A contre-temps. Je crois qu’il n’y a pas de meilleur mot pour désigner l’action politique des femmes. Moins réactives, elles votent toujours en retard par rapport aux hommes. Lentes à s’adapter, les décisions politiques qui s’imposent en démocratie féminisée sont prises trop tard, et en deviennent même contre productives.
Brutalité. C’est le deuxième mot qui me vient à l’esprit pour caractériser leur action. Quand leur influence a provoqué des dégâts délétères dans la société, elles en appellent à leur cher petit tyran pour remettre à flot la société qu’elles se sont elles-mêmes évertuée à détruire.
Mauvaise foi. Voilà encore le moyen pour elles d’échapper à leur évidente responsabilité. Et là, ça ne concerne pas toujours que le domaine politique.
Conservatrices. Elles votent à droite dans une société de droite et à gauche dans une société de gauche. Toujours suivistes du plus fort, elles n’ont aucune forme d’empathie pour le perdant. L’exclu, le marginal, très souvent un homme, n’existe pas pour elles, sauf pour les valoriser (les baiser dans des associations de migrants par exemple).
Intérêt personnel. Si la société est de droite, elles votent contre le groupe uniquement si leur intérêt personnel est en jeu. Et inversement si la société et de gauche. Elles sont incapables de concevoir une quelconque forme d’intérêt collectif, ou alors, celui-ci se confond avec leur intérêt personnel au sein de la ruche, dans la défense du « droit des femmes » par exemple, autrement appelé « féminisme ». Penser le pouvoir masculin et féminin de manière complémentaire, ne leur est pas naturel.
Pour toutes ces raisons et bien d’autres, les femmes sont généralement un poids d’incohérence publique. Mais prenons quelques exemple pour être plus clair.
En 1974, c’est François Mitterrand qui aurait dû être élu par les hommes. Au lieu de cela, c’est Valéry Giscard d’Estaing qui l’a été sous la pression des femmes (comme l’ont été tous les présidents de la 5ème république à une exception près). Résultat, cherchant à plaire à ces dames, Vge autorise l’infanticide par avortement et le regroupement familial. Il n’est même pas certain que François Mitterrand élu, ces deux mesures de suicide civilisationnel eussent passé. Ou au moins, avec une véritable opposition aurait-on pu revenir dessus quelques années plus tard… Au lieu de cela, nous avons eu un gouvernement de droite appliquant des mesures de gauche pour plaire soit disant aux femmes. Puis les femmes comprenant que le vers était dans le fruit, elles ont commencé à voter en majorité pour des personnalités de gauche. Le pays entier est passé à gauche depuis, présidents de droite ou pas. Elles se vendent au plus offrant et comme elles sont majoritaires…
Désormais, l’infanticide par avortement est un élément conservateur (inscrit dans la constitution) de notre société pratiqué et validé par les femmes… avec brutalité. Comme pour la prise d’hormones sous forme de pilules contraceptives qui bouleverse la biologie, la psychologie, l’état d’esprit en profondeur de celle qui la prend, l’infanticide par avortement réussit l’improbable exploit d’allier une brutalité sans nom contre son propre corps à une brutalité sans nom contre le corps d’un autre. Pour retrouver les apparences d’une telle brutalité chez les hommes, il faut aller chercher dans les guerres modernes parmi des armées qui animalisent l’ennemi, jusqu’à tuer femmes et enfants dans le ventre de leur mère. Ce n’est pas si courant. Au contraire de l’infanticide par avortement. Toutes ces femmes qui s’autorisent un droit de vie et de mort sur leurs enfants, vont après se plaindre de ne pas trouver d’hommes responsables lors d’un divorce ou en général. Pour elles d’ailleurs, il n’y a pas de lien. Elles s’approprient un droit exclusif sur l’enfant, jusqu’au droit de vie et de mort, mais elles ne voient même pas en quoi cela prive le père d’exercer une véritable responsabilité. Car pour elles, il n’y a qu’elles. Surtout si la loi valide un tel narcissisme. La responsabilité d’un homme signifie, en ce qui les concerne, soutien à leur égard, et non prise de décision autonome. Les décisions leur reviennent. Pour elles, la responsabilité d’un homme, c’est de « subvenir aux besoins matériels de l’enfant » , ce qui est plutôt une forme d’irresponsabilité, puisque la responsabilité personnelle de l’individu est confié à sa mère, qui possède de surcroît, la possibilité matérielle de s’exonérer de toute influence paternelle, puisque le père est « obligé » de subvenir aux besoin de l’enfant, même lors d’une séparation alors qu’il ne voit plus ses enfants pour des motifs plus ou moins scabreux.
