Un homme sur deux, agresseur. Pour appuyer un tel propos, Caroline de Haas se base sur les déclarations mensongères d’études statistiques qui mélangent tout et se contredisent entre elles. Dans son esprit, la domination masculine explique l’oppression de tout un peuple, celui des femmes, en fait la sienne. Que dans 30% des cas avérés, le pédophile soit un homme à pulsions homosexuelles qui s’en prend à un petit garçon, ce fait, n’entre pas dans le cadre du raisonnement haineux qu’elle développe. Il faudrait que pour cela, elle s’explique comment des hommes peuvent vouloir s’en prendre à d’autres hommes, et en proportion beaucoup plus importante que sur les femmes. Mais voilà, elle défend bien mal la cause pour laquelle le système médiatique l’a promue. Sa haine propage dans la société la haine, une haine contre laquelle même les gauchistes doivent se défendre.
Pour comprendre notre société, il faut se départir de tout féminisme. Exit donc la domination patriarcale, les vues féminines partisanes, la haine. Revenons-en aux faits.
Tout d’abord, les chiffres policiers montrent un certain nombre d’agressions sexuelles sur les femmes et sur les hommes. Ces chiffres sont en hausse d’années en années si bien qu’une bonne partie des prisonniers en 2000 (21%), voire une majorité comme à Fresne (54%) ont été condamnés pour des questions de mœurs (1). Si l’on suit la courbe des incarcérations pour des questions de mœurs, cette proportion doit être encore beaucoup plus grande aujourd’hui :
Le phénomène est vaste et d’ampleur. L’augmentation significative. Aucune impunité n’est de mise.
Dans le rapport sénatorial, l’explication est claire : ce serait parce que nos mœurs auraient changé. Notre société française dénoncerait plus facilement ces agressions. Or aucun élément factuel n’est avancé pour appuyer cette thèse. Par contre, cette explication facile montre combien notre société a du mal à se remettre en question : la démarche sénatoriale tend à évacuer les hypothèses qui dérangeraient les choix politiques qui ont été faits précédemment. Imprégné d’idéologie féministe, les membres de nos institutions ne peuvent admettre que la croyance à laquelle ils ont souscrit, a échoué. Il faut, au contraire, qu’ils saluent indirectement les éminents progrès qui ont été faits en matière de « prise de conscience » sociale, progrès fruit évident de leur travail.
Foin d’une prise de conscience, ils nourrissent le problème qu’ils dénoncent en refusant de voir la réalité pédophile et violente de notre France moderne. Ils refusent d’endosser la responsabilité qui est la leur, sous prétexte d’avoir fait ce que demandaient les féministes (financement des associations, campagnes de propagandes, rééducation des élèves, promotion du divorce, système allocatif déresponsabilisant etc…). A l’inverse, admettons enfin que notre société est devenue plus agressive en matière sexuelle et essayons de comprendre pourquoi pour trouver des remèdes à un problème qui prend de l’ampleur malgré une répression féroce de la part de la justice féminisée.
Pour cela, il faut sortir d’une autre confusion. La différence entre les condamnations et les déclarations des femmes sont très différentes (de 1 à 100). Etude après étude, ces déclarations sont de plus en plus importantes. L’hypothèse d’une société de plus en plus violente en est encore renforcée. Mais revenons à cet écart dissonant en lui-même. Au lieu de l’étudier comme d’une volonté éhonté de la police de ne pas prendre les plaintes, police qui prend même en compte les fausses accusations sans jamais que la justice ne les sanctionne, il faudrait peut-être observer ce phénomène en tant que tel :
1ère idée : les femmes souffriraient d’une dégradation de leurs conditions de vie, jusqu’à assimiler cette dégradation à des formes d’agressions qui ne seraient pas caractérisées. Elles exprimeraient ainsi leur mécontentement par des ressentis sécuritaires qui n’auraient pas à les confronter à la réalité de ce qu’elles ont vécu. En des termes plus clairs, mieux respectées avant, elles regretteraient les évolutions sociales actuelles. La criminalisation des mauvaises manières répondrait ainsi à la revendication d’obtenir des hommes ce qu’elles auraient perdu : la galanterie. Mais pas seulement.
2ème idée : Un certain nombre d’actes consentis, ne le seraient plus en tant que tel. Comme avant, les femmes ne sauraient pas toujours dire « oui » ou « non », mais à l’inverse des temps passés, leur indécision serait toujours plus vécue comme un « non ». Le « libération sexuelle » aurait donc plutôt abouti à une libéralisation sexuelle qu’à un épanouissement des corps, libéralisation synonyme de contractualisation des échanges entre hommes et femmes en matière de sexe, d’où naîtrait toute cette statistique frauduleuse qui voudrait faire aboutir une nouvelle ère rassurante pour ces dames.
