Idole, que cette femme qui tuait son enfant soit disant parce qu’elle était pauvre, mais que les riches allaient se faire avorter à l’étranger. Hideuse, cette vénale qui voulait penser par le sexe, en vous vendant de grandes utopies matérialistes et pleurnichantes. Sanglante cette tricoteuse qui s’enfonçait des fils dans le vagin ou dans celui des autres, supposée rendre un service. Aujourd’hui elle est déifiée. Le calme blanc des hôpitaux a décuplé ses moyens sous prétexte d’hygiène.
Hygiène mon cul. Le scalpel n’a pas plus d’âme qu’un fil de fer. Il choque moins, voilà tout. Cette tyrannie des sentiments. Elle ne s’exerce que dans un sens, celui des puissants, qui plongent leurs mains de médecins dans les utérus de femmes complices pour accomplir l’acte amédical par excellence.
Ces femmes du passé, je ne les respecte pas. A l’époque, elles auraient dû être rouées de coups. Aujourd’hui, il faudrait faire revenir notre bonne vieille Sainte Inquisition pour nous empêcher de les brûler sur un bûcher qu’elles méritent cent fois. Un bon tribunal catholique leur éviterait peut-être une mort 100 fois méritée qu’une population un tant soit peu consciente et humaine voudrait leur donner.
Mais voilà, il n’y a plus de peuple. Il a décidé de se suicider. Il suit le féminisme. Je suis trop violent pour lui. Entre deux violences, il préfère celle qui ne fait pas de bruit et tue par millions, à la mienne, celle des mots qui cherche à redonner un peu de sens à ce monde. Ils sont beaux ces guerriers de la vie qui ne veulent pas se salir. Le premier suicide est catholique. Il précédera tous les autres. Il est bourgeois, il est féminisé, il est mou, mollesse de blob confondante, qui recrute toujours moins, de manière toujours plus incestueuse, car ce n’est pas le Christ ni l’Église qui est important pour lui, mais ses croyances, son peuple, la communauté, son insertion sociale. Dans des époques civilisées, son souvenir nous fera vomir. Il calcule ce méchant. Des fois, je voudrais être un Cyrano et le pourfendre de mon épée, l’écraser d’une bonne grosse meule attachée à sa tête et le jeter à la rivière. Pour le monde entier, il est un appel au terrorisme, à l’abus des fous, il piétine les consciences par millions, il légitime l’absence de remise en question. Les monstres ont beau jeu de gagner le monde quand les Christs sont tués avec l’assentiment des populations dites de tradition catholique. Tradition. Silence. Nous retardons seulement l’âge des persécutions. Elles n’en seront que plus fortes. Le reste, il a au moins l’excuse de méconnaître le Christ.
Elles ont toujours tué ces femmes assassins, ces pauvres femmes meurtrières, avides de sang, qui se régalent en tuant, qui mangent les chairs, et s’en repaissent. Elles font naître aussi. Alors les faibles, trop pleins de gratitude, leur excusent tout. Ils n’ont pas tué la mère. Ils sont d’autant plus loin de tuer le père. Ils ne sont rien, pas encore nés. L’utérus ne peut pas faire naître un humain. Il fait naître un singe évolué, au mieux. L’âme vient de plus haut, heureusement. Elle sait l’âme, qu’il n’est pas beau de tuer d’autres âmes, pour faire naître une génération de singes. Vous n’êtes pas que des macaques, infâmes femmes tueuses des années 50, des années 60, de toujours. Comportez-vous comme tel. Ne revenez pas dans nos imaginaires, pour la gloriole, comme des vestales qui auraient accompli une sainte tache. Car le sang que vous avez versé ne s’effacera pas sans demande de pardon, une demande à genoux, en pleurant, les larmes de l’assassin repenti auprès du berger, rien de moins. En dehors de cela, vous êtes des monstres, des satans, des vampires assoiffées de notre bonheur.
