La femme en position de supériorité naturelle par rapport à l’homme

Article écrit par

le

dans la catégorie


Dans l’absolu, l’homme autonome, n’a pas spécialement besoin de femme. Mais l’humanité, si elle veut se reproduire, a un besoin impérieux des femmes. Et les hommes qui espèrent avoir une descendance aussi. Or la vie passe plus par le corps des femmes que par celui des hommes. Le sperme des uns est remplaçable par celui d’un seul autre, tandis que le ventre d’une femme ne peut engrosser plusieurs hommes. Ainsi à un niveau animal, l’homme est tributaire de la femme, de son corps, s’il a l’espoir de vouloir survivre.

La galanterie enrobe le tout d’un voile de pudeur. Pourtant l’essentiel est là : la vie se transmet par corps interposés, et nous n’avons pas le choix d’être galants, c’est un devoir de la reproduction, un simple devoir. Il ne faut donc pas voir dans la galanterie un effet de la civilisation mais la conséquence d’une loi naturelle. La femme est honorée sans faux semblants par la galanterie car il lui revient ce qui lui appartient de droit : la reconnaissance de sa supériorité effective dans la reproduction sociale. Les hommes s’honorent à ne pas vouloir lutter imbécilement contre cet état de fait. La vie passe par les femmes. C’est un fait imprescriptible.

  Retrouvez la vidéo sur Dailymotion si’il y a des problèmes de connexion avec Rutube

La religion révélée vient en résolution de l’incohérence provoquée par cette situation. En effet, quoi de plus horrible pour un être qui s’imagine libre, que de penser qu’il détient sa vie d’un utérus et que la transmission de ses idées ne se feront pas sans un de ceux-là. La naissance de la conscience humaine s’accompagne donc forcément d’une religion révélée qui va lui permettre de transcender un vécu contradictoire entre son corps et son esprit. D’un côté nous avons la sensation d’être libres par la pensée, d’un autre nous percevons combien nous en sommes redevables à la loi naturelle. Un Dieu en forme d’humilité vient en résolution de ce conflit. Il nous permet d’accepter la création comme un signe de sa toute puissance tout en nous invitant à penser plus haut que la terre sur laquelle nous exerçons tous les jours notre emprise. Ainsi des personnes peuvent-elles se sentir catholiques, sans croire. Dieu les a mis dans cette situation. Jésus peut leur révéler leur condition. L’Esprit Saint les guide sur ce chemin.

Certains fuient cette pensée ambivalente entre corps et esprit. Ils imaginent que nous n’avons pas le pouvoir de détruire la terre, que la nature revient toujours au galop, que Dieu et la terre sont une même entité. Ils ne veulent pas se distinguer de leur environnement maternel. En agissant comme tel, les athées, les animistes, les indifférents, les catholiques qui ne voient que par Marie, puisqu’ils s’agit de tous ceux là, désirent rester en dehors de la pensée pour écarter d’eux les trop grandes souffrances à laquelle cette prise en compte les appellerait. Ils peuvent avoir les pieds sur terre, être capables de sagesse, être bien plus respectueux qu’un croyant de notre planète, avoir un esprit scientifique assis, ils sont moins aptes que d’autres à guider le sort de l’humanité.

 

Le féminisme, un principe d’absolu religieux immanent

Le refus de la galanterie est en ceci typique de féministes qui pensent pouvoir extraire la femme de son corps, pour lui permettre d’accéder plus facilement à la pensée créatrice. Car si la femme domine grâce à son corps, l’homme se venge par l’esprit. A l’inverse, la pensée est contrainte par la loi naturelle. Sans elle, tout devient délirant. La loi naturelle nourrit donc notre pensée mais sans lui suffire, en particulier quand elle veut devenir créatrice. La religion catholique et certaines autres dans une moindre mesure, permettent d’articuler cette dialectique entre féminin et masculin, ou de l’approcher. Mais voilà à quoi nos nouvelles féministes ne souscrivent plus. Elles veulent transcender leur état en relativisant le rôle de la nature chez elles, en la contrôlant de bout en bout, le dernier avatar de cette volonté hiératique se nommant « théorie du genre ». Typique de ce refus de penser que j’ai décrit plus haut, quand on demande à un théoricien du genre si sa théorie existe, il répond que ce n’est pas une théorie mais un cadre d’analyse (1). Il peut avoir acquis une formation scientifique, il n’est jamais dans la pensée. Il ne se réfléchit pas lui-même au sens étymologique du terme.

