La famille traditionnelle, seul modèle viable.

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A force d’entendre parler d’union entre hommes, d’unions entre femmes, d’union entre son chien et entre son chat, on en oublierait presque l’essentiel : le meilleur modèle est celui de la famille traditionnelle! Comment ne pas lier tous les problèmes que nous rencontrons dans notre société à la dislocation de la famille traditionnelle ? Observons bien à tous les niveaux de notre société ce qui se passe et ne faisons pas l’impasse sur notre propre vie, surtout pas, quand bien même nous n’aurions pas été glorieux!

1 Et commençons par le haut! Aujourd’hui, en France, nous avons choisi comme président de la République un papa rassurant et un peu autoritaire (Nicolas Sarkozy). Nous ne l’avons pas choisi pour ses compétences, cela se saurait, nous l’avons fait parce que nous avions besoin de nous rassurer en nous choisissant une figure masculine, paternelle stable qui nous aurait protégés de ce monde complexe. Sauf que le dit papa, n’en avait que les apparences, et les pauvres enfants que nous sommes se trouvent encore plus orphelin avant qu’après.

 

2 A côté de cela, les jeunes « des banlieues », élevés, soit sans figure paternelle, soit dans ces familles traditionnelles vomissent l’autorité d’un état qu’ils ne reconnaissent pas ou auquel ils demandent des comptes (dans le meilleur des cas, le pire des cas étant ces jeunes qui s’effondrent socialement et psychologiquement, sans révolte). Ils pressentent bien qu’ils sont le fruit d’une conjecture hasardeuse, d’un système qui a fait appel à leurs parents pour faire le sale boulot, tandis qu’on ne leur offrait que les restes d’une société misérable, ou bien d’un système qui, à coup de subventions, faisait pondre des filles mères pour la grandeur de la France. Mais eux, qu’ont-ils demandé ? Ils n’ont pas cherché à être le fruit de cette histoire. Pourtant, ils sont là, avec leur vie, et la révolte qui gronde en eux, sourde, et inaudible à nos oreilles d’intégrés. En se révoltant, ces jeunes ne veulent plus se positionner en victime. Ils désirent l’éducation qu’ils n’ont jamais eue, les limites que, tant bien que mal, cette société leur a enlevées en scandant haut et fort « ni Dieu ni maître ». Aujourd’hui c’est un de ces bâtards que vous lisez. Oui, beaucoup comme moi, n’ont pas les mots pour exprimer ce que je suis en train de faire, mais d’autres ont choisi de s’éduquer seul, de grandir seul et de cracher à la face du monde des intégrés ce qu’ils ne veulent pas entendre.

 

3 Quant au monde des intégrés de la bonne vieille France multicolore, il n’est pas plus rose, loin de là. La famille traditionnelle française, est attaquée de toute part, elle se décompose et se recompose au gré du vent, oubliant également ses enfants. Nous en appelons à une révolte de ces enfants. Ils sont nombreux a avoir subi le remariage d’un de leur parent, à avoir été exclus à cette occasion par le parent « rapporté ». Il y a aussi ceux qui ne l’ont pas vécu mais qui ont pu voir l’injustice subie par un enfant innocent qu’on chargeait de tous les crimes de l’ancienne relation. Ceux qui ont vu l’échec total de la plupart de ces remariages pour les enfants doivent également parler. C’est un devoir impératif, de dire que ces familles recomposées ne sont pas l’idéal qu’on nous a vendu. Que des familles décomposées réussissent, soit. Mais souvent elles le font sur un modèle traditionnel. Cependant, en général, les tensions naturelles entre les enfants de l’ancien et du nouveau couple sont telles, qu’elles deviennent bien souvent ingérables, jusqu’à faire de petits martyrs dont on tait la vie et qui peuvent, à l’adolescence, en mourir, s’ils n’en sont pas entièrement détruits psychologiquement. Pourquoi si peu d’enfants de divorcés témoignent ? Souvent pour survivre, l’enfant de divorcé est obligé de justifier le comportement de ses parents, qu’il soit bon ou mauvais pour conserver une bonne image d’eux, et de lui. A l’adolescence, souvent, tout explose. Et le feu d’artifice ou le mensonge, mure les uns dans la violence et les autres dans le silence. Ayant travaillé au contact d’enfants réellement à la dérive, je peux vous garantir que si tous les enfants ayant subi des violences divorçative ne finissent pas à l’hôpital psy, à la rue ou en prison, en revanche, tous ceux qui y sont, ont subi ces violences familiales. Ces familles totalement instables proposaient un modèle si peu relevé (sans règle) à leur progéniture que celles-ci ne trouvaient plus aucun sens à leur vie. Quant bien même nous sommes le fruit de ces familles recomposées, et que nous le serons de plus en plus, quand bien même nous serions le fruit d’une de ces familles recomposée qui a miraculeusement permis l’épanouissement des siens, il n’est pas inutile de garder en tête l’idéal de la famille traditionnelle pour sa stabilité et les moindres risques qu’elle fait encourir à ses enfants.

