Vous êtes un adolescent boutonneux, gras du bide, laid, idiot et maladroit avec les filles. Vous avez peur de rester puceau toute votre vie à cause de tous ces défauts. Ne vous inquiétez pas, votre heure viendra.
Il arrivera un temps où celles qui vous snobent feront tout pour vous mettre dans leur lit, à n’importe quel prix. C’est vrai, aujourd’hui, elles vous regardent de haut, avec cet air blasé et méprisant qui font leur force et qui renforce votre sentiment d’impuissance tout en excitant votre libido, mais sachez qu’il n’en sera pas toujours ainsi. Il arrivera un temps où celles qui reluquaient votre potentiel incommensurable avec dédain seront prêtes à tout pour vous mettre au pieux. Vous aurez beau être la dernière raclure de la terre, l’homme le plus moche qui soit, ou encore pire, gentil et niais au possible, vous recevrez enfin des signaux de partout, de la part de ces femmes qu’on appelle des filles mères.
Qu’est-ce qu’une fille mère me direz-vous ?
Eh oui, notre époque hypocrite a mis un voile de pudeur sur le nom de celles-là aussi. Ce sont toujours les mêmes, mais désormais, on les appelle mères célibataires, mères isolées, mères seules. Et en quelques années, elles se sont multipliées, sans que leur mentalité n’ait changé d’une seule once sur plusieurs millénaires. Elles ont eu un/des enfants avec le/les premiers venus, elles n’ont pas fait de plan sur 30 ans, elles ont privilégié « l’amour » et bizarrement, à chaque fois, ça n’a pas marché. Souvent ce sont des femmes qui n’ont pas eu de vrai papa. Alors, elles le cherchent partout et toute leur vie, ou bien, elles veulent le sauver à travers vous. Et à chaque amourette, « baizerette » il faudrait plutôt appeler cela, elles croiront avoir trouvé le merle blanc. Redevenant assez rapidement célibataires, elles penseront que lorsqu’elles seront enfin tombées sur « le bon larron», tout ira pour le mieux pour elles et leur/leurs enfant(s). Et c’est là que vous aurez toutes vos chances de puceau, car la bonne monture elles ne la trouveront presque jamais. Elles en changeront indéfiniment jusqu’à baisser progressivement le niveau de leurs exigences au fur et à mesure qu’elles deviendront moins consommables.
Si le problème ne vient pas de tous ces usurpateurs qu’elles ont croisés au cours de leur vie, mais bien d’elles, elles ne se l’avoueront jamais. Alors quand elles vous verront, surtout en vous voyant, qui que vous soyez, et quel que soit votre aspect, elles voudront y croire malgré tout, en particulier si vous voulez y croire aussi. A la fin, quand « l’amour sera passé », qu’elles désireront se priver de vos va-et-viens, ou que vous les aurez jetées comme de vieilles chaussettes après qu’elles vous aient «tout donné», elles se justifieront ainsi, quoi que vous ayez fait ou dit, que « c’est toujours la faute des hommes si ça rate ».
Un beau jour, trop moche et/ou trop haineuse, elles se rangeront des camions et/ou finiront lesbiennes. Car au fur et à mesure qu’elles vieilliront, leur sentiment de dégoût du monde et de dégoût pour elles-mêmes grandira. Elles constateront que leur pouvoir de séduction diminue, en particulier si elles ont des enfants, et qu’elles perdent progressivement de la valeur sur le marché de l’occasion. Alors leur peur panique de se retrouver seules se muera en désir de se faire rouler dessus par n’importe quoi, d’attirer encore un regard. Dans les rayons de supermarchés, elles vous feront les yeux doux. Dans les gares, elles seront perdues. Dans les soirées, leur tenue vestimentaire sera un mélange de volonté de mettre en valeur ce qui leur reste d’attraits, avec pas mal de consensualité mais aussi une légère touche de coquetterie qui vous signifiera que l’enseigne est ouverte. Pour peu que vous soyez un peu habillé, elles s’imagineront rapidement vivre de vos rentes d’honnête travailleur quelques temps. Pour vous amadouer, elles vous regarderont avec un de ces regards déjà dégoulinant d’amour, cet œil de petit veau blessé rempli d’attentes par lequel beaucoup trop d’hommes se laissent émouvoir. Et si vous vous laissez émouvoir, ou si vous faites semblant, vous décrocherez immanquablement la timbale.
Avec ou sans enfant.