 

L’homme contraint par la femme, mais plus libre par rapport à la loi naturelle

Le mâle se soustrait plus facilement aux impératifs de la loi naturelle. Il s’en distingue plus, tout en sachant la prendre en compte, car il est moins proche de la nature. Il n’a pas de contact charnel avec la gestation. Cela lui donne une plus grande apparence de liberté. Nos femmes modernes qui ont l’ambition d’accéder à ce statut clinquant de penseur-créateur, se sont mises en tête de faire comme ce mâle et donc comme si la reproduction sociale ne passait pas par leurs corps. Elles veulent pouvoir donner de grandes femmes à l’humanité et gérer la société, tout comme les hommes l’ont fait avant elles, et bien qu’elles aient déjà donné beaucoup de grandes femmes à l’humanité quand on songe à toutes ces mères qui enfantaient et en étaient payées de reconnaissance, même si ce fût de manière personnelle.

 

La femme impossible homme

Or cette volonté contre-nature induit la stérilité. Se détacher de son corps, accéder à une pensée élevée, gérer l’espace social pour le bien commun, demande bien des sacrifices, dont celui de ne pas enfanter. La gestion de la société ne peut s’exercer par la simple transposition de la pensée maternelle à un niveau général. Ces deux manières de penser s’opposent même. Pourtant, on voit de plus en plus de femmes qui hésitent entre une forme de reproduction physique et une forme de reproduction sociale. Encouragées par la société à s’engager dans l’un et, malgré tout, attirées par l’autre, elles font à moitié et l’un et l’autre.

Du côté de la maternité, pour accéder au statut d’hommes, il leur faut renoncer à toute perte de temps liée aux soins maternels, mais agissant ainsi, soit elles détruisent leurs enfants, soit elles n’ont pas d’enfants tout court, stérilisant donc notre société. Dans leur travail, elles n’ont pas les codes culturels, ni naturels, pour réussir aussi facilement qu’un homme. Elles cherchent alors à s’imposer de manière injuste, par des quotas ou en éradiquant la présence masculine de secteurs entiers de notre économie, rendant ces derniers inefficients. Elles cherchent aussi à ce que les hommes les remplacent auprès des enfants. Mais ces hommes à qui l’on apprend le maternage, perdent aussi un temps infini à se réapproprier ce qui n’appartient pas à leur culture. Ils éduquent bien leurs enfants mais pour les envoyer dans une société dans laquelle leurs règles n’ont plus cours. N’assumant plus leur rôle, ils se féminisent, dans leurs attitudes ou physiquement. Et ainsi va le cercle vicieux de la déchéance sociale généralisée. Les femmes sont promues par un système économique avide de rentabiliser tout être humain, mais aussi par des hommes avides de se soulager de leurs responsabilités dans leur foyer, et donc par une volonté générale d’avidité. Ce mouvement voulu par tous en est d’autant plus imperceptible qu’il se justifie par des choix personnels qui ne semblent pas influencés par un quelconque groupe de pression, les revendications politiques féministes prenant pour appui une situation sociale objective.

Ainsi les femmes dans les sociétés riches ont l’ambition de s’extraire de leur statut mais elles ne propagent que l’inefficience. Et cette même inefficience mène irrémédiablement cette société là à sa chute. Sans parler de pensée, le déni que permet la richesse se propage jusqu’à la pauvreté, jusqu’au retour forcé de chacun à sa place, lorsque les moyens de subsistance manquent, après une crise conséquente. Et encore, l’absence de prise en compte des causes d’un échec, peut provoquer l’extinction complète d’une civilisation, comme cela a été le cas à de nombreuses reprises dans l’humanité.