3ème idée : le climat serait devenu plus violent envers les femmes, les enfants, ce à quoi la société du divorce devait forcément aboutir. Car ce ressenti ne peut pas être entièrement faux ce qui m’amène à me poser la question des dégradations réelles des conditions sociales en France : et si nous avions dégénéré ? Et si le sentiment pédophile s’était répandu comme d’une traînée de poudre, sentiment pédophile qui cacherait un autre phénomène : celui plus large des agressions sexuelles envers les femmes et aussi, envers les hommes ? Et si Caroline de Haas, malgré toute sa haine mal contenue, avait raison ?
Comme le précise Caroline de Haas, la majorité des agressions sexuelles sont commises dans un cadre familial. Et il est un fait que les agressions dans les familles non biologiques sont beaucoup plus importantes que dans les familles constituées de papa et de maman. Or c’est justement ce genre de famille qui a été promu par les lois sur le divorce de ces dernières décennies, ou avec les unions de duos homosexuels. Les agressions ont donc forcément augmenté au fur et à mesure de la libéralisation de notre société. Y-a-t-il un homme sur deux qui est un agresseur sexuel ? Je ne le crois pas. En tout cas, la terminologie est bien impropre.
Par nature, nous sommes tous, hommes et femmes, des agresseurs sexuels. Parfois nous profitons d’un partenaire à qui nous avons menti, parfois nous forçons son consentement, enfin nous pouvons nous opposer frontalement à son libre arbitre. Voilà l’envers du désir qui propage la violence selon une intensité qui est propre à chaque personne. Tout est une question de degré. La loi ne punit que le dernier stade de passage à l’acte. Heureusement, sinon, nous finirions tous en prison, ce qui a d’ailleurs provoqué la levée de bouclier contre Caroline de Haas, contre sa manière caricaturale de poser le problème. La tromperie en matière sentimentale, l’ambiguïté ne peuvent être sanctionnés que par un dogme religieux qui sait très bien que la culpabilité augmente le trouble si celle-ci n’est pas traitée. Le féminisme n’entre pas dans ce cadre. Pour bien s’en convaincre, il aurait suffi de prendre au sérieux notre féministe et de lui poser cette question : « Vous pensez qu’un homme sur deux est un agresseur sexuel, alors comment faudrait-il faire pour régler le problème ? ». Elle aurait certainement répondu comme toutes les autres fois et toutes les autres féministes avant elle : « augmentation du nombre de sanctions, de la durée des peines, mais surtout rééducation des enfants ». Ainsi aurait-elle avoué qu’il fallait en passer par un écrasement des hommes en les culpabilisant de leur infantilité, pour progresser. Cette habituelle méthode des féministes, loin d’apporter des solutions à la pédophilie ou aux agressions sexuelles des humains, est à la source de l’immaturité actuelle des hommes, de leur propension à la pédophilie.
La caricature veut que le pédophile soit un monstre, dont « la société devrait se débarrasser » selon certains, à qui « l’on devrait couper les couilles » selon d’autres, qui justifierait le retour de la peine de mort pour les plus miséricordieux. Toucher à l’enfance, serait un tabou ultime dans notre société, car l’enfant est sacré. Cette sacralité cache mal une attirance toute féminine qui n’est que le revers du sentiment pédophile. A une autre époque, ou dans d’autres société, encore actuellement, les enfants étaient quantité négligeable. Ils étaient abandonnés dans les rues, travailleurs exploités. Aujourd’hui, beaucoup de fantasmes circulent autour d’eux. L’enfant est devenu l’objet rare que beaucoup disent vouloir protéger alors qu’ils veulent seulement se les approprier.
Le sentiment pédophile n’est donc pas un sentiment qui est propre aux pédophiles qui passent à l’acte. Ces derniers ne servent que de repoussoir à une idée qui attire nombre de nos contemporains : s’approprier des êtres humains et donc, les violenter. Nous vivons dans un bain de fantasmes autour des enfants, de leur pureté, qu’ils sont l’avenir de notre société qui a échoué, qu’ils ne peuvent pas mentir ni faire de mal. Ces idées maternelles délirantes étaient pour le moins contenues par les pères et leur éducation. Depuis que les pères sont devenus de secondes mères, tout a changé. A la première génération, l’homme n’a plus eu de place dans sa famille. A la deuxième, l’image de l’homme s’étant effacée et les exemples positifs n’existant plus, le père a été de facto soupçonné de ce dont les mères redoutaient d’elles-mêmes : la fusion avec leur enfant.