Le plus difficile c’est de les repérer avant qu’elles n’aient des enfants. Mais certainement pas pour les posséder à ce moment là. La période des premières chaleurs est la plus dangereuse pour le mâle qui fait leur rencontre dans cette jungle moderne. Vous risquez alors de vous retrouver père sans l’avoir vu venir. Quand vous les croiserez avec leurs filles, ce sera plus facile de les identifier et moins dangereux pour vous. Ces dernières verront en vous le père qui leur manque tant, ou qu’elles n’ont jamais connu, et peut-être même dont leur mère ne se rappelle pas. Ces filles pourront aller jusqu’à essayer de rabattre la marchandise pour leur mère tant elles auront besoin d’un repère masculin et qu’elles souffriront de ce manque d’homme, en particulier si elles ont le désir profond de réussir leur vie (avec tout ce que cela peut comporter d’ambiguïté avec le beau père, alors que le tabou de l’inceste est moins évident avec une personne qui n’est pas de sa propre lignée, et alors que leur mère n’aura pas été capable d’être fidèle à leur père biologique). Mais bien souvent leur mère ne s’encombrera pas d’enfants pour rapatrier un homme à la maison. Elle finira toute seule par sauter sur le premier venu et à la moindre occasion en prenant bien soin de cacher le plus longtemps possible au chanceux qu’elle s’est faite engrosser à peu de frais avant de le rencontrer, une ou plusieurs fois, par un ou plusieurs hommes différents. Car elle s’imaginera que son passé vous gène, alors qu’en tant que puceau, vous n’êtes pas capable de réfléchir bien plus loin que le bout de votre queue. Tandis qu’elle se chargera de remonter le filet, elle aura donc laissé son/ses enfant(s) seul(s) à la maison ou les aura confié à des inconnus pour pouvoir se dégager, et ce n’est qu’au hasard des rues que vous pourrez faire sa rencontre avec ses chiards. Si elles ont des garçons et si elle vous les fait rencontrer parce que vous êtes un puceau sérieux, ceux-là vous regarderont de travers : vous serez l’affreuse bête qui veut les séparer de leur maman. En même temps, ils désireront tant bénéficier dans leur vie d’un quelconque exemple masculin, qu’ils feront de vous un modèle plus ou moins consciemment. Ils chercheront à tester votre autorité sur une femme qui sera bien incapable d’en supporter aucune. Vous devinez la suite : vous accepterez un temps de n’avoir aucune autorité sur elle et sur ses enfants durant cette aventure, et dès que vous ne le pourrez plus, il vous faudra partir.
« A la fin, je touche ».
Autour de 40 ans vous exercerez sur ces femmes le maximum de votre attractivité sexuelle. Il suffira alors d’être juste un peu gentil, alors qu’avant c’était pour elles un défaut rédhibitoire, pour qu’elles finissent immanquablement dans votre pumar. Vous ferez ce qu’il faut, en fait il vous suffira d’insister un peu, de jouer les gentlemen, et ce sera gagné pour une bonne partie de jambes en l’air. Alors qu’avant, elles méprisaient les gentils, désormais, elles les rechercheront avec avidité pour que la rupture se déroule dans les meilleures conditions possibles. Car au fond d’elles-mêmes, elles sauront pertinemment que ça ne peut pas durer étant donné ce qu’elles sont devenues, ou bien étant donné ce qu’elles ne seront jamais. Elle voudront alors être aimées, juste un peu, encore une fois. Vous serez moche, gras du bide, toujours aussi laid et con que dans votre jeunesse, mais vous saurez leur donner ce dernier plaisir, car il restera un peu de pitié dans votre coeur, ou alors parce qu’à 40 ans, il sera vraiment temps de connaître cette navrante expérience qu’est le premier rapport sexuel avec une femme dont l’espérance de vie en couple est au mieux de 3 ans.
L’avenir de la fille-mère
Après vous avoir essayé, vous et bien d’autres, des puceaux, des vieillots, des jeunots, des prolos, elle se rabattra en dernière instance sur un pigeon qui lui-aussi, a déjà des enfants, en particulier quand elle en sera arrivée au nombre de 3 mouflets qui est aux femmes de notre société ce que la pancarte « dernière démarque avant la fermeture du magasin » est aux soldes. Pour une raison encore inconnue des scientifiques, le 4ème enfant ne se fera chez elles, contrairement à tous ceux qui l’auront précédé, qu’après mûre réflexion. L’ »heureux » papa pourra élever « le sien », et servir accesoirement pour les autres, dans le meilleur des cas. Dans le pire, la fille-mère fera fuir tous les hommes de son entourage, tout en se croyant éternellement jeune, à l’image d’une Madona. Elle pondra alors pondra, ou niquera niquera ou séduira séduira, toujours de manière aussi compulsive, enfermée dans ses incohérences de jeune vieille, sans s’occuper de ses enfants. Elle atteindra alors le comble du ridicule dans des tenues vestimentaires et des attitudes qui ne seront plus de son âge, qui mêleront provocation infantile et corps périmé. Autant dire que, si dans sa prime jeunesse, la putasserie qu’elle aura pu employer armée d’un corps frais, aura pu éveiller les plus bas instincts des mâles qui l’auront croisée, à un âge où il serait l’heure de faire des confitures pour ses petits enfants, l’apparence d’une vieille pute ne suscitera qu’une pitié gênée de la part de ses observateurs sidérés.
