La dernière gouvernance Hollande nous avait donné un petit de reviens-y en matière de parité. Vous ne vous rappelez pas ? Cette image avait circulé sur les réseaux sociaux, le concept avait été repris de nombreuses fois sur Facebook (les réseaux sociaux n’avaient pas encore été totalement phagocytés) :
Najat Vallaud et sa déconstruction scolaire. Christiane Taubira et sa promotion des duos homos, préférant enfoncer la France que de s’occuper des conditions de détention des prisonniers (nous verrons le résultat par la suite). Myriam El Khomri et sa loi travail, libérale beurre. Marisol Touraine qui avait mis le feu dans le secteur de la santé, en bonne représentante des mutuelles. Et Fleur Pellerin dont personne ne peut se rappeler d’une mesure à la culture.
Les plus anciens se souviendront qu’au début des années 90, ce mouvement paritaire avait été bien stoppé grâce à Edith Cresson dont François Mitterrand avait cru pouvoir se servir pour augmenter sa côte de popularité :
Mal lui en avait pris. Elle avait laissé aux Français le pire souvenir de 1er ministre de la 5ème République. Ce n’est pas peu dire. Et jusqu’ici, elle a su conserver son titre, quand bien même ce fût la seule et unique femme arrivée à de telles responsabilités politiques dans notre pays.
Alors qu’Emmanuel Macron est beaucoup plus habille que François Hollande, rien ne change en matière de parité. Ses femmes le tirent par le bas, multiculturalisme bête ou pas, bourdes d’Edouard Philippe ou pas. Voilà donc la nouvelle mouture, toutes n’y sont pas, mais vous en reconnaîtrez de nombreuses si vous suivez l’actualité de près. La phrase de Françoise Giroud leur va toujours aussi bien et j’ai même l’impression qu’elles nous sont devenues un peu trop égales :
Et tout cela en moins d’un an !
Nous récoltons ce que nous semons. Cette fascination absurde et générale pour les femmes est la marque principale de notre immaturité publique actuelle, et certainement de notre immaturité tout court. Voilà l’origine du suicide. Pour le combattre, nous avons besoin d’effectuer une introspection collective monumentale. Celle qui nous fera accepter, qu’à de rares exceptions, il ne devrait jamais y avoir de femme dans un gouvernement monarchique, républicain, démocratique ou autre. C’est la condition préalable à l’exercice d’un pouvoir positif.
Elles ont pourri le milieu de la justice, de l’éducation, de la santé. Désormais, nous les voyons à l’oeuvre dans le domaine publique. Elles ratent tout, sont nulles en tout, parce qu’elles cultivent naturellement une toute puissance maladive et que des hommes les laissent faire.
Finalement, incapables de s’occuper de leur famille et/ou de leur travail, ces femmes « modernes » participent à la stérilité de notre monde, quelque soit d’ailleurs leur intelligence.
En ce moment, nous revivons une énième fin de règne où les femmes prennent une place qu’elles ne devraient pas avoir si la société était plus juste. A nous d’y mettre un terme définitif et d’arrêter de nous bercer d’illusions sur le « machisme » de nos ancêtres. Ces derniers pouvaient être opposés sur le plan politique. Tous savaient combien l’exercice du pouvoir politique par des femmes est en moyenne inférieur à la manière que les hommes ont de le pratiquer. A notre tour d’ouvrir les yeux avant qu’ils ne soient/qu’ils n’aient été définitivement crevés.
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