En effet, l’homme moderne qui joue aux secondes mères comme la société pédophile le lui demande, n’est pas très rassurant. Au contraire, cet homme pédophilisé, qui se comporte comme une petite femme en soutien à l’idée féministe d’indépendance des femmes, engendre la peur des hommes et leur rejet. Car loin de permettre à la femme de se confronter à une altérité rédemptrice, il renforce ses peurs et ses divagations.
Dans un second temps, le rejet des hommes perd les enfants quant à leurs relations aux adultes. Ces derniers vont souvent tâtonner pour savoir ce qu’est l’amour et parfois le chercher de la manière la plus inappropriée qui soit, car ils ne peuvent savoir ce qu’est une manière appropriée. Le prédateur connaît bien ce trouble des enfants perdus. Il sait en abuser pour s’abuser lui-même et se dire que l’enfant, par son attitude, a adoubé la relation sexuelle avec un adulte, tandis qu’en son for intérieur, il souffrait d’une perte de repère totale.
Quant aux femmes, la plupart d’entre elles voient très bien que le danger, c’est le rapport fusionnel à l’enfant. Elisabeth Badinter va jusqu’à affirmer que la bonne mère est naturellement incestueuse et pédophile. Disons que la bonne mère est surtout amoureuse de son mari, qu’elle a conscience de ce danger et qu’elle n’a pas envie de sombrer dans un tel enfermement.
Si l’homme adopte ce même comportement fusionnel, si la société fait la promotion d’hommes féminisés, la femme sait d’instinct qu’elle ne peut compter que sur elle. Dans un premier temps, éprise de sa toute puissance, elle n’hésite pas à faire la promotion d’un tel homme dans sa jeunesse. Puis, engagée, elle découvre très vite le danger, un danger plus grand que celui du divorce, et elle le quitte. Cela ne veut pas dire qu’elle a réglé le problème, ni qu’elle en a conscience, mais tout simplement qu’elle n’a pas la solution et qu’elle la cherche de manière bien inappropriée, puisqu’elle retire sa confiance à la seule personne qui aurait pu l’aider : son mari. Le serpent se mord la queue. La femme veut un homme, mais en éduquant seule ses enfants, ou en ne donnant aucune réelle place à l’homme, elle fabrique de petits garçons toujours plus immatures incapables d’aimer une femme, potentiellement pédophiles, voire incestueux et violeurs. Elle fabrique des petites filles pour qui l’homme n’est rien, ou l’homme est tout, bref un homme irréel qui n’aura jamais une place équilibrée dans sa psyché et qui détruira ses enfants.
Voilà comment le sentiment pédophile s’est propagé dans notre société. Il n’y a pas forcément passage à l’acte, mais il y a volonté plus ou moins contenue d’abuser de ce qui est petit et sans défense, d’en revenir à l’enfance, de ne pas grandir. La libération des pulsions, le manque d’exemples paternels forts et légitimes, l’absence d’éducation dans une société confortable qui vit très bien sans, la ségrégation entre hommes et femmes, tout concourt à intensifier l’avilissement pédophile. L’image d’une enfance qui voudrait jouer aux adultes, regarde des adultes qui voudraient pouvoir se venger d’une enfance perdue. La barrière entre monde adulte et monde enfant, s’effondre. L’adulte en vient à plaquer sur l’enfant tous les fantasmes qu’il ne peut assouvir, l’enfant surjoue l’adulte, et la femme en vient à se méfier des hommes comme d’elle-même.
L’enfant, cette image de sacralité, est devenu l’objet de toutes les convoitises d’adultes en mal d’idéaux. Son corollaire, l’inceste, peut ainsi prospérer si ce n’est en actes, tout au moins dans les esprits. Le terme nouveau de « comportements incestuels » désigne bien cette tendance actuelle où il n’y a pas forcément passage à l’acte, mais une ambiance malsaine où rien n’est à sa place. Vu ce que je vois autour de moi, vu ce que je constate pour moi-même, vu les statistiques en matière d’abus, je crois que nous devrions admettre qu’il n’y a pas un homme sur deux agresseur sexuel, mais que nous sommes tous concernés hommes et femmes.