Il lui faudra alors trouver des étalons toujours plus vieux ou toujours plus complaisants, cet enfermement alimentant chez elle une haine grandissante envers la gente masculine.
Comparaisons internationales.
Les Allemands sont moins hypocrites que nous Français. Ils jouent sur le fait que ces filles sont de bonnes poires. Les publicités pour les hommes sur Face book qui les appellent à satisfaire leurs pulsions sexuelles parlent de rencontrer des mères célibataires. Le fantasme est assumé :
Traduction :
Rencontrez une mère célibataire dans votre région qui est à la recherche d’une aventure.
En France, on préfère omettre le fait qu’elles aient des enfants. On ne les appelle même plus des mères célibataires, mais plus souvent des « cougars ». Elles cherchent un bon pigeon qui saura être fidèle et vivre une relation de couple pleine et entière (méfaits du langage féministe). Les Français moches célibataires et cons, sauveront-ils la belle ?
Aux USA il y a bien longtemps que les films essayent de nous refourguer la fille mère, mais avec puritanisme. Le phénotype c’est le film Jerry Maguire sorti en 1996, déjà.
La pauvre fille-mère est un petit être fragile à aimer et non une cochonne incapable de supporter la présence d’un homme au quotidien. Les USA nous proposent leur modèle de décomposition familiale qui a si bien marché depuis chez nous et qui n’est réellement mis en œuvre chez eux que dans les communautés noires américaines et latinos en perdition :
Créer un problème pour le dénoncer.
Notre société féministe se plaint désormais de la pauvreté des familles monoparentales (1, 2). Or qui a créé ce phénomène sinon celles qui ont fait la promotion du divorce ? Leur emboîtant le pas, le secours catholique a lancé des campagnes en faveurs de ces filles-mères qui vont à la rue, comme si les premiers à être touchés par la pauvreté n’étaient pas les hommes qui avaient subi le genre de rupture familiale dont sont si friandes ces filles-mères (3).
Modernité déplorable.
Inconséquentes quant à leurs décisions, celles-là se retrouvent de plus en plus en difficulté, et s’accrochent à leur progéniture pour émouvoir la populace.
Mais qu’elles se trouvent un bon mari au lieu de pourrir leur famille et la société !
Et surtout qu’elles fassent ce qu’il faut pour le garder. Il y en a plein en France qui ne demandent que cela, qui possèdent un bon logement et sont prêt à leur donner plein d’amour. Seulement, ces femmes, complètement décérébrées, préfèrent leur petite indépendance et surtout leur petit caractère à tout changement qui pourrait déstabiliser leurs habitudes. Elles veulent surtout contrôler leurs enfants et ne supportent pas le moindre intermédiaire. A la longue ça finit par clasher. Pourtant ce ne sont pas les hommes en attente de relations longues qui manquent. Tiens, juste à côté de chez ma grand-mère, perdu en pleine cambrousse, il y a ce vieux garçon qui ne demande qu’une chose, pouvoir accueillir une de ces pauvres femmes pour le restant de sa vie dans son logement dégoûtant. Celle qui acceptera ce bon parti aura tout loisir d’y faire le ménage autant qu’elle en a envie, et de le laver par la même occasion, car il y a bien plusieurs semaines qu’il n’a pas vu l’ombre d’un savon. Il a besoin d’une femme. Ces femmes accueillies par le secours catholique ont besoin d’un homme pour les loger. Je crois que chacun pourra y trouver son compte. Je pense que lui, il est prêt à faire des efforts. Il est d’ailleurs très gentil.
Malheureusement je connais beaucoup trop de femmes qui sont trop difficiles par rapport à ce qu’elles sont devenues. Au lieu d’apprendre à aimer de vrais hommes, avec leurs qualités, leurs défauts, d’assumer enfin leurs besoins et leurs désirs, le fait que certains ne veulent pas abaisser la lunette des toilettes, qu’ils se grattent le sguègue le matin, qu’ils boivent un peu trop, qu’ils aient un peu trop d’amis, qu’ils soient inconséquents à cause de l’éducation qu’ils ont reçue de leur maman, tout cela dérange nos petites princesses. Elles se pincent vite le nez ces filles-mères. Pour produire des cas sociaux à la pelle, il y a du monde. Mais pour assumer par la suite, là, il n’y a plus personne.
Explication scientifique : pas assez exigeantes dans leur jeunesse, trop exigeantes dans leur vieillesse.