 

4 Dans les entreprises, l’ambiance de travail s’est massivement dégradée, jusqu’à ce que des gens en arrivent à se suicider (doit-on rappeler que la France est la première au monde en ce qui concerne le taux de suicide de sa population, plus de 10 000 par an. Y-a-t-il une seule campagne pour prévenir ces suicides et identifier quel était le vécu de toutes ces personnes ?). On ne donne plus d’éducation à nos enfants, on ne leur donne plus de repères, on croit que ça sert à rien, que ce serait traumatiser ce pauvre petit chéri. Résultat, quelques années plus tard, ce pauvre petit chéri (ou petite chérie) n’a aucun remord à s’en prendre à un collègue de travail pour se soulager de toute sa frustration. Les boucs émissaires sont de retour dans notre société laïque. Et ces boucs-émissaires sont les maillons faibles du monde du travail, ceux qui sont différents, isolés, plus faibles ou plus forts que la moyenne des animaux salariés (jusqu’à ce qu’un de ces animaux finisse également comme bouc émissaire). Non contenue durant l’enfance, la frustration ressort d’autant plus facilement à l’âge adulte. Loin de fabriquer des êtres épanouis ces familles matriarcales sont des usines à irresponsables dégénérés. Seule l’éducation paternelle permet de stopper net les frustrations de l’enfant, et donc du futur adulte. Prisonnier de lui-même l’enfant qui grandit sans l’idée même du père, risque à tout moment de devenir un trou noir dans le monde social.  

 

Alors que dire quand la ligue LGBT (laid gras du bide et transmachin) revendique de pouvoir former également des familles sinon que cette attitude est criminelle. Il est vrai que lorsqu’on ne tire pas les conséquences de décennies d’échec, on pense pouvoir aller plus loin dans le crime. Après avoir donné aux enfants l’exemple de parents incapables de s’entendre, après avoir constaté l’échec de cette démarche, va-t-on donner aux enfants des modèles de parents dont l’identité sexuelle est, à ce point instable, qu’elle en est renversée! Que croit-on faire en autorisant des homosexuels à élever des enfants, sinon permettre une régression culturelle et naturelle de plusieurs millénaires. Nous ne voyons pas la violence que nous avons créée, et nous ne voulons surtout pas la voir. Pourtant ce monde animal et régressif est là! Il n’est pas pour demain, il est en face de nous, ce sont nos propres vies sur lesquelles nous ne voulons pas porter un regard lucide et plein d’espérance. Si nous ne sommes pas des exemples, que dire de ces personnes qui ont perdu le sens de la mesure au point d’oublier qu’un idéal puisse exister. Si cet idéal reste hors d’atteinte, par définition, aucune société ne peut se permettre de vivre sans. Cet idéal est celui de la famille traditionnelle. L’idéal LGBT d’un monde où l’amour suffirait à élever des enfants est un grand mensonge. Ce mouvement, en parlant d’amour, a travesti même le sens de ce mot. L’amour, c’est d’abord penser aux autres et donc aux enfants. L’amour ce n’est pas penser à soi en érigeant d’autorité un « droit à l’enfant », attitude pour le moins égoïste et régressive.

