Ces derniers jours, les journaux se sont gaussés de la faible demande dans les banques de sperme de semence de personnes rousses :
http://www.lepoint.fr/societe/coup-dur-pour-les-roux-donneurs-de-sperme-19-09-2011-1375043_23.php
Personne ne voit plus que notre société occidentale vit dans l’inceste, l’eugénisme et la consanguinité. Oui, la société nationale-socialisme est réalisée. Elle vit actuellement et personne ne la conteste plus, ou presque. Elle est la société de l’élimination des handicapés par l’avortement, mais aussi des enfants subventionnés par l’état et sans père, et de la sélection des caractéristiques physiques et autres pour les enfants à venir.
En ce qui concerne plus précisément le don de sperme, nous pouvons désormais choisir la couleur probable, la peau, les yeux, les fragilités physiologiques de nos enfants. Mais il y a pire : nous supprimons le père et nous favorisons les incestes. En occident, ces dons sont de plus en plus utilisés pour des lesbiennes pour qui, le moins que l’on puisse dire, est qu’elles n’offrent pas un repère masculin bien égalitaire d’avec la mère… les cas d’infertilité masculine cachent de plus en plus un laisser-aller moral, et la possibilité soit à des filles-mères soit à des homosexuelles de traumatiser des enfants à venir. D’ailleurs une recherche sur google sur » don de sperme » vous fait tomber, avant l’institution du don de sperme, sur les associations d’homosexuels et sur la « co-parentalité » (33 000 inscrits : http://www.co-parents.fr/)
… Le glissement est doux mais la pente inéluctable.
Enfin, même en France, un même donneur peut ensemencer 10 femmes différentes. Dans les autres pays, c’est bien pire. Un Danois dernièrement s’est retrouvé père de 150 enfants :
Cela veut dire que la probabilité de rencontrer et de se marier avec son demi-frère ou sa demi-soeur devient de plus en plus forte. Quant bien même nous rencontrions des demi-frères ou soeurs de la seconde génération, les cas de consanguinité ne peuvent que se multiplier. Il est sidérant de voir la société de 1968 rire des villages où, parait-il, il y avait pas mal de consanguinité, quand nous sommes en train de la fabriquer de manière industrielle à notre époque.
L’urgence serait d’interdire à un donneur d’avoir plus d’un enfant.
La deuxième urgence serait d’inscrire dans la constitution la gratuité du don de sperme pour éviter de subir la dérive que les pays protestants connaissent. Il faudrait aussi n’offrir cette possibilité qu’à des couples mariés.
Troisièmement il serait bon contrairement à tout ce qui se fait, que le donneur de sperme soit au courant de ceux à qui il va faire un don et ceci pour deux raisons : pour que l’enfant puisse un jour rencontrer son père biologique, et pour que ce père biologique puisse vérifier que son sperme n’a pas été utilisé pour quelque lesbienne ou fille-mère avide.
Quatrièmement, puisque le don ne serait plus anonyme, il faudrait protéger les futurs parents de toute action en justice du donneur de sperme.
Cinquièmement, il faudrait limiter les caractéristiques choisies par les parents à une ressemblance par rapport au couple.
Enfin, il faudrait supprimer les allocations et toutes les aides étatiques aux personnes qui enfreindraient ces lois. Ainsi contrôlé, le don de sperme ne favoriserait pas la société incestueuse de notre occident si progressiste et si évolué.
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