hommes ne se réveillent pas après un divorce. Ils sont écrasés pour la plupart et ne sortent jamais de leurs poncifs égalitaires (vous n'avez qu'à voir le chanteur Cali et son association sur l'égalité absolue des rôles). Ils ne demandent jamais la soumission de la femme, étant eux-mêmes trop soumis, la tête dans le guidon et n'osant jamais revendiquer auprès de ces dames. Pur fantasme de votre part de croire que les hommes seraient en état de réagir contre la société après un divorce. Ce serait trop beau, et la situation ne serait pas ce qu'elle est en france en ce moment.
Cordialement.
M.C
Bonjour Monsieur,
La soumission... le grand débat de la cathosphère lol ! J'ai du mal à prendre la soumission au sérieux. C'est une comédie.
Mes copines mariées sont soumises. Mais leurs maris savent que les femmes tradis sont rares et qu'au fond rien ne les empêche de les quitter. Ils font donc tout pour leur faire plaisir. Elles ont donc ce qu'elles veulent dans pratiquement pour 90 % des cas. Qui est soumis à l'autre ?
Dans leur quarantaine, mon père a "pris la confiance" et commencé à être moins respecteux avec ma mère et il l'a trompée. Elle est restée pour le bien de ses enfants et pour l'argent. Il s'est cru dominant et intouchable pendant un temps. Maintenant, il se rend compte que sans ma mère, il serait un petit vieux isolé qu'on appellerait 3 fois par an. Et qu'elle aurait pu se barrer et le laisser triste et tout seul si elle en avait eu la fantaisie (ce qu'elle a fait pendant quelques mois pour lui remettre les idées en place, je peux vous dire que depuis, ça file droit). Il la vénère et cède a tous ses caprices. Qui est soumis dans cette situation ?
Si un homme me fait la cour et je le laisse planifier les sorties et prendre des initiatives parce que ça lui fait plaisir, je me plie à ses attentes. Mais comme ça, ça le rend plus attaché à moi plutôt qu'à ma voisine Clémentine qui a des plus gros seins mais un sale caractère. Qui est soumis ?
Ils ont le degré d'autorité que leurs femmes veulent bien leur donner. Elles obtiennent la majorité de ce qu'elles veulent. Mais elles doivent donner aux hommes envie de le faire et rien ne les (les hommes) empêche d'arrêter.
C'est qu'une négociation qui ne dit pas son nom. Les rapports de force sont mouvants.
En général, les femmes qui insistent l'égalité veulent la supériorité. Et les hommes qui font une fixette sur la soumission sont des tyrans.
J'aimerais bien une relation où le rapport de force n'est pas le focus, mais apparemment, c'est utopique.
Bien cordialement,
Lady Camille
Bonjour l Camille,
"J'aimerais bien une relation où le rapport de force n'est pas le focus, mais apparemment, c'est utopique. "
Là encore, il faut bien commencer avec le péché. Vous réfléchissez comme si nous dussions être parfaits dès le début d'une relation. La relation, c'est d'abord un chemin. C'est très beau l'histoire de vos parents, ça pourrait faire du lyrique : "Oh homme orgueilleux tu vas subir mon pouvoir de femelle ! Tu as rejeté la femme qui s'était donnée à toi, je vais te faire subir la force animale dont je t'avais préservé." Ahaha, ça ferait un drame extraordinaire, qui se finirait bien, bien entendu, comme dans les films de noël !
La femme doit justement être soumise à l'homme parce qu'elle possède ce pouvoir. Cela ne veut pas dire que l'homme n'a pas de démons à combattre. Vous refusez l'altérité. Dans l'histoire de vos parents et pour reprendre un chemin concret : votre mère accomplit son devoir de soumission et votre père accomplit son devoir d'amour tel que Saint Paul les définit pour le couple. La soumission de la femme est évidemment sous caution. Si un homme n'aime pas sa femme, il doit perdre la soumission de sa femme et rentrer au bercail. Ce qui est arrivé ici. 1 Votre mère n'a été soumise qu'autant elle a été aimée. Un satisfecit pour elle. 2 Votre père l'a aimée parce qu'il a reconnu la valeur de sa soumission de femme qui était une soumission libre et éclairée. Un satisfecit pour lui. Franchement, je trouve cela très bien. Quand on aime, on est soumis d'une certaine manière, ceci pour un homme. De manière symétrique, quand une femme est soumise, elle aime. C'est l'altérité. Quant à la question de la tyrannie, cette tyrannie s'exerce sur soi-même. Quand nous aimons, nous sommes notre propre tyran. Et les hommes qui veulent des femmes soumises, ont seulement l'aspiration de se laisser aller à l'amour.
