Elle part à 14 ans en Syrie faire le Djihad :
« Une adolescente de 14 ans partie en Syrie », Figaro du 19/06/2014.
Leonidas, aujourd’hui, je ne peux tout simplement plus revenir en arrière. Chaque jour, quand je vois ces femmes modernes, qu’il s’agisse de leur démarche ou de la moindre fibre de leur corps qui se meut de façon totalement artificielle, non féminine, selon une dynamique totalement factice, je constate la situation grotesque dans laquelle nous nous trouvons.Au fond de moi, j’ai toujours perçu que quelque chose ne tournait pas rond dans cette société sans savoir exactement ce dont il retournait. Aujourd’hui, je suis fixé; et en quelque sorte, c’est une véritable libération. Je peux enfin déculpabiliser; mais le revers de la médaille, c’est que l’on perçoit avec une acuité accrue cette féminisation qui a phagocyté la société. On perçoit d’autant plus la violence symbolique qui émane des entretiens d’embauches passés face à des femmes, ou bien le simple fait de collaborer avec des femmes dans la sphère professionnelle. Effectivement, j’accepte le jeu; mais je ne suis pas dupe; je résiste à ma façon, de façon passive, à un niveau individuelle. J’ai cessé de me battre contre des moulins à vent puisque je sais que de toutes façons, les dés sont complètement pipés; j’adopte plutôt une démarche de lacher-prise. Je me dis que si la société ne m’offre pas un cadre épanouissant pour exprimer pleinement ma nature d’homme, je peux finalement la regarder d’un air détaché, m’amuser chaque jour du grotesque que je vois au quotidien, m’amuser de ces femmes qui brassent de l’air à collecter des CV et qui polluent les entreprises avec leurs services RH à la con, ces boulots inutiles dont la société marchande a besoin pour simuler une activité frénétique et factice.Face à cela, prenons de la distance et amusons nous du grotesque que nous voyons au quotidien.
Pour parahraser Hervé Ryssen, on peut dire qu’il faut une pression gigantesque, coûteuse et permanente pour faire un féministe, un simple contact avec la réalité suffit à le déféministiser…
Eh bien, vous venez de me faire découvrir quelqu’un haut en couleur (Hervé Ryssen).
Je ne crois pas que la question de la judaïté soit une question d’organisation mafieuse, mais plutôt de théologie. Ce sont les différences de théologie qui provoquent ou non, les maux de notre humanité. Ce sont les lacunes dans les croyances qui provoquent les erreurs dans les actes et les pensées des hommes.
En tous cas, j’espère pouvoir le lire un jour si j’en ai le temps.
Je tiens encore une fois à vous féliciter pour vos vidéos et votre blog qui décryptent une ignoble réalité vis-à-vis des privilèges dont jouissent les femmes modernes en France. Je me souviens de tristes moments que j’ai vécus dans l’école féminisée; des filles sans mérite particulier toujours soutenues par les enseignantes, alors que je me faisais toujours abattre; j’ai tout de même réussi à pousser mes études assez loin, mais c’étaient des examens d’Etat donc je n’ai pas eu à subir de notation ou d’appréciations injustes. Je me considère comme une sorte de rescapé du système scolaire féminisé, peuplé de femmes autoritaires, et hystériques pour la plupart et qui cassent volontairement les hommes.encore aujourd’hui, j’ai l’impression d’être en retard dans le monde du travail; j’ai cette impression d’être écrasé par des femmes qui pourtant ne sont pas plus compétentes que moi, voire moins diplômées. J’ai cette impression que le secteur tertiaire est littéralement phagocyté par les femmes; mais ça ne m’étonne pas dans la mesure où tout ces boulots inutiles (voir le phénomène des bullshit jobs : http://www.liberation.fr/societe/2013/08/28/y-a-t-il-un-phenomene-des-jobs-a-la-con_927711) où on brasse de l’air ne requièrent en fait pas beaucoup de travail mais simplement un simulacre de comédie et de papotages futiles.Chaque jour, quand je prends le métro, ou que je suis sur la voie publique, que je vois ces femmes arrogantes, ou à leur air faussement heureux totalement surjoué pour marquer leur « bonheur de vivre », je me sens prisonnier d’une réalité qui n’a pu être pensée que par une force absolument maléfique, et non quelque chose de naturel.Quand je passe des entretiens avec des femmes chargées de recrutement (Oui, je n’ai eu affaire qu’à des femmes; d’ailleurs, seule des femmes peuvent être assez sottes pour passer leur temps à convoquer des candidats alors qu’il n’y a pas de poste à pourvoir et cela afin de justifier leur salaire et occuper leur temps de travail), qui font barrage entre moi et l’entreprise, je me sens dans une situation totalement absurde, un monde où toutes les valeurs ont été inversées.Ce qui me désole, c’est d’avoir cette prise de conscience aigue de tout cela et chaque jour, cette réalité me reviens en pleine face, car une fois qu’on a ouvert les yeux sur toute cette réalité factice, on ne peut jamais s’y habituer tellement cela est grotesque. Je préfère de loin vivre pour moi et ne pas faire d’enfants que de jouer la comédie du couple heureux alors que des lois aussi injustes et des institutions en faveur des femmes leur permettent d’exprimer des comportements qui seraient sévèrement sanctionnés et réprimés dans une société saine. Ne pas faire d’enfants, c’est en quelque sorte un acte de rébellion, c’est ne plus alimenter le système en esclaves docilement conditionnés par l’enseignement féminisé.Il n’y a rien de plus humiliant pour un garçon de voir son avenir socio-professionnel soumis au libre-arbitre d’une femme. Regardez la dernière information, une correctrice de copies du Bac de philo qui accuse son ex-compagnon de lui avoir volé 124 copies : http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/06/19/vol-de-copies-de-philo-une-examinatrice-du-bac-en-garde-a-vue_4441254_3224.htmlL'homme placé en garde à vue, sur une simple accusation portée par une femme. Par ailleurs, elle est bien partie pour être acquittée, car jugée « psychologiquement fragile »; voilà ce qui cause la maladie mentale chez les femmes en occident (le trouble borderline) : leurs comportements nuisibles à la société sont peu sanctionnés, ce qui fait qu’elles n’ont plus aucun cadre, rien pour leur faire prendre conscience de ce qui est bien ou de ce qui est mal.
