Tout d’abord une question de langue française : j’entends parfois des journalistes employer « la » covid19 en lieu et place du/le covi19. Or littéralement le CO(rona)VI(rus) de l’année 2019 désigne un virus en forme de couronne. Et non d’une couronne en forme de virus. La bonne acception ici, est donc le masculin ou encore mieux, le neutre puisqu’il ne s’agit pas d’une personne. Le « d » signifiant disease et traduit par le féminin français « maladie » est impropre pour plusieurs raison. La maladie n’est pas de 2019, c’est le virus qui l’est, donc le masculin. Sur ce point, la plupart des commentateurs veulent parler du coronavirus et non de ses effets quand ils emploient covid-19. Le féminin est donc impropre dans leur bouche. Surtout que la maladie du coronavirus de 2019, n’est même plus liée à un virus de 2019 qui a muté depuis plusieurs fois. etc… Enfin, la langue anglaise n’est pas sexuée. Nous plaquons donc une mauvaise traduction sur des règles grammaticales qui ne nous appartiennent pas pour obtenir « la covid ». En résumé, il serait plus juste de parler du covi et de l’épidémie de malades du covi19 dans les livres d’histoire ou bien, des personnes victimes de la maladie provoquée par le coronavirus 2019, ce qui est plus long au féminin et manque à l’économie de moyen qui est un des fondements de tout langage.
Le mauvais emploi grammatical de ces journalistes (et de l’académie française qui entérine un mauvais anglais) est signifiant au-delà de la question grammaticale. Il révèle aussi la féminisation totalitaire à l’oeuvre dans la société, le manque de logique et le tout émotionnel qui vont jusqu’à saper les bases de notre langue. Ceci expliquant cela.
En effet, nous ne pouvons comprendre la faillite de notre gouvernement, sans nous pencher sur l’irrationalité à l’oeuvre dans notre société. Les mauvaises décisions, les retards et les incohérences s’enchaînent et forment système. Un jour le masque est dangereux, 6 mois plus tard il est obligatoire. Un jour il faut confiner tout le monde, 6 mois plus tard, il faut agir de manière sectorielle. Un jour les chiffres signifiants sont désignés par le nombre de morts, 6 mois plus tard par le nombre de personnes contaminées, alors même que le virus est devenu beaucoup moins létal.
(la courbe du nombre de cas est exponentielle; la courbe du nombre de morts est stable, idem pour la France)
Un jour le virus n’a pas de frontières, quelques semaines après, elles sont toutes fermées. Un jour le virus n’est pas dangereux et la situation est maîtrisée (nous pouvons tous aller au théâtre) et quelques semaines après, il va décimer toute la planète si nous n’y prêtons garde.
Retards de plusieurs mois, manque de pragmatisme, aveuglement, rien de tel pour faire plonger définitivement un pays. Nous manquons d’hommes d’expérience à notre tête. Avons-nous encore quelques connaissances sur la compétence d’ailleurs, la prise de risque et le dépassement des épreuves ? Il semble bien que non.
L’apparition du virus
J’entends que ce virus proviendrait du pangolin. Certes, il pourrait bien être d’origine naturelle à 99,9 %. Cependant, voilà qui n’a aucune importance en matière d’ADN. Certains scientifiques ne nous répètent-ils pas à souhait que nous avons plus de gènes en commun avec le bonobo (soit 99,4%) qu’avec les femelles de notre espèce (soit 98,5%) ? Au-delà de la rigolade, je retiens l’idée que de petites différences génétiques peuvent avoir d’importantes conséquences, et qu’en l’état, retenir que ce virus serait naturel parce qu’il posséderait une séquence proche d’un virus naturel, est complètement absurde, idée défendue par nos journaux : un virus avec plusieurs séquences qui n’appartiennent pas à sa « famille » de virus, dont le VIH selon le professeur Montagnier, serait naturel. S’il est bien « d’origine » naturelle, il semble difficile de dire qu’il l’est absolument. A ce compte là, l’essence que nous mettons dans nos moteurs est aussi d’origine naturelle.
Voilà donc ce qu’un cerveau bien proportionné comme le mien peut en déduire de manière logique, et j’insiste, LOGIQUE : ce virus a été manipulé génétiquement. Comment ? Eh bien, nous venons juste de célébrer cette merveilleuse généticienne qui a permis d’inventer les « ciseaux » intelligents génétiques et a reçu le prix nobel de chimie en récompense de ses efforts. Et l’ironie en matière de progressisme ne s’arrête pas à la célébration de découvertes scientifiques féminines.