 

69 réponses à “La famille traditionnelle, seul modèle viable.”


  1. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    « Les hommes qui ne font pas le ménage sont moins heureux », figaro du 13/05/2015.

     

    Certainement une réponse du Crédoc à cet autre étude parue il y a 2 ans :

    « Plus un homme fait le ménage, moins il a de rapports sexuels », Le Point du 30/01/2013.

     

    Seulement l’étude française pèche évidemment sur de nombreux points. Et il ne faut pas être très intelligent pour comprendre la manipulation. En premier lieu, les disputes et les non-dits définissent le malheur selon les enquêteurs. Or tout couple qui se respecte passe par des crises, salutaires. Et que ces disputes servent justement à briser les non-dits… d’où contradiction dans les termes de l’étude.
    En deuxième lieu, c’est aussi « l’idée de séparation » qui sert de définition au malheur du couple. En somme, les personnes conscientes qu’elles pourraient se séparer, sont définies comme les moins heureuses. Et c’est précisément celles qui vivent avec l’idée de la séparation chez qui les tâches ménagères sont réparties de la manière la plus complémentaire. Or cette forme de conscience, définie comme une souffrance, est surtout un gage de réussite. Les autres, qui vivent dans l’inconscience, ont certainement beaucoup plus de chances de se séparer. Cqfd. Ceci est d’ailleurs confirmé un peu plus loin dans l’étude par le fait que les garçons élevés au sein de familles mono-éducantes, sont aussi ceux qui participent le plus aux tâches ménagères. Or on sait aussi que ces mêmes garçons divorcent plus que les autres. En somme, plus les tâches domestiques sont indifférenciées plus le divorce se profile à l’horizon. Merci le Crédoc, nos journaux et l’AFP, d’avoir diffusé le résultat inverse et de participer à la séparation au sein des couples en diffusant des idées débiles.


  2. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal


  3. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal


  4. Avatar de kasimar
    kasimar

    Pour en rajouter une couche : Dans un livre intitulé masculinité etat des lieux de Daniel Welzer-Lang on a un chapitre comment on fait les pères au foyer ?

    Comme le rappelle Laura Merla dans sont article « père au foyer » […] Il s’agit :
    -d’un rapport spécifique des hommes à leur travail. D’un recul, d’un désengagement possible;
    -d’une valorisation de la paternité relationnelle et de la disponibilité du père;
    -de la valorisation de l’investissement professionnel de la femme par les deux membres du couple, de la rentabilité économique de celui-ci, suceptible de compenser le manque à gagner inhérent à l’arrêt du travail de l’homme.

    Les pères au foyer sont de plus essentiellement issus « des classe moyenne/supérieure » selon une étude de Merla sur 21 pères en Belgique. Comme par hasard, les classes d’une certaine couche sociale, qui emboîtent bien souvent le pas lors d’un progrès sociétal quelconque. Les militants en toute genre sans mauvais jeu de mots ne sont ils pas issus eux-mêmes de ces classes ?
    Dernière pour la route

    plus le poste de la femme est qualifié ou […] il s’agit d’un emploi non traditionnellement féminin, plus les femmes ont tendance à partager le congé parental avec le père.

    Voilà pour les extraits. Vous l’aurez compris, Laura Merla citée dans cet ouvrage dans le chapitre « De l’intérêt à analyser la marginalité des pères au foyer », a étudié le phénomène dans un livre intitulé Père au foyer : une expérience « hors norme ».
    On aurait bien aimé en revanche un approfondissement de « la valorisation de l’investissement professionnel de la femme par les deux membres du couple », c’est à dire comment ces hommes font ils pour se dévaloriser professionnellement tandisqu’ils valorisent leur compagne ?
    Je pense que pour les congés parentaux, c’est un peu du papa poule en plus soft. Qu’en pensez-vous 💡 ?