Dans la durée, elles ne veulent pas n’importe qui. Elles veulent celui qu’elles sont incapables de supporter, toujours à désirer recevoir de l’amour et jamais en donner, peut-être seulement handicapées. A mon avis, elles n’aiment pas vraiment les hommes, elles fantasment une relation parfaite. Pourtant je connais beaucoup de ces célibataires hommes qui pourraient accueillir l’une de celles-là et qui ne seraient pas trop regardants sur les chiards, qui accepteraient surtout qu’on leur manque de respect et de n’avoir aucune autorité (raison sine qua non pour que ces relations avec ce genre de filles fonctionnent). Mais même si un homme remplit toutes ces conditions, elles préfèrent encore souvent que le père de leurs enfants ne soient pas celui qui les éduque. Préservation de leur territoire oblige. Et comme à chaque relation qui dure un peu, elles en pondent un, il leur faut vite changer de géniteur, le faire partir à force d’incohérences, ou même le quitter s’il est trop long à la détente. La fille-mère est donc facile d’accès, mais pas facile à vivre. Voilà en quoi elle est parfaite pour le puceau, qui toutefois, ne devra pas trop s’enflammer s’il arrive à toucher le pompon. Car si la fille-mère veut être désirée d’autant plus qu’elle vieillit, elle devient proportionnellement moins apte à vivre en couple avec l’âge.
La responsabilité d’un système laxiste et incohérent.
De leur point de vue égocentré de fille sans éducation, il est réellement préférable de se faire entretenir par l’Etat après de multiples ruptures plutôt que de tenir leurs engagements, puis de se faire plaindre par le secours catholique, cette organisation très nuisible en ce moment pour l’entente entre hommes et femmes, qui nourrit le phénomène qu’il dénonce, plus qu’il ne le soigne. Or sûres et certaines d’être prises en charge financièrement alors qu’elles pourraient faire autrement, il ne faut pas compter sur ces filles intéressées pour faire le moindre effort. Ainsi continueront-elles longtemps à se trouver des banques de sperme sur pattes qui détaleront dès qu’elles leur en feront voir de toutes les couleurs, puis à se plaindre de leur départ, et enfin à bénéficier de la naïveté imbécile d’un système féminisé.
La fille -mère : l’avenir d’une société dépravée, si celle-ci tolère toujours les enfants.
Pour rationaliser un phénomène qu’elle subit, notre société en est arrivée à faire de ce genre de femme, des objets de consommation comme tant d’autres (voir les pubs Face Book plus haut, ou les conversations des djeuns sur les « couguars »). Dans un pays où la misère sexuelle n’a jamais été autant corrélée avec la libération sexuelle, les couguars représentent le dernier eldorado. Les jeunes femmes, on le sait, se choisissent des bons partis. Et si vous avez dépensé « votre jeunesse comme une poignée de billets » ou si tout simplement vous n’aviez pas le don de plaire à ces dames, à partir d’un certain âge, il ne vous restera donc plus que les fêlées, ou celles qui se seront déjà faites engrossées, incapables de s’entendre avec un homme. Comme la deuxième catégorie est moins dangereuse à l’usage que la première, vous opterez certainement pour elle. Vous êtes peut-être un de ces garçons élevé sans père, et qui trouvera chez ce genre de femme une nouvelle maman tyrannique, durant quelques heures, quelques jours, quelques semaines, chacun se satisfaisant de ses manques, et personne ne voyant le côté pitoyable de l’affaire. Vous participerez alors à la promotion de cette société de « mères célibataires » parce que trop immature ou trop puceau.
Mariage catholique ?
Si vous m’avez bien lu, vous comprendrez pourquoi dans ce cadre, le mariage catholique, indissoluble, soucieux des différences de chacun, de l’autorité masculine, de la protection de la femme, de ses cycles naturels de conception, promouvant la fidélité de tous, loin d’être ringard, est à la pointe du respect de chacun, et représente le meilleur compromis possible entre hommes et femmes.
Si vous êtes un adolescent boutonneux, puceau et totalement idiot, tel que je l’ai été, vous savez donc ce qu’il vous reste à faire pour réussir votre vie, pour ne pas finir avec une de ces femmes : cultiver de vraies valeurs, et trouver une femme qui aura mis en oeuvre un travail d’élévation morale dans son quotidien, à l’identique du vôtre. En tout état de cause, il vaudra mieux pour vous rester puceau qu’être mal accompagné.
A bon entendeur !
1 Observatoire des inégalités en 2011, Familles monoparentales et pauvreté.
2 Terra femina, mars 2011, Familles monoparentales les nouvelles pauvres.
3 Wikipédia du 10/09/2013, 83% des SDFs sont des hommes.
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