Le virus serait apparu près du laboratoire de Wuhan. Les premières victimes auraient été des scientifiques du laboratoire de Wuhan. Une scientifique chinoise qui aurait travaillé là-bas, confirme l’origine accidentelle du virus. Mais non, pour nos journalistes français, il n’y aurait pas un faisceau de preuves. Le virus serait toujours naturel.
Et à quels scientifiques ont-ils été demander de confirmer leur assertion ? A ceux qui ont créé le laboratoire P4 de Wuahn : l’institut Pasteur ! En matière de conflit d’intérêt, difficile de faire pire.
LOGIQUEMENT : nos hommes politiques français épris de mondialisme et de scientisme, favorisent le partage des connaissances nationales auprès d’étrangers, c’est à dire vendent la technologie française à des Chinois qui sont en passe de nous surclasser dans tous les domaines, parce que M Raffarin aime la Chine. Là-aussi, un journaliste normal viendrait à enquêter pour savoir si M Raffarin était débile ou intéressé.
Puis, une Française invente « le ciseau intelligent » qui n’a d’intelligent que le nom, au vu de la manière dont il a déjà été utilisé pour s’attaquer à notre génome. Cette découverte est employée à Wuhan sous contrôle strict, laboratoire qui a justement été créé pour étudier le sras02 (le covid19 étant « bizarrement » une variante du sras), ce qui n’empêche pas l’erreur, la négligence, ou la malice d’un être humain. Le covid19 fait son apparition.
Et notre gouvernement qui n’a pas intérêt à ce que cette hypothèse soit envisagée, appuie des 4 fers pour éviter qu’elle ne le soit. Les institutionnels de Pasteur qui sont mouillés dans l’affaire jusqu’au cou, ne peuvent que souscrire à la démarche. Et puis, vous comprenez, ça ne ferait que perturber les pauvres Français qui ont déjà bien du mal à comprendre où nos francs-maçons veulent en venir avec leurs manipulations de l’ADN humain.
S’en suit le « tout va bien » du gouvernement, ou la méthode coué. Puis devant l’évidence que le virus est arrivé sur le territoire et qu’il ne va pas pouvoir passer inaperçu, le « tout va mal » pour mieux contrôler les populations. A aucun moment les décisions ne sont prises dans l’intérêt des gens, mais plutôt par rapport à ce que l’opinion publique accepte et perçoit de l’épidémie. Ce qui explique le nombre de morts surnuméraires. D’où l’importance aussi de contrôler strictement les journaux. Est-ce un hasard si les subventions à la presse ont été renforcées dernièrement ? Là aussi, ça doit être le même hasard qui a concouru à l’apparition du virus…
Les caractéristiques du virus
Nous avons l’habitude de subir des épidémies qui touchent nos voies aériennes en hiver. Dans un premier temps, nous avons pu croire qu’il en était ainsi pour le covid19, puisqu’il était apparu en saison froide en Chine et nous avait touché pleinement au printemps. Notre gouvernement, apparemment mieux informé que nous, bizarrement, n’a pas retenu cette hypothèse saisonnière. Et effectivement, il y a bien eu une sorte de 2ème vague, avec mutations diverses et variées du virus. Là encore, cette maladie ne se comporte absolument pas comme celles dont nous avions l’habitude, ce qui peut expliquer certaines anticipations erronées de la part d’un infectiologue comme le professeur Raoult.
Autre différence avec un virus « normal » : il est très contaminant mais surtout, il laisse des séquelles comme s’il était « incomplet ». Je veux dire par là, qu’il ne semble pas très adapté à son environnement, pas entièrement. N’étant pas médecin, j’aurais du mal à exprimer cette idée avec clarté. Mais d’habitude, une maladie vit en hôte, puis passe à un autre hôte. Le but n’est pas de tuer l’hôte, ni de le laisser handicapé, quand bien même il provoquerait un épuisement qui conduirait à la mort. Ici, les médecins nous ont révélé qu’il contaminait son hôte comme un virus normal, dans l’absolu, mais que bizarrement, les gens mourraient d’une sur-réaction de l’organisme. En somme, ce virus ne serait pas tant dangereux de par ses propriétés, que parce que notre corps ferait face à une inconnue dans l’équation qu’il ne saurait résoudre, jusqu’à s’attaquer au corps lui-même. Ceci pourrait en outre expliquer la moindre létalité des patients traités à l’hydroxychloroquine, ce médicament étant utilisé dans les cas de sur-réaction de l’organisme (lupus). L’hydroxychloroquine n’aurait effectivement aucun effet sur le covid19 en lui-même comme l’affirme certains scientifiques, mais cette molécule soulagerait le corps de ses tensions et lui permettrait de ne pas se retourner contre lui.