 

Equilibrer les rapports entre hommes et femmes

Toute société a donc un besoin impérieux des femmes. Cependant, cette nécessité doit connaître des limites et ne pas s’étendre en dehors du bon sens. Il est inutile pour un homme conscient, et donc forcément croyant, d’ignorer cette position de force tel que peut le faire un athée. Qu’il veuille se rassurer en protégeant ses femmes du regard de la société n’y changera rien. Leur pouvoir est là. La galanterie vient en résolution de ce conflit en promouvant des femmes à l’attitude pudique dans l’espace social. Encore faut-il que ce contrat social soit accepté par tous/toutes, et que des terroristes féministes ne le brise pas par des habillements/comportements outranciers. De même, la promotion de femmes incompétentes au nom de l’égalité, empêche toutes les autres d’accéder à une forme de reconnaissance méritée. Voilà qui provoque encore des tensions chez les femmes compétentes et les hommes en général. Enfin, la reconnaissance de la supériorité naturelle des femmes dans n’importe quelle société, ne doit pas empêcher un homme de cultiver sa pensée et de la transcender à travers la croyance. Redevenant religieux, faisant preuve d’exigence à l’égard de lui-même, il reprend sa place de guide spirituel dans sa famille, et équilibre le pouvoir féminin rattaché plus que lui à la création de Dieu. Dans ce cas, s’il se doit d’être galant, il doit être exigé d’être servi.

1 « Pourquoi les théoriciens du genre ne peuvent accepter la biologie dans le champ social », Aimeles du 12/03/2014.

75 réponses à “La femme en position de supériorité naturelle par rapport à l’homme”


  1. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    “Emploi: En décolleté sur son CV, une femme a plus de chance d’être embauchée”, 20minutes du 29/06/2016

    Slate.fr attribue cela au sexisme contre les femmes qui seraient ramenées à leur corps. Si le sexisme vous procure un avantage par rapport aux hommes, où est le sexisme ?


  2. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    “Les garçons ont la mère dans l’âme”, Figaro madame du 22/03/2015.

    L’emploi du terme “âme” montre combien il s’agit là de religion. Ici la mère ouvre ses fils aux bons comportements de gentils garçons. Pas sûr que cela plaise à une fille, sauf à une femme qui abusera d’eux. D’un point de vue plus matériel, l’ouverture au monde n’est pas qu’une question sentimentale, loin de là. Voilà pourtant comment la mère le définit. Que notre monde est laid d’autoriser un tel enfermement/immaturité.


    1. Avatar de kasimar
      kasimar

      Encore une Jacqueline Sauvage >.<


      1. Avatar de Léonidas Durandal
        Léonidas Durandal

        Encore une Alexandra Lange.


        1. Avatar de kasimar
          kasimar

          Ca va faire du boulot pour les petits kapos bien pensants et les moutons . Maiiiiiiiis il paraît que c’est ça le progrèèèèèèès !!!


  3. Avatar de Catalizeur
    Catalizeur

    Justement, j\’ai vue dans un article que certain lieux en Inde avait une domination féminine au nom du religieux:

    http://franckblod.canalblog.com/archives/2015/02/04/31459652.html

    Mais dans les commentaires où il y a bon nombre de spécimens féministes on a citer en éloge une chose encore pire, le féminisme tripale si je puis dire avec l\’horreur qu\’est ce que je ne croyait pas cela possible le \”Other World Kingdom\”:

    L\’enfer sur terre, mais personne ne dénoncera jamais cela.


    1. Avatar de Léonidas Durandal
      Léonidas Durandal

      L’article en question que vous avez mis en lien est soumis à caution. Il y a des incohérences, pas de référence, et l’utilisation d’images extérieures renforce le sentiment d’usurpation.


      1. Avatar de Catalizeur
        Catalizeur

        Ha bon, alors supprimez le, je ne veux pas faire de la pub au cas où.


        1. Avatar de Catalizeur
          Catalizeur

          Enfin par contre c’est intéressant que vrai ou pas des gens soutienne ce type de société. C’est hallucinant.

          Et Other World Kingdom ne me semble pas être imaginaire.

