Le père qui a engendré cette jeune fille, se fait aussi enculer. Dans les bras de papa, son enfant respire le bonheur. Les quelques relents fécaux liés à une telle pratique ne semblent pas devoir la déranger. Ni que sa mère soit cocue. Elle ferme les yeux pour mieux apprécier, parce que l’essentiel, c’est l’amour.
Trop fragile ce monde. Ces enfants nés de la tromperie se briseraient en mille morceaux s’ils savaient. Il leur faut des explications séduisantes. Le gouvernement est là pour leur en donner. Accepter tout. Voilà la solution. La pulsion n’a pas de limite. Ou si peu. Il est interdit d’enculer les enfants. Mais c’est tout récent. Il a fallu une 30aines d’années pour revenir au tabou d’entant. Vous imaginez. Nous redonnons vie à Sodome et Gomorrhe en croyant innover. L’humain évolué avec sa mémoire de poisson rouge. 2000 ans de progrès christique et en 3 secondes, les familles sont détruites. 3 secondes et l’enfant se retrouve dans le lit adultère de son père ou de sa mère pour mieux juger de son activité sexuelle avec un partenaire de même sexe. L’enfermement au nom de l’ouverture et de la libération. L’inversion satanique à l’oeuvre. Merveilleux les contorsions du diable.
L’enfant doit allégeance à ses parents. Il est prêt à accepter les pires maltraitances. Toutefois, ce n’est plus une responsabilité aux yeux des adultes. Non, ce dernier doit pouvoir vivre sa vie. Et l’enfant s’y adapter. Mais rassurez-vous : « on fait tout pour le bien des enfants dans notre monde si moderne ». Evidemment… Alors l’enfant s’adapte. Dans le bien comme dans le mal, ce qui fait que l’abus est partout. Normal qu’il soit perdu à l’âge adulte. Et que durant son adolescence, une adolescence qui dure de plus en plus longtemps, il affiche la couleur en toute bonne foi, avec ses cheveux bariolés, ses tatouages, ses piercings et autres marques sociales de son asservissement. Il n’est plus qu’un être doué d’affects, et la société devait l’accepter tel quel. Hanté par le sentiment d’être identique à tous les autres, cherchant l’originalité à travers les stigmates qu’il s’inflige, il échoue à s’individuer. La seule affirmation réelle qui découle de son attitude et de ses propos : un cri animal de l’ordre du « nous sommes tous pareils, mélangeons nous, disparaissons dans la masse derrière nos masques ».
Dans les manifestations anti-pass, les quelques adultes présents ont attendu longtemps les jeunes sans comprendre que les jeunes ne viendraient pas, car ils ne sont que le produit final de notre société. Notre société étant devenue un gourbi d’adultes lâches, nos jeunes ont été abandonnés à leurs idées simplistes. Pas de fachos. Pas de racistes. Pas d’intolérants. Rien de tout cela. Sur l’affiche, la fille à papa est nègre. Voilà qui devrait les mettre au comble de l’extase. Il y a aussi des pédés noirs. Le nègre et le bougnoule ont aussi le droit, non le devoir, de devenir des dégé….. comme nous. De grands idéaux en bandoulière jusqu’à se priver de la plus élémentaire des libertés en cautionnant une muselière néfaste pour leur santé et inutile à la société.
Oh qu’ils le recherchent cet esprit de sacrifice sans connaître son nom : Jésus. En attendant, ils se construisent dans l’exclusion, de l’intolérant. Mais à force de rejet, que sont-ils eux ? Ils n’en savent rien. Ils vont le découvrir avec les années, avec un risque accru de devenir des intégristes, des puritains d’un camp ou de l’autre, des hypocrites.
S’ils cautionnent le viol de leur jeunesse, ils reprendront à leur compte la folie décadente de leurs parents. S’ils ne supportent pas la forfaiture, ils pourraient bien la vomir jusqu’à l’attentat. C’est bien de vomir, mais pas jusqu’à devenir l’image de celui qu’on combat. Il est à s’inquiéter de savoir s’ils arriveront à cette mesure profonde qui fonde tout adultéité. S’il leur en est laissé l’opportunité. Car je me sens un peu seul à vomir devant de telles affiches, grossières. Ah si, depuis un an que nous subissons cette provocation dans toute la France, une courageuse élue dénommée Céline Juillé de Versailles, a affirmé dès le début que les questions intimes auraient dû rester dans l’intimité.Tout le monde ne vote pas E Macron à Versailles. Le magazine sodomite en faillite et sous perfusions étatiques « Têtu » en est le premier étonné. La menace fasciste a encore le ventre chaud et fécond. Il faut bien mettre des épouvantails dans le champ du progressisme pour en éloigner les quelques esprits qui voudraient encore se mettre à réfléchir et à s’élever. Boulevard Voltaire a aussi commis un écrit timide. L’intention était là, mais la censure et la stigmatisation des minorités blanches hétérosexuelles menacent…
Autre technique habituelle de nos dégé… pour coloniser notre société : ne jamais être contents. La campagne n’est pas suffisante. Tous ceux qui n’ont pas mis la main dans le pot de confiture se récriminent. Beaucoup ont été consultés, mais pas eux. Ils avaient leur mot à dire, et pourquoi pas être payés en sus. Sur toutes les affiches, le dégé….est montré de dos. Tandis que le visage du tolérant s’affiche en gros. Vont-ils enfin comprendre que l’état n’en a rien à faire de leur cul ? Pas sûr. Ils espèrent toujours que cette infâme machine collective puisse faire plier les consciences, tandis qu’elle se nourrit surtout de leurs manques.
