Aucun réseau de Francs-maçons, aucune association d’hommes n’avait osé le faire au grand jour : coopter certains de ses membres dans le milieu professionnel.
Les 400 réseaux professionnels féminins de France vont beaucoup plus loin :
http://madame.lefigaro.fr/societe/reseaux-feminins-bienvenue-club-210412-228724
Les femmes qui participent à ce genre de réseaux se cooptent dans les entreprises en raison de leur sexe. L’objectif est clairement affiché :
« Aider les femmes à progresser plus rapidement dans leur vie professionnelle« , s’engager « au service de la promotion des femmes dans son entreprise« , même dans les milieux où elles sont majoritaires.
En agissant ainsi, ces femmes n’exercent-elles pas une discrimination contre tous les autres groupes sociaux ?
Ce genre de pratique est pourtant condamné par la loi :
L122-45
« Aucune personne ne peut être écartée d’une procédure de recrutement … sanctionnée, licenciée, ou faire l’objet d’une mesure discriminatoire, directe ou indirecte… en raison de :
Ses origines
– De son sexe
– De ses mœurs
– De son orientation sexuelle
– De son age
– De sa situation de famille
– De ses caractéristiques génétiques
– De son appartenance
– De ses opinions politiques
– De ses activités syndicales
– De ses convictions religieuses
– De son apparence physique
– De son patronyme
-De son état de santé ou handicap…
Progressivement, ne nous serions-nous pas habitués à voir les femmes ne plus respecter les lois ?
En tout cas, l’existence de ces « réseaux » ne semblent plus faire débat.
Nous devrions pourtant nous interroger.
Partout, de la SNCF à la caisse des dépôts et consignations, des ambassades, des administrations aux avocats, dans toutes les fonctions aussi anecdotiques soient-elles, c’est un même cri ralliement : l’entraide féminine doit s’imposer envers et contre les compétences individuelles. Ces associations regroupent déjà des milliers d’adhérentes. Comme à la meilleure époque de la CGT, ces adhérentes ont intérêt à adhérer pour bien se faire voir ou pour « devenir visibles » comme elles disent face à la « domination masculine ».
Ces femmes ont beau vouloir nous rassurer « la visibilité va de pair avec la responsabilité« , comment pourrait-on croire des gens qui fonctionnent sur le mode de la lutte des sexes ? Comment pourrait-on croire ces femmes qui avancent avec leur lexicologie marketing éculée : « plus que des accélérateurs, les réseaux jouent surtout le rôle de facilitateurs de carrière ».
Je ne les crois plus.
50 ans de destructions sociales, d’anéantissement progressif de la famille française, de l’unité nationale, ont fini par me convaincre que nous avions à faire à des métastases dangereux pour notre survie
Oui le cancer féministe a gagné en matière familiale et il se retire d’un corps social à moitié mort pour se diriger ailleurs. Après l’holocauste en matière familiale ( abandon des enfants, stérilité et avortements, séparations multiples…), les féministes enfoncent un autre clou au cœur de notre économie.
Voilà ces femmes stériles exiger le pouvoir économique par le biais d’associations féminines parce qu’elles sont des femmes ! Plus de notion de compétence : l’important c’est le réseau. Mais pas le réseau d’influence philosophique ou idéologique… non, celui d’intérêts basés sur l’appartenance à un sexe.
Rien ne semble plus pouvoir les faire revenir à la raison. Les lois ne sont pas faîtes pour elles. D’ailleurs elles ne l’ont jamais été (avortement, non représentation d’enfants, euthanasie…). Le bon sens n’est que faiblesse. Elles ne voient plus qu’à travers « leurs » rapports interpersonnels qui sont les seuls à compter dans « leur » monde où « leurs » enfants sont éduqués avec « leurs » valeurs. La vérité est dans « l’entraide » entre femmes et dans la tyrannie qu’une d’entre elles finit par exercer sur les autres. Nous voilà revenus dans notre bon vieux village au milieu du 20ème siècle. Seulement, aujourd’hui, les êtres de cette planète, reliés entre eux par 3 ou 4 degrés de connexion, peuvent exercer un pouvoir de proximité sans limite. Ce microcosme est en train de naître sous nos yeux. Dans celui-ci, les femmes sont en train de prendre le pouvoir en créant des réseaux bien plus puissants que ceux des hommes, réseaux hérités des solidarités villageoises. Et apparemment dans ceux-là, elles sont les seules à avoir le droit d’exister.
Elles comptent même sur les hommes pour favoriser leur sexisme !« Aujourd’hui, une question s’impose : à quel moment les hommes vont-ils se sentir bloqués par notre démarche ? » s’interroge Clarisse Reille. « Si nous voulons progresser mieux et plus vite, cela vaudrait le coup, à terme, de les inclure davantage. » Le message est passé : de nouveau, mettons certains hommes dans notre poche. Anticipons leurs blocages, leurs refus qui ne manqueront pas de naître face à notre façon de conquérir le pouvoir. Flattons nos chevaliers servants et faisons passer les antiféministes pour des rétrogrades minoritaires jusqu’à ce qu’il n’y ait plus que nous (comme dans l’éducation nationale, la justice, la santé et l’assistance sociale).
Il faut dire que nos pères ne leur ont pas donné un bon exemple. Si leurs enfants font de même, ils entérineront un marasme économique qui a commencé par un marasme familial avec leurs prédécesseurs. Tel est le sens des dernières lois de 2010 et 2012 sur les quotas de femmes dans les conseils d’administration des entreprises privées et dans la haute administration publique. Ces lois s’érigent contre tous les principes de notre constitution mais nous ne les remettons pas en cause, parce qu’elles sont votées au nom de femmes déifiées. Aujourd’hui, pourquoi nos dirigeants, ces « hommes de pouvoir », ne finiraient-ils pas un travail qu’ils ne perçoivent pas du tout comme un suicide collectif ?
Il n’est que temps d’arrêter la catastrophe.
Au nom de l’égalité, demandons la dissolution immédiate de toutes ces associations sexistes.
Les réseaux féminins doivent être démantelés et leurs dirigeantes poursuivies. Créons même une nouvelle loi pour sanctionner les ententes discriminatoires.
Ces réseaux sont une menace grave et directe pour la justice, pour l’égalité et pour la compétence de notre pays.
Nos libertés mêmes sont menacées, car jamais les féministes ne s’arrêteront là. Ayant toujours un coup d’avance dans le mal, elles pensent déjà à la prochaine étape et en parlent entre elles : « Le jour où l’égalité hommes-femmes y sera totale, c’est l’équilibre du couple et de la famille qu’il faudra penser de nouveau ».
Comme si elles n’avaient pas fait assez de mal en matière familiale !
Pour aller plus loin, elles devront réduire les hommes en esclavage. Et je ne doute pas que, si on les laisse faire, elles le feront sans le moindre remord. Les pères rançonnés et qui ne voient pas leurs enfants, peuvent déjà vous dire l’idée qu’elles se font de l’égalité. Beaucoup d’hommes travaillant dans des secteurs professionnels féminisés peuvent vous dire l’idée qu’elles se font de l’égalité. Elles n’hésiteront pas au nom de la domination masculine, au nom de nos faiblesses, au nom de n’importe quel argument qui servira leurs intérêts, à nous ramener à l’état de simples reproducteurs. Cet esclavage s’observe déjà dans le cadre familial et dans de nombreux secteurs féminisés ou la féminisation a entraîné la féminisation totale, et toujours plus de paranoïa de leur part envers les hommes.
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