Balayés les Gollnischs. Balayés les Assanges. Balayés tous les éléphants du PS. Tout cela en une semaine.
Pendant ce temps, les hommes politiques, les journalistes spécialisés continuent à blablater sur les différentes influences aux seins des appareils de pouvoir. Pourquoi continuent-ils à ignorer ceux qui prennent les vraies décisions en France et dans le monde ? Pourquoi continuent-ils à ignorer le pouvoir des féministes ? Eux-aussi, auraient-ils peur d’elles ? Serions-nous arrivés à un tel point, dans ce milieu ultra-féminisé, que même les journalistes les plus chevronnés et honnêtes ne seraient plus capables d’exercer leur libre pensée et balaieraient la question en la sous-estimant pour conserver leurs illusions (ou leurs intérêts) ?
Si les journalistes officiels ne le font pas et bien moi, je m’en donne le droit: jouant le jeu du pouvoir, s’alliant quand il faut pour exercer leur domination, les féministes imposent leurs vues, tout en donnant l’apparence d’un courant niais et « qui ne veut pas y toucher ».
Pauvre Gollnisch. Pauvre petit Gollnisch. Balayé sans même avoir pu combattre, lui l’homme cultivé et expérimenté du front national. Balayé par une opinion publique féministe et des statistiques. Balayé par l’inconscient collectif, sans que Marine n’ait eu à se défendre. Contre qui peut-il se retourner ? C’est l’arme extraordinaire des féministes : balayer les gens sans avoir eu à afficher leur sexisme anti-hommes, leur fondamentale misandrie.
Tout l’appareil du PS a été, lui-aussi, obligé de plier. Ségolène Royal y était minoritaire, mal perçue dans son travail en 2007. Mais les statistiques étaient là. Aujourd’hui M Strauss Kahn a compris qu’il devrait se résigner au rôle de second couteau. Il en sera de même pour M Gollnisch. Cette image publique dont toutes les femmes, encore aujourd’hui, nous disent souffrir, cette image publique dont elles se servent pour monter dans les institutions en dehors de toute compétence, elles s’en plaignent… tout en en profitant. Si on ne les choisit pas, on se met à dos l’opinion publique. Si on les choisit, elles déclarent qu’elles ont réussi, malgré le machisme de la société. Vous pouvez faire tout ce que vous voudrez, elles seront toujours gagnantes, toutes ces incompétentes, tant que vous ne prendrez pas le problème de front. Et ce problème c’est le féminisme.
Aujourd’hui, les femmes employées par notre société ne sont pas choisies sur leurs compétences. Elles sont choisies sur leur image publique vendeuse, ne reculant devant aucune prostitution. Elles se pomponnent pour garder une image fallacieuse de séduction, nous dénigrant en sous-entendant régulièrement que nous nous croyons supérieurs pendant que disent-elles, nous ne sommes pas grand chose. Elles disent valoir tout autant que nous, et même mieux, que tous les vaniteux que nous sommes (Tiens! Sur ce point, cette publicité de windows phone que je suis en train de voir pendant que j’écris, est un résumé saisissant de notre incompétence d’hommes (un homme qui n’y connaît rien en matière de tél, se fait éjecter par les femmes dans une file d’attente). Elles rejettent nos critiques envers leur sexe du seul argument que ces critiques seraient réactionnaires. Mais où ont-elles été prendre que nous étions vaniteux, comment nous imaginent-elles sinon comme des monstres dont elles cultivent l’image pour s’en servir comme d’un repoussoir et grimper de manière plus rapide et réellement injuste dans la hiérarchie de toutes les institutions, éliminant la présence du moindre homme dans certains corps de métiers (sauf des hommes soumis à leur doctrine (parfois c’est effrayant d’entendre parler un Arnaud Montebourg ou un Jean-François Copé)) ?