Désormais, à cause de leur promotion de l’irresponsabilité masculine, les femmes ne se sentent plus « soutenues » et évoquent souvent cette « charge mentale » qui les accable, oubliant de dire qu’elles-mêmes ont voulu aller travailler, qu’elles le veulent toujours, mais aussi s’occuper des enfants, ou les tuer, que leur mari travaille toujours, et leur offre leur petit confort etc. La stérilité progresse au fur et à mesure que des lois favorables à de tels désirs hystériques sont votées en faveur des femmes.
Pour revenir aux décisions purement politiques des femmes, l’immigration est favorisée pour des raisons sentimentales, l’infanticide par avortement également, puis, quelques années plus tard, pour ces mêmes raisons sentimentales, les femmes se plaignent : d’être en insécurité à cause de l’immigration, et de subir une charge mentale à cause de toutes leurs responsabilités comme je l’ai évoqué plus haut. Et là, vous avez, de nouveau cette (fausse) droite française traître, qui les suit sur leur chemin de la pleurniche.
Personnellement, quand j’entends qu’une femme s’est faite violée dans la rue, ou qu’un professeur s’est pris une grosse bouffe dans la tronche, avant d’éprouver la moindre compassion, je me demande toujours si elle a voté à gauche. Personne, si ce n’est Dieu, ne peut s’opposer à la justice divine. Ca « tombe bien », ces femmes ont souvent abandonné leur religion.
Régler le problème de l’immigration maintenant que les femmes en sont victimes ?
Il est trop tard pour revenir sur une immigration de masse installée, dont nous ne pouvons désormais prévenir les effets négatifs qu’en stoppant net les flux d’entrée, tout en favorisant une résurrection spirituelle de notre propre société. Mais il faudrait beaucoup de tact et de fermeté pour ce faire. Tout ce dont ces femmes qui nous envoient en première ligne, et qui envoient leurs pantins, sont dépourvues. Par exemple, cela supposerait, notamment, de revenir sur ce fameux « droit à l’infanticide par avortement ». Or si les nouvelles populations autochtones sont très sceptiques quand à ce droit, les femmes bien de chez nous, accompagnées de leurs zozos, ne font toujours pas le lien. Quant à se payer un coeur, ce n’est pas à l’ordre du jour. Difficile d’espérer de se reproduire dans de telles conditions, quand bien même une improbable remigration pourrait être organisée. Cette culture de mort nous colle à l’âme surtout si nous nous rappelons que nous avons été incapables de nous organiser pour prendre des décisions mesurées quand il était encore temps.
A l’époque, il ne fallait pas brusquer les pov’étrangers. Les patrons et l’extrême gauche, ces nouveaux marchands d’esclaves, ont pu se frotter les mains ensemble, rejetant la responsabilité des morts sur la route, sur ceux qui voulaient empêcher ces flux. Incohérence incohérence. Quand une femme voit un petit enfant mort sur une plage, elle n’imagine jamais que c’est sa compassion de femelle qui l’a tué. L’hystérie est partout dans une société féminisée, surtout parmi les hommes qui sont élus par ces femelles. L’hystérie, ou l’utérus placé là où il ne devrait pas l’être. C’est bien de cela dont nous parlons, une maladie qui touche autant les femmes que les hommes de nos sociétés.
Idem avec l’ukraine dont il faut sauver les pov’femmes violées par les méchants russes. Idem avec toutes ces guerres injustes qui se justifient par de petits garçons avides de défendre les petits bébés massacrés dans les couveuses ou je ne sais quoi de toujours plus délirant et qui n’a ABSOLUMENT rien à voir avec une prise de décision politique. Quand les cohortes de réfugiés arrivent, les droitards qui ont favorisé ces guerres, sont les premiers surpris, et les femmes plaignent ces pauvres réfugiés, qui vont leur servir bientôt d’esclave. Car il faut payer tout le système social dont elles bénéficient. Et pour cela, elles en ont l’instinct, il faudra des contribuables qu’elles ne pondent plus. Jusqu’à ce que le système social lui-même ait tué toute possibilité d’intégration fiscale du nouveau résident. Incohérence, et donc obtention du contraire de ce qui était prévu.
Dans le milieu du travail, les femmes sont tellement inadaptées qu’elles pensent encore de nos jours que les hommes vont travailler pour de l’argent. Elles les ont si bien éduqués d’ailleurs, qu’il n’y aura bientôt plus que de ces petits enfants avides pour aller gagner de l’argent pour elles et leurs chiards. Quand elles voient des professions entières se féminiser (santé, justice, éducation), elles ne se remettent absolument pas en cause. Ce n’est pas elles qui en ont chassé les hommes de bien des manières, mais parce que ces milieux devenus féminisés, « ne seraient pas assez valorisés », et notamment pas assez payés. Elles sont à des milliards de lieux d’imaginer qu’un homme véritable ne travaille pas pour l’argent, mais pour s’amuser, pour jouer, pour l’aventure, par esprit de solidarité collective, pour leur famille. Et pourquoi en sont-elles incapables ? Parce qu’elles imaginent que les hommes sont comme elles, aussi vénales. Or, il n’y a rien de tel pour faire fuir un homme d’un milieu professionnel que de le réduire à « gagner de l’argent ». Il n’y a que des enfants à maman qui pensent ainsi. Un homme, un vrai, peut vivre dans n’importe quelle condition. Le confort ne lui est pas nécessaire. Il peut se débrouiller sans la société, contrairement à la femme. Et ce sont d’autres motivations qui l’animent. Aller travailler pour remplir sa gamelle est la pire activité possible pour un homme, ce qui est, au contraire, le summum de la réalisation personnelle pour une femme, parce que cela va lui permettre de « pouvoir consommer », d’accéder à son petit confort de merde, proche de provoquer la vomissure pour tout homme normalement constitué.
