Vous vous rappelez de cet homme politique poursuivi pour viol et agressions sexuelles parce qu’il avait massé les pieds de deux de ses anciennes employées. Le procureur demande que les charges soient abandonnées contre lui. Cependant, au détour de l’enquête, notre appareil judiciaire a fait des découvertes détonantes sur monsieur le maire Draveil et ces femmes qui l’entouraient.
En fait, les poursuivantes ont bénéficié d’embauches à la mairie avant d’essayer de se débarrasser du maire en portant plainte contre lui. L’une, dépressive, avec une relation particulière à l’alcool, s’est faite licencier de la mairie à la suite de comportements peu appropriés en public. L’autre a carrément détourné des fonds, a été licenciée pour cette faute grave. Elle était déjà connue pour de fausses accusations envers un élu (l’Express du 27/05/2011). Les deux femmes n’ont porté plainte qu’après avoir été licenciées… Du côté de Georges Tron, pas moins de 14 collaboratrices, uniquement des femmes ont reconnu s’être fait masser les pieds et plus si affinité ( Rue89 du 12/08/2011). Sans parler de celles qui ont profité de ses largesses sans qu’on en entende parler (Le Point du 30/07/2013).
M Tron n’embauchait que des femmes, aucun homme ne trouvant grâce à ses yeux. Le type même du chevalier maman politiquement moderne, mené par le bout de sa queue. Ce comportement si répandu chez tous ces hommes qui se disent féministes et qui ne voient que par les femmes, devrait être normalement poursuivi comme une atteinte sexiste envers les hommes. Et dans un pays équilibré, les femmes qui ont obtenu des postes ainsi devraient être licenciées et poursuivies pour prostitution. Que nenni. Dans notre beau pays, elles peuvent bénéficier du job en se faisant seulement tripoter les pieds puis certaines, quand on ne se plie pas à leurs quatre volontés, peuvent porter plainte pour agressions sexuelles contre celui qui les a embauchées juste après avoir été licenciées pour de justes raisons. On s’habitue vite au n’importe quoi quand on laisse place au discours féministe.
Des femmes qui veulent pouvoir baiser pleinement celui qu’elles laissent profiter de leurs pieds.
Ces pauvres femmes, dont une s’est faite embaucher parce qu’elle « vivait un divorce difficile », précédemment dépressive, avec un enfant de deux ans sur les bras, la pauvre, comme si le papa n’allait pas passer à la casserole pour essuyer son inconséquence, se sont faites tripoter la voûte plantaire pour décrocher des emplois qu’elles n’auraient même pas pu espérer dans leurs rêves les plus fous étant donné leurs qualifications, et ce sont celles-là qui portent plainte. Le pauvre type bien plus qualifié qu’elles et qui pour l’occasion, est resté sur le carreau à pôle emploi, n’aura pas eu son mot à dire dans cette histoire. Lui, il aurait certainement bien accepté une séance de réflexologie plantaire pour se faire embaucher. Mais à l’heure du mariage pour tous, M Tron, ce réactionnaire, n’aimait que les pieds de ces dames, raison pour laquelle il n’embaucha jamais que des femmes. Notre chômeur homme sera donc resté sur la liste des demandeurs d’emploi pour des questions discriminatoires et sans même le savoir. Combien sont-ils dans son cas ? En particulier dans les mairies qui fourmillent de femmes et où il est de notoriété publique que les maires hommes, se prennent pour les sultans du harem ? (aimeles du 08/01/2013)
M Tron a trouvé de nombreux profils pour céder à ses avances puis il est tombé sur plus folles que lui.