Par vos actes vous avez tué des individus, tué des civilisations, et pire encore, tué notre joie de vivre, nos frères, nos cousins, nos familles. Votre célébration actuelle dans nos funestes journaux, dans nos morbides assemblées, est celle de la mort. Normal que notre monde soit dès lors devenu un monde de chiens qui ronronnent au bureau et miaulent pour sauver les apparences. Des dégénérés sans sexe, honteux de leurs attributs virils, ou des putes qui se rendent gloire de travailler pour un patron au lieu de prendre soin de leur famille. La belle évolution. La masse de fric accumulé par les hommes ne leur suffit même plus à toutes ces incapables. Elles prospèrent dans le sang. Et le culte démoniaque demande toujours plus de sang. Il ne peut vivre sans. Il en a besoin. Privez-le d’un enfant, le voilà colérique. Il veut sa ration quotidienne, mener les petits dans des chambres à gaz bien réelles celles-là. Silence. Il fallait le faire, transformer des utérus en autant de scènes de génocide.
Le troupeau de mamelles doit être vidé de sa progéniture dans des camps de concentration organisés par l’État sans en être empêchées, parce que l’État c’est nous, et qu’il faut sauver les pauvres femmes. De quoi ? D’une maternité, les rosses. Après les médecins s’étonnent que la grossesse soit perçue comme une maladie. Elle l’est dans notre société de fin de race, de lesbiennes hystériques qui demandent à se faire violer, de femmes du commun qui se protègent de tous leurs méfaits, de toutes leurs horreurs sous prétexte d’attention sans faille à la personne. Il vaut mieux faire confiance à l’Etat qu’à un seul homme. C’est plus sûr.
Selon les monstres qui ne reculent devant aucune manœuvre culpabilisatrice, nous devrions nous mêler de nos affaires en tant qu’hommes. Justement, nous sommes aussi nés d’un utérus et certains entendent bien que ceux-là ne servent pas à l’élimination des garçons, ni des filles d’ailleurs. Ces fomenteurs de malheurs qui nous accusent de nous mêler de ce qui ne nous regarde pas, voient la paille de nos quelques ratés traditionnels et non la poutre de leur échec civilisationnel total. Pour eux, c’est bien, parce qu’ils en ont le droit inaliénable, comme si la toute-puissance pouvait rendre heureux. Elle est totalitarisme, déjà contenu dans la main de l’avorteuse qui opérait en toute illégalité par le passé.
Véritable subvertrice à grande échelle, l’avorteuse a agi durant des milliers d’années pour supprimer le fruit de la terre, jusqu’à ce que le sien soit pourri, et que la médecine lui enlève ses revenus. Ayant accompli son œuvre, mais devant se trouver d’autres victimes, elle continue à prospérer sous l’apparence de féministes défenderesses du droit soit-disant des femmes. Elle parle au nom des opprimées qu’elle opprime consciencieusement. Comme d’habitude, misant sur leur orgueil comme le diable mise sur celui des hommes puissants. Les unes et les autres se haïssent d’ailleurs, et s’attirent, se regardent en chiens de faïence, entretiennent entre eux un amour vache. Je te donne mon pognon, tu me donnes ma ration de sang. Je te donne de bonnes petites esclaves, tu me couvres. En première ligne sur nos écrans, ce sont eux les putains de notre temps. Il faut tout vendre parce que cela leur rapporte, les fœtus, le sang, les mères, les humains. Dans une immense cohue, chacun veut en être, lui qui ne sera pourtant jamais qu’un simple avorton de Dieu, inconscient de sa médiocrité, pétant au-dessus des nuages, tandis que son cul s’enfonce sous terre.
Avorteuse, je rêve parfois de t’attraper avec tes fils de fer, tes scalpels et de te faire passer sur la table de torture, te rendre la monnaie de ta pièce. Avorteuse d’hier et d’aujourd’hui, tu es la même, tu n’as pas changé, même si tu fais croire que tout est propre.