Très belle analyse à un détail près : il faut accepter le jeu. Nous sommes faibles, sélectionnés de manière drastique, et peu ragoûtants pour ces dames qui rêvent d’hommes assis socialement tout en s’évertuant à les détruire, mais on ne peut nous enlever notre Foi.
Des fois, je pense que si tous les chômeurs hommes, plus nombreux que les fausses chômeuses femmes qui éduquent leurs enfants, se levaient et prenaient conscience de tout cela, ils pourraient devenir une force politique de premier ordre. Cependant, on les culpabilise, et on les enferme à l’extrême gauche sur des questions économiques. Ils se croient faibles, alors qu’ils sont les seuls dans notre société à avoir du temps. Les hommes déclassés devraient utiliser leur temps de manière constructive, à devenir des militants anti-féministes assumés, sans se laisser enterrer par la culpabilisation. N’ayant rien à perdre, un petit nombre d’entre eux suffirait à vaincre des montagnes. Il suffirait pour cela qu’ils donnent l’exemple en disant : « Non, nous n’acceptons pas le sort qui nous a été fait. Non, nous ne sommes pas des incapables. Oui, nous avons été victimes d’un système inique. Et oui, je n’ai pas peur de vous cracher vos mensonges à la gueule. »
Allez à la rencontre des femmes, apprenez à les connaître, découvrez celles qui ont un coeur, discutez avec d’autres hommes du sujet, voilà comment commence le combat. Il n’y a que la lutte qui est importante. Ne vous laissez pas vaincre par la force d’inertie de notre société. Nous devons être en tant qu’hommes des croyants en l’homme, forts, sûr d’eux et inattaquables. Nous sommes le sel de cette société. Si quelqu’un vous a convaincu de l’inverse, c’est qu’il vous a vaincu. Si une féministe a réussi à vous faire croire que vous n’étiez qu’un oppresseur ou un parasite, vous avez été vaincu intérieurement par une malade. Le premier combat est bien un combat intérieur. Et il est d’une grande violence.
Je lis votre blog depuis quelques temps, maintenant. J’y trouve un certain nombre de choses qui alimentent ma réflexion. J’ai été frappée par la vidéo à propos de la jeune fille de 16 ans qui s’est convertie à l’Islam. Ce qui m’a frappée, ce n’est pas tant le comportement actuel des parents, mais surtout celui qu’ils ont eu avant. Si cette jeune fille a trouvé réponse aux questions qu’elle se posait dans le Coran, comment n’a-t-elle pas pu avoir la réponse auparavant, dans la Bible ? Il me semble que, dans les deux cas, Dieu a créé le monde, non ? Que se passe-t-il donc dans notre société pour qu’une telle rupture de transmission existe ? Je suis sans doute naïve, mais il est du devoir des parents de transmettre non seulement aux enfants l’art de s’habiller, de manger correctement ou de dire « bonjour » et « merci », mais aussi ce qui les habite au plus profond d’eux-mêmes, leur foi… ne pas le faire, c’est criminel à l’égard des enfants, parce que cela les précipite directement dans les bras de religions plus prosélytes. L’Islam ici, mais ça aurait tout aussi bien pu être une secte… Cette jeune fille est sans doute assez grande pour se poser des questions, pour se chercher… mais en aucun cas pour discerner seule de ce qu’elle doit faire de sa vie… tout comme ce jeune homme qui est actuellement en Inde…Merci pour votre blog. Même si je ne partage pas toujours vos propos (souvent très durs à l’égard des femmes, qui seraient à la source de tous les maux), je trouve que vous avez une vision qui interpelle sur notre société aujourd’hui.
Merci pour votre sincérité.
Cette jeune fille vivait certainement une foi désincarnée au sein de son foyer. Il n’y a rien de pire que le mensonge pour un enfant. Elle a été fidèle à ses parents au-delà de ses parents.
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