Dans cette histoire, la diversité des profils féminins interroge. Entre les pseudos fragiles, les intéressées, les flattées, elles sont légion, on en vient à se demander si M Tron a rencontré une seule femme honnête en 30 ans de carrière avant que deux d’entre elles ne portent plainte pour des raisons obscures. Car le grand déballage révèle certainement un côté pathétique et immature chez cet homme, voire contrôlant et manipulateur, mais qu’en est-il de toutes ces femmes dont il nous est fait la description ? Celle qui entraîne ses copines à passer sur le grill du patron. D’autres, conquises par le charisme de M Tron, qui se font troncater avant même d’être recrutées à la mairie, sans passer par la case réflexologie de l’entretien d’embauche, c’est plus sûr, dont une hôtesse de l’air généreusement remerciées par un poste à la ville dans l’urbanisme pour lui avoir fait monter ses pieds au ciel. Peut-être était-elle spécialement douée d’une architecture plantaire aux formes généreuses ? Et puis celles qui acceptaient de se faire masser les pieds en pleine réunion sous la table, je comprends la longueur de certaines d’entre elles maintenant. Et toutes les autres qui n’ont pas été en reste et qui ont fait cela gratuitement parce que « honorées d’avoir été remarquées par le chef » selon les propres termes d’une des directrices de service de la ville. La liste est longue. Finalement la moralité de nombreuses femmes françaises n’a pas tellement évolué depuis l’époque de M Brassens, et c’est bien dommage :
Il aura fallu que monsieur le maire ne soit plus si frais qu’en début de carrière pour tomber sur un os en la présence de ces deux récalcitrantes qui auront porté plainte par intérêt, en allant même jusqu’à se servir des rivalités politiques entre UMP et Front National pour arriver à leurs fins, puisque c’est Me Collard, qui aura défendu l’une d’entre elles en tant qu’avocat. Si M Tron n’a pas été victime d’une cabale de la part du Front National, il faudra tout de même souligner la maladresse du parti de droite national qui aura mélangé les genres à l’occasion et de manière un peu grossière à mon goût. Il faudra aussi que cette noble institution politique envisage peut-être l’idée que défendre la veuve et l’orphelin en toutes occasions, n’est pas forcément un gage d’intelligence et de moralité. En l’occurrence, rien ne peut remplacer dans un pays les bonnes moeurs individuelles, ni un parti, ni des lois, ni un homme qui se prendrait pour le coq de la basse cour, sauveur de ces dames, qu’il soit à la tête de la ville de Draveil et qu’il prodigue des soins plantureux ou en haut de l’organigramme de la droite nationale et qu’il se charge de leur défense juridique. Si tous, ils veulent trouver des femmes victimes pour se faire mousser dans leur intimité ou sur la scène publique, ils devront bientôt aller les chercher très loin tant cette espèce est menacée d’extinction, et surtout vérifier le pedigree des donzelles qui de plus en plus souvent n’ont de victime que le nom, tandis qu’elles profitent plus généralement, de leur entourage masculin bête et naïf.
Pour de vraies poursuites envers M Tron.
Le seul moyen de condamner M Tron serait de le juger pour ce qu’il a fait : discrimination à l’embauche. Mais entre les féministes qui détiennent le pouvoir médiatique, et ces nombreuses femmes ou ces quelques hommes de pouvoir qui bénéficient de ces promotions canapé, nous sommes si loin de pouvoir faire évoluer les mentalités françaises ou d’en avoir les moyens politiques que j’ai bien peur qu’il faille repousser cette idée à bien longtemps.
Dans cette guerre d’influence entre hommes politiques féminisés et féministes, là où les revendications politiques de ces dernières prennent un tour plus sombre, c’est lorsque l’avocate d’une des filles, arguant de la loi du 08 février 2010 sur l’inceste qui pourtant ne semble pas comporter de telles dispositions, émet l’idée que M Tron aurait dû faire la preuve de son innocence et non se contenter de se défendre des preuves qui étaient avancées à son encontre. Cette revendication féministe qui réapparaît régulièrement ces derniers temps concernant les affaires de moeurs, tendrait à transformer le régime accusatoire à la française d’un système où on doit prouver ses accusations, vers un système où on devrait prouver qu’on est innocent. Quand on voit le pedigree des accusatrices en présence, le moins que l’on puisse dire, est que généraliser ce système accusatoire ne serait pas sans conséquences. Les fausses accusations jamais sanctionnées en France, qui sont déjà très nombreuses, prendraient alors un tour catastrophique si cette revendication féministe était suivie d’effet dans nos lois. Après la dénaturation du mariage, ce serait un autre tsunami juridique. A surveiller.
Conclusion.
Que dire d’un pays où M Le Maire s’adonne à la réflexologie sur ses employées, ou des femmes se laissent caresser les pieds soi disant de manière innocente, beaucoup d’entre elles étant en couple ou mariées, pour mieux se faire baiser et embaucher par la suite, où les promotions canapé se sont généralisées, sinon affirmer qu’il est devenu un immense lupanar à ciel ouvert au profit de nombreuses femmes et de quelques coqs issus d’un système féminisé toujours plus immoral. L’arbre de la domination patriarcale de quelques uns, cache la forêt du féminisme triomphant d’une majorité de femmes, tandis que de nombreux hommes eux sont surtout réduits à l’état d’esclaves fiscaux et familiaux. Les Georges Tron, protégés par des réseaux occultes, petits élus vénaux, ministres déchus pour des questions de moralité, ne sont que l’endroit de la médaille féministe. D’un côté, la domination de la femme sur la société, de l’autre, quelques représentants hommes féminisés pour faire le sale boulot. Et nous, tout en bas.
Information complémentaire :Le Parisien du 06/05/2013 sur les pressions qui auraient été exercées par M Tron.
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