La question que je me pose, c'est donc : pourquoi vous ne faites pas crédit aux autres de leur histoire, de leurs choix et de leurs comportements (comme pour votre amie). Le mal existe, c'est vrai, mais il est toujours pavé de bonnes intentions. Il ne faut pas enlever cela aux humains, sinon, il ne leur reste rien.
Avec tous mes encouragements à la Foi.
M.D
PS : le conte de votre vie c'est la belle au bois dormants, non... plutôt "le roi grenouille". Lancez ce vilain crapaud contre le mur. Il va se transformer en prince charmant. Vous n'avez pas un vilain crapaud dans votre entourage que vous détestez ?
Cher Monsieur,
C’est très beau l’histoire de vos parents, ça pourrait faire du lyrique
Peut-être racontée comme ça, maintenant que l'on a la conclusion. Moi, ça m'a traumatisée. Je me revois encore à essayer de combler le temps avec des activités extra scolaires pour éviter d'avoir à rentrer à la maison dans l'ambiance hyper glauque qui y régnait et ça me donne encore, 14 ans plus tard les larmes aux yeux.
pourquoi vous ne faites pas crédit aux autres de leur histoire, de leurs choix et de leurs comportements (comme pour votre amie). Le mal existe, c’est vrai, mais il est toujours pavé de bonnes intentions.
Parce que justement les "bonnes intentions" m'horripilent. Tout le monde parle de liberté ( pour les athées) ou de libre arbitre (chez les cathos) mais dans les faits personne n'est confortable avec leurs manifestations concrètes de ça dans la vraie vie. Toute ma jeunesse, les gens "bien intentionnés" ont voulu me dire comment mener ma vie parce "t'as tellement de potentiel, ce serait si triste de le gâcher". Résultat: j'ai fait une belle dépression, je suis devenue anorexique, j'ai perdu mes cheveux. Et il m'a fallu tout mon début de vingtaine m'en sortir et je n'en ai vu le bout du bout qu'à mes 26 ans.
On réussit en prenant des risques, c'est vrai pour tout le monde, encore plus pour les personnes "surdouées" qui souvent réussissent très très bien ou ratent complètement et vivent bien les deux situations mais ont beaucoup plus de mal avec les entre deux confortables mais sans éclat.( C'est vrai pour tout le monde, c'est pour ça qu'on est tous triste en France mais ce type de profil ne le supporte vraiment pas).
S'ils voulaient m'aider, réellement et pas se rassurer, ils se mettraient à ma place, me donneraient des conseils et accepteraient de prendre en compte ou non leurs conseils sans revenir à la charge sans cesse. J'ai une bonne tolérance au rique, eux non, ça les renvoie à leurs peurs et ils veulent pourrir tout le monde pour les rassurer.
Longue diatribe, mais il fallait que ça sorte. J'en marre de me mettre toujours à la place des autres, d'essayer de leurs donner le bénéfice du doute alors que l'on me fait rarement cette courtoisie.
le conte de votre vie c’est la belle au bois dormants, non… plutôt “le roi grenouille”. Lancez ce vilain crapaud contre le mur. Il va se transformer en prince charmant. Vous n’avez pas un vilain crapaud dans votre entourage que vous détestez ?
Encore une fois, je ne suis pas sure de comprendre où vous voulez en venir.
Bien Cordialement,
Lady Camille
Mademoiselle Camille,
J'aime bien cette réponse. Enfin un peu de coeur, transparaît. Ca me paraît plus honnête que le reste.
