Un système corrompu fonctionne plutôt bien… pour ceux qui en reçoivent la manne. Pour les autres, il les prive de liberté. Ce faisant, il agit comme un parasite sur le dos de la collectivité. Les systèmes de corruption ne se traduisent pas exclusivement par l’échange d’argent contre services. Le népotisme en est. Et plus encore, les quotas.
Tous les quotas partent de l’idée que le système est vicié. A partir de ce constat, il est nécessaire de lutter contre le mal. Chez nous, en ce moment, le mal, c’est le mâle blanc amoureux des femmes. Dans le milieu professionnel, les féministes l’accusent de jouer de sa position pour contrôler toute la société. Logiquement, l’idée qui suit, c’est de le faire quitter ces positions professionnelles avantageuses coûte que coûte, soit disant pour obtenir l’égalité. En vérité, quand un milieu professionnel est entièrement corrompu et que les femmes s’y sont imposées grâce à l’effet ruche, jamais la société, ou les féministes, ne se posent la question de l’égalité si elle dessert les femmes.
Dans une démocratie, le pouvoir législatif, le pouvoir politique et le pouvoir judiciaire sont considérés comme les 3 premiers pouvoirs. La presse est considérée comme le 4ème pouvoir. Par le passé, le pouvoir politique et législatif, étaient masculinisés. Les hommes y étaient majoritaires. Cependant, en comptant en termes de sexe, voilà bien longtemps que le pouvoir judiciaire est majoritairement féminisé. La presse quant à elle, est mixte, mais les évolutions actuelles font prévoir sous peu, une large mainmise des femmes sur le secteur. En somme, si l’algorithme du féminisme était véritablement l’égalité, les féministes elles-mêmes se seraient mises à dénoncer l’infériorisation des hommes dans la justice et la presse (et ne parlons pas dans l’éducation ou les soins). Or tel n’a pas été le cas.
En guise d’excuses, celles-ci avancent qu’une majorité de postes élevés dans la hiérarchie sont encore détenus par des hommes, même dans les milieux féminisés. Mais c’est un peu l’arbre qui cache une forêt touffue. Cette majorité dans les positions hiérarchiques élevées n’empêchent pas la diminution du nombres d’hommes, et la diminution de la proportion de chef hommes, mais également de permettre toute licence aux femmes à un niveau opérationnel. Comme me l’ont dit de nombreux professeuses des écoles « Les directives du ministère, on s’en fout. Je fais ce que je veux dans ma classe ». Il en est de même dans la justice ou la presse, avec toutefois un bémol dans ce dernier secteur professionnel : pour continuer à être lu, il faut rester intéressant. Or ici comme ailleurs, la féminisation se traduit immanquablement par une faillite dudit secteur, même en termes lecteurs. Dès lors, le subventionnement de l’État doit transformer ces opérateurs du 4ème pouvoir, en fonctionnaires, pour que les femmes puissent y survivre. A l’inverse, des personnes comme moi, hommes, sont largement censurées dans les nouveaux médias pour les empêcher de se développer et de vivre de leurs revenus.
2 pouvoirs publics sur 4 de notre démocratie, sont donc plutôt détenus par les femmes. Quant aux deux qu’elles ne contrôlent pas, ils ont été féminisés de force par le biais des quotas. Voilà plusieurs gouvernements français qui appliquent la parité, forcés par quelque mystérieuse opinion publique. Les listes aux législatives doivent être, elles-aussi, paritaires depuis 2015. En somme, il n’y a plus de mainmise des hommes dans ces deux premiers pouvoirs, tandis que les deux autres leur échappent totalement.
Là encore, si le logiciel féministe se basait sur des questions d’égalité, les féministes auraient été les premières à revendiquer du pouvoir pour les hommes dans la famille. Elles s’en sont bien gardées. Au contraire, elles ont défendu leurs positions pieds à pied par des exemples anecdotiques de discrimination, réduisant les pères à des banques de sperme au fur et à mesure qu’elles progressaient à un niveau public.
