Nous n’en sommes pas arrivés là sans en passer par quelques étapes intermédiaires.
Le contexte 1993
Au début des années 80, il y a eu le « Papa poule » (80-82) marocain un peu pédé chargé de nous vendre la décomposition familiale.
En provenance des usa, nous avons eu tout d’abord la famille démocrate monoparentale masculine accueillant de pov’ petits nègres abandonnés (« Arnold et Willy », 1978), puis la famille nègre tout court bien sous tous rapports mais dont l’acteur principal a fini par être condamné pour viols et agressions sexuelles (« Cosby show », 84-92) et qui fréquentait assidûment les putes.
En parallèle nous avons eu le jardinier qui épousait la riche working girl et dont les enfants d’unions différentes s’entendaient à merveille (« Madame est servie », 1984). Nous en sommes alors au début des années 90, et il faut passer à la vitesse supérieure.
Déjà quelques bugs se font jour. Pour coller à la réalité, les auteurs de séries nous dépeignent une situation qui n’est pas si brillante qu’elle aurait dû l’être. Ally Mc Beal (1997) est certes une working girl efficace, mais qui vit dans le monde des licornes et qui n’arrive ni à fonder famille, ni à trouver de partenaire. Dans « Friends » (1994), une bande d’adultes immatures vit ensemble pour économiser sur les loyers newyorkais sans parvenir à avoir d’enfants ou dans des conditions déplorables. Dans la série « Urgences » (94-2009), hommes et femmes n’ont du temps que pour leur travail. Entre 85 et 89, la série « Clair de lune », nous raconte les accrocs rocambolesques d’une patronne avec son subalterne.
Nous n’en sommes plus en 1976 avec « Drôles de dames » ou en 1961 avec « Chapeau melon et bottes de cuir », dans lesquels hommes et femmes coopéraient sous la direction de mâles intelligences avec réussite et dans la concorde. Le rêve s’affronte à la réalité. Les scénaristes doivent faire avec. Ils s’échapperont parfois dans le fantastique le plus complet (« Buffy » 97-2001, « Angel » 2001-2005) pour mieux nous faire accepter les réalités, dures, de ce nouveau monde. Même les films de propagande pure doivent s’adapter. « Docteur Quinn, femme médecin » (1993) va prendre la suite de son père, non sans difficultés. Mais elle finira pas s’intégrer au village, ne vous inquiétez pas, et même par se marier avec le bellâtre iroquois ayant toute l’allure d’un seconde ligne aryen.
Voilà le contexte au milieu duquel « Implacable » (1993) est conçu, un monument de propagande féministe pour spectateurs qui veulent y croire, et adapté à son époque. Les femmes n’ont pas encore investi tous les secteurs propres aux hommes, et il faut les encourager à y aller la fleur au fusil (les plus fragiles), tout en rassurant les quelques dernières réticences masculines.
Synopsis
Ca va pas être facile pour la jeune recrue policière féminine Charlotte Heller, avec ce vieux baroudeur de Harris Stone (au coeur de pierre certainement), mais elle a du répondant. Alors Charlie va-t-elle réussir à faire sa place ? Est-elle à la hauteur ? Saura-t-elle déjouer tous les a priori rétrogrades concernant l’entrée des femmes dans la police ? En tous cas, elle a des arguments à faire valoir.