Enfin, et voici où je voulais en venir dans mon article, sa propriété la plus édifiante est de toucher le mâle blanc de plus de 50 ans. C’est à dire et pour être plus précis, les descendants de Néandertal. Ceci serait encore confirmé par la carte des décès
Le nombre de morts par habitants, correspond exactement aux endroits où l’homme de Néandertal s’est imposé, le monde indo-européen, avec une minoration pour la Russie qui a été très influencée par les Dénissoviens.
La grande majorité des morts sont des hommes un peu plus âgés (la catégorie homme se situe autour de 60% des morts)
Nous vivons ainsi dans un monde qui dénonce le pouvoir des mâles blancs de plus de 50 ans, tandis que dans nombreuses situations, ils sont les plus à plaindre (suicide, espérance de vie, métiers difficiles etc.). Ici, ce mâle blanc de plus de 50 ans, aurait été particulièrement touché par l’épidémie, mais personne ne s’est penché sur son cas, la jalousie ayant fait son œuvre en embuant les esprits.
Ce constat serait anecdotique, si là encore, notre perception troublée de la réalité, ne nous empêchait pas de prendre des décisions proportionnées et efficaces. Or qu’en est-il de ces décisions dans un monde qui suppose l’oppression des femmes, si ce n’est notre incapacité à mettre les bonnes personnes à la bonne place dans la société, à envisager nos problèmes sociaux avec objectivités, et à prendre les bonnes décisions pour l’avenir, dixit la lutte contre les violences conjugales en pleine épidémie alors que ce phénomène social dérisoire provoquait encore moins de morts que d’habitude.
Beaucoup de personnes lascives ne veulent pas lutter contre le féminisme, estimant que ces femmes s’agitent pour rien. Qu’au mieux, elles sont amusantes, et au pire dérangeantes. Les féministes ne sont pas dérangeantes, elles sont meurtrières. Elles détournent tous les moyens publics à leur propre profit, et ne nous permettent pas de diriger ce monde avec objectivité. Pas étonnant dans ces conditions que nous vivions dans une sorte de bain d’incompétence.
Comme l’a déjà souligné le professeur Raoult, ce virus prospère dans les lieux populeux.
En haut de classement, ou à la plus mauvaise place si vous voulez :
Et en bas de classement, à la meilleure place :
Sans même aborder la question de l’opportunité du confinement, les 3/4 du territoire français n’étaient pas concernés par l’impérieuse nécessité de prendre des mesures drastiques qui allaient tuer notre économie locale, dans des régions moins riches que la moyenne française. La jalousie communiste a ici joué à plein pour prendre des mesures uniformes et inadaptées sur tout le territoire, condamnant les plus pauvres d’entre nous. L’absence de vision de notre personnel politique, dépassé par une situation complexe dont ils n’ont pas réussi à intégrer tous les paramètres, marque là l’influence de l’idéologique sur la réalité. Ces personnes qui vous vendent à longueur d’année, leur antiracisme, leur féminisme, leur tolérance de bon aloi, ont fabriqué de toute pièce une réalité sur laquelle ils vivent, et dès lors, se sont retrouvés incapables d’adopter une réaction appropriée. Face au covid19, je dirais que le virus de la féminisation est bien désarmé pour combattre un autre virus.
L’analogie virale ne s’arrête pas là, puisque tout le corps social affaibli par ces faux idéaux, a fini par sur-réagir à la maladie, tout comme les personnes les plus sensibles au covid19 l’ont fait. Les privations de liberté actuelles sont disproportionnées et vont sacrifier un pan gigantesque de notre économie. La réaction du corps social va être pire que les effets de la maladie à proprement parlé, comme si d’ailleurs les corps entraient en résonance entre eux.
Mais il est temps de m’en arrêter là, car voilà des considérations mystiques qui risquent de prendre le pas sur les objectifs rationnels et logiques que je m’étais donnés. Espérons seulement qu’à un moment donné ou à un autre, les Français se tournent vers des professeurs Raoult, des Léonidas Durandal et autres Jean-Marie Le Méné pour se soigner autant l’âme que le corps. Qu’ils se prennent à croire en eux, et à réfléchir par leurs propres moyens en estimant de leur propre chef ce qui est bon pour leur santé de ce qui ne l’est pas. Qu’ils ne se laissent imposer aucun moyen socialiste assis sur la jalousie de ce que possède l’autre. Qu’ils combattent victorieusement contre leurs sentiments néfastes qui leur font rechercher le bonheur dans ce que l’autre possède, plutôt que d’améliorer objectivement leur propre vie. Et que tous, retrouvent une forme de lucidité éloignée des idéologies modernes, de celles qui habillent d’immuables sentiments mauvais avec les oripeaux de la notabilité et de la bonne conscience propre aux pharisiens.
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