Le pouvoir familial est resté dans leur escarcelle. Le pouvoir public est leur, surtout depuis que les scrutins sont majoritaires, universels, et valident les choix d’une majorité de femmes dans la population (52,6% contre 47,4% d’hommes en âge de voter).
Nous sommes, apparemment, dans une situation inédite si bien que Lætitia Strauch a pu écrire récemment en France un livre titré : « Les hommes sont-ils devenus obsolètes » suivant en cela le questionnement d’une Américaine qui faisait le même constat dans sa société voilà 2-3 ans de cela. L’hypothèse de celle-ci serait que les compétences masculines ne seraient plus d’actualité. La force physique serait remplacée par les machines. La brutalité n’aurait plus d’utilité. Au contraire, le soin aux personnes n’aurait jamais été aussi important, les valeurs d’empathie aussi.
Ce raisonnement oublie un peu vite que les sociétés favorisent les valeurs qu’elles veulent bien promouvoir. Et qu’il faut qu’elles continuent à se développer pour appeler ce mouvement « progrès ». Si nous parlons seulement de production de richesses, une production de richesses qui aurait dû exploser avec l’arrivée en masse des femmes sur le marché du travail, certes le PIB a continué à augmenter, mais de manière complètement artificielle, à coup de dette depuis 40 ans. Idem pour le PIB par habitant en francs constants, qui ne continue à croître qu’à force d’inégalités. Des Français de plus en plus riches, sans femmes au foyer, subventionnent une immigration qui fait croître le PIB de manière fictive, aussi fictive que la féminisation de la dette, tandis qu’une majorité de citoyens se répartit une part du gâteau de plus en plus restreinte. En vérité, cette société féminisée vit en parasite d’une vraie création de richesse qui continue à se faire grâce à des hommes blancs amoureux des femmes, alors que ces derniers sont en train de ployer sous le poids de ce système.
Les patrons paternalistes d’antan avaient au moins compris que la prospérité de leur entreprise dépendait du bien-être de leurs ouvriers. La capitalisme financier actuel est si bête qu’il défend l’idée inverse
en militant pour la destruction des familles
Féminisés, parfois par marxisme idéologique (en adhérant à la lutte des classes et en se situant au sommet de la chaîne alimentaire), certains investisseurs fincancent les changements sociaux proposés par les féministes, voire les suscitent. Du côté féministe, en partant du constat qu’un homme quel qu’il soit, vaut bien une femme quelle qu’elle soit, les militantes de « l’égalité » jugent que les femmes doivent se retrouver aussi nombreuses que les hommes dans les secteurs qui les intéressent. Voilà le consensus établi entre ces deux castes majoritaires par le nombre ou par l’argent.
Pour les autres secteurs d’activité où les femmes sont plus nombreuses, j’ai déjà fait remarquer que l’écrasement des hommes n’intéressait pas leur questionnement égalitaire. Vous noterez également que la compétence n’est jamais interrogée chez tous ceux-là, ni en termes de personnes, ni en termes de sexe. Le terme de « compétence » ne peut être qu’une insulte relative à la servitude dans la bouche d’hommes qui font fructifier leur argent par d’autres, ou de femmes qui depuis des millénaires ne s’intéressent qu’aux questions personnelles. Pourtant, s’il est inconcevable qu’un homme déclare pouvoir accoucher aussi bien qu’une femme, il est tout aussi inconvenant d’avancer qu’une femme peut toujours réussir aussi bien professionnellement qu’un homme. Mais les féministes ne veulent pas en démordre : la compétence n’est qu’une construction sociale qui n’a pas de sexe ou que les hommes ont forgé pour servir leurs intérêts. Fin du débat ordonné par ce relativisme issu, ironie du sort, de la manière sexuée dont les femmes abordent les questions philosophiques.