C’est vrai, de nombreux hommes ont un sentiment d’aversion pour ces femmes, réellement. Mais pas parce qu’elles sont des femmes, mais plutôt par les moyens dont elles se sont servies pour arriver au pouvoir. Seulement il nous est interdit d’en parler dans les médias traditionnels au risque de passer pour misogynes, ni de nous regrouper au risque de donner l’image de conspirateurs. Le danger actuel de notre démocratie, ce n’est pas la prétendue phallocratie d’hommes effrayés par l’idée seule d’avoir une pensée autonome de celle de féministes, ce n’est pas le front national jugé fasciste et raciste qu’on tient comme cela à distance du pouvoir, ce n’est pas le chômage qui n’est qu’une conséquence, ou bien les grands financiers qui défendent depuis toujours leurs petits intérêts, mais la médiocratie qui s’est installée durablement en France et pas seulement dans le corps politique, et ceci à cause de nos féministes. Notre société se médiocrise, et cela correspond, malheureusement je dois le dire, en grande partie à l’arrivée des femmes dans certains corps de métier. Au début en montrant patte blanche puis en s’auto-proclamant meilleures que les hommes de par leurs qualités et enfin en étouffant tout autre manière de faire au profit de leurs propres intérêts, elles ont vampirisé certains secteurs cibles uns à uns, jusqu’à ce qu’il n’y ait presque plus d’hommes dans nombre d’entre eux. S’il en est d’un sexisme qui existe, c’est bien de celui de nombreuses femmes envers les hommes.
Nos derniers hommes politiques, ces rois nus, se gargarisent de leur pouvoir tandis que les femmes ont conquis les esprits. Dans ce jeu sans gagnant, il faut relever le pitoyable ridicule des femmes qui s’opposent à Marine Le Pen, prises à leur propre piège (là je suis en train de regarder les quatre femmes analystes ou politiques invitées au journal de 13h de France 2). Eh oui, le Front National, l’ennemi maudis, qui utilise les mêmes recettes que les bobos féministes pour gagner le pouvoir, ça n’était pas prévu et ça pose un cas de conscience aux féministes de tous bords, non ? Soit on attaque cette femme au risque de faire s’effondrer toutes les belles illusions politiques montées par les féministes sur l’idéalisation des femmes, ou bien il faut la laisser conquérir le pouvoir ? Difficile de choisir. Qu’elles soient journalistes à France Inter, femmes politiques de l’UMP et du PS, il faut les voir se roidir quand on évoque cette diablesse de Marine. Mais ce sont des femmes intelligentes malgré leur féminisme, et du ridicule, elles sont passées à la mesquinerie en mettant en oeuvre une solution efficace de contournement : il faut assimiler la fille au père, la réduire au père, et l’enfermer dans cette image. Ainsi, ce n’est pas une femme qu’on attaque, mais une pauvre inconsciente qui s’est faite manipulée par son papa. Ainsi, on détruit, et l’ennemi politique, et la femme, tout en maintenant une idéalisation de la société féminisée.Cerise sur le gâteau, l’image du père est encore écornée. On enlève son image de mentor à Jean-Marie Le Pen, positive, pour le réduire à celui d’un manipulateur pervers raciste etc… Deuxième attaque: elle a ce genre d’idées, parce qu’elle n’est pas une femme (revoyez la précédente émission sus-mentionnée), « une voix rauque qui se masculinise de plus en plus à l’image de son père ». Bref deuxième stratégie : l’exclure du cercle VIP des femmes. Quel totalitarisme de la part de gens de gauche qui exigeraient le droit à la différence en d’autres circonstances. A travers Marine Le Pen, ce sont aussi toutes les filles soutenues par leur père qui sont attaquées, soupçonnées insidieusement d’être des traîtres à la cause.
Nous ne pouvons cautionner un tel sectarisme!
Aux hommes idéalistes qui sont attirés par la politique: arrêtez tout de suite! Vous perdez votre temps et votre énergie dans des combats inutiles. Ce pouvoir n’en est plus un. C’est un organe dévirilisé, non pas par les femmes, je n’ai pas une once de misogynie, mais par l’idéologie féministe qui se vit comme une idéologie misandre et qui édicte ses règles à notre société. Le combat est ailleurs, le combat est ici.
Prenez le maquis si vous trouvez un endroit propice ou rejoignez-nous, car désormais, victimes des principales discriminations en France, les hommes devront apprendre à survivre dans un monde féminisé qui en fera tôt ou tard, des dégénérés. Étant donné que vous ne pouvez pas tomber enceinte pour vivre au crochet de l’Etat tout en envoyant plus tard vos délinquants dans la société, les emplois dans la haute-finance étant en nombre très limité, et ceux d’artisans devant, à terme, connaître également cette féminisation, je vous conseille la prière. Il ne vous restera plus que cela quand les incompétentes auront investi tous les postes politiques, mais surtout quand elles auront annexé vos esprits.
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