          En tout cas dans les commentaire une rédactrice dit que l’article est le fruit d’un déplacement d’un collège à elle.


          1. Avatar de rivolta
            rivolta

            C’est certain que l’inverse ne serait sûrement pas permis en Europe.

            Par contre je suis interpellé du point de vue du droit. Comment est-il possible de tolérer, dans un pays européen (car cette société n’est pas reconnue comme nation), une microsociété qui pratique l’esclavage et met des gens en prison sans passer par la justice nationale ?

            S’il y a quelqu’un qui maîtrise mieux le sujet que moi ici, j’aimerais bien avoir des éclaircissements.

            Ah et pour en revenir à l’article, c’est hilarant de voir ces gauchos haineux envers l’homme blanc parler de « progressisme » s’agissent d’une (prétendue ?) société où la moitié de la population est quasiment réduite en esclavage.

            Si le monde était sous la coupe tyrannique des lesbiennes noires et que les hommes blancs étaient dans des camps, les gauchistes jouiraient littéralement.


        2. Avatar de Léonidas Durandal
          Léonidas Durandal

          Je préfère le laisser et que les gens soient prévenus.


          1. Avatar de Catalizeur
            Catalizeur

            En tout cas sur le site la rédaction affirme qu’il s’agit d’un reportage réel.

             

            Moi après ça ne m’étonnerais même pas. Les société cannibales d’ailleurs sont toutes matriarcale non?


          2. Avatar de Léonidas Durandal
            Léonidas Durandal

            Vous ne m’avez pas compris : je pense qu’une grande partie de l’article est juste. Mais le rédacteur a volontairement triché à certains moments. Le principal n’est pas dit. Tout est fait pour éblouir les yeux du lecteur, le révolter, provoquer sa réaction en forme de spectacle. On dirait que lui_même a assisté à une mise en scène. Par contre, de cadre anthropologique, très peu. C’est grave de s’essayer à l’anthropologie sans s’être formé.

            Quant aux sociétés cannibales, je ne sais pas, mais ce ne serait pas étonnant vu que la civilisation a l’air de suivre l’élévation des hommes.


          3. Avatar de rivolta
            rivolta

            Dans les commentaires on peut voir l’inculture des féministes suprématistes, que je me suis permis de bien remettre en place en démantelant certains de leurs mythes. Oui, les reines ont été plus violentes que les rois, et oui les femmes portent plus souvent le premier coup que les hommes au sein du couple. Je ne parle même pas de violence psychologique… Franchement, ça me fait halluciner de voir que les femmes sont encore à ce point idéalisées dans cette société.


          4. Avatar de Catalizeur
            Catalizeur

            Aujourd’hui on nous une féministe à écrit un commentaire disant que la France n’était la France que grâce à deux personnages Anne d’Autriche et Marie-Antoinette.

            Mais ne vous inquiétez pas je leurs tiens tête.


          5. Avatar de kasimar
            kasimar

            @Catalizeur

             

            A votre guise, mais les féministes disent tout et n’importe quoi, si je peux vous donner un conseil, oubliez-les, votre temps est assurément plus précieux et je ne doute pas que vous ayez bien plus de valeurs que ces erreurs de la nature.


          6. Avatar de Catalizeur
            Catalizeur

            Kassimar, voyez j’ai eu une histoire particulière.

            J’ai divorcé parce que ma femme m’a trompé, vendu des objets de famille en liquide ex… J’ai pu prouver notamment qu’elle me trompait par un détective privé et les preuves avait été déposés chez huissiers. Mais LA juge à estimé en gros que puisque je prenait un détective c’est que j’étais possessif et que la pauvre femme était presque forcé de me tromper si je suis la logique.

            Peut importe le fait que l’adultère est un délit c’est moi qui est eu une mesure d’éloignement et qui doit payer à madame une pension ex….

            Et pendant longtemps je culpabilisais presque d’avoir fait espionner ma femme, pourquoi? Tout simplement parce nul part je n’entendait une remise en cause de la société féminisé que j’avais intégré comme un progrès.