Par conséquent, en plus de tous les postes que les femmes s’octroient assez facilement, et assez naturellement, elles exigent des quotas dans les derniers domaines professionnels qui leur résistent. La domination patriarcale est appelée à la rescousse pour servir de légitimation à l’abus. Les hommes ne seraient pas plus compétents que les femmes, et s’ils conservent ces postes, ce serait uniquement par entre-soi, ou pire, par discrimination. Qu’importe que les femmes gouvernent partout ailleurs, que les hommes se sentent obligés de montrer patte blanche à la moindre décision personnelle ou politique qu’ils prennent. La société perméable aux femmes acquiesce à ce discours et toutes les entreprises doivent suivre le mouvement. De gré ou de force, des femmes doivent être nommées à des postes hiérarchiques élevés, être payées de manière égalitaire, quelles qu’en soient les résultats.
Voilà où il est opérant de parler de corruption. Une partie des revenus générés par les hommes sont détournés au profit des femmes. En dehors de la spoliation faite aux hommes, ce serait presque juste, si elles réussissaient aussi bien. Cependant comme je l’ai déjà fait remarquer, tous les secteurs féminisés tirent notre société vers le bas. L’éducation, la justice, la politique font faillite au fur et à mesure qu’ils se féminisent. Ils sont un poids financier, au minimum, quand ils ne sont pas carrément, un poids démocratique, l’influence négative de fonctionnaires majoritairement femmes aux élections n’étant pas à sous-estimer. La galanterie dans le monde professionnel à des relents de système mafieux.
Ainsi, de l’argent est détourné par les femmes. Mais pourquoi ? Qu’obtient notre société en échange ? Car la corruption doit aller dans les deux sens, celui qui donne et celui qui reçoit.
Les raisons du racket des femmes sur notre société sont évidentes.
Les femmes touchent de l’argent, des allocations, des postes, des revenus qu’elles ne méritent pas, et ceci leur permet de s’affranchir définitivement de la tutelle des hommes dans leurs familles. Les féministes sont les têtes de gondoles de ce mouvement, elles qui ne vivent que de ce combat, grâce au financement de l’État ou de cette élite si prompte à bénéficier des inégalités de revenus. Elles se vengent aussi des hommes pour des raisons personnelles, quand elles ne sont pas instables psychiquement. Et les hommes semblent incapables de leur répondre, et rejettent la responsabilité sur les femmes ( même un Jordan Peterson affirme que les femmes doivent régler elles-mêmes le problème du féminisme ), nous allons voir pourquoi par la suite.
En contrepartie des postes et de l’argent donné aux femmes, la société, elle, obtient le silence des femmes, ou plutôt la cessation temporaire de leurs plaintes. Elle obtient aussi la caution d’élites qui ont un intérêt financier certain à la mixité. Voilà la matrice de ce système de domination. Les femmes forment majorité en démocratie (surtout si elles s’allient à de soi-disant minorités), elles sanctionnent donc l’issue de tous les débats surtout en démocratie. L’élite a besoin de la caution des femmes pour garantir sa légitimité. Les hommes n’ont plus qu’à accepter de n’être rien, ou si, de travailler pour un État féminisé qui les prive de toutes leurs prérogatives familiales, qui leur laisse juste de quoi survivre au fur et à mesure que l’imposition se développe, qui tolère tout juste qu’ils se masturbent en allant voir des prostituées, tout juste.
L’absence de réaction des hommes
Les hommes ne réagissent pas car toute l’éducation de leurs mères a consisté à les formater en de gentils garçons.
Le macho est le gentil du garçon du passé, qui protégeait sa mère envers et contre tout. Le père carpette féminisé est celui d’aujourd’hui chez le blanc pacifié. La violence, ce n’est pas bien depuis que l’État protège désormais les femmes. D’ailleurs, dans les quartiers où le système mafieux étatique ne fait plus son travail, les machos sont réapparus, et de nouveaux systèmes mafieux concurrents ont été mis en place. La surprise !
Cette toute puissance féminine correspond à un délitement complet de notre société. Elle transforme l’État en tyrannie, système qui appelle toujours plus à se passer de lui, ou qui va vers sa propre destruction. Voilà pourquoi la société civile en est arrivé elle-aussi à se passer de l’État, et à vouloir s’organiser pour lutter contre. En Occident, je crois que l’exemple le plus sidérant nous vient d’Angleterre, et de Birmingham plus précisément, où l’activiste Tommy Robinson qui a voulu dénoncer ces gangs pakistanais ayant violé plus d’un millier de blanches dépourvues de protection tribale, s’est vu emprisonner pour des motifs fallacieux. Durant plus de 40 ans, ces gangs ont pu agir en toute impunité avec la caution d’un État et d’une société civile qui prétextaient de la lutte contre le racisme pour les laisser faire. Et à la moindre réaction virile, case prison.
