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Changer l’article wikipédia

 

Lutte pour obtenir un traitement égalitaire de Wikipédia sur l’article « antiféministe » par rapport à l’article « féminisme »: 

L’article de wikipédia s’est un peu étoffé au niveau des références. Mais la définition donnée de l’antiféminisme reste une définition féministe de la cause. Et le seul lien externe renvoie désormais sur un site féministe, celui de Sisyphe ! Il faut donc lui imprimer des changements certains. A cette fin, tout en bas de cette page, je donnerai une définition antiféministe de l’antiféminisme, et vous aurez tout loisir de vous amuser à modifier l’article de wikipédia en ce sens, ou dans le sens que vous jugerez utile.

Maintenant, face à la censure, vous pouvez opérer de trois manières pour pourrir wikipédia, juste avant que votre compte utilisateur soit supprimé (je n’ai pas encore essayé la méthode en utilisant une fausse IP) :

Méthode 1 : attaquer l’article « féminisme »

  • Vous vous inscrivez comme utilisateur
  • Puis dans la section « féminisme »,
  • Vous modifiez la zone « Organisations et actions féministes »
    (c’est en bleu juste à côté du titre de la section concernée) : supprimez tout (ce n’est pas difficile et cela nous mettra à
    égalité). Ou encore mieux, indiquez des liens vers un site antiféministe (le mien ou un autre).

 

 

 

Méthode 2 (plus compliquée) : .

 

  • Toujours inscrit comme utilisateur, allez dans l’article « antiféminisme ».
  • Modifier « Liens externes ».
  • Supprimez tous les liens externes et rajoutez par copier-coller  [http://www.aimeles.fr  Site antiféministe]

 

A la place de www.aimeles.fr, vous pourrez rajouter toutes les adresses de site que vous jugerez utiles à
la cause.

 

 

 

Méthode 3

 

  • Allez dans l’onglet « modifications » en haut de l’article « antiféminisme »
  • Juste au dessus de == Voir aussi == Copiez collez   ceci

 

== Liens externes ==
[http://www.aimeles.fr  Site antiféministe]

 

 

Une définition
revisitée de l’antiféminisme sur et par Wikipédia :

 

Antiféminisme

 
 

L’antiféminisme est un néologisme qualifiant l’opposition par des critiques argumentées aux thèses féministes.

Le discours antiféministe, qui prône l’interdépendance entre hommes et femmes, s’articule autour de quatre axes,
souvent combinés l’un à l’autre :

– la place des femmes dans la société ne saurait être déterminée indépendamment de celle des hommes, les principes masculins et féminin étant distincts mais indissociablement liés : la différence entre les rôles sexués serait nécessaire à la vie biologique et sociale (constatation empirique).

– la motivation féministe proviendrait, non pas d’un désir d’égalité, mais de valeurs morales individuelles et collectives
dévoyées : jalousie, domination, désir de jouir à travers la consommation (Alian Soral). Se plaçant sur un plan purement moral, les antiféministes jugeraient donc le féminisme comme une forme de dégénérescence sociale (modèle théorique).

– La constatation d’un certain nombre de résultats négatifs pour la société : instabilité grandissante des cellules familiales, des unions, augmentation des infanticides (l’avortement étant parfois jugé comme une forme de génocide), déstabilisation psychologique des enfants, discrimination envers les hommes, et en particulier envers les jeunes garçons, victimisation et communautarisation des groupes sociaux, perte de sens qui correspondrait à une perte des identités sexuelles, inculturation des femmes, perte de fertilité…

– La place des femmes dans une société est plus déterminée par le niveau technologique atteint, les conditions environnementales, la position dans les classes sociales que le sexe. Ainsi, les antiféministes accusent les féministes d’avoir réviser l’histoire pour défendre les intérêts de leur propre cause : d’une situation déterminée par les conditions externes, les féministes y ont plaqué une volonté de domination morale par les hommes sur les femmes. Les antiféministes tentent de démontrer que cette domination n’a jamais existée, et que l’existence de rôles n’était qu’un facteur économique de stabilité qui devait être préservé dans des sociétés qui tentaient de survivre. L’existence de rôles pour les antiféministes, ne serait en aucune manière une forme de sexisme, puisque ce qui serait différent, ne pourrait être jugé à l’aune d’une même mesure. Ainsi, les antiféministes reconnaissent l’importance de la culture de la maternité, l’importance de la place des femmes dans la société et dans la famille, l’importance de la culture féminine, et ils reprochent aux féministes de ne pas s’y intéresser sauf à travers une lutte contre les hommes (guerre des sexes par l’absence de rôles genrés).


Mensonges des féministes sur les progrès de la cause des femmes :

 

Historiquement, les hommes, loin de s’opposer aux femmes, les ont intégrées à la modernité : ils leur ont accordé le droit de vote, la possibilité d’avorter, ils ont inventé la pilule contraceptive, l’électroménager. Toutes les conquêtes dîtes féministes n’ont été des droits pensés dans l’interdépendance… par les hommes. En retour, les antiféministes considèrent que les féministes les ont trahis : elles se sont servies du bon vouloir des hommes pour asseoir une domination sociale inédite à l’échelle de l’humanité. Les
femmes ont conservé leur ascendant dans la cellule familiale tout en développant une domination totalitaire dans la sphère sociale.
Les antiféministes considèrent donc que le féminisme est un jeu de dupes, et que si les femmes doivent être écoutées, les féministes sont la représentation extrême d’une espèce de cancer social qui veut tout sans rien donner en échange. Ce cancer social serait l’émanation directe et indirecte de tous les problèmes modernes que rencontreraient notre société : dépression, suicide, perte de sens, manque d’autorité, abandon moral des enfants, baisse du niveau dans l’enseignement…

 

Contrairement à ce qu’avancent les féministes, l’antiféminisme n’est donc apparu qu’après le constat de l’échec du féminisme, au début du 21ème siècle. Les critiques du féminisme tout au long du 20ème siècle, étaient le fait de conservateurs ou d’analystes qui se positionnaient par rapport à leur genre. Il aura fallu que le féminisme survive idéologiquement à son échec pratique, pour que des hommes perçoivent la nécessité de s’y affronter directement. D’ailleurs si ce néologisme est attribué à de nombreux auteurs du 20ème siècle, il n’est assumé que depuis peu par quelques-uns.

 

L’indifférenciation et le « chaos sexuel ».

Inspirés par les thèses de René Girard, les antiféministes pensent que le féminisme est une forme de crise mimétique d’indifférenciation. Cette crise va d’égalité en égalité jusqu’à déboucher sur une forme d’atonie réciproque entre le sexe masculin et féminin puis de violence individuelle et sociale. Des lois, renforçant toujours plus l’égalité, provoqueraient toujours plus de désirs mimétiques de la part des femmes, et toujours plus de violence sociale sous-jacente : phénomènes de harcèlement, violence conjugale, abandon d’enfants. Cette violence sociale exercée par les femmes et jamais dénoncée, détruirait progressivement et de manière sous-jacente la société.

Eric Zemmour, quant à lui, défend la notion d’archétypes masculins et féminins, dont la suppression provoquerait une perte d’attirance entre les sexes. Il accuserait les féministes de vouloir légiférer dans l’intime et de détruire les bonnes relations entre hommes et femmes.