    1. Avatar de Léonidas Durandal
      Léonidas Durandal

      Je constate seulement qu’il faut être dans une société très riche pour retirer du marché du travail ceux qui sont culturellement les plus aptes à être rentables, tout en y mettant des personnes qui perdent beaucoup de temps à cause de leur biologie, sans parler de leurs aspirations réelles.
      Je constate aussi qu’on se moque, comme d’habitude des enfants.
      C’est du n’importe quoi, tout simplement. Notre société marche la tête à l’envers et elle confond tout. Comme cette façon de sous-entendre que tous les métiers se valent ou que le travail salarié pourrait être le summum de la réalisation personnelle. C’est du n’importe quoi quand on voit quelle est l’ambiance au travail salarié actuellement. Beaucoup d’hommes voudraient pouvoir travailler de manière plus indépendante, pourquoi pas chez eux, tandis que beaucoup de femmes rêvent d’être salariées fonctionnaires riches. Voilà la réalité de la différence hommes-femmes. Les hommes se foutent du fric. Ils désirent être responsables sur leur poste. Quant aux femmes, elles ont une peur panique de prendre des risques, de risquer leur vie pour un projet. Par contre, elles aiment la sécurité, en travaillant de manière salariée ou pas. Combien de grands projets d’hommes sont nés dans des garages avec aucune reconnaissance, aucun argent. Dites moi combien de femmes sont prêtes à tout perdre dans leur vie ? C’est tellement peu naturel qu’il n’y en a presqu’aucune. Quand elles végètent comme artiste c’est souvent pour une question de confort, ou pour être admirées. Quelles pauvres connes médiocres ! Elles construiraient tout aussi mal leur famille qu’elles croient créer, alors d’un certain point de vue, qu’elles travaillent, oui. Pendant ce temps, elles laissent les vrais projets importants pour notre société se réaliser. Elles laissent les femmes sensées faire des enfants. Moi je voudrais que toutes les salopes travaillent encore plus, jusqu’à ne vouloir plus vouloir faire d’enfants.
      Je pense que cette façon d’étudier les papas poules est complètement maladive. Comme si nous n’avions ni limites biologiques, ni limites sociales, et comme si de grands principes égalitaires ou de renversement des valeurs pouvaient seuls assurer notre bonheur. Mensonges, mensonges et encore mensonges. La plupart des gens font comme ils peuvent, ils n’ont pas le temps, ils sont complètement paumés car on les a paumés par ce cadre réflexif en enlevant la spiritualité de leur vie. S’ils croient pouvoir être heureux en restant à la maison ou en allant travailler, si c’était aussi simple, ça se saurait depuis longtemps. Déjà, s’ils étaient capables de construire un cadre cohérent dans leur famille, ce serait pas si mal. Mais on leur donne des ambitions utopistes tandis qu’ils ne sont même pas capable d’agir sur leur propre vie et de faire quelque chose de bien avec. Rigolade.


  5. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    La Pologne offre une médaille aux couples qui durent. Encore bravo la Pologne :

    12/12/2014 figaro madame


  6. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Des divorcées se retrouvent dans un squat après la crise en Espagne. Elles sont en passe d’être expulsées. Cela devrait leur redonner le goût de revenir à une bonne société patriarcale à l’ancienne :

    Rue89 du 12/02/2014


  7. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Un couple de lesbiennes fait changer le sexe de son fils adoptif de 11 ans!!

    http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/un-couple-lesbien-fait-changer-le-119508


  8. Avatar de rondoudou
    rondoudou

    Je t’interdis d’insulter ma mère de tarée. Elles nous à très bien éduquée SEULE, et sans pension alimentaire du père, ni aucune allocation d’aucune sorte !!! Si t’es pas content tu vas au Yémen où y a plein de jolies petites familles traditionnelles là bas =) et pas d’allocations, donc t’aura pas à t’en faire ! Aller vas y, si tu veux j’te financerais ton billet d’avion, ça fera du bien à la France et aux FEMMES. =)


  9. Avatar de rondoudou
    rondoudou

    Mais alors FAIT TA FAMILLE TRADITIONNELLE A LA CON et arrête de nous casser les pieds !!! Ah non j’oubliais… On peut toujours courir pour que tu tombes un jour sur une femme qui 1. ne soit pas ta mère 2. ne soit pas virtuelle :DDD


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