            Et c’est en voyant des réponses dur sur ce site où on pose des questions et on critique officiellement la vision féministe et valorise l’homme que j’ai compris qu’il existait une autre façon de penser.

            Comme quoi en laissant des réponse on peux réveiller les conscience, j’ai été réveillé, je réveille à mon tour dans les limites de mes compétences, peux être même des féministes pourquoi pas.


          7. Avatar de Léonidas Durandal
            Léonidas Durandal

            Merci pour votre témoignage.


          8. Avatar de Mindstyle
            Mindstyle

            Pour répondre à Catalyzeur, les féministes maîtrisent l’art et la manière d’inverser les causes et les conséquences.

            Quand un homme pète les plombs parce que sa femme détruit la famille en divorçant, trompant, ou en découchant, c’est de sa faute parce qu’il était “trop possessif”, d’une “jalousie maladive”, ou bien “psychorigide”.

            Une fois mise à jour, la dialecte féministe est très facile à comprendre.

            Il faut comparer l’environnement dans lequel nous baignons à l’élément marin.

            Dans cet élément, les femmes sont les prédateurs, les mieux adaptés à cette environnement gynarchique gynocentré gynécocratique.

            Nous les hommes, nous sommes des proies terrestres, non adaptées à cet environnement car nous n’avons pas les seins, le vagin, l’apparence de faiblesse et de vulnérabilité qui nous permet d’évoluer à l’aise dans cet environnement.

            Partant de ce constat, je me résout à adopter la stratégie de l’évitement pour tout ce qui concerne la gent féminine; mais en fin de compte, je n’en ai pas vraiment besoin, car je perçois cette haine de l’homme dans leurs attitudes et leur façon d’être.

            Ainsi, cette habitude d’être toujours fourrées entre copine, cette manière de nous considérer comme des pervers en puissance quand on se risque à les aborder, ces attitudes condescendantes pleines de mépris manifeste, tout cela je le vois au quotidien.

            Les femmes ont leur monde, leur bulle, leur propre réalité indépendamment de celle des hommes; un monde fait de shopping, de masturbation d’ego, de pseudo-carrière basée sur la médiocratie (qui sera la plus geignarde / la mieux habillées au bureau…)

            Et pour les derniers hommes encore assez fous pour aller fricoter avec ces femmes “mutantes” (Je n’ai pas d’autre mot pour qualifier ces êtres détraquées par le féminisme, l’exacerbation de l’ego, le consumérisme et tout ce qui va avec comme les smartphones et autres outils à l’attention des dégénérés…) il faut voir à quoi ils ressemblent, et leur manière de se comporter; la plupart paraissent plus féminins que leur compagne, on croirait des homosexuels refoulés.

            En fait, elles veulent des “copines” dans un corps d’homme; je ne sais pas si c’est pour faire du shopping en couple ou bien si c’est parce qu’elles ne supportent pas le moindre semblant de virilité qui pour elles s’apparente à une odieuse domination.

            Mais les choix des femmes en terme de partenaire de vie ont pour la plupart une logique; quand je vois la plupart de ces hommes qui se promènent dans la rue avec leur compagne, ou bien qui tiennent la poussette, on voit très bien qu’ils ont été choisis pour leur docilité; ainsi, la logique du recrutement dans le monde de l’entreprise (choisir l’employé le plus docile) a été transféré au sein du couple : Choisir le conjoint le plus docile, le plus à même de coopérer pour les tâches ménagères, de s’occuper du bébé au nom de la sacro-sainte égalité.


          9. Avatar de observateur
            observateur

            Je crois que vous nous avez fait un très beau résumé de la situation Mindstyle.

             


          10. Avatar de kasimar
            kasimar

            @Mindstyle

            Dans un couple je conçois qu’il faille faire des concessions, mais de là à s’autocastrer pour faire plaisir à une femme qui n’a sans doute aucune once de respect pour son homme. Et encore les femmes que vous décrivez ne sont pas les pires. Les psychopathes capables de tuer leurs gosses, leurs fiancés/conjoints/petits amis, et qui elles sont réellement possessives, maniaco-dépressives. Quand je vois la plupart des occidentales, je me demande tout simplement si elles ne se sont pas évadé d’un asile.