"14 ans plus tard les larmes aux yeux"
Vous vous vous. Ca vous empêche de voir la beauté de l'histoire de vos parents, et plus généralement du monde. Débarrassez vous un peu de votre narcissisme et cultivez un peu votre ego SVP. Vous n'étiez qu'une enfant. Vous n'avez rien compris de ce qui se déroulait. Ils ont été dépassés par leurs sentiments. Ca a débordé sur vous. Mais il faut guérir maintenant.
"Longue diatribe, mais il fallait que ça sorte. J'en marre de me mettre toujours à la place des autres, d'essayer de leurs donner le bénéfice du doute alors que l'on me fait rarement cette courtoisie. "
Personne n'arrive à aimer par ses propres moyens. Tout le monde finit par s'y épuiser. Et c'est très bien ainsi. Cela humilie l'horrible orgueil. Si vous êtes comme ces gens, enfin je veux dire, au moins aussi valeureux qu'eux en termes de bonnes intentions, vous apprendrez désormais à prier pour eux en vérité. Sinon, si votre "bénéfice du doute" ne cachait qu'une volonté de mépris, alors vous comprendrez combien vous ne les valiez pas.
"Il n'y a aucun homme de mon entourage que je déteste ou m'agace"
Dîtes moi que j'ai réussi à vous agacer un peu par pitié. Ce serait trop horrible sinon. Sachez toutefois que si ce n'est pas le cas, en tant qu'hystérique, je vous promets de faire des efforts.
Affectueusement vôtre.
M.D
Cher Monsieur,
Dîtes moi que j’ai réussi à vous agacer un peu par pitié. Ce serait trop horrible sinon. Sachez toutefois que si ce n’est pas le cas, en tant qu’hystérique, je vous promets de faire des efforts.
Pourquoi vous m'agaceriez ? Les gens qui m'agacent, je cesse d'intéragir avec eux.
Bien cordialement,
Lady Camille
(Vidéo) "La femme soumise brille comme une casserole" Raphaël Zacharie de IZARRA du 26/11/2023.
(Vidéo) "Tradwife : un retour en arrière ? Je réponds à @MyBetterSelf" Virginia Vota d'avril 2023.
Elles veulent s'engager mais pas avec des hommes comme vous.
Vous faites plein de projections. "Vous voulez travailler mais vous n'assumez pas" alors qu'il y a plein de couples qui se sont organisés sans accro dans le partage des tâches. Je ne m'étalerai pas sur ma vie mais en tout cas, je n'ai pas à me plaindre.
Quant aux taux de divorce des tradis, j'y accorde très peu de crédit. Je les connais les couples traditionnels, tous dans les apparences donc même quand leur couple est aussi merdique que les "couples modernes" ils restent ensembles. Ambiance délétère à la maison. Pourquoi il y en a de moins en. moins à votre avis de ces couples traditionnels ? Leurs enfants devraient avoir naturellement envie de reproduire le tout non ?
Bref, allez donc à la messe, mettez vous à genoux et demandez à votre Dieu de vous guérir de votre orgueuil et de votre mysogynie. Assez pour ne pas révulser toutes les femmes saines dans un radius de 50km. Demandez à votre prêtre aussi de vous prescrire quelques chapelets et neuvaines, ça peut aider aussi (Je vous conseille St Antoine).
...Ou alors, recueuillez une réfugiée ukrainienne 🤷🏻♀️ ( je vous aurais conseillé une Africaine qui a plus de chances d'être vraiment soumise et tradi mais j'ai cru comprendre que c'était pas votre genre)
Mme Anonyme,
Et voilà, nous dévions invariablement sur des considérations personnelles, qui forment toute l'existence pour une femme finalement.
Quand nous nous rencontrerons, vous me trouverez charmant et vous me pardonnerez tout. Si ça peut répondre à toutes vos interrogations...
Amicalement.
M.D
Quand nous nous rencontrerons, vous me trouverez charmant et vous me pardonnerez tout.
Je n'en doute pas ! Même maintenant je vous trouve sympathique, jolie répartie !
Lunairement,
Marie
"Les femmes sont plus heureuses quand elles font passer leur famille d'abord." Les 3 étendards du 09/05/2023.
Titre trompeur. Dans un mariage, les femmes traditionnelles sont plus heureuses que les femmes modernes. Les femmes modernes célibataires sont le groupe de femmes plus heureuses en général selon les études.
