Les associations d’hommes (GES, SOS papa…) ont essayé d’éviter le pire lors des discussions à l’assemblée nationale et au Sénat. Cependant l’avenir n’augure rien de bon pour le citoyen homme et pour les enfants. En effet nos représentants viennent de voter une loi discriminatoire de plus, contre les hommes : la loi relative aux violences faites spécifiquement aux femmes, aux violences au sein des couples et aux incidences de ces dernières sur les enfants :
http://www.assemblee-nationale.fr/13/ta/ta0502.asp
Comment a-t-on pu voter une loi à l’unanimité qui exclut toute une catégorie de citoyens ? Vous l’ignorez peut-être mais le peu d’études qui a été fait sur le sujet montre que les violences dans le couple, sont également réparties entre hommes et femmes, voire que les femmes brutalisent plus souvent leurs enfants que les hommes (statistiques de allo119). Or cette loi qui vient d’être votée stigmatise uniquement les hommes. Pour quelles raisons ? Pour quels motifs si ce n’est le sexisme ambiant qui règne contre les hommes ? Les féministes n’ont pas obtenu gain de cause sur tous les points qu’elles exigeaient, et elles râlent :
http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?rubrique76
Mais nous les connaissons bien maintenant. Elles râlent pour aller plus loin la prochaine fois, pour nous enfoncer encore plus, pour nous réduire d’autant plus à une sous-catégorie de citoyen dès qu’elles en auront l’occasion, à nouveau. Plus rien ne les dérange. Et comme nous le soutenons depuis des années, plus rien ne les arrêtera désormais.
Contrairement à ce que dit M.Soral, contrairement à ce que disent certains mouvements antiféministes nord-américains, les féministes ne sont pas manipulées par des forces obscures capitalistes.Elles agissent pour leur propre compte. Preuve en est cette loi sociale qui n’a rien à voir avec le domaine économique et qui pourtant a été votée. Preuve en est les différentes revendications féministes qui vont jusqu’à s’opposer au droit de propriété (expropriation des hommes si une femme porte plainte pour violence conjugale). Les féministes ont eu beau trouvé une alliance auprès du grand capitalisme de consommation, il fonctionne de manière autonome désormais, à la manière d’un cancer.
Je prédis que d’ici peu, elles se retourneront contre ce capitalisme qui les a soutenues. Elles ont déjà commencé à le faire en sclérosant la vie des entreprises, en faisant voter des lois qui ont pour but de faire l’égalité sur le marché du travail, mais qui rendent la machine économique de moins en moins efficiente. Le cancer féministe est en train de gagner chaque recoin de notre société et bientôt il sera trop tard. Combien de temps allons-nous les laisser faire, en sous-estimant le danger ou en ayant peur de nous mettre en avant ?
Désormais l’école doit endoctriner les enfants sur les inégalités entre hommes et femmes et sur les violences faîtes aux femmes : Article 13 de la présente loi. Cet article permettra également aux associations de défense des droits des femmes d’être largement subventionnées, et ainsi d’entretenir la confusion sur le dos du contribuable (mais ça elles en ont déjà l’habitude).
Désormais seules les violences faîtes aux femmes seront étudiées et seules des études sur celles-ci seront financées par le biais d’un « observatoire national des violences faîtes aux femmes ». Ainsi comme d’habitude les féministes disposeront d’une armada statistique bien plus large que la nôtre. Qu’aurons-nous à répondre lorsque seule la violence des hommes sera étudiée ? Article 14 de la présente loi.
Désormais il n’y aura plus de possibilité d’utiliser la médiation pénale lorsqu’une femme aura déposé une requête devant le juge aux affaires familiales pour violence conjugale. Les couples à la dérive savent bien ce que cela veut dire : c’est un moyen de couper l’aliénation qui lie hommes et femmes dans un couple violent. Cependant que se passera-t-il lors de fausses accusations qui ne sont jamais sanctionnées ? Pourra-t-on revenir en arrière ? Et puis à cause de ces couples violents qui sont ingérables pour le système judiciaire, est-il normal de faire porter tout le poids des sanctions sur les hommes qui dans 80% des cas ne sont pas à l’origine du premier coup mais qui se retrouveront majoritairement devant les tribunaux après avoir craqué ? Article 16 de la présente loi.
Désormais porter plainte contre son compagnon français pour une étrangère sera un moyen d’obtenir sa carte de résident. Cette carte sera rendue permanente dans le cas où la violence aura réussie à être reconnue devant un tribunal. On imagine bien tous les gogos qui croient échapper au système en prenant une femme à l’étranger et qui se retrouveront, soit avec des femmes qui les provoqueront à la violence pour obtenir leur carte de résidente, ou qui allégueront de fausses accusations en les appuyant le plus possible pour qu’elles soient reconnues devant un tribunal…
Le système ne laisse à personne la possibilité de s’échapper du matriarcat français. Article 20 bis. Les femmes en France, à l’image des vaches sacrées, ne doivent plus être touchées, ni approchées. D’ailleurs elles le sont de moins en moins. Qui voudrait aujourd’hui d’une femme française en sachant le risque qu’il encoure ? Nombre d’hommes ont désormais peur d’avoir des enfants avec ces femmes qui tentent par tous les moyens de les rassurer. Ce genre de lois ne nous rassurera pas en tant qu’hommes. Ces lois ne feront qu’augmenter la peur chez nous, la peur de l’omnipotence féminine qui se propage à tous les niveaux de la société française. Il faut en conclure que le projet final des féministes est bien l’incompréhension totale entre hommes et femmes et qu’elles ne sont pas loin d’y arriver.
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