Il faut revenir aux temps anciens où les monstres devaient se cacher, où ils n’osaient pas commettre leurs basses œuvres au grand jour. Il faut que le crime soit condamné, tu, qu’il ne se commette pas légalement comme aujourd’hui, qu’il soit pourchassé, sanctionné impitoyablement, écartelé sur la place publique quand il aura été débusqué, et non que la dénonciation du crime ne soit étouffée devant nos tribunaux complaisants.
Ces derniers condamnent désormais ceux qui contredisent les satans. Les morts et l’hypocrisie ne leur suffit plus. Il leur faut un silence total. Qu’aucune raie de lumière ne traverse cet obscur tunnel. Car bientôt elle éclairerait tout. L’oeuvre de destruction prendrait forme aux yeux du spectateur naïf qui verrait s’étendre sous son regard des monceaux de cadavres contre les murs du tunnel, des visages fermés dont le scalpel gésirait les uns à côté des autres, mais surtout un miroir qui lui renverrait une image de squelette. Quand le blanc sera mort, l’avortement sera peut-être interdit. En attendant, il faut s’en occuper, avant de s’occuper des autres.
En ce moment, le blanc est le maillon faible de l’humanité, celui par qui tout progresse, mais par qui tout peut aussi dégénérer, parce qu’il a combattu plus qu’aucun autre avec le Christ, et que le diable l’a combattu également. L’humanité veut redevenir rien, animale, ne surtout plus se poser de questions, elle est fatiguée d’elle-même dans nos contrées. Elle laisse cela à d’autres, qui devront se poser les mêmes questions que nous si nous échouons.
Frères en humanité, mêlez vous à notre combat. Portez les armes contre satan. Ne laissez pas faire ces femmes parce qu’elles sont femmes. Ôtez la pitié de vos coeurs parce qu’elles sont vos mères et vos sœurs. L’époux qu’elles trahissent aujourd’hui, ce sera l’homme de leur famille qu’elles rejetteront demain. Vous.
L’expérience le montre. La complaisance amène l’abus. L’abus mène à la normalité de l’abus. Et la normalité de l’abus, à une société invivable qui ne comprend pas pourquoi elle est devenue invivable. La mémoire s’oublie. Les progressistes d’hier échouant en tout, nous imposent les solutions de demain, oublieux de leurs mensonges devant les assemblées, de leurs erreurs politiques monumentales, de la faillite de leur culture, tout simplement parce qu’ils se situent dans la vérité sans aucune remise en question. Ils sont les princes de toujours qui ne veulent plus de Pape au-dessus d’eux. Ils sont les papes puritains modernes qui ne veulent plus de Dieu au-dessus de leur tête, ni de peuple qui puisse les contredire. Tous ces grands intolérants, que l’inquisition a toujours dû contenir, donneurs de leçons de surcroît, meurtriers qui se lavent bien vite les mains, judas de leur héritage, pharisiens de la condamnation, se croient bon parce qu’ils font comme tout le monde, et que tout le monde doit avoir raison. Ils imposent leurs lois parce que tout le monde les voudrait, et que tout le monde les accepte, et que tout le monde ne se révolte pas quand ils les votent, parce qu’ils se sentent du côté du puissant et croient défendre l’opprimé. Imbéciles ! L’opprimé sera toujours là où on ne l’attend pas, à côté de Dieu.
Aujourd’hui, l’opprimé est blanc, il est homme, il habite la campagne, il est esclavagé par un système d’imposition très favorable aux femmes. S’il est né d’une fille-mère c’est encore pire, banlieusard sans avenir. Mais surtout il est stigmatisé dans sa nature même. Il n’ose même plus être ce qu’il est, porter ses couilles. Tout en lui a été castré minutieusement, taxé, culpabilisé, jusqu’à la désespérance, par les mêmes oppresseuses qu’hier, celles qui cachées dans l’ombre, attendaient patiemment d’apporter l’injustice au monde, en tuant des enfants dans les ventres, en accumulant irresponsabilité sur irresponsabilité, jusqu’à devenir féministes ces putes. Des putes à Caf, oui, des poules pondeuses de la République, élevées en batterie, qui dévorent parfois leurs œufs, héritières de ces mêmes hydres que nous n’ avons pas vaincues par le passé.