Le problème incestueux et pédophile est une caractéristique prégnante de notre époque. Caroline de Haas ne va donc pas assez loin dans sa dénonciation. Elle, qui vit particulièrement de confusion, devrait s’inclure dans l’équation, au lieu de la fuir. Hommes et femmes de nos sociétés ont favorisé les violences psychologiques de toutes natures. Ils ne devraient pas s’étonner de recevoir dans la tronche, la monnaie de la pièce du divorce, de la délégitimation des pères, de la toute puissance maternelle. Il n’est pas étonnant que le nouveau conjoint de maman abuse plus souvent de la petite dans des circonstances où les barrières naturelles se sont effacées. Ces statistiques nous montrent qu’en délégitimant le père, toutes les relations de couple en souffrent, et que les secondes unions sont généralement plus violentes que les premières. Car avec l’âge, beaucoup de femmes paniquent à l’idée de ne plus être désirées. Elles ont aussi pris conscience de l’importance de l’homme dans un foyer. Et elles sont plus susceptible d’accepter le n’importe quoi pour préserver leur nouveau cocon familial. Dans ce genre de cas, l’expérience a du mal à compenser les erreurs de toute une vie.
Caroline de Haas, en accusant presque tous les hommes d’être des agresseurs n’a pas entièrement tort. Personne n’est exempt de violence. Prendre en considération cette règle est à la base de toute éducation saine. Cependant quand elle attaque uniquement cette image des hommes au sein de la famille, elle alimente la machine pédophile. A chaque fois qu’elle cherche à abolir la « domination patriarcale », elle ne fait que renforcer un problème qu’elle dénonce. Le viol qu’elle a subi ne devrait pas lui servir d’excuse pour continuer dans cette voie, tout comme il ne devrait pas servir d’excuse aux journaux qui relaient ses provocations sans jamais offrir une contradiction sérieuse à de telles divagations.
Se prémunir de toute attitude pédophile, incestueuse, relative au viol, pour les personnes normales
Le prédateur qui passe à l’acte est au sommet d’une pyramide bien plus large qui se nourrit de nos renoncements.
Pour éviter de devenir pédophile ou de nourrir la pédophilie, l’inceste, le viol, la mère devra renoncer à ses fantasmes de toute puissance sur ses enfants. Le compagnon sera le socle indéboulonnable de son foyer. Il va sans dire qu’elle le choisira avec attention, mais que dès que ce choix aura été fait, elle devra en assumer toutes les conséquences quelque soient ses petits défauts.
L’homme devra prier pour porter un regard chaste sur ses/les enfants, c’est à dire un regard qui ne soit ni empli de dédain, ni d’avidité. Il devra chercher cet équilibre fragile tout en portant le deuil de cet héritage qu’il aurait voulu transmettre, car quelque soit sa bonne volonté à lui donner des principes supérieurs, l’enfant ne retiendra que ce qu’il veut. Tout au moins, ainsi devrait-on éduquer de futurs adultes qui agissent en conscience : en les obligeant à suivre des règles réfléchies, belles et bonnes, mais en leur laissant un espace de consentement.
Quant à l’enfant, il devra progressivement renoncer à son avidité, tout en acceptant la complexité de ce monde. Ainsi deviendra-t-il quelqu’un de humble, prompt à appréhender ses manquements, et à les dépasser.
La pédophilie, l’inceste, le viol nous concernent tous. Il y a un continuum de destruction auquel chacun de nous participe, à différents stades. Nous devons être certes, le gardien de nos frères, mais nous devons surtout être notre propre gardien. Le moindre geste pour renoncer au mal, à quelque niveau que ce soit, influence des centaines d’autres personnes en ce sens. La violence est un invariant de l’humanité contenue en chaque être humain. Pour la transformer en pulsion positive, il faut au moins avoir réussi à l’identifier puis se donner les moyens de la transcender pour atteindre un noble but. Et pourquoi pas, nous entraider pour sortir collectivement de cette société pédophile. Tel a été l’objet auquel ce présent article a voulu s’attacher.
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"PÉDOCRIMINALITÉ et PROSTITUTION : au cœur des RÉSEAUX - avec Maïté Lønne" VA du 16/11/2023.
Enfin un discours qui ne sombre pas dans l'hystérie.
"Un Français sur dix affirme avoir été victime d’inceste" Figaro du 19/11/2020.
Et mince, encore raté. La libération sexuelle ne nous a libéré de rien du tout. Au contraire probablement.
"Loi bioéthique : «Pour moi, un enfant désiré est un enfant heureux»" Libération du 02/02/2020.
Un enfant désiré par un pédékiraste est heureux ? Ils en sont encore là ?
"Des passants interpellent un pédophile présumé en compagnie d'une fillette" L'Express du 15/11/2019.