En matière de corruption, il y aurait d’ailleurs bien à dire de ces États antiracistes et de ces femmes qui les ont promus pour acheter la paix sociale, sur le dos des peuples autochtones, trompant d’autant plus les indigènes quant à leur possible intégration. Un merci envers les hommes blancs amoureux des femmes aurait été la moindre des choses. Ç’aurait été un bon début. Mais cette reconnaissance, nous ne l’obtiendrons pas plus des peuples colonisés, que des peuples qui nous colonisent, que des femmes que nous avons subventionnées. Tous et toutes, quand ils ont la prétention de nous imposer des coutumes, tribalisent nos mœurs, nos esprits, toute la société, et nous amènent à l’incorrection la plus totale.
Qu’un État participe à ce mouvement d’ensauvagement est réellement contre nature. Il faut pour cela qu’il ait été corrompu de longue date. Car il n’est pas possible pour une société de s’accommoder de la régression. Elle vous entraîne. L’intégration des peuples indigènes, la soumission des femmes à la minorité masculine était et sera à jamais la seule solution pour éviter une guerre civile. Que ce travail ait été abandonné par nos institutions féminisées signe la victoire idéologique de la gauche, et la guerre civile qui va avec.
Notre système est si corrompu qu’aujourd’hui, l’idéologie maçonnique s’est retranchée sur la peu ambitieuse politique du « vivre ensemble », et que le peuple sera bientôt obligé de s’intégrer à la population allogène s’il veut survivre, et non pas l’inverse. Les lendemains de la République déchantent en ce sens qu’ils sont un retour à une régionalisation féodale qui n’a même plus de racines historiques, qui n’a de culturel qu’un fin verni issu des campagnes arriérées de l’Afrique, ou d’une bourgeoisie française qui a dégénéré.
Les « territoires perdus de la République » ne sont que des territoires où règnent de nouveaux Seigneurs qui font subir leur férule aux populations locales, Seigneurs machos, Seigneurs de guerre qui subviennent aux besoins de leurs mères, qui prennent plusieurs femmes, qui nous rappellent aux plaisirs passés du matriarcat en sacrifiant les fragiles qui leur tombent sous la main. Eux-aussi, ils ont leurs religieux chargés de les amender, en les appelant à la guerre sainte ou au calme. Mais contrairement à la Francisation de la Gaule, les barbares ne se soumettent plus à un dogme étranger. Ils importent le leur puisque l’Eglise a échoué sur son territoire d’élection. Le Franc d’hier aura été civilisé par l’Eglise là où il ne reste à l’Arabe d’aujourd’hui que des principes qui l’ont conduit à émigrer pour survivre. La contradiction se fait chaque jour plus grande. Quant au catholique nègre, s’il réussit à s’intégrer, n’en arrivera-t-il pas à se poser les mêmes questions auxquelles nous n’avons pas réussi, pour l’instant, à répondre ?
Du côté blanc, puisqu’il faut bien parler ainsi étant donné l’échec de notre universalisme niais, nos dernières possessions se partagent entre campagnes vides de population, villes moyennes en train de mourir, et grands centres cosmopolites remplis de contradictions. Partout en ces lieux, ou dans les banlieues, le culte des femmes signe une régression pour les uns, un état de fait pour les autres, si bien que ces deux féodalités semblent chaque jour devoir entrer en confrontation surtout au fur et à mesure que les prises de risque individuelles des uns sont interdites à cause du système d’imposition. Le père n’existe plus. L’unité a disparu. Seule semble devoir s’imposer les conflits d’intérêts suivant en cela la corruption par le matriarcat auxquels les quotas de femmes participent en parasitant la vie publique.
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