            Car oui en exhibant une femme pour homicide victime d’un “déni” de justice en occultant le déni que tous les hommes victimes subissent, sans parler des femmes meurtrières, c’est pour cette raison que je souhaite que cette société disparaisse, n’existe tout simplement plus .

            Oui je sais sale temps pour se caser !


  4. Avatar de Kazanovak
    Kazanovak

    Moi qui suis pétri de bon sens, je dirai qu\’il n\’y a ni égalité ni supériorité, mais complémentarité. Et ce qui est intéressant c\’est d\’aller la trouver cette complémentarité dans le quotidien, à travers sa vie de couple, à travers les ans, afin d\’approfondir sa relation.

    Il vaut mieux partir de ce postulat, de toute façon le baratin trop intello emmerde les femmes, et il ne vaut mieux pas discuter philosophie avec elle car soit çà l\’embrouille soit çà part en vrille. Restons dans le jeu et la complicité.


    1. Avatar de kasimar
      kasimar

      Bien d’accord, la vie de couple est une science à part où d’ailleurs la plupart des duos sont loin du compte


  5. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Hélène de Yougoslavie et Nicola Johnson dénoncent leurs ex-maris pour corruption. L’entourage de Sarkozy est ébranlé :

    http://tempsreel.nouvelobs.com//actualite/le-dossier-de-l-obs/20110921.OBS0829/karachi-la-revanche-des-ex.html

    Encore des idiots qui ont cru au mythe de la faible femme victime. Bien fait pour eux.


  6. Avatar de Sani

    Les hommes savent qu’ils ne peuvent pas enfanter, ils n’ont pas la prétention de s’accaparer ce pouvoir féminin. Le pouvoir masculin, c’est à dire la force physique et la création intellectuelle, peut sembler plus accessible à certaines femmes, ce qui est une erreur et s’apparente souvent à de l’imitation. Les hommes et les femmes sont physiologiquement différents, ils ont des qualités adaptées à leur fonctions, à chacun de trouver sa bonne place et la société fonctionnera correctement.


    1. Avatar de Sani

      Je précise que les femmes ne sont pas inaptes à la force physique et à la création intellectuelle, mais qu’elles sont inférieures aux hommes dans ces domaines.


  7. Avatar de gastirad39
    gastirad39

    Léonidas: Très bonne analyse. En voici une autre de Yann Carrière, psychologue clinicien anti-féministe. Un point de vue différent mais complémentaire au votre.

    http://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/theorie-du-genre-entretien-avec-43463

     


  8. Avatar de François ALLINE
    François ALLINE

    D’où l’intérêt d’établir une supériorité culturelle. L’ectogénèse et la congélation des ovocytes en pendant de celle des spermatos. Le meilleur moyen de les faire revenir c’est de leur démontrer qu’elles ne sont pas indispensables. Attaquer sur le même terrain…


    1. Avatar de Léonidas Durandal
      Léonidas Durandal

      Elles sont indispensables.


      1. Avatar de François ALLINE
        François ALLINE

        Les hommes aussi. Je dirais même surtout. C’est même l’avis de nombreuses féministes pour ce qui me tient à cœur : La paternité, donc l’éducatif. Ils le sont pour les garçons comme pour les filles.

        Hanna ROSIN : D’après une enquête menée par le Département de l’éducation des États- Unis, la réussite scolaire d’un enfant dépend du nombre de fois où son père est venu assister à un événement organisé à l’école. Les enfants dont le père est très présent ont un quotient intellectuel supérieur, une plus grande confiance en eux, et les filles, en particulier, ont moins d’aventures hasardeuses à l’adolescence. Le partage des tâches n’est donc pas simplement une affaire de logistique; il suppose que les femmes viennent à bout des préjugés qu’elles entretiennent bien avant d’avoir des enfants.