Déroulé
Harris, comme tous les machos, est douillet. Sa femme (forte) lui enlève les éclats de balles de la peau malgré ses lamentations :
Harris a aussi un patron négro caractériel, comme tous les blancs de l’époque qui se respectent dans les films (Starsky et Hutch, 21 jump street etc.), et son boss veut lui refiler la dernière recrue en date malgré ses récriminations. Harris souhaite qu’elle ne soit pas trop remuante pour finir sa carrière en beauté. Heureusement, la nouvelle recrue est une femme, ça ne devrait pas être trop dur :
Mais voilà que les méchants attaquent les gentils et ce tout nouveau couple de policiers d’intervenir pour sauver les brebis innocentes. Harris est surpris par les jeu de jambes de sa partenaire :
Ancienne commando des marines, Charlotte a passé les examens haut la main, évidemment sans être favorisée. Seulement, elle était trop agressive et ils ont fini par la recaler. Sûrement l’excès de testo. Et là, elle se fait jeter pour la même raison. Pourtant, depuis qu’elle est petite fille, elle rêve de devenir femme au foyer et de dorloter des enfants, flic. Et elle « n’est bonne qu’à ça ». Il va bien falloir que des hommes lui fassent une place ?
A noter que miss boobs, malgré toutes ses qualités gymniques, n’a pas réussi à trouver de compagnon. Harris l’invite quand même à manger chez lui sans prévenir sa femme. « Honni soit qui mal y pense »
Par le plus grand des hasards (typique du nanard), lors de l’inauguration d’un centre commercial, Harris, en compagnie de Charlie, s’aperçoit qu’un groupe de fascistes ultra réactionnaires d’estrème droate (« ils prônent la suprématie des blancs tu vois le genre… » dixit Harris), rôde dans le coin.
Harris veut prévenir les autorités, mais personne ne l’écoute. Elles refusent d’envisager leur propre incompétence (un nanard doit respecter certaines règles de vraisemblance) et il se fait expulser de l’inauguration.
A l’intérieur, la prise d’otage commence.
A l’extérieur, toujours la même couardise : « Je dois en référer aux autorités supérieures pour intervenir ». Harris prend le taureau par les cornes « Qu’on m’enterre dans le jardin à côté du chien ! »
A l’intérieur miss Boobs se fait passer pour une croqueuse de diamants pour éviter que des otages soient sacrifiés. Il faut entretenir les phallocrates dans leur imaginaire faux concernant la vénalité de certaines femmes. La belle résiste, mais elle doit être soumise ! Quitte à la faire remigrer en kouisine ! Seulement, la cuisine, c’est le territoire historique des femmes, et elle ne va pas se laisser déloger comme ça.
« Go, on va pas se laisser faire par une femme ! »
« Elle ne peut pas être flic, elle se bat beaucoup trop bien ! »
Le gamin : « Y-en a plein qui ont plus de mamans, j’ai repris le dessus »
La sénatrice auxiliaire prend la situation en main alors que le sénateur titulaire se dégonfle.
Le chevalier servant sert encore à quelque chose, il vient sauver Charlie.
« T’es le meilleur équipier que j’ai jamais eu ! » dixit le macho, finalement convaincu. D’ailleurs Charlie a une idée pour les sauver tous les deux !
Charlie tire dans la barrière de défense pour permettre aux forces de l’ordre d’entrer..
Quelques dialogues qui valent leur pesant de robes à fleurs. Scène final avec le méga boss super méchant d’estrème droate machiavélique :
« Je rêve de vous flanquer une correction ! Déposez les armes et en garde !
– Vous croyez avoir une chance contre moi ?
– Vous êtes une petite insolente, cela mérite une fessée ! »
« Je le savais, vous n’êtes qu’un séducteur ! »
Le méchant terroriste essaie de gagner en trichant, mais Harris finit le travail et sauve une deuxième fois la princesse. Puisqu’on vous dit que l’arrivée des femmes va valoriser même les hommes !