Voilà qui s'est fait avec caméra, sans violences et remise du suspect aux forces de l'ordre. Du travail propre.
"Une féministe trouve au cinéma français une tendance à la pédophilie et à la culture du viol" ER du 15/06/2019.
Aujourd'hui, il y a une tendance à assimiler la relation sexuelle entre deux personnes d'âge différent comme un acte pédékiraste, notamment dans les discours des jeunes garçons, qui veulent avoir accès au sexe sans être concurrencés par des hommes d'une classe d'âge plus expérimentée. Or cela n'a absolument rien à voir avec la pédékirastie. Par contre, que ce genre de confusion soit possible dans la bouche d'une femme, m'évoque un esprit qui vit dans l'inceste et qui donc, confond tout. Comme le suggère l'article, nous avons déjà bien assez à faire dans notre société, sans avoir à inventer des délits qui n'arrangent que la machine de propagande féministe (désirant supprimer toute forme d'ascendant mâle fantasmé sur une jeune fille).
"Église et pédophilie – La paille qui dissimule la poutre" MPI du 08/06/2019.
Accuser l'autre, c'est toujours plus facile que de se remettre en question.
"Abus sexuels : Benoît XVI enflamme la « cathosphère »", Le Point du 12/04/2019.
Comme Jean-Paul II. Toujours plus admirable alors qu'il se rapproche de la mort. Un grand merci.
""Une protection de plus pour les mineurs"" L'Express du 17/05/2018.
Loi sur le règlement des relations sexuelles des mineurs : soit notre pays est en train de sombrer, soit nous sommes en train d'entrer dans une forme de contrôle simiesque. Ou les deux bien entendu.
"Bertrand Cantat : Nadine Trintignant évoque son retour pour la première fois", Le Point du 12/03/2018.
Bien entendu, la maman de l'anorexique elle, n'a rien à se reprocher, bien entendu...
"Il faudrait qu'il arrête la chanson et qu'il devienne salarié dans une petite PME qui fabrique du papier toilette en province loin de l'effervescence des nuits parisiennes, qu'il ne soit plus artiste qu'il ne soit plus jamais adulé...Parce que certes il a payé mais pas assez, enfin je ne suis pas pour la peine de mort mais si il pouvait mourir je serai plus sereine."
Je pense que c'est ce qu'ils pensent tous...
Pauvre Bertrand Cantat fils d'une instit il partait déjà avec un sacré handicap dans la vie.
Certains veulent retirer le micro à Cantat. Mais ils ne demandent pas le retrait du port d'armes à la chasseuse assassin Jacqueline Sauvage. Un micro serait-il plus dangereux qu'un fusil ?
Avec ce texte, je viens d'être viré sans explications du forum Quintonic auquel je participais depuis 2 ans, et mon texte a été effacé. La liberté d'expression n'existe plus en France.
Vous devriez quand même leur demander des explications et entamer le dialogue. C'est la meilleure manière de militer.
Cantat et Trintignant c'était un vrai couple de chtarbés qui se sont battus si je ne dis pas de sottises loin de là l'image de la pauvre femme victime.
Léonidas:
Un humoriste a déclaré qu'on peut faire avouer n'importe quoi aux statistiques pourvu qu'on les torture suffisamment.
Un homme sur 2 serait harceleur selon Caroline ? Pourquoi pas violeur tant qu'on y est ? Et pourquoi pas TOUS ! Tout dépend de la définition... Déjà, celle-ci est non conforme à la constitution puisqu'elle introduit une discrimination légale envers les hommes en parlant de "pénétration" même si c'est la femme qui oblige l'homme à une relation forcée, par "parole, ruse, action ou surprise ..."
J'ai oui dire que Darmanin a porté plainte en diffamation contre celle qui l'accuse de viol par surprise. Avec Hulot, voilà 2 ministres d'un gouvernement pro féministe pris au piège féministe du Toujours Plus dans la Haine des hommes. Ce serait amusant, mais logique, qu'un gouvernement féministe d'un Etat féministe en arrive à dénoncer la surenchère permanente de celles-ci.
Cher Léonidas, vous me conseillez de demander des explications au forum Quintonic dont j'ai été expulsé. C'est impossible de dialoguer avec eux car mes tentatives de connection au site sont systématiquement rejetées. Celle qui gère le forum est féministe, elle avait mis un sujet sur la soi-disant différence de salaire de 15% homme/femme, je lui avais demandé si elle touchait 15% de moins que son collègue, aucune réponse evidemment, malgré une demande réitérée !
Alors disons que vous avez fait votre maximum !