         

        Evelyne Sullerot : Mais tous les enfants de parents séparés ne présentent pas ces difficultés. Elles apparaissent surtout en cas de séparation quand l’enfant est jeune, de séparation conflictuelle, de remises en cause du mode de garde à répétition ou d”absence de contact de l’enfant avec son père. S’agissant des résultats scolaires, l’absence de relations avec le père joue de façon très nette, même si la mère est très cultivée.

        Les modèles sociétaux choisis par notre dirigeant(es) sont sans équivoque : Exclusivement gynocentrés. La Finlande comme modèle éducatif où Eva Penttilä, directrice des relations internationales du ministère de l’éducation finlandais, nous explique que dans ce pays phare pour son égalitarisme et sa réussite scolaire, un écart énorme s’est creusé entre filles et garçons, 70% des filles obtiennent un diplôme du supérieur contre 36% des garçons.

         

        Chez nous, Jean-Louis Auduc*, dans son ouvrage “Sauvons les garçons » fait un constat alarmiste dans l’indifférence générale. « L’école est sans aucun doute un des seuls lieux où le genre masculin est une particularité disqualifiante » Dans la construction de sa personnalité, le jeune, spécifiquement le garçon, a toujours eu besoin de rites d’initiation, de transmission et d’intégration. Ils n’existent quasiment plus, ce qui, la nature ayant horreur du vide, laisse le champ libre à des processus d’intégration réalisés dans le cadre de « bandes », de divers groupes, voire par des sectes ou des intégrismes religieux ».

        Donc je ne dirais pas “INDISPENSABLES” mais “NÉCESSAIRES”, car à force de croire à cette antienne, elles ont fini par penser que le masculin, donc le père, voire l’homme n’était pas du tout indispensable lui.


        1. Avatar de Léonidas Durandal
          Léonidas Durandal

          Hommes et femmes sont indispensables les uns aux autres. Beaucoup de femmes le savent et le cachent, ou elles ont l’air de vouloir faire trimer les hommes. Toujours est-il qu’au-delà des luttes de pouvoir, il y a une réalité comme vous l’avez fait remarqué. J’ai écrit assez d’articles pour montrer combien l’homme est indispensable à ce monde. Mais si nous ne comprenons pas le côté indispensable des femmes, nous ne comprendrons jamais notre interdépendance, et nous n’arriverons jamais à trouver un terrain d’entente.
          J’ai écrit cet article car j’ai remarqué que beaucoup d’hommes, surtout qui se disent féministes, agissent comme si le pouvoir des femmes n’existait pas. C’est une illusion grave. Vive le retour à la réalité pour proposer des solutions viables à notre société. Sinon, on ne peut comprendre, par exemple, comment les hommes se font bananer devant les institutions aux affaires familiales de la justice. Ce pouvoir doit être reconnu, identifié et limité quand il y a abus, ce qu’il y a très souvent.


          1. Avatar de François ALLINE
            François ALLINE

            D’accord, mais vous êtes mieux placé que quiconque pour savoir que le tournant pris élimine un masculin qui se tait et laisse faire. Je suppose que vous avez lu “fausse route” d’E. Badinter qui a décrit il y a quinze ans exactement ce qui se passe. Androgynisation du masculin (Et non homosexualisation), Leur silence hébété et coupable (Tétanisé pour ne pas donner l’impression d’être des salauds, machos, réacs et phallocrates, dit-elle, comme les féministes leur affirment du matin au soir)

            Donc, je prône le retour des hommes au respect d’eux mêmes, qu’ils se désengagent de leur désir/faiblesse et je suis bien certain qu’elles reviendront. Sinon, s’il leur suffit de calquer dans les doigts, comme en Norvège désormais, pour qu’ils accourent la langue pendante et la q… entre les jambes pour répondre à maîtresse Domina,: pourquoi s’en priverait-elle ?


          2. Avatar de Léonidas Durandal
            Léonidas Durandal

            Oui, ça c’est certain.


          3. Avatar de kasimar
            kasimar

            @ALLINE

             

            C’est le chemin que prend également la France surtout depuis l’affaire Sauvage, les femmes pourront tuer leur conjoints/petits-amis/fiancés en toute impunité.

            Je crois qu’à côté Sodome et Gommorrhe étaient des contrées vertueux.


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.