Bonjour Mme Anonyme,
Ne mentez pas pour essayer de vous rassurer.
M.D
Je vous invite à lire les travaux de Paul Dolan.
La psychologisation est le degré 0 de l'argumentation.
Les femmes sont plus heureuses sans homme. Ce n'est pas compliqué à comprendre.
Mme Anonyme,
Les femmes qui ne veulent pas s'engager ne sont rien, ce n'est pas difficile à comprendre.
Sincèrement.
M.D
La psychologisation est une tendance bien ancrée en vous.
Là encore, il faut lire l'étude. Les femmes traditionnelles sont en moyennes plus heureuses que celles qui travaillent parce que les femmes qui travaillent se retrouvent à faire leur travail de femme traditionnel et à devoir assurer les dépenses du foyer. Le mari, lui n'a que le moitié de son travail d'homme à faire.
Dans les cas (très rares) ou les tâches sont réellement partagées équitablement entre les deux, elles sont aussi heureuses que les traditionnelles.
Les femmes veulent être heureuses. Et vous en avez besoin pour vous reproduire donc si l'écrasante majorité ne veut pas du modèle que vous proposez, vous êtes obligés de composer avec leurs exigences.
Bonjour anonyme,
Là encore, contradiction dans les termes. Les femmes sont heureuses, mais elles sont malheureuses parce que les hommes n'adoptent pas tel ou tel comportement. Votre bonheur est attaché à notre volonté, et pourtant, vous en concluez que nous sommes obligés de composer avec vous. En vérité, il y a trop longtemps que nous composons. Vous faîtes n'importe quoi. La preuve, ces femmes avec hommes déconstruits à la maison comme Marlène Schiappa, finissent par prendre un bon patriarcal. Quant aux taux de divorces dans les familles non traditionnelles, je n'ose vous donner le chiffre par rapport aux familles traditionnelles. Vous avez voulu travailler, et désormais, vous n'assumez plus. Des irresponsables qui cherchent leur bonheur sur le dos des hommes. Voilà ce que vous êtes. Les femmes traditionnelles sont en vérité bien plus fortes que vous. Toute votre rhétorique n'est qu'un appel au viol.
Enfin, laissez moi douter de votre référence. J'en ai marre d'étudier les références féministes en fait. Tout est tronqué. Tout est nul. Tout est mensonger. C'est d'une médiocrité abyssale. Non mais regardez la tête du type que vous me conseillez de lire. Regardez sa tête ! Vous ne voyez pas qu'il se fiche de votre gueule de femme ??? Qu'il a quelque chose à vous vendre, ici du bonheur. Votre naïveté est confondante. Mais c'est tout. Et ceci parce que vous êtes complètement paumée.
Cordialement.
M.D
Bonjour Mme Anonyme,
Je psychologise parce que vous vous êtes contredite dans votre propre propos. De surcroît, votre propos s'oppose à tout bon sens.
Voilà donc mon argumentation : vous dîtes "Dans un mariage, les femmes traditionnelles sont plus heureuses que les femmes modernes."
En somme, vous validez exactement mon propos et le titre de mon article : les femmes qui sont soumises sont plus heureuses que les femmes perdues. Quant aux femmes stériles, qui veulent rester stérile, que vous appelez modernes et célibataires, elles ne participent plus à la perpétuation de l'humanité. Elles ne resteront pas modernes longtemps, et à leur mort, il ne restera rien d'elles. Qu'importe leur bonheur, et que veut dire leur bonheur d'ailleurs ? Rien.
En espérant que vous saurez répondre à ces arguments.
M.D
Bonjour M. Durandal,
Je crois que cette vidéo de Mademoiselle d'Escufon vous fera plaisir : Voilà ce que vous ne verrez plus sur cette chaîne. - YouTube
Cordialement,
Cyrus
"TradWife, les Femmes Tradis, sont elles ridicules ?" Audrey d'Aganno du 27/03/2023.
Certes nos grands mères étaient indépendantes et travaillaient dur. Mais ce n'était pas toujours des exemples de féminité non plus. L'avenir est à la soumission Audrey ! (soumission différent de domination)