Le bougnoule et le nègre n’échappent pas à la tyrannie de l’avorteuse parce qu’ils sont hommes. Les féministes s’y prennent plus habilement avec eux. Ils forment une catégorie évidente de pauvres et pourraient difficilement être stigmatisés comme oppresseurs. Alors, elles les flattent qu’ils sont oppressés par le blanc et autres conneries qui servent à les maintenir dans leur esclavage mental, mais surtout elles n’acceptent dans leur société que ceux qu’elles ont fait passer au travers du tamis étroit de leurs exigences. Et ce tamis est très très petit. Si l’homme blanc ferait sa vie avec n’importe quelle beurrette ou négresse de bon aloi, la blanche accepte à l’occasion de se faire sauter par un bien membré, mais certainement pas de l’intégrer à sa société. Non, elle prône la tolérance, certes, la subversion, oui, la révolte, ok, mais certainement pas pour la subir dans son propre environnement. Là, elle censure, elle césure, espérant influencer ces hommes venus d’ailleurs et les rejetant quand elle n’y arrive pas comme elle l’espérait. Pour le tout venant, elle préfère user plusieurs esclaves blancs qu’elle fera travailler à loisir pour ses enfants, marionnettes répudiées à loisir qui serviront à plusieurs d’entre elles, tant qu’ils seront soumis dans leur petit quotidien de bourgeoises en éternel devenir.
Face à cette attitude, le bougnoule et le nègre n’ont pas d’autre choix que de reformer communauté, de tout faire pour garder un cheptel de femmes afin de pouvoir se reproduire. Pour rappel, il n’y avait pas un voile dans les banlieues des années 80. C’est logique. L’homme étranger qui a encore une cervelle, non seulement ne veut pas participer à la mascarade de l’homme blanc, mais en plus, il doit réussir à se préserver de cette société féminisée pour avoir une chance de survivre. Sa marge de manœuvre est aussi étroite que le babtou de campagne si ce n’est que ce dernier n’a pas une culture de secours à laquelle se raccrocher pour éviter l’effondrement complet.
Le babtou de campagne, il est plus certain de crever que tous les autres. Non seulement il s’est fait avorter psychologiquement par les siens, mais il s’est fait avorter physiquement et culturellement. Il n’en restera bientôt plus rien, qu’une élite qui se détache de lui pour aller travailler à l’étranger et devenir autre chose, nomade des temps modernes sans identité, esclave payé pour produire, machine qui a une vie tant qu’elle sert, laissant crever au passage dans quelque maison de retraite dépressive ses aînés, et devant crever à son tour dans les mêmes conditions.
Chaque année, à la période de Noël, des militants de satan essaient d’interdire les crèches dans l’espace dit « public ». Vous savez pourquoi ? Parce que ce petit enfant, leur rappelle tous les autres qu’ils ont exterminés. Quand le Prince de la Paix arrive sur terre, c’est pour amener le glaive. Dans notre société, il n’y a pas plus subversif que ce bébé blanc dans une crèche. Un enfant dans une société qui se suicide c’est une provocation. Un blanc dans une société blanche qui a honte d’elle-même, terrifiant. Un père et une mère, mensonge pour nos malades mentaux. Des rois qui se prosternent devant lui, facéties démocratiques. Un âne et un boeuf respectés et qui n’en seront pas moins mangés, trop coûteux pour notre société industrielle.
Hier, les avorteuses saignaient les enfants dans l’ombre des alcôves. Désormais, elles sont à la tête d’usines qui produisent en masse, rentabilisant leur production, aveugles quant aux conditions de travail et d’extermination. Nous traitons nos enfants comme nous traitons nos animaux, ou l’inverse, nous ne sommes plus certains de rien en la matière. Les survivants sont gavés comme des oies, cela n’empêche. Ils devront se compromettre car l’avorteuse poursuit son travail, inlassablement.
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