Ce qui intéresse l’état, c’est la majorité de votants, c’est elle qu’il faut convaincre. Et il est impossible de s’adresser à elle sans discriminer. Tout effort de communication ou de pensée, étant un acte de discrimination, mot sale de notre époque. D’ailleurs comment les troublés ne pourraient-ils pas finir victime d’une telle démarche infantilisante. Non mais vous imaginez, rien que le titre du poste de celle qui défend cette campagne, Lucile Bluzat, « chargée d’expertise en marketing social dans l’unité santé sexuelle de Santé publique France ». Il y a en France assez d’argent pour payer des fonctionnaires à markéter notre santé sexuelle, parce que nous ne sommes pas aptes à la prendre en charge évidemment.
En matière de santé sexuelle, cet organisme pourrait plutôt nous avertir sur les dangers de la sodomie. Que nenni. Notre institution en lieu et place de santé, fait surtout de la politique pour bambins capricieux. Le sida n’est pas une maladie de sodomites non ! Surtout pas. Ca pourrait faire sortir les gens de leur terreur. Ils pourraient se dire cela ne les concerne pas, qu’il suffirait d’en revenir à une vraie pratique amoureuse et non vivre d’une fantasmatique dangereuse. Et puis ils trouveraient le moyen d’en conclure que c’est une maladie à pédés ces cons, et pourquoi pas les brûler sur la place publique. Stop à l’homophobie, cachons la vérité, pour le bien du petit peuple qui ne comprendrait pas, pour préserver l’ordre public.
A mon avis, s’il y a des limites à ce que peut comprendre un individu, si la nature est remplie de saines règles, par contre, il n’y a aucune limite à la connerie d’état qui est une machine à engendrer de la connerie. Il ne faut pas aller chercher bien plus loin avec ce faux dieu, et se donner des explications farfelues quant à ses immanquables échecs. Cette machine à opprimer que les hommes se donnent par jalousie de leur prochain, est une machine bête à manger du foin, aveugle, méchante et destructrice dans son essence même. Ces affiches pleines de bons sentiments en sont la preuve.
Le bon sentiment, c’est l’horreur absolue de notre époque. Si vous voulez massacrer les familles ou une population entière, rien de mieux que de dire que vous le faites pour sauver des petits n’enfants ou au nom de la « tolérance ». Il n’y a qu’à voir en Ukraine du côté otan ou russe. Les uns chassent les nazis, les autres les envahisseurs. Rien ou si peu sur les bas intérêts matériels des uns et des autres, dont la prise en compte permettrait une résolution pacifique du conflit. Il faut se légitimer auprès du bon peuple dont on favorise les sentiments dociles et naïfs. Celui qui croit, y est, et favorise la guerre en toute bonne conscience.
Ici, une fille embrasse son père. Mais une fille enserre aussi sa lesbienne de colloc, sans penser qu’il y a forcément une ambiguïté dans leur relation. Tout comme avec l’homme dont le pote est gay. Il n’y a pas d’amitié entre homme et femme, pas plus qu’il n’y en aura jamais avec une personne troublée dans son identité sexuelle en proximité avec une personne de son sexe. Il s’agit là de favoriser des promiscuités malsaines tandis que les hommes et les femmes ont déjà tant de mal à se rencontrer. La grand-mère qui se réjouit d’avoir une petite fille trans me semble lui avoir transmis des valeurs qui débouchent sur l’effondrement de sa famille. Encore pire pour ce père qui enlace sa fille lesbienne dans ses bras, oubliant ainsi qu’il a abusé de sa fille pour en faire un garçon, ou bien qu’il n’était rien pour sa femme, à ce point que sa fille n’a surtout pas envie de se reproduire avec un homme.
A l’envers de l’affiche inclusive sur laquelle je suis tombé dans la rue, il y avait une fille qui nous vantait les mérites de son maillot de bain. Au début j’ai cru que c’était une campagne pour partir en vacances en Nouvelle Calédonie. Je ne suis plus très au fait des tendances en matière de marques. De toutes les manières, la tolérance se consomme comme les maillots de bain, ou comme les voyages en vacances. Cette affiche de négresse nous montre l’envers de nos grands idéaux, finalement remplis d’avidité. Au moins cette dernière est-elle moins hypocrite que la campagne d’état. Le corps de la femme exerce son pouvoir sur nous, coupant court à toute pensée. L‘état lui, a la prétention de nous faire réfléchir en manipulant nos émotions, stade plus avancé dans la corruption que celui de la simple publicité mimétique.
Ces affiches sorties à Paris depuis un an, se sont désormais diffusées à toute la province. Il fallait bien que les bouseux en goûtent aussi, de cet air si sain en provenance de la capitale. Il fallait aussi prendre le temps de savoir si cette campagne ne serait pas contre-productive. Rassurez-vous, elle a laissé la masse dans son indifférence crasse. Les gens se sont habitués à vivre au milieu de l’ordure. Ils sont devenus ordure. Ils n’y croient plus. Et leurs enfants perdus non plus. C’est l’amour qui compte.
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