Un homme doit aimer ce qu’il fait. La paye passe en second plan. Dans les années 50, les professeurs vivaient dans la misère. Ils devaient avoir plusieurs travaux souvent (secrétaire de mairie etc). Ils étaient heureux et respectés. Ce n’est qu’avec la massification de l’enseignement et l’arrivée des femmes, que les conditions de travail sont devenues confortables. Nous en payons désormais le prix. Le métier est totalement dévalorisé, il n’a plus de sens, il est rempli de harpies qui attendent leur paye à la fin du mois et qui chassent toutes les personnes qui pourraient penser différemment, parfois avec un certain sadisme. Mais elles donnent le change. Il faut leur reconnaître cela. Et elles se plaignent encore que le métier n’est pas assez payé, ce qui justifierait son abandon par les hommes, manière de détourner encore plus de fric.
Confort, irresponsabilité, vénalité, voilà ce qu’est devenue la vie publique en général depuis que les femmes se sont imposées. Et désormais qu’elles perdent leur petit confort, elles commencent à envoyer les hommes en première ligne pour rectifier les erreurs qu’elles ne cessent de commettre. Désormais qu’elles ne sont plus en sécurité dans les rues, elles commencent à réfléchir concernant les effets néfastes de l’immigration. Désormais que le système est prêt à s’effondrer, elles commencent à voter aux « extrêmes ». Désormais que la corruption est devenu la norme, elles se demandent s’il ne faudrait pas revenir à une forme d’autorité et de souveraineté. Laissez-nous les commandes. Point à la ligne. Vous ne devez absolument pas participer directement au débat public sous peine de vous offusquer à la moindre proposition, au moindre acte que vous jugerez par trop virile ou trop mesuré durant une crise, et d’empêcher ainsi toute prise de décision, surtout politique. Car ainsi êtes-vous. Vous aimez bien vous opposer à des paroles comme les miennes tandis qu’elles ne vous regarderaient même pas dans un monde normalement constitué. Vous ne pouvez pas avoir part aux décisions publiques, sauf à la marge, exceptionnellement, le temps de guérir votre complexe de castration mal résolu par exemple, le temps d’une Jeanne d’Arc qui remet en place un homme au pouvoir. Mais pas plus. L’expérience de féminisation totalitaire a raté, il est temps d’en prendre acte. Les femmes souffrent d’un véritable handicap public qui est intrinsèque à leur nature et que rien ne pourra jamais guérir.
La libération sexuelle nous a stérilisés et aliénés. L’immigration de masse nous remplace. La féminisation/la fonctionnarisation de l’emploi nous a déboussolés et déstructure nos familles. Nous sommes malades de la féminisation totalitaire, et pas seulement au sens symbolique si l’on songe à tous ces enfants blancs wokes élevés trop proches de maman.
Les qualités féminines dans l’intime ne fonctionnent pas à un niveau public. Elles se retournent contre la société. Le manque de réaction immédiate d’une femme dans l’intime, permet de ménager les egos, de prendre du temps. La brutalité quand une décision est prise, permet d’avancer. La conservation permet la reproduction. La mauvaise foi permet d’éviter le conflit. Et l’intérêt personnel protège le foyer. Mais dans le domaine public, le manque de réaction devient accumulation de problèmes inextricables. La brutalité devient délégitimation. La conservation pour la conservation devient nécrose. La mauvaise foi empêche tout débat. Quant à l’intérêt personnel, c’est le pire, il est incompatible avec toute prise de décision politique. Quand j’entends une personne, plus souvent femme, ou/et un tribal gauchiste, m’expliquer la politique par rapport à son vécu, alors qu’elle n’a même pas conscience de l’énormité de son raisonnement, je saisis toute l’ampleur du problème social qui est le nôtre. La démocratie se conjugue toujours à une baisse du niveau et à une corruption par les intérêts personnels. S’il doit y avoir démocratie, elle ne peut être confiée qu’à des pères de famille du secteur privé.
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"Un vote n'est pas une saint Valentin. Vous ne déclarez pas votre amour à un candidat. C'et plutôt un mouvement d'échec pour savoir dans quel monde vous voulez vivre."