« C’est vrai que je suis beaucoup trop agressive. »
« J’ai cru bon de vous rendre vos plaques » (devant madame la sénatrice bien évidemment. Ca regonfle l’ego de tout le monde) :
« Vous allez être drôlement fiers de votre fille » (en arrière plan, Harris et sa femme, enlacés et heureux)
Analyse
« Implacable », a plusieurs significations en français : celle qui ne peut être quittée (que l’on ne peut plaquer), celle qui ne peut pas être abattue au sol (plaquée), celle qui est intraitable et qui a donc du caractère. Un panel de qualités morales dont les femmes se sentent parfois dépourvues ou/et qu’elles recherchent avidement. En anglais, c’est « force irrésistible », qui encourage tout autant les complexes de castration mal résolus chez ces dames. Car dès le titre, ce film cible un public de femmes mal dans leur peau, celles qui se voudraient fortes et irrésistibles, qui ne se sentent donc pas ainsi, et qui cherchent des modèles neufs pour pouvoir s’intégrer dans un monde traditionnellement masculin dont les codes leur échappent. Ainsi vont-elles espérer pouvoir s’identifier à cette héroïne forte qui reste féminine dans la forme, tout en semblant faire jeu égal avec les hommes aussi bien physiquement que psychiquement.
Dans ce cadre, l’acteur Stacy Keach qui a joué « Mike Hammer » (1984) a été recruté à profit pour donner la réplique à la belle. Grâce à son physique et ses attitudes, Mike le marteau est la caricature du vieux célibataire endurci séducteur de ces dames. Sorte de père idéalisé, Charlie est chargée de le convertir à l’entrée du sexe faible dans la police, lui et tous les spectateurs en vérité. Charlie, modèle de réussite au féminin (cette marotte féministe qui commence à dater), va exploser le plafont de verre dans la police. Quant aux hommes, il faut leur garantir que les femmes seront capables de faire le travail aussi bien qu’un homme et qu’ils pourront toujours être ce qu’ils sont. Pour ce faire, en 1993 :
_ L’homme est encore autorisé à avoir des propos machos. La femme a autant d’humour que lui, et même un humour en dessous de la ceinture.
« On se la joue avec les menottes, tu peux pas savoir comme c’est bon ! » (13ème minute)
La mixité professionnelle ne va donc rien changer à la culture masculine, tout au moins dans les films de cette époque. Dans le monde réel, la venue des femmes s’est traduite en fermetures des salles de garde dans le milieu de la médecine, et plus généralement en dénonciation pour harcèlement au moindre propos déplacé. L’écart est gigantesque. Pour le comprendre, il suffit d’ailleurs de se pencher sur les répliques de ce brûlot féministe qui seraient désormais considérées comme inacceptables, voire amendables en france, alors qu’à l’époque, elles servent de contre-point au récit général pour dénoncer la pensée masculine « machiste » :
_ La femme va pouvoir se réaliser dans un métier d’homme. Il faut faire rêver les femmes en leur disant que certaines « sont faites pour ça » et que leurs parents seront très fiers d’elle si elles prennent ce chemin. Dans le monde réel, beaucoup de femmes se sont cassées les dents dans des orientations qui ne leur convenaient pas et avec une image faussée des milieux professionnels qu’elles investissaient.
_ La femme va rester une femme. Bien entendu, les producteurs n’ont pas choisi un laideron pour endosser le rôle. Elle reste féminine, et garde son instinct maternel avec les enfants. En somme, même si elle avoue ne savoir faire que ça (policier), elle sait tout faire, elle est capable de tout. Dans le monde réel, presque aucune femme ne sera capable de mener de front son insertion professionnelle et une réussite familiale. Cette dualité favorisera l’augmentation du nombre de divorces. Les naïves ne réussiront ni leur vie professionnelle ni leur vie familiale. Et comble, elles s’enlaidiront souvent en se masculinisant presque physiquement pour coller aux besoins du boulot (voir les instits).
_ Une femme est aussi forte physiquement qu’un homme. Dans le monde réel, une femme de 50 kg mouillée se fait systématiquement exploser la tronche face à un homme. Elles doivent rester en arrière lorsqu’il y a du grabuge durant une intervention policière. Elles doivent être outrageusement avantagées dans les sélections sportives pour être recrutées sur des critères « adaptés » par rapport aux hommes. Pour favoriser leur intégration, elles sont considérées comme des sous-hommes, et les hommes sont quant à eux discriminés. Et quand la vie du groupe est en jeu, bizarrement, il n’y a plus que des hommes dans les groupes de combat.
_ Il n’y a pas d’ambiguïté sexuelle entre collègues et pas de jalousie des épouses de flics. Notre macho l’invite à manger chez maman sans que cela ne pose problème. Dans le monde réel, la compétition sexuelle va faire rage dans les milieux mixtes, et les femmes vont dénoncer les hommes pour viol/harcèlement à tort ou à raison, pour ne pas être dérangées, ou pour profiter d’une promotion.
_ La société attend les femmes dans des métiers d’hommes, malgré les difficultés. Là, ce fut assez vrai. Il n’y a eu que très peu de résistance à la venue des femmes dans les milieux masculins. Elles ont pu investir tous les métiers à l’exception de ceux qu’elles détestaient parce qu’ils ne les valorisaient pas assez (poubelles/Btp).
_ Les femmes sont aussi, voire plus compétentes que les hommes (couardise du sénateur et prise en main de la situation par son adjointe). Dans le monde réel, tous les métiers féminisés sombrent. Cette règle ne souffre à l’heure actuelle d’aucune exception, sauf celui de sage-femme peut-être. Cette image délirante de l’intégration des femmes sur le marché du travail est complètement à l’opposé de la réalité.
_ Les hommes auront toujours leur place quand les femmes investiront un secteur. Ils seront même valorisés par l’arrivée de jolies femmes prêtes à tout pour collaborer avec eux ! Dans le monde réel, en plus de perdre leur culture, les hommes ont été expulsés manu militari des milieux féminisés. La féminisation débouche systématiquement sur une féminisation totalitaire et sur une ségrégation des sexes absolue, parce que les hommes sont des concurrents gênants au regard de leurs aspirations (voir comment les femmes ont transformé la fonction publique). Cette élimination professionnelle suit plusieurs étapes comme je l’ai décrit ailleurs.
_ Le méchant, c’est le blanc conservateur. L’homme blanc hétérosexuel de plus de 50 ans est la cible prioritaire du mouvement féministe depuis for longtemps. Il est assimilé à un nazi. Très marrant quand on songe que M Hitler a été élu par une majorité de femmes qui n’en pouvaient plus de la déliquescence masculine. Car ce « patriarche », de nos jours, comme en tout temps, est le principal créateur de valeur. Le but de toute cette propagande, est donc de le voir continuer à collaborer à un système dont il est le dindon de la farce, et qui va jusqu’à lui interdire de s’assumer en tant qu’homme.
Conclusion
C’est assez dégoûtant de voir comment la jeunesse de cette époque a été manipulée et comment elle l’est encore par ce genre de propagande. Si de nos jours, ces anciennes productions nous font bien rire ou nous indiffèrent, hier, elles ont dévoyé pas mal de petites écervelées. Car l’apparence change, mais les méthodes restent les mêmes avec les activistes trans ou pédomaltraitants, qui encouragent une stérilité toujours plus absolue de notre société au nom de « c’est l’amour qui compte » et « chacun fait ce qu’il a envie ».
Face à l’impasse sociale/familiale qui leur était proposée durant les années 90, les filles ne pouvaient avoir que deux réactions tout autant négative l’une que l’autre : soit préserver la culture masculine du milieu qu’elles investissaient mais devenir des sous-mecs. Soit transformer l’entièreté d’un secteur pour s’y sentir à l’aise comme elles l’ont fait dans la fonction publique, le secteur médical, judiciaire etc… et le rendre inefficace.
Les mécanismes psychologiques utilisés pour les envoyer se faire massacrer au front ou pour nous extorquer notre richesse en tant qu’hommes ont été putassiers. Pour les femmes, ils ont joué sur tous leurs complexes et leurs attentes : besoin d’être rassurées pour s’engager, désir de devenir des femmes fortes, sur leur volonté d’être aimées de leurs parents, par la société, d’attirer l’attention masculine. Tout ce qu’elles n’ont jamais pu obtenir en écoutant cette société matérialiste et corruptrice. La stérilité de notre société est là pour le prouver. L’amour s’est perdu. Et il s’est perdu parce que les femmes ont cru pouvoir être aimées pour ce qu’elles n’étaient pas.
Chez les hommes, la manipulation a consisté à leur dire que la féminisation de la vie publique ne changerait rien pour eux au quotidien et qu’ils bénéficieraient même des avancées féministes. De nos jours encore, des tentatives persistent en ce sens, quand par exemple des militants dénoncent le poids négatif du patriarcat sur nos psychés, la charge mentale que nous subirions. Comme si devenir un homme (ou une femme), devait nous exonérer de tout effort…
Face à l’utopie féministe, la naïveté des hommes, et leur manque de réaction, ont été confondants. Le type compétent et en lutte contre le système (forcément masculin et magnifié par le personnage de Harris), s’est imaginé pouvoir trouver son alter ego chez une femme, tandis que la femme, est le système, et qu’elle allait le supplanter socialement partout où elle pourrait s’installer. Il y a chez beaucoup d’hommes, dans le giron de leur mère, le fantasme de vivre des relations indifférenciées (voir la vision délirante du lesbianisme chez les hommes immatures). En réalité, la différenciation apparaît tout de suite, brutalement et partout en situation de mixité : concernant l’attraction sexuelle, dans la façon de percevoir le monde de manière globale ou personnelle, dans la vision des relations famille-travail, dans la prise de risque vs le besoin de sécurité etc… Ne pas prendre en compte ces différences nous a conduit à subir de graves déconvenues, ce dont nous nous rendons compte au fur et à mesure de l’échec civilisationnel de notre société (puisse cette prise de conscience se faire assez rapidement avant d’avoir provoqué des dégâts définitifs dans le corps social).
Le délire peut gagner quand la réalité s’écarte du désir, ou inversement. Nous sommes dans une société délirante parce que la richesse créée par les hommes a été dilapidée dans des utopies socialistes. Ces utopies ont créé un décalage complet entre la perception du monde et sa réalité. Les hommes sont désormais persuadés de l’intérêt d’intégrer les femmes de manière paritaire à la vie publique, lorsque ce désir est à l’origine même de la débâcle. Pour contraindre la société et la faire coller au délire, il faut toujours plus de contraintes : quotas, surtaxation des entrepreneurs et des indépendants, financement de la propagande (par des associations, de la publicité, des médias…), judiciarisation de la contestation, constitutionnalisation des crimes etc… En même temps, les hommes ne veulent pas se révolter contre ce système qui les oppresse, parce qu’ils s’imaginent toujours devoir se sacrifier pour la belle. Or, ce pseudo amour des femmes, ne les aide pas, ne nous aide pas.
La réalité, est pourtant assez simple. L’homme créateur de richesse, est plus adapté à la vie publique. La femme aime les rapports personnels qui ne rapportent rien, et qui coûtent parfois énormément en termes matérialistes (il n’y a qu’à songer à l’investissement humain pour faire grandir un enfant). Une société saine devrait laisser faire les hommes dans la vie publique, et les femmes dans la vie privée, tout en prévenant légalement les abus des uns et des autres. L’idéologie indifférenciatrice de tels films comme « Implacable », ou des séries fabriquées dans le même état d’esprit, l’interdit. Cette propagande entretient plutôt un délire dont nous devrons sortir au plus vite, dès que notre société socialiste/mondialiste/ploutocratique aura été au bout de sa logique.
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"[ANIMAUX] Un requin dans la Seine… et quelques remous" BV du 06/06/2024.
Un requin femelle qui se reproduit par parthénogenèse et engendre des millions de petits requinaux qui vont bouffer tout le monde. Ahahah, l'inconscient